Cette semaine, pour vous garder au fait des actualités du monde du véhicule électrique, les bénévoles de l'AVÉQ ont mis en ligne 14 articles.
Pour s'y rendre, rien de plus facile, suivez la flèche! Menu Actualités / sous le menu « Actualités - résumés hebdomadaires » Pour recevoir notre infolettre hebdomadaire, inscrivez-vous ici. Bonne lecture ! Contribution : Peggy Bédard
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Après la Silicon Valley et Tel Aviv, Renault ouvre un troisième Open Innovation Lab appelé « Le Square » à Paris. Ce nouveau laboratoire a pour objectif de définir de nouvelles façons de travailler et d'explorer l'avenir de la mobilité en ouvrant les frontières de l'entreprise et en encourageant la coopération autour de nouveaux types d'organisation d'affaires et d'acteurs de l'écosystème français.
« Renault fabrique des voitures depuis plus de 100 ans », explique Pierrick Cornet, directeur mondial de l’ingénierie avancée. « Mais comme notre industrie évolue très rapidement, nous devons rester à l'avant-garde et innover continuellement en travaillant sur les nouvelles technologies, les voitures connectées et les véhicules électriques, pour définir l'avenir de la mobilité afin de pouvoir offrir à nos clients le meilleur service possible. » Le Square a été conçu comme un véritable laboratoire expérimental, ouvert à son environnement d'affaires et proche des équipes Renault et de l’alliance Renault-Nissan afin de faciliter la prolifération des idées. Géré conjointement par les équipes internes de Renault et des partenaires extérieurs en vue d'atteindre un objectif commun, il contribuera à renforcer la stratégie d'innovation de Renault et de l'alliance. Après la Silicon Valley et Tel Aviv, Renault a choisi la France pour son troisième laboratoire, car le pays compte déjà 228 incubateurs d'entreprises et 49 accélérateurs. La seule région Ile-de-France compte plus de 3 000 start-ups. Par ailleurs, Paris est classée quatrième parmi les capitales mondiales les plus attrayantes pour les investisseurs, qui considèrent Paris propice à la technologie de pointe. Deux autres laboratoires d'innovation Le laboratoire de Tel-Aviv, en Israël, ouvert en juin 2016, a pour but de promouvoir les véhicules électriques et d'encourager la créativité en mettant l'accent sur la mobilité de l'avenir. Il est situé sur le site de la Porter School of Environmental Studies, célèbre université technologique de Tel Aviv, et travaille en particulier sur les thèmes du véhicule électrique, de l’après-vente et de la sécurité Internet. Ce laboratoire d'innovation est le fruit d'une coopération entre Renault, dans le cadre de l'Alliance Renault-Nissan, et de l'Institut d'innovation du transport de Tel-Aviv. Celui situé dans la Silicon Valley aux États-Unis, ouvert en 2011, a été la première initiative d'innovation. Il collabore avec l'écosystème de startups du monde entier et les universités californiennes de Stanford et de Berkeley. Ce laboratoire contribue aux efforts de recherche de l'alliance en conduite autonome, et en particulier au développement de l'intelligence artificielle. Il développe des services connectés innovants en coopération avec les start-ups de la Silicon Valley et explore de nouvelles approches de la mobilité. Open Innovation chez Renault La création de ces Open Innovation Labs s'inscrit dans la stratégie de culture et d'innovation de l'alliance Renault-Nissan : elle permet de cultiver des opportunités d'innovation à partir d'un écosystème ouvert (start-ups, universités, investisseurs) et de l'économie locale (les autorités locales, les consommateurs, le marché). Ces laboratoires regroupent sous un même toit les trois piliers de l'innovation ouverte: mise en commun des connaissances (événements, conférences, groupes de réflexion, rencontres); créativité et méthodes de conception innovantes (Design Thinking, Fablab); ainsi que les leviers de la nouvelle économie (accélérateurs de start-up, méthodes coopératives et ouvertes, et plates-formes). Source : Electric Cars Report Contribution : Peggy Bédard
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
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Pierre-Étienne Messier (délégué régional de l'AVÉQ pour Capitale Nationale) et sa conjointe sont actuellement en Corée pour assister au International Electric Vehicle Expo 2017 http://www.ievexpo.org/ ainsi qu'au Korean EV User Forum qui ont lieu en même temps.
Bonjour à tous de la Corée du Sud, en direct à l'IEVE 2017! Aujourd'hui on a fait le tour des kiosques, fait plein de photos et ramassé des documents. Demain j'ai un 10 minutes de présentation sur l'AVEQ. Un de nos hôtes est présentement en train de faire le trajet Séoul vers Jungmun en Bolt sur une charge. Nous avons aussi une Ioniq pour nos déplacements. Bref, beaucoup de plaisir! On écrira un article détaillé quand on aura plus de temps et aussi accès à un ordinateur! (Pierre-Étienne Messier)
Nouvelle qui nous a été transmise par notre collègue Pierre-Étienne Messier qui est actuellement en Corée, une distance de 470 km aurait été parcourue avec une Chevrolet Bolt.... On s'approche du 500 km sur une seule charge !
Le 470 km en Bolt EV s'est fait de Seoul vers Jungmun!
Sûrement, d'autres détails suivront sous peu.
Source : Pierre-Étienne Messier
Contribution : Martin Archambault
La Chrysler Pacifica hybride branchable était en démonstration chez Montréal Auto-Prix division hybride électrique le 8 février dernier. M. Daniel Breton a présenté ce véhicule durant la soirée.
Chrysler a gagné de multiple prix en 2016 grâce à sa Pacifica à essence. Ces prix ont été remporté pour de bonnes raisons. En effet, le design est excellent autant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Le véhicule est très spacieux surtout avec les sièges stow-n-go pour la deuxième et troisième rangée (sièges qui se replient à l'intérieur des planchers). Le modèle est aussi très technologique dans la version Limited et une configuration des bancs permet d’asseoir 7 ou 8 passagers.
Le modèle branchable La Pacifica hybride branchable possède une batterie de 16 kWh qui lui confère une autonomie en 100% électrique d'environ 50 kilomètres et une autonomie combinée de 911 kilomètres. Cette dernière est livrée avec tous les équipements technologiques de la version milieu de gamme Touring-L Plus. Cependant, les sièges de la 2e rangée ne peuvent se placer dans le plancher dû à la batterie, mais il est tout de même possible de le faire pour les sièges de la 3e rangée. La consommation en ville est de 2,6L/100km selon Chrysler Canada. La puissance combinée est de 260 chevaux grâce au moteur électrique et au moteur V6 de 3,6 litres à transmission CVT. Lors de l’essai de M. Daniel Breton à l’événement Montréal Auto-Prix, nous étions 7 personnes à bord et l’accélération des moteurs combinés était très intéressante. De plus, M. Breton a réussi à rester autour du 50 kilomètres d’autonomie électrique malgré une température extérieure relativement froide. Ceci laisse croire qu’il y aura, en été, la possibilité de dépasser ce kilométrage maximal annoncé de 50 km. M. Breton a conduit la Pacifica hybride en atteignant une consommation d’environ 4,5L/100km en hiver. Ce qui présager qu’il sera possible d’atteindre aux alentours de 3 à 4 L/100km en été ce qui est surprenant pour une mini fourgonnette de cette taille. À l’intérieur, les passagers de la 2e rangée ont droit à des écrans afin de regarder des vidéos, des films ou jouer à des jeux (applications téléchargées en avance). Il est possible pour le conducteur de contrôler un des écrans ou les deux en les fermant au besoin. Lors de l’essai comme passager, j’étais le septième passager, donc au milieu du siège de la 3e rangée, et bien que ce soit étroit, je ne me sentais pas étouffé par les deux autres passagers. Cependant, je ne serais pas resté là pour un voyage Montréal-Québec. Personnellement, une heure de route serait le maximum de temps durant lequel je resterais dans cette position. Il est a noté que je suis relativement petit et mince, alors si quelqu’un est plus grand et corpulent, il est certain que les passagers de la 3e rangée seront tous inconfortables et coincés. La recharge : Niveau 1 (120 volts) : 14 heures Niveau 2 (240 volts) : 2 heures Niveau 3 (400 volts) : pas disponible Bémols : Il n’est pas possible de choisir en quel mode nous voulons rouler. Il n’y a pas de bouton « Éco » ou « électrique ». C’est le véhicule qui contrôle le mode dans lequel nous roulons. Maximum de 7 places et non 8 comme dans la version à essence. La FCA ne recommande pas de remorquer des charges avec la Pacifica Hybrides brancheable. Prix : La Chrysler Pacifica hybride aura un prix de 56 495$ auquel on soustrait l’aide gouvernementale de 8000$ après taxe. Ce qui en résulte par un prix de 56 955,13$*. Ce véhicule est fabriqué au Canada, disponible au Québec et est la première mini fourgonnette électrique du marché. *Calcul : 56 495 x 15% (taxe) = 64955.13$ - 8000 = 56955,13$ Auteur : Dominic Gratton, Membre de l’AVÉQ Contribution : Martin Archambault
Tesla amasse 1,2 milliard $ pour le lancement de sa Model 3, Electric GT révèle comment elle a réduit le poids de la Tesla Model S P100D, un groupe de 30 villes américaines discute d'un achat de VÉs de 10 milliards $ et Trump élimine le programme de prêts qui a aidé Tesla, Nissan et Ford à construire des VÉs : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
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Un article publié ce matin dans le quotidien Le Soleil nous apprend que le gouvernement est en processus de révision des conditions d'admissibilité aux incitatifs du programme "Roulez Électrique", géré par le ministère de l'Énergie et des Ressources Naturelles (MÉRN).
En effet, selon l'article du quotidien, un seuil maximal d'admissibilité serait fixé aux Véhicules de type Hybride Rechargeable (VHR). Ces véhicules, dont la valeur dépasse $75 000 ne seraient plus admissibles à l'incitatif du programme Roulez Électrique, généralement établi à $4000 pour ce genre de véhicules puisque ce type de véhicule disposent généralement de batteries de moins de 10 kWh.
Cette mesure semble inspirée du programme d'incitatifs de l'Ontario, lequel limite les incitatifs à $3000 pour les véhicules électriques et hybrides rechargeables dont la valeur est comprise entre $75 000 et $150 000.
Les incitatifs pour les véhicules 100% électriques de plus de $75 000 seraient possiblement revus, cependant une hypothèse qui a été mentionnée serait à l'effet que l'incitatif serait diminué plutôt qu'éliminé. Est-ce que Québec limitera à $3000 les incitatifs pour les 100% électriques de plus de $75 000 ? C'est à suivre.
Source : Le Soleil
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Porsche affirme avoir rejoint la plate-forme d'innovation Startup Autobahn. Elle décrit le système en termes que seul un technicien peut comprendre : « un moyen pour que les entreprises de technologie puissent travailler sur des solutions intelligentes dotée d’interfaces entre le matériel et les logiciels. » Même si cette nouvelle peut d’abord sembler anodine, elle soulève pourtant un problème plus préoccupant : la ligne de plus en plus mince entre voitures connectées et vie privée.
Tesla s'associe à des compagnies d'assurance Les voitures de l'avenir pourront rapporter de nombreuses informations aux compagnies et aux organismes gouvernementaux. Tesla vient d'annoncer qu'elle travaille avec des compagnie d’assurance pour inclure leur coût dans le prix de ses voitures. Cela se passe seulement sur les marchés asiatiques présentement, mais pourrait se retrouver dans d'autres marchés sous peu. Même si cela peut être pratique pour les conducteurs, certaines questions demeurent en suspens. Tesla collecte également des données sur chaque km parcourus par ses 180 000 voitures et les stocke pour une analyse ultérieure. Cela inclut autant l'information du GPS, que la vitesse ou les mouvements du volant par exemple. Si Tesla est en partenariat avec des compagnies d'assurance, va t-elle également leur partager des données sur la façon dont vous conduisez, où vous conduisez et quand vous conduisez? Il y a de bonnes chances que oui. De nombreux assureurs offrent maintenant à leurs clients une chance d'abaisser leurs primes s’ils installent simplement une clé Internet dans le port OBD-II qui rapporte aux entreprises tout ce que nous faisons derrière le volant. Avez-vous dépassé une limite de vitesse mardi? Votre compagnie d'assurance le saura. Avez-vous effectué un virage illégal vendredi? Votre compagnie d'assurance le saura aussi.
Siemens s'associe à un groupe d'étudiants pour construire un VÉ, le modèle de base Lucid Air se vendra à 60 000 $ US, Kia augmente l'autonomie de sa Soul électrique 2018, voici la logique derrière l'autonomie de 130 km de la Honda Clarity électrique, et les 10 pays de la révolution mondiale des VÉs : édition 2016 : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
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Du 16 au 19 mars 2017, rendez-vous au Centre Shaw pour la plus grande exposition de voitures de l’est de l’Ontario et de l’ouest du Québec.
La signalisation bilingue sur place vous guidera dans le Centre Shaw et le personnel bilingue répondra en français à vos questions.
Visitez la Zone Verte, informez-vous sur les véhicules électriques de l’allée Motorsport au niveau 2. Nos collègues de Plug'n Drive Ontario seront présents avec une Chevrolet Volt 2017 et une BMW i3 REX 2017 pour répondre aux questions des visiteurs sur l'électromobilité. On y retrouvera des bornes de recharge domiciliaires de FLO et de Siemens. Il y aura bien sûr d'autres surprises dans cette zone spécialement aménagée! Sans compter l'offre électrique des différents manufacturiers à chacun de leur kiosque, dont Tesla! Contributeur: Simon-Pierre Rioux La Chine envisage de baisser les quotas de VÉs, le propriétaire d'une Tesla dirige la police vers le voleur de sa voiture, Tesla promet de construire un site de stockage d'énergie en 100 jours, la Jaguar I-PACE dans les rues de Londres, et Trump accorde une année de plus aux constructeurs automobiles : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
La semaine dernière, de nombreux blogues américains ont publié des informations suggérant une garantie à vie pour la batterie de la Hyundai iONIQ, et nous l'avons aussi rapporté lors d'un essai routier [lien]
Le directeur général de LÉVIKO Hyundai à Lévis, Jean-François Boucher, qui est très enthousiaste à l'idée de vendre des VÉ et qui suit nos actualités avec intérêt, nous a contacté avec l'information qui suit: « En effet, il y a une garantie à vie aux États-Unis sur les IONIQ pour le premier propriétaire seulement (non transférable). Ce n’est pas possible d’offrir une telle garantie au Canada parce qu’ici, il est illégal d’avoir une garantie non transférable. Nous annonçons au Canada une garantie de 8 ans / 160000 km. » Les lois canadiennes font qu'une garantie illimitée devrait être transférable d'un propriétaire à l'autre, ce qui signifie un montant supplémentaire à l'achat puisque le coût d'une assurance est toujours inclus dans le produit qu'on achète, peu importe lequel. Hyundai Canada semble donc avoir pris une décision qui place leur garantie au même niveau que celle des concurrents tout en gardant le prix abordable.
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Volvo présente son premier VÉ, la Marine royale veut réduire son empreinte carbone grâce aux VÉs, deux fois plus de BMW rechargeables vendues cette année, et Trump répond à l'appel de l'industrie automobile :
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Contribution : Naïma Hassert
NIO dévoile son VÉ autonome Eve, Intel achète la compagnie MobilEye, le transport en commun à Porterville devient tout-électrique, BYD livre une flotte de camions entièrement électriques, et un lecteur de Green Car Reports explique pourquoi il a annulé sa commande de Chevrolet Bolt : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Jn Auto inc 1982, spécialiste en véhicule électrique au Québec (et fier partenaire de l'AVÉQ), a entrepris la conversion de sa propre flotte de 6 véhicules, graduellement début 2015, date où la nouvelle relève, Sébastien et Stéphane prirent la direction de l’entreprise. Les raisons qui ont poussé les nouveaux dirigeants dans cette aventure sont d’ordre économique ainsi qu’environnemental !
Voici ce qu'ils ont à raconter sur le sujet:
Aux cours de cette année charnière, les apprentissages se sont fait graduellement. Nous avons du former des chauffeurs afin de desservir pour le mieux la clientèle. Il est important de mentionner que l’entreprise doit répondre à des besoins élevés en km et qu’il était primordial de minimiser les aléas dû à l’implantation d’une nouvelle technologie qui n’avait pas encore été développée dans un contexte commercial. Donc, en 2015, une première Nissan Leaf 2012 fut incorporée à la flotte de véhicules. Cette dernière était équipée d’un chargeur de série 3.3 kWh avec temps de recharge de 7.5 heures sur une borne de 240 Volt. La Nissan Leaf était principalement dédiée aux trajets de courte distance. Pour les distances plus longues, nous avons opté pour une Chevrolet Volt. Bien que l’expérience fut concluante, la Nissan Leaf pouvait faire facilement et sans trop de gestion, 200 km par jour sur une plage d’ouverture de l’entreprise de 13 heures par jour. Nous avons vite réalisé que la seconde génération du véhicule, équipée de batteries de nouvelle technologie et d'un chargeur de série de 6.6 kWh était véritablement 2 fois plus rapide que la génération précédente; une charge complète se réalisait en 3.5 heures. Ainsi, un autre véhicule thermique fut remplacé par une Nissan Leaf équipée d’une batterie de la seconde génération. Surprise totale ! Notre nouveau véhicule pouvait faire facilement plus de 300 km / jours sans recharge publique, donc en se limitant uniquement à des recharges privées de 240 volt. L'entreprise a fait installer 9 bornes au coût total de 15 000$ après subventions du programme branchez au travail du gouvernement du Québec. La première Nissan Leaf, moins rentable, fut remplacée par une autre de la même marque, mais de seconde génération. Ainsi équipé, il nous était maintenant possible de parcourir de 600 à 700 km par jour pour nos déplacements locaux qui s’étendent de (Richmond aller retour à ; Sherbrooke, Drummondville, Victoriaville, Asbestos…. ) Le temps de recharge rapide nous permettant de faire plusieurs aller/retour par jour. Par la suite une Chevrolet Spark EV entra en service pour combler certains besoins, ainsi que pour la location à court terme, nouveau service développé en parallèle afin de permettre des essais aux clients voulant se convaincre avant de faire un achat. Voici les statistiques de notre système de location avant achat :
Cette semaine, pour vous garder au fait des actualités du monde du véhicule électrique, les bénévoles de l'AVÉQ ont mis en ligne 18 articles.
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Il va y avoir du nouveau à Terrebonne au croisement des autoroutes 40 / 640 : Grenier BMW est maintenant ouvert et d’ici quelques semaines, ils détiendront la bannière « i »!
Nous aurons donc le plaisir d’y voir des i3 et i8 prochainement!
Leur département de service supporte déjà les voitures électriques ce qui augmente agréablement nos options dans la Région. Philippe Janson, directeur régional de l'AVÉQ pour Lanaudière est allé rencontrer le directeur des ventes , M. Dany Brousseau et le directeur du service. M. Martin Geoffrion question de leur parler de l’électrification des transports au Québec et de leur faire découvrir l'association. Ces derniers étaient très enthousiastes à recevoir la bannière « i » et à faire partie de la révolution électrique! Ils ont déjà une borne de recharge publique Chargepoint (maintenant inscrite sur Plugshare). Celle-ci est offerte gratuitement durant les heures d’ouverture. Ils auront aussi, ce qui est encore rare au Québec, une voiture de courtoisie « i3 ». Ceci constitue une occasion en or de faire découvrir à la population les plaisirs de rouler électrique. Une autre grande nouvelle, ils auront d’ici quelques semaines, à l'instar des concessionnaires BMW américains, une BRCC de 24kW disponible 24h sur 24! Bien que de moitié de puissance comparativement aux BRCC habituelles, ces 24 kW seront très appréciés. Surtout qu’il y a un manque criant de bornes rapides dans cette partie du Québec. Le développement de l’électrification se poursuit donc de belle manière dans la région de Lanaudière! >> Autres nouvelles pour la région de Lanaudière Source : Philippe Janson, Directeur régional AVÉQ pour Lanaudière Contribution : Martin Archambault
Sur la base d'une analyse interne de données de conduite anonymes, Ford souhaite promouvoir l'adoption d’une méthode standard afin que les équipementiers et les organismes de réglementation puissent mieux comprendre la conduite électrique réelle, plutôt que les cycles d'essai réglementaire.
Lors d’une présentation au SAE Hybrid & Technologies Symposium qui s'est tenu en février, Brett Hinds, ingénieur en chef chez Ford dans la division Ingénierie du groupe motopropulseur électrifié, a déclaré que l'entreprise a utilisé le service MyFord Mobile pour recueillir des données auprès de 35 185 véhicules sur plus de 80,6 millions de déplacements depuis 2013. Les données anonymes ont été analysées à l'aide d'une suite d'outils personnalisés, puis comparées à l'Atlanta Regional Travel Survey, une référence représentative du comportement de conduite aux États-Unis. « Nous avons une très bonne représentation », affirme Hinds. « Cela nous confirme que nous ne représentons pas seulement les trois véhicules rechargeables de Ford, mais la totalité de la flotte de conduite active. » Pour chaque client, Ford a établi une distribution des profils de déplacements, en fonction de l'endroit où ils allaient, combien de fois ils se déplaçaient et combien de fois ils ont démarré le véhicule. « Toutes ces données peuvent être mathématiquement représentées par une distribution gaussienne », précise Hinds. « C'est la partie que Ford aimerait partager avec l'industrie pour qu’elle envisage aller de l'avant. La distribution gaussienne représente la distribution normale des déplacements lors d’une journée typique. On y constate ensuite une décroissance exponentielle qui représente les déplacements spéciaux. » Toujours selon Hinds, « les équipementiers devraient adopter une méthode standard d'analyse des données et utiliser ces dernières pour concevoir la prochaine génération de VEB ou de VÉs. C'est aussi une excellente occasion pour discuter avec les organismes de réglementation, qui pourraient également utiliser ces données pour établir des règlements qui reflètent plus fidèlement les conditions de conduite réelles. Source : ChargedEVs Contribution : Peggy Bédard
4 raisons pour lesquelles Tesla ne révèle pas tout sur sa prochaine Model 3, le record de vitesse chez les voitures autonomes a été battu, Detroit Electric obtient un investissement de 1,8 milliard de dollars de la Chine pour recréer la stratégie de Tesla, une société de gestion de placement voit l'avenir en rose pour les VÉs, et le chef de l'EPA affirme que le Congrès devrait remettre en question l'impact du dioxyde de carbone sur le réchauffement climatique : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Nous vous en parlions récemment dans nos Brèves du jour, mais voici maintenant un article plus détaillé sur cette nouvelle prometteuse.
Une équipe d'ingénieurs dirigée par John Goodenough, 94 ans, professeur à l'école de génie Cockrell de l'Université du Texas à Austin et co-inventeur de la batterie au lithium-ion, a présenté des résultats de recherche prometteurs sur une nouvelle technologie qui pourrait révolutionner le secteur des batteries à état solide. Cette découverte, réalisée en partenariat avec Maria Helena Braga, chargée de recherche principale à l'école Cockrell, pourrait permettre le développement de batteries rechargeables plus sûres, à chargement plus rapide et à plus longue durée pour les appareils mobiles portatifs, les voitures électriques et le stockage d'énergie stationnaire. Les ingénieurs décrivent leur nouvelle technologie dans un récent article publié dans la revue Energy & Environmental Science. « Le coût, la sécurité, la densité énergétique, les vitesses de recharge et de décharge et la durée de vie du cycle sont essentiels pour que les véhicules à batterie puissent être adoptés plus largement. Nous croyons que notre découverte résout bon nombre des problèmes inhérents aux batteries d'aujourd'hui », a déclaré Goodenough. Les chercheurs ont démontré que leurs nouvelles cellules de batterie ont au moins trois fois plus de densité d'énergie que les batteries au lithium-ion actuellement sur le marché. La densité d'énergie d'une cellule de batterie donne au véhicule électrique son autonomie de conduite, donc une plus haute densité d'énergie signifie qu'une voiture pourra parcourir plus de km sur une même charge. La batterie de l’UT Austin permet également un plus grand nombre de cycles de charge et de décharge, ce qui équivaut à des batteries plus durables, ainsi qu'un rythme de recharge plus rapide (en quelques minutes, plutôt que des heures). Les batteries lithium-ion d'aujourd'hui utilisent des électrolytes liquides pour transporter les ions lithium entre l'anode (côté négatif de la batterie) et la cathode (côté positif de la batterie). Si une batterie est chargée trop rapidement, cela peut entraîner la formation de dendrites ou de trichites métalliques et traverser les électrolytes liquides, pouvant provoquer un court-circuit et causer des explosions et des incendies. Au lieu d'électrolytes liquides, les chercheurs s'appuient sur des électrolytes de verre solides qui permettent l'utilisation d'une anode de métal alcalin sans formation de dendrites. L'utilisation d'une anode alcaline (lithium, sodium ou potassium) - ce qui n'est pas possible avec les batteries classiques - augmente la densité d'énergie de la cathode et offre une plus longue durée de vie au cycle. Lors de leurs expériences, les cellules des chercheurs ont démontré plus de 1200 cycles ayant une faible résistance cellulaire. En outre, parce que les électrolytes solides peuvent fonctionner, ou ont une conductivité élevée, à -20 degrés Celsius, ce type de batterie pourrait très bien fonctionner dans des conditions météorologiques sous zéro. C'est aussi la première cellule de batterie à état solide qui peut fonctionner sous 60 degrés Celsius. Braga a commencé à développer des électrolytes solides avec des collègues alors qu'elle était à l'Université de Porto au Portugal. Il y a environ deux ans, elle a commencé à collaborer avec Goodenough et le chercheur Andrew J. Murchison à UT Austin. Braga a déclaré que Goodenough a apporté une compréhension de la composition et des propriétés des électrolytes solides qui a abouti à une nouvelle version, qui est maintenant brevetée par le bureau de commercialisation des technologies de UT Austin. Grâce aux électrolytes solides, les ingénieurs peuvent plaquer et extraire des métaux alcalins à la fois sur la cathode et le côté anode sans dendrites, ce qui simplifie la fabrication des cellules de la batterie. Un autre avantage est que les cellules de la batterie peuvent être fabriquées à partir de matériaux écologiques. « Les électrolytes solides permettent la substitution du lithium par du sodium à faible coût. Le sodium est extrait de l'eau de mer qui est largement disponible », a précisé Braga. Goodenough et Braga poursuivent leurs recherches sur les batteries et travaillent sur plusieurs brevets. À court terme, ils espèrent collaborer avec des fabricants de batteries pour développer et tester leurs nouveaux matériaux dans les véhicules électriques et les dispositifs de stockage d'énergie. Cette recherche est soutenue par UT Austin, mais il n'y a pas de subventions associées à ce travail. Le bureau de commercialisation des technologies de l'UT Austin négocie activement des accords de licence avec plusieurs sociétés engagées dans différents secteurs de l'industrie liés aux batteries. Source : UT News Contribution : Peggy Bédard
Il y a plusieurs mois, Ian Pavelko alias «The Mad Hungarian» nous proposait un projet où il allait mettre en vente des t-shirt à l’effigie des VÉ Tesla afin de recueillir des fonds. Ces fonds allaient être distribués à des organismes qui font la promotion de l'électromobilité (AVÉQ, MEC et Plug in America).
Contribution : Martin Archambault
De nouveaux VÉs rechargeables pour Honda, le PDG de Volkswagen admet que Tesla a influencé ses plans, un impressionnant projet de station de recharge en Norvège, et la nouvelle Nissan Leaf serait lancée en septembre : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Lors d’une entrevue accordée le 6 janvier 1917 au journal Electrical World, l’illustre inventeur et scientifique Thomas A. Edison se prononçait sur la valeur mercantile de l’électricité dans le secteur des véhicules électriques. Il était alors très critique du manque d’initiative et d’imagination du secteur des affaires qui tardait à se lancer dans ce commerce.
Regard sur l’avenir du véhicule électrique Une entrevue avec Thomas A. Edison Electrical World – le 6 janvier 1917 « La croissance du véhicule électrique a été entravée par le manque d'installations de recharge. La vente de courant électrique est une entreprise marchande comme n'importe quelle autre. Il n’y a pas assez de stations centrales qui s’en rendent compte et très peu recherchent des façons différentes de commercialiser l’électricité. En conséquence, la vente d'électricité à partir de la station centrale ne peut se développer. Il est surprenant que peu de stations ne se rendent compte qu'il y a tout un marché en attente pour la vente d’électricité destinée à la recharge des voitures électriques. Le public se retrouve dans la curieuse position de vouloir acheter quelque chose pour lequel il n'y a pas suffisamment d'offre. À mon avis, la station centrale devrait intégrer l’industrie des garages et offrir de cette façon le meilleur endroit où le client pourrait aller acheter ce qu'il veut, le courant électrique, sous forme de kilométrage. » « Si j'étais dans le domaine de la vente d’électricité, je trouverais tous les moyens possibles d’y arriver. Si j'étais le directeur d’une station centrale, je mettrais en place un garage et je me lancerais dans la vente d'électricité destinée aux voitures. Je construirais ou louerais un immeuble de quatre ou cinq étages et installerais un ascenseur convenable. Je chargerais les véhicules la nuit, comme on le fait à Hartford, Connecticut, présentement. J'aurais des camions au premier étage et un ascenseur assez grand pour gérer les voitures sur les autres étages. Je ne vendrais pas de courant pour la recharge, mais pour le kilométrage, ce que le client souhaite au final. J’offrirais une redevance de service par km qui inclurait le coût du courant. Un service de ce genre pourrait être profitable à la fois à la station centrale et à l'homme d'affaires. Peut-être que je louerais en vertu d'un contrat avec une entreprise ou une personne fiable, et j’offrirais le lavage et la réparation des véhicules à des prix fixes et raisonnables, pour me concentrer uniquement sur la vente d’électricité. » « Je crois que la station centrale devrait pénétrer le marché parce que le garage électrique a besoin de la supervision intelligente et de la fiabilité que la station peut lui offrir. Une des principales problématiques des garages destinés aux voitures à essence ou électriques est le manque de connaissance du garagiste moyen. La batterie de stockage d'aujourd'hui n'a pas besoin d'experts pour la superviser, mais elle a besoin des mêmes soins intelligents et responsables que tout équipement mécanique ou électrique a besoin. Les normes d’un garage moyen dans ce pays concernant les voitures à essence ou électriques sont beaucoup trop basses. La station centrale, si elle a pour objectif la rentabilité, augmenterait la norme de service en garage et récolterait ainsi beaucoup plus. Quand je dis que j'ai connu des hommes dans des garages ordinaires qui versaient de l'acide sulfurique dans des piles alcalines pour accuser ensuite faussement leurs clients, on n’en arrive à la conclusion que l’électrique ne pourra jamais se développer davantage si on ne retrouve pas plus d’intelligence et de fiabilité dans les endroits où les voitures sont chargées. » « Même les grands hommes d’affaires ne semblent pas réaliser l'occasion d'augmenter leurs ventes au public en établissant des stations de recharge, et en faisant un profit sur la vente de kilométrage électrique à la communauté. Il y a une occasion en or pour réaliser d’importantes ventes d’électricité sur une base de service rentable. Le secteur des affaires a besoin de faire preuve d'imagination. L'activité électrique ne fait pas exception. Parfois, je pense que les hommes qui devraient voir dix ans en avant ne considèrent que la semaine prochaine. » Source : Plug In Sites Contribution : Peggy Bédard |
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