Trump éliminerait le budget de l'EPA pour les tests de véhicules, les voitures autonomes d'Uber environ 5 000 fois pires que celles de Waymo, une tour pour recharger les VÉs dans les villes, et Audi et Porsche font équipe pour construire des VÉs autonomes : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
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De la bouche même du maire, M. Denis Coderre, Montréal investira 3,6 millions au cours des deux prochaines années dans l'électrification des transports
Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, accompagné du responsable des transports au comité exécutif, Monsieur Aref Salem, et de la conseillère associée, responsable de la Stratégie d'électrification des transports, Mme Elsie Lefebvre, ont annoncé la création d'un Institut de l'électrification et des transports intelligents dans le cadre de la Stratégie d'électrification des transports de Montréal dévoilé en juin dernier. Cette annonce a été faite lors du 52 congrès et Salon des Transports de l'AQTr
Dans la foulée de la 21e conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP21) et de l'adhésion à C40, le réseau des villes luttant contre les changements climatiques, Montréal veut se démarquer comme ville innovante en misant sur les nouvelles technologies et sur l'électrification des transports. La lutte aux changements climatiques et à la réduction des émissions de gaz à effet de serre est un choix de société que Montréal entend affirmer. « Montréal est au cœur de l'action dans le dossier des changements climatiques. La création de cet Institut de l'électrification et des transports intelligents représente une étape importante dans la réalisation de notre ambitieuse Stratégie d'électrification des transports. L'Institut mettra à profit les atouts de Montréal comme ville d'innovation pour galvaniser les efforts et les savoirs, et rayonner sur la scène internationale », a affirmé le maire de Montréal, M. Denis Coderre. La mise en place d'une zone d'expérimentation au centre-ville et des corridors d'essai est en planification. Cela permettra d'effectuer des tests en situation réelle, qui serviront de vitrine commerciale aux nouvelles technologies. La Ville de Montréal accorde une contribution financière de 3 630 000$, distribués sur deux ans, à l'Institut de l'électrification et des transports intelligents afin d'assurer le démarrage de l'organisme et d'assurer la mise en œuvre de son plan d'actions. L'Institut de l'électrification et des transports intelligents aura pour mandats de :
Ce nouvel institut sera localisé dans le Quartier de l'Innovation, qui a vu le jour sous le leadership de l'ÉTS et l'Université McGill. La participation de l'Université Concordia et de l'Université du Québec à Montréal est aussi confirmée. « Montréal veut aussi offrir aux manufacturiers les conditions favorables pour expérimenter les nouvelles technologies et pour en accélérer la commercialisation. C'est notre réponse aux besoins exprimés par tous les acteurs de l'industrie, les centres de recherche et, surtout, les citoyens, qui sont prêts à adopter de nouvelles formes de mobilité », a mentionné M. Aref Salem, responsable du Transport au comité exécutif. Les innovations sur les enjeux de mobilité durable et le transport des biens et des personnes et leur intégration dans la réglementation municipal est un défi au cœur de la mission de l'Institut : « Le créneau de l'électrification et des véhicules intelligents est très prometteur. Je suis extrêmement confiante que la volonté et les moyens pris par l'Administration Coderre permettra à Montréal de devenir un leader mondial dans le domaine de la mobilité du futur », a conclut Mme. Elsie Lefebvre, conseillère associée, responsable de la Stratégie d'électrification des transports. Source : Ville de Montréal - Cabinet du maire et du comité exécutif Contribution : Martin Archambault
Le PDG de Ferrari, Sergio Marchionne, a de nouveau indiqué que Ferrari allait s'engager en Formule E dans un proche avenir, expliquant que la marque italienne a "besoin de s'impliquer" dans le championnat électrique.
Ferrari a d'abord été lié à une potentielle campagne en Formule E en novembre dernier, mais les derniers commentaires de Marchionne démontrent un désir plus explicite de suivre quelques autres constructeurs prestigieux dans la mise en place d'un programme. "Nous avons besoin d'être impliqués en Formule E parce que l'électrification via l'hybridation va faire partie de notre futur", indique le dirigeant dans AUTO, le magazine officiel de la FIA. "L'hybridation est cruciale pour Ferrari. Il n'est pas question de nier que les réglementations nous mettent sous pression, mais nous pouvons atteindre ces objectifs par d'autres moyens." "Le challenge est de bénéficier de l'hybridation pas seulement au niveau de la réduction d'émissions, mais aussi au niveau de la performance. Nous avons déjà développé une supercar hybride, LaFerrari, et, sur les futurs modèles Ferrari, nous allons tirer parti de nouvelles techniques aussi, comme l'électrification." Pas d'équipe officielle avant 2022 Il semble improbable que Ferrari devienne constructeur à part entière avant au moins 2022, mais il pourrait intégrer la discipline dans le cadre d'un partenariat avec une équipe privée. Cela devrait plus probablement se faire à travers le nom de FIAT, la marque ayant récemment dévoilé une 500 tout électrique. Ferrari dispose actuellement d'un partenariat avec le géant russe de la cyber-sécurité Kaspersky, une entreprise connue pour être ambitieuse dans le développement de son implication en compétition et qui s'est récemment penchée sur la Formule E. Ainsi, tout en apparaissant sur la Ferrari F1 en tant que sponsor, Kaspersky Racing a inscrit des GT3 en Blancpain GT Series, et notamment une pour l'ancien pilote de la Scuderia en Formule 1, Giancarlo Fisichella. Kaspersky sponsorise également les membres de la Ferrari Driver Academy en F2 et GP3. Une entrée en tant que 12e équipe de Formule E en 2019 pourrait être une possibilité. Source: Motorsport Contributeur: Simon-Pierre Rioux
La station-service Canadian Tire Gas+ de Milton est équipée d'une borne de recharge rapide et de deux bornes de recharge de niveau 2. Les bornes rapides rechargent la plupart des véhicules électriques en 20 à 30 minutes, tandis que les bornes de niveau 2 procurent jusqu'à 50 kilomètres d'autonomie en 90 minutes de recharge. Les bornes de niveau 2 sont compatibles avec tous les modèles de véhicules électriques et hybrides rechargeables, et les bornes rapides sont compatibles avec les véhicules équipés des ports de recharge CHAdeMO ou SAE Combo.
Les conducteurs de voiture électrique doivent être membres de FLO pour utiliser les bornes. L'adhésion gratuite au réseau FLO leur permet d'activer les bornes de recharge à l'aide de leur carte FLO ou de l'application mobile FLO (disponible sur iOS et Android), et d'accéder à plus de 3000 autres bornes de recharge d'un océan à l'autre du Canada. L'application FLO permet également aux électromobilistes de suivre la progression de leur séance de recharge pendant qu'ils vont se chercher une collation ou qu'ils font leurs emplettes. Le coût de la recharge est de 20 $ par heure sur la borne rapide et de 1,50 $ par heure sur les bornes de niveau 2. Une liste complète des autres sites de recharge à venir dans les stations-service Canadian Tire Gas+ sera annoncée dans les mois à venir. Tous les sites sont prévus pour être en service d'ici le début de 2018. À propos de FLO FLO est l'écosystème de recharge pour véhicules électriques le plus complet et le plus fiable au Canada. Exploité par AddÉnergie, FLO comble les besoins des conducteurs de véhicules électriques où qu'ils soient -- à la maison, au travail ou sur la route -- en offrant une expérience toujours simple et fluide. FLO propose des solutions de recharge résidentielles performantes tant pour la maison que pour les immeubles à logements multiples, tandis que l'adhésion au réseau FLO donne accès à des milliers de bornes de recharge d'un océan à l'autre. FLO offre aussi des services clés en main aux entreprises souhaitant offrir la recharge à leur clientèle ou à leurs employés. Source : Flo Contribution : Martin Archambault ![]()
Le gouvernement du Canada continue de soutenir les infrastructures vertes dans le secteur des transports en appui aux efforts déployés à l'échelle du pays pour bâtir une économie propre, créer des emplois bien rémunérés pour les Canadiens et atteindre ses objectifs de lutte contre les changements climatiques.
Ainsi, le ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne, l'honorable Dominic LeBlanc, a annoncé aujourd'hui que 120 millions de dollars iraient au déploiement d'infrastructures pour la recharge des véhicules électriques et le ravitaillement en carburants de remplacement comme le gaz naturel, de même qu'à des projets de démonstration de nouvelles technologies. En établissant de nouvelles infrastructures, le gouvernement facilite le choix d'options plus écologiques par les citoyens et oriente les transports au Canada vers un avenir plus sobre en carbone. Au total, le budget de 2017 propose d'investir 21,9 milliards de dollars sur 11 ans dans des infrastructures vertes qui feront progresser les efforts déployés au Canada pour bâtir une économie propre. Ces fonds approfondissent l'action du budget de 2016, qui consacrait 62,5 millions de dollars sur deux ans à des infrastructures pour les véhicules électriques et à carburants de remplacement. Aujourd'hui, le ministre LeBlanc a aussi annoncé 335 000 $ pour un projet de construction de dix bornes de recharge rapide au Nouveau-Brunswick, projet que dirigera NB Power Énergie NB. Ces infrastructures faciliteront les déplacements des conducteurs de véhicules électriques au Nouveau-Brunswick et donneront aux citoyens la possibilité de faire des choix plus écologiques en matière de transports. 335 000$ pour dix BRCC au Nouveau-Brunswick d'ici juillet NB Power Énergie NB sera responsable du projet d'installation des bornes rapides. À noter que NB Power utilise déjà les bornes SmartTwo de la compagnie AddÉnergie, on peut donc logiquement s'attendre à ce que ces nouvelles bornes rapides de couleur orange soient compatibles avec le Réseau FLO, offrant ainsi une interopérabilité du paiement afin de faciliter la vie des électromobilistes du Québec. NB Power vise la mise en fonction des bornes rapides d'ici juillet; chaque site possédera également une borne de niveau 2, Les investissements du gouvernement du Canada réduiront les émissions de gaz à effet de serre, assureront la disponibilité d'un air sain et d'une eau propre à la consommation et encourageront le recours à l'électricité renouvelable. Ils soutiendront aussi des projets qui favoriseront une meilleure interconnexion des réseaux électriques et qui aideront les populations à mieux composer avec les effets des changements climatiques. Citations « Ces infrastructures faciliteront les déplacements des conducteurs de véhicules électriques au Nouveau-Brunswick et donneront aux citoyens la possibilité de faire des choix plus écologiques en matière de transports. Des investissements dans des projets comme celui-ci aideront le Canada à atteindre ses cibles de réduction des émissions de gaz à effet de serre et consolideront son économie en produisant de bons emplois, un environnement plus sain et des collectivités prospères. » L'honorable Dominic LeBlanc, ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne « Grâce au partenariat de financement de Ressources naturelles Canada, NB Power Énergie NB a le plaisir d'offrir à sa clientèle et aux touristes de passage dans la province la possibilité de recharger leurs véhicules électriques sur l'autoroute la plus fréquentée au Nouveau-Brunswick, et ce, à l'aide de la solution de recharge la plus rapide qui soit. Les véhicules électriques joueront un rôle important dans la lutte contre les changements climatiques dans notre province en mettant à profit les énergies renouvelables produites par NB Power Énergie NB, qui est fière d'aider les Néo-Brunswickois à opter pour un mode de transport plus propre et plus abordable. » Keith Cronkhite Vice-président principal, Développement commercial et Planification stratégique, NB Power Énergie NB Source: Gouvernement du Canada Contributeur: Simon-Pierre Rioux
À quel moment deviendra-t-il inacceptable de conduire une voiture à essence, employés demandés à la Gigafactory de Tesla, Daimler dit adieu aux piles à combustible pour se concentrer sur les VÉs rechargeables, et Volkswagen présente des prototypes de VÉs vintage au Techno Classica : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
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Encore une fois cette année, nous avons besoin de 3 minutes de votre temps pour remplir notre petit sondage des membres 2017.
Voiture, bornes, rabais, satisfaction: nous avons besoin de votre opinion afin de nous aider à mieux supporter la communauté électromobile. Ce sondage s'adresse donc EXCLUSIVEMENT aux propriétaires de VÉ, et non à ceux qui espèrent un jour le devenir. N'ayez crainte, un jour ce sera votre tour de remplir notre sondage! Mais pour le moment, nous ne faisons que sonder nos membres électromobilistes avec un ou même deux VÉ! NOTRE SONDAGE EST 100% ANONYME ET CONFIDENTIEL, DONC SOYEZ PLEINEMENT CONFIANT QU'IL SERA IMPOSSIBLE DE LIER VOS RÉPONSES ET VOTRE IDENTITÉ.
Cliquez sur le bouton orange ci-dessus, ou entrez vous-même l'adresse suivante: www.aveq.ca/sondage2017
Merci!! Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Depuis décembre 2016, la société Autobus Lion exporte ses autobus scolaires électriques eLion jusqu’en Californie. Avec 85 salariés, cette PME originaire de Saint-Jérôme est en pleine progression, avec un chiffre d’affaires qui dépasse les 20M$ grâce à un positionnement qui la place comme le seul fabricant d'autobus scolaires électriques à grande capacité en Amérique du Nord.
Lorsqu’il a monté la société en 2008, le comptable agréé Marc Bédard souhaitait bousculer le milieu conservateur des autobus scolaires, tant au niveau des matériaux que de la motorisation. En s’associant avec Camile Chartrand, ex-président du fabricant de bus scolaires Corbeil, les deux fondateurs ont d’abord mené 3 à 4 années de R&D visant à alléger le poids et le coût d’achat des véhicules. Après avoir commercialisé de premiers véhicules diesel en 2011, la société a travaillé sur le passage à l’électrique.
Avec plus de 70 bus scolaires électriques vendus à ce jour, la croissance de l’entreprise provient désormais essentiellement de ce marché. «En 2017, les véhicules électriques vont représenter plus de 50% de nos ventes. Nous avons commencé les livraisons dans des marchés comme la Californie, le Québec et la Nouvelle Angleterre», confie le cofondateur Marc Bédard, qui espère doubler le volume des ventes au cours des deux prochaines années. Une croissance électrique Seul fabricant d'autobus scolaires électriques à grande capacité en Amérique du Nord, les Autobus Lion s’attendent également à profiter des marchés qui émergent en Amérique du Nord. L’Ontario s’apprête par exemple à lancer son plan d’électrification des transports, comme le Québec qui a l’objectif d’atteindre les 100 000 véhicules électriques vendus d’ici 2020. «On regarde aussi des États à tendance verte comme ceux de Washington ou New York», glisse-t-il. En vertu de ces développements, les exportations pourraient même devenir dominantes à compter de 2018. Pour doper les ventes, Autobus Lion a recruté des distributeurs spécialisés, préalablement formés en vue de pouvoir réaliser l’entretien des véhicules électriques. «On pense à ouvrir une usine du côté américain d’ici quatre ans, même si notre site principal restera celui des Laurentides», s’engage Marc Bédard. Côté financement, la société a réalisé deux rondes en 2011 et 2015, dont les montants n'ont pas été révélés, auprès d’investisseurs privés dont XPND Capital, le fonds d’Alexandre Taillefer qui est derrière la flotte de taxis électriques québécois Téo. D’autres rondes de financement ne sont pas exclues pour conserver l’équilibre financier. Un marché subventionné Si les véhicules d’Autobus Lion possèdent pour l’instant une autonomie de 150 km, ce chiffre pourrait doubler d’ici 2 à 3 ans. Leur alimentation se fait via des bornes que le client achète auprès de fournisseurs recommandés par la société. «Les clients ont le choix entre 5 à 6 fournisseurs principaux, pour un coût net d’environ 2000$ la borne, car leur achat est remboursé à 50% par le gouvernement provincial», ajoute-t-il. Affichés à un tarif de 300 000$, les véhicules sont éligibles à une subvention de 125 000$ de la part du gouvernement du Québec, ce qui ramène le prix d’achat net à 175 000$. «Difficile de parler du prix sans la subvention», concède toutefois Marc Bédard, tant l’incitatif joue une place importante pour l’essor de ce marché. Mais ce dernier reste confiant, car la tendance est plutôt à l’arrivée de nouveaux plans verts dans les provinces canadiennes. «Les gouvernements fixent toujours un horizon de 5 ans, à l’intérieur duquel on s’attend à ce que l’augmentation des volumes et la maîtrise de la technologie fassent fondre la différence de prix existant entre le diesel et l’électrique». Un pari sur l’avenir. Alors que le marché des véhicules de grande dimension représente 30 000 ventes annuelles en Amérique du Nord, les Autobus Lion produisent 1 000 véhicules à l’année, «ce qui laisse une belle marge de progression». Un pari de constructeur Autobus Lion fait affaire avec plus de 400 fournisseurs de pièces (Québec, États-Unis, Asie) et assemble ensuite les véhicules dans son usine des Laurentides. «Nous faisons nous-même la production complète des châssis, des fourgons et du bloc batterie. L’objectif étant de ne dépendre d’aucun fournisseur», explique Marc Bédard. Avec un seul site dans les Laurentides cumulant à la fois la production et le bureau des ventes, Autobus Lion fonctionne avec une armée de vendeurs au Québec et en Ontario, et de distributeurs dans les autres régions. «Nos clients sont principalement des opérateurs ou des commissions scolaires», précise Marc Bédard. La PME regarde déjà d’autres secteurs comme le transport de marchandises, un marché qui représente plusieurs centaines de milliers de véhicules vendus chaque année, et où le rendement sur le capital investi pourrait être encore plus important étant donné le nombre de kilomètres parcourus. Autobus Lion en quelques chiffres Année de création : 2008 Chiffre d’affaires annuel: 20M$ Marchés desservis: Canada, États-Unis Emplacement du siège social: Saint-Jérôme Objectif pour l’année à venir: Développer les ventes de son nouvel autobus électrique eLion au Canada et aux États-Unis. Autobus Lion en quelques chiffres Année de création : 2008 Chiffre d’affaires annuel: 20M$ Marchés desservis: Canada, États-Unis Emplacement du siège social: Saint-Jérôme Objectif pour l’année à venir: Développer les ventes de son nouvel autobus électrique eLion au Canada et aux États-Unis. Source : Marie Lyan - Les Affaires Contribution : Martin Archambault
Le PDG de Daimler dit que grâce à Tesla, les VÉs n'ont plus une image « grano », un test du prototype de la Nissan Leaf autonome en vidéo, les actions de Tesla atteignent un nouveau sommet, Tesla livre 25 000 véhicules au cours du premier trimestre de 2017, et un incitatif de 10 000 euros pour les VÉs en Roumanie : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Notre directeur-adjoint au Bas-St-Laurent, Jean-François Morin, a pris part à un reportage sur le manque de deux BRCC au BSL (Montmagny et Trois-Pistoles). Notre porte-parole Robert Dupuy y a aussi participé, de même que celui du Circuit Électrique, Louis-Olivier Batty. On espère avoir ces deux bornes avant l’été!
Source : TVA - CIMT.CA
Contribution : Martin Archambault
Cette semaine, pour vous garder au fait des actualités du monde du véhicule électrique, les bénévoles de l'AVÉQ ont mis en ligne 21 articles.
Pour s'y rendre, rien de plus facile, suivez la flèche! Menu Actualités / sous le menu « Actualités - résumés hebdomadaires » Pour recevoir notre infolettre hebdomadaire, inscrivez-vous ici. Bonne lecture !
Contribution : Naïma Hassert
Les voitures électriques existent techniquement depuis 1837, quand un chimiste nommé Robert Davidson a construit un véhicule alimenté par des batteries galvaniques. Mais le premier VÉ de masse n’est entré sur le marché qu'en 2008. Depuis, l'intérêt pour les VÉs a augmenté lentement, mais régulièrement, ce qui fait qu’en 2017 on se retrouve avec au moins 25 modèles électriques rechargeables sur le marché. Cela inclut entre autres les Tesla Model S et X, la Porsche Panamera S E-hybride, la Mercedes C350E, et le Volvo XC90 T8 VEHR.
Plusieurs se demandent tout de même si ces véhicules électriques font véritablement leur place sur le marché automobile ou s’ils sont destinés à un déclin, comme ce fût le cas au tout début des années 1900. Pour répondre à cette question, l’équipe du site TopSpeed a mis en place un ensemble de graphiques détaillés représentant les statistiques des VÉs pour l’année 2016, incluant la croissance du marché, les modèles les plus populaires et le nombre de ventes par État. Le constat ? Le marché des VÉs est bel et bien en croissance, mais il ne surpasse pas le marché des véhicules à essence traditionnels, pour le moment du moins… Il y a par contre quelques modèles qui tirent très bien leur épingle du jeu. Les ventes de véhicules électriques ont augmenté de 37% en 2016, une amélioration énorme par rapport à la baisse de 5% entre 2014 et 2015. C'est une augmentation assez importante d'une année à l'autre, mais sept modèles ont représenté 81% des ventes en 2016. Alors, quelles étaient les meilleures voitures électriques de 2016? On peut regarder du côté de Tesla avec ses Model S et X ou encre de la Chevrolet Volt, Nissan Leaf, Ford C-Max Energi VEHR, et Ford Fusion Energi VEHR, de même que la BMW i3. La model S de Tesla est la voiture électrique la plus vendue de 2016, alors que la Chevrolet Volt est le véhicule hybride rechargeable le plus vendu de l'année. L'analyse du marché des VÉs nous démontre cependant que des modèles comme la Tesla Model X et la Ford Fusion Energi VEHR n’étaient vraiment pas très loin derrière.
Consultez l’article complet pour les graphiques détaillés et un complément d’information.
Source : TopSpeed Contribution : Peggy Bédard
Si vous achetez une Zero 2017 neuve au mois d'avril, le manufacturier vous offrira gratuitement un chargeur rapide d'une valeur d'environ $900 CAD, pour recharger votre nouvelle Zero jusqu'à 2,5 fois plus vite.
Vous perdrez donc moins de temps en recharge, pour passer plus de temps à profiter au mieux de la saison de la moto. Le chargeur rapide ajoute 1 kW de puissance de charge, et il peut s'utiliser sur toute prise secteur standard. La gamme Zero 2017 place le moteur Z-Force® à aimants permanents intérieurs (IPM) développé par Zero Motorcycles au cœur de chaque modèle. Avec des seuils de température plus élevés et une plus grande efficacité, le moteur IPM permet une conduite plus sportive et des vitesses soutenues plus élevées. Associé aux nouveaux contrôleurs d'intensité supérieure, chaque moteur IPM offre désormais plus de couple, avec une valeur impressionnante de 116 ft-lb sur les motos Zero SR et DSR. C'est plus que toute autre moto de sport homologuée. Les motos Zero S ZF6.5 et Zero DS ZF6.5 sont conçues pour êtres les meilleures motos au monde à traverser la jungle urbaine. Elles offrent tous les avantages de la conduite électrique à un prix inférieur, grâce à de nouveaux blocs d'alimentation qui permettent de réduire le poids de 43 kg et rendent les motos plus agiles et amusantes à conduire. Autre avantage : l'espace libéré par les batteries sert de compartiment de rangement pratique et verrouillable. Chaque bloc d'alimentation Z-Force® 2017 bénéficie désormais d'une garantie de cinq ans, kilométrage illimité. Des processeurs plus puissants et une construction plus robuste, associés à des éléments lithium-ion avancés pour une plus grande fiabilité. Ces batteries ne nécessitant aucun entretien sont conçues pour durer toute la vie de la moto. La puissance est transmise à la roue arrière par l'intermédiaire d'une courroie renforcée en fibre de carbone pour un fonctionnement en douceur, silencieux et sans tracas. La courroie plus large et plus résistante peut résister à un couple plus élevé et durer des milliers de kilomètres sans entretien*. Source:Zero Motorcycles Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Un projet provincial de 20 millions de dollars destiné à financer un vaste réseau de bornes de recharge publiques fait face à des retards imprévus. Le gouvernement s'est engagé à mettre en fonction 485 nouvelles bornes qui doivent composer la première phase de son corridor transfrontalier de chargeurs rapides d'ici la fin mars. Mais un tiers d'entre elles resteront inactives à la date limite et probablement tout au long de la saison de pointe d'été, a déclaré la porte-parole du ministère des Transports, Courtney Anderson, à The Globe and Mail.
Bien que les défenseurs des véhicules électriques saluent les progrès réalisés jusqu'ici, on craint que le retard - et les lacunes subséquentes dans les infrastructures de recharge de l'Ontario qui limitent la mobilité à long terme - ralentissent l'essor du marché des ventes de VÉs. Il y a un nombre croissant de VÉs abordables à autonomie prolongée et de nombreux nouveaux modèles qui devraient se retrouver chez les concessionnaires cette année et la suivante. Et même si la plupart des propriétaires feront la majeure partie de leur recharge à la maison, les acheteurs potentiels seraient réticents à embrasser la technologie des VÉs sans une infrastructure de recharge publique robuste qui leur donne un filet de sécurité sur la route, croient les experts. « Ces bornes sont particulièrement importantes pour persuader de nouvelles personnes d'acheter un VÉ », a déclaré Cara Clairman, chef de la direction de Plug'n Drive, un groupe de défense des véhicules verts sans but lucratif en Ontario. « C’est un important facteur psychologique pour les nouveaux acheteurs. Ils se font à l'idée qu'ils vont avoir besoin du réseau » a t-elle souligné. L'établissement du réseau de l'Ontario, appelé EVCO, est un élément clé de la stratégie de la province visant à accroître le nombre de véhicules propres sur les routes provinciales au cours des prochaines années. Le Plan d'action pour le changement climatique vise à faire passer les ventes de VÉs à 5% du total des ventes de véhicules d'ici 2020. Le nombre actuellement en circulation est d'environ 1%. Alors que le Québec se vante d’avoir le plus de VÉs au pays, les taux accrus de nouveaux acheteurs ont été les plus forts en Ontario. À la fin de 2016, le nombre de VÉs vendus en Ontario a augmenté de 67% par rapport au chiffre de l'année précédente. Les ventes ont sans aucun doute été stimulées par le généreux programme incitatif de la province, qui offre des rabais allant jusqu'à 14 000 $ pour l'achat d’un nouveau véhicule électrique et d’autres subventions pour l’installation de bornes de recharge à usage domestique. Au total, il y avait 9179 VÉs sur les routes provinciales à la fin 2016, dont plus de la moitié sont entièrement électriques, selon les statistiques compilées par FleetCarma, une société de gestion de flottes basée à Waterloo qui soutient l'adoption des VÉs. Mme Anderson a déclaré que les retards du réseau de recharge sont dus à diverses conditions difficiles auxquelles font face les entreprises et leurs entrepreneurs installant les bornes Bien que les chargeurs soient financés par la province, la responsabilité de les construire incombe à 24 entrepreneurs qui ont obtenu des subventions pour l’installation de différents sites, y compris les centres commerciaux et les établissements de restauration rapide, tels que les restaurants McDonald's et Tim Hortons le long des routes de l'Ontario. Chaque site hôte décidera s'il offre ou non la recharge gratuite aux utilisateurs. Dans d'autres juridictions, les détaillants utilisent généralement les bornes de recharge - et une période de branchement gratuit - pour attirer les acheteurs. Dans plus de 100 sites, « les problèmes entourant la propriété foncière, les permis municipaux, les limitations du réseau électrique et d'autres facteurs ont ralenti les installations », a déclaré Mme Anderson. La province a l'intention de publier une mise à jour de la carte à la fin du mois. Les différents intervenants qui travaillent pour accroître l'adoption des VÉs affirment que, même avec les retards, l'Ontario est un environnement beaucoup plus convivial qu'il y a un an. Avant l'installation des chargeurs EVCO, il n'y avait que cinq chargeurs rapides DC en Ontario, dont trois au siège de compagnies automobiles (ces chiffres excluent les Superchargers Tesla, qui sont exclusifs aux propriétaires de modèles Tesla), selon FleetCarma. L'accès aux chargeurs rapides est essentiel, car il permet d’enrayer l’idée reçue sur les VÉs alimentés par batterie. 30 minutes suffisent par exemple à recharger jusqu'à 80% la batterie d'une Nissan Leaf. Matt Stevens, PDG de FleetCarma, qui accueillera six chargeurs EVCO dans ses bureaux basés à Waterloo, a déclaré que même si la moitié des chargeurs rapides prévus sont en fonction la semaine prochaine, « l'Ontario est tout de même un marché prêt pour les VÉs ». « Le calendrier de ce programme a toujours été ambitieux, je suis heureux qu’il en ait été ainsi. Nous avons besoin que ce soit rapide », a t-il précisé, ajoutant que, malgré des retards, le réseau EVCO a déjà « surmonté la problématique du manque d' infrastructure. Ce qui signifie que le programme aura été un succès. » Chantal Guimont, présidente et chef de la direction de Mobilité Électrique Canada, une association nationale à but non lucratif vouée exclusivement à la promotion de la mobilité électrique, a déclaré que les plans d'action aussi ambitieux sont la seule façon dont les gouvernements atteindront leurs objectifs en matière de changement climatique. « Offrir une infrastructure de recharge est la pierre angulaire qui permettra d'accélérer l'arrivée des VÉs » croit-elle. Une fois mis en opération, le réseau EVCO permettra techniquement de couvrir les déplacements électriques en Ontario, a déclaré Wilf Steimle, président de la Société des véhicules électriques, une association provinciale pour les conducteurs de VÉs. « Il n'y aura pratiquement aucun endroit dans la province où une voiture électrique d'entrée de gamme ne pourra se déplacer grâce au réseau EVCO », a-t-il ajouté, « malgré le fait que les choses ne soient pas parfaites, il y a une bonne part du travail qui a été fait ». Source : The Globe and Mail Contribution : Peggy Bédard
Au Québec, on assiste à un véritable engouement pour l'achat de vélos, trottinettes, motos et scooters électriques. Voici l'expérience d'un Montréalais qui a franchi le pas l'an dernier.
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En déménageant en ville, Éric Nadeau et sa conjointe ont décidé de vendre leur voiture et de s'acheter un scooter électrique Kumpan. «C'est merveilleux et intéressant, commente Éric d'un ton enthousiaste. Je peux rouler jusqu'à 66 km/h sur certaines artères, mais la plupart du temps, à Montréal, je ne peux pas dépasser 50 km/h.» Il nous parle des nombreux avantages de rouler vert.
Plus d'autonomie Dans le trafic ou lors de journées venteuses, la batterie requiert davantage d'énergie. Une seule batterie lui permet de parcourir 50 km. Le plus intéressant, selon lui, est la capacité de pouvoir recharger son IPad ou son téléphone intelligent à partir d'une prise installée près du siège et du guidon du scooter. Gratuité du traversier S'il utilise un traversier du Québec, son passage est gratuit à la condition de détenir une plaque verte émise par la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ). Sur le traversier reliant Lévis et Québec, on aperçoit de plus en plus de professionnels qui vont travailler en scooter. Du coup, ils épargnent aussi sur le tarif journalier d'un stationnement. Économie d'essence Au départ, Éric Nadeau a hésité entre un scooter à essence et un modèle électrique. Son choix lui permet d'économiser sur le carburant et le changement d'huile. Il a remisé son scooter au début de novembre. «J'ai hâte au printemps. D'ici là, je prends le métro.» Rabais financier Selon les plus récentes statistiques, le gouvernement a accordé 24 231 rabais aux acheteurs d'un véhicule électrique, toutes catégories confondues, représentant une somme de 91,2M$. «Pour une motocyclette électrique, on propose un rabais de 2 000$. Il faut vérifier sur notre site Internet les véhicules admissibles, en sélectionnant "Motocyclette électrique". La liste peut changer», précise Nicolas Bégin, coordonnateur des services à la clientèle au ministère de l'Énergie et des Ressources naturelles. Offre spéciale aux membres AVÉQ Or Kumpan Electric est fière de s'associer avec l'AVÉQ pour offrir aux détenteurs d'une carte de membre un rabais de 250$ applicable sur leurs accessoires à l'achat d'un scooter 1953 ou 1954. Ce rabais est applicable sur le casque, valise rigide, housse, etc... applicable seulement au magasin du 31 rue Queen, Montreal. [voir l'offre sur notre page Membres] Source : Annie Bourque - Desjardins Contribution : Martin Archambault
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
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L'ePrix de Mexico 2017 va avoir lieu ce samedi 1er avril dès 17h30 sur les ondes de RDS2 (et en reprise à 23h30 sur RDS) à l'Autódromo Hermanos Rodríguez, comme l'an passé, mais la version de 2,1 km utilisée a été modifiée au niveau du premier virage et de la dernière chicane.
La chicane du premier virage a été remplacée par un virage à droite temporaire, qui coupe le tracé de Grand Prix juste après les stands. Cette modification devrait permettre davantage de dépassements dans la ligne droite des stands grâce à un freinage plus tardif pour le nouveau virage, qui n'est pas aussi serré que la chicane précédente. "Le premier virage est complètement différent et nous pensons que c'est une solution plus propre", déclare Frédéric Espinos, manager de la Formule E, pour Motorsport.com. "C'est l'inverse de ce que nous avions l'an dernier, et cela devrait permettre plus de fluidité pour les voitures et peut-être plus d'opportunités de dépassement." Lorsque nous lui avons demandé si les pilotes ne risquaient pas de dépasser la ligne blanche à l'approche du premier virage pour prendre la trajectoire idéale, Espinos s'est montré très clair : "Ceux qui dépasseront la ligne blanche avec les quatre roues auront une pénalité. Je n'imagine cependant pas les pilotes le faire complètement à cet endroit-là. Deux roues, certainement, mais pas les quatre." La dernière chicane a été modifiée pour essayer d'éviter la situation de la saison passée, lorsque certains pilotes coupaient à travers ce complexe. "Il est clair qu'ils veulent empêcher de couper les chicanes", reconnaît Nicolas Prost pour Motorsport.com. "La dernière chicane a changé, mais les autres aussi, puisque les murs sont plus proches de la corde. Avant, on avait un mètre, donc on pouvait utiliser beaucoup de vibreur, mais maintenant, je n'en suis pas si sûr. Je pense que tout sera beaucoup plus serré." Source: Motorsport.com Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Sans aucun doute, 2016 a été une année majeure pour les véhicules électriques et Mobilité électrique Canada. Le rapport annuel vous offre la chance de vous pencher sur les accomplissements de MEC et leurs résultats concrets.
Le Rapport annuel de MÉC souligne le travail accompli par l'association avec des messages de la PDG, Chantal Guimont, et de la présidente, Catherine Kargas. Retrouvez le bilan des relations gouvernementales sur les scènes fédérale et provinciales, d’EVS29 et des activités de réseautage. Il contient également une carte détaillée du Canada qui dresse le portrait du VÉ et de la recharge par province.
Veuillez noter que l'AVÉQ siège sur le conseil d'administration de Mobilité Électrique Canada en la personne de président, M. Simon-Pierre Rioux.
Source : Mobilité Électrique Canada Contribution : Martin Archambault
Lancement de la première motomarine électrique, Tesla veut faire de la Model 3 la première voiture autonome distribuée massivement, 43 000 employés d'Audi demandent à la direction de construire plus de VÉs, Hyundai développe une architecture de VÉs dédiée, et Toyota dévoile une voiture de cours hybride : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Jean Forget, membre de l'AVÉQ, a effectué un déplacement entre Québec et Grand-Métis. Ce périple a pu mettre en relief le manque criant de bornes de recharge rapides dans ce coin de la province
Le Québec possède actuellement environ 80 BRCC alors que l'Ontario est à en installer près de 200 !
Source : Ici Radio-Canada Contribution : Martin Archambault
Ma conjointe et moi avons pris livraison de notre Chevrolet Bolt EV Premier 2017 tout équipée le 7 mars dernier de chez S.R. Bourgeois Chevrolet à Rawdon. Plusieurs chroniqueurs ont déjà écrit sur la Bolt EV, mais il m’a semblé que peu de propriétaires l’ont fait, à tout le moins en français et habitant dans une région subissant un climat nordique. Avant d’être propriétaires d’une Bolt EV, ma conjointe et moi avons loué une Nissan Leaf 2011 SL pour une période de dix-neuf mois (reprise de bail) et une Spark EV pour une période de huit mois, dans l’attente de recevoir notre Bolt EV. Nous sommes également propriétaires d’une Chevrolet Volt 2012 depuis juillet 2013.
Présentation générale
Avec sa batterie de 60 kWh, la Chevrolet Bolt EV est le premier véhicule « abordable » à offrir une autonomie « de plus de 320 kilomètres sur une seule charge ». En considérant l’effet de la subvention de 8 000 $ offert par le programme Roulez Électrique, la version LT se détaille à partir de 37 786 $ avant taxes alors que la version Premier se détaille à partir de 42 787 $ avant taxes. Fait à noter, la batterie de 60 kWh représenterait à elle seule un coût d’environ 11 700 $ (8 700 USD), soit environ 195 $ par kWh (145 USD) en nette diminution cependant par rapport au entre 600 USD et 1 200 USD que coûtaient les batteries en 2011 au moment de la commercialisation de la Chevrolet Volt et de la Nissan Leaf. La version Premier offre, en surplus de ce qu’offre la version LT, les fonctions suivantes (certaines fonctions sont cependant disponibles en option sur la version LT) :
Le record du monde du plus grand défilé de VÉs réalisé aux Pays Bas, leçons tirées de la première Nissan Leaf, Toyota développera la prochaine génération de batteries grâce à l'intelligence artificielle, et forte croissance des stations de recharge en Allemagne l'année dernière : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
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Le Circuit électrique, le plus important réseau de bornes de recharge pour véhicules électriques du Québec, souligne son cinquième anniversaire. Inauguré le 30 mars 2012, le réseau a pris beaucoup d’expansion depuis son lancement, passant d’une trentaine de bornes à la fin de 2012 à plus de 800 bornes aujourd’hui, dont 70 bornes rapides, réparties dans près de 200 municipalités du Québec.
Depuis le lancement du réseau, ce sont près de 225 000 recharges qui ont été effectuées aux bornes du Circuit électrique, et ce nombre augmente chaque jour. On compte aujourd’hui près de 14 000 véhicules électriques sur les routes du Québec et plus de 12 000 personnes sont membres du Circuit électrique, soit plus de 87 % des électromobilistes.
Les membres du Circuit électrique ont parcouru à ce jour près de 10 900 000 km avec l’énergie fournie par les bornes du réseau. C’est l’équivalent de 755 000 litres d’essence économisés et de plus de 1 800 tonnes d’émissions de CO2 évitées. En utilisant de l’énergie propre produite ici plutôt que de l’essence importée, un véhicule électrique qui circule sur nos routes permet d’améliorer la qualité de l’environnement tout en contribuant à améliorer la balance commerciale du Québec.
« Nous sommes extrêmement fiers du travail qui a été accompli grâce au soutien des partenaires du Circuit électrique, qui croient à l’électrification des transports et qui investissent dans le réseau de bornes de recharge. Le Circuit électrique est aujourd’hui reconnu tant au Québec qu’ailleurs au Canada et en Amérique du Nord comme étant un réseau fiable et présent dans l’ensemble des régions du Québec », a mentionné France Lampron, directrice – Électrification des transports d’Hydro-Québec.
Encore plus de bornes rapides en 2017 En raison de l’achalandage à certains sites de recharge et de l’arrivée de véhicules tout électriques ayant une autonomie de plus de 300 km, le Circuit électrique compte poursuivre l’expansion de son réseau de recharge rapide le long des principaux corridors routiers et dans les grands centres urbains. À propos du Circuit électrique Le Circuit électrique est le plus important réseau de recharge public du Québec. Il demeure une initiative majeure dans le déploiement de l’infrastructure nécessaire pour soutenir l’arrivée des véhicules électriques rechargeables au Québec. Le réseau compte plus de 800 bornes de recharge publiques, dont 70 bornes rapides, déployées dans seize régions du Québec. Depuis son inauguration en mars 2012, 185 partenaires privés et institutionnels se sont joints au Circuit électrique et le réseau compte maintenant plus de 12 000 membres. Les utilisateurs du Circuit électrique bénéficient d’un service d’assistance téléphonique 24 heures sur 24 exploité et géré par CAA-Québec ainsi que d’un service de repérage de bornes. Le site Web lecircuitelectrique.com et l’application mobile Circuit électrique pour iOS et Android sont mis à jour au fur et à mesure que de nouvelles bornes sont déployées. La carte de membre du Circuit électrique permet également aux utilisateurs d’accéder aux 150 bornes de recharge du réseau FLO. Source : Louis-Olivier Batty / Le Circuit Électrique Contribution : Martin Archambault
Tesla a encouragé l'utilisation des mises à jour logicielles, et surtout les mises à jour OTA (over-the-air), comme jamais auparavant dans l'industrie automobile. D'autres constructeurs automobiles ont été freiné par leur dépendance à des concessionnaires tiers qui veulent conserver leur monopole sur l'entretien des véhicules, qui est menacé par ces mises à jour logicielles OTA.
Il sera plus difficile d'arrêter ce progrès dans un avenir proche, en particulier avec l'avènement de la conduite autonome. La liste complète des nouvelles fonctionnalités Tesla activées par des mises à jour logicielles nous donne d’ailleurs un bon aperçu de ce qui s’en vient. Au-delà de la question des concessionnaires, la capacité de modifier à distance le code dans un véhicule a souvent été considéré comme trop risqué dans le monde automobile et une approche davantage laissée à l'industrie des communications mobiles. Tesla a activé de nouvelles fonctionnalités grâce à des mises à jour logicielles OTA depuis l’arrivée de la Model S en 2012. Au début, ce n'était que pour les changements d'interface utilisateur et les fonctionnalités de l'expérience client, mais les choses sont devenues plus intéressantes quand le tout s’est étendu au logiciel de conduite autonome Autopilot. Afin de rendre les choses plus sécurisées lors de l'introduction du premier Autopilot (7.0) en 2015, Tesla s'est associée à Red Bend Software, dont la technologie Smart Delta permet de remplacer le code seulement au lieu du fichier entier. L’ajout d'importantes capacités grâce aux mises à jour OTA est un avantage majeur pour Tesla depuis. Plusieurs autres constructeurs automobiles ont depuis annoncé qu'ils feront des mises à jour OTA une partie plus importante de leur expérience client. Par exemple, Nissan a fait équipe avec Microsoft l'année dernière pour offrir le service dans ses véhicules d'ici la fin de la décennie. Voici quelques exemples des notes de Tesla quand elle lance une nouvelle mise à jour:
En ce qui concerne les mises à jour réalisées au fur et à mesure, les propriétaires sont souvent déçus, car elles n'incluent peut-être pas la fonctionnalité qu'ils espéraient, mais cela est différent quand on s’arrête à la liste complète des mises à jour présentées par Tesla.
Un utilisateur de Reddit a mis en place une liste complète pour aider à visualiser la quantité de fonctionnalités ajoutées par Tesla grâce à des mises à jour logicielles destinées au pré-Autopilot et à la première génération de voitures dotée du pilote automatique. Les fonctionnalités ajoutées varient de changements simples de l’interface utilisateur, comme l'ajout d'un bouton, aux mises à jour largement diffusées au système Autopilot Tesla. Pour consulter la liste complète disponible dans l’article original publié sur Electrek, c’est ici. Source : Electrek Contribution : Peggy Bédard
Décidément, le sport automobile électrique prend de l'ampleur et c'est tant mieux pour les amateurs, les électromobilistes et pour le public qui constate maintenant que ces voitures sont performantes et excitantes!
Après la FIA Formule E et ses monoplaces électriques, après la spectaculaire course du Dakar 2017 en camion électrique par Acciona, après les courses de motos électriques au Man TT, des courses de dragster électrique, et suite à l'annonce d'un championnat de Gran Turismo électrique Electric GT utilisant des Tesla Model S P100D, cette annonce est quand même surprenante! La série E/Racing débutera en fin d'année en Amérique du Nord, avec des courses de rallycross mettant en piste des voitures 100% électriques. La nouvelle série sera lancée par la société Speedleague, également promoteur du Global Rallycross Championship américain depuis plusieurs saisons, et les voitures de rallycross électriques seront fournies par l'entreprise autrichienne STARD. La structure dirigée par l'ancien pilote de rallye Manfred Stohl avait révélé en fin d'année dernière un concept de voiture de rallycross 100% électrique, la HIPER MK1, disposant d'une transmission intégrale, d'un moteur développant 500 kW (670 chevaux) et d'un système de push-to-pass. [voir la vidéo ci-dessous] La HIPER MK1 avait effectué une première sortie avec Manfred Stohl au volant, à l'occasion de l'Austrian Race of Champions, où elle s'était montrée à son aise face à des voitures de rallycross à moteur thermique.
Le championnat E/Racing devrait se disputer sur cinq manches dans des villes nord-américaines, la première épreuve devant se disputer le 31 octobre à Las Vegas. Les autres étapes n'ont pas encore été communiquées, mais les villes de New York et Los Angeles sont sur les rangs pour accueillir une manche.
"Au-delà des évidents bénéfices en termes d'environnement et de technologie, il est évident que, lorsque l'on parle de rallycross, les voitures de course électriques nous offriront une plateforme encore plus compétitive", a déclaré Brian Gale, le directeur de Speedleague. "Depuis quelques années, nous pensons que la technologie électrique constitue le futur du sport automobile, ouvrant un grand nombre de nouvelles opportunités", commente Manfred Stohl, le directeur de SARD, qui avait par ailleurs présenté il y a quelques mois une Kia Cee'd de réglementation TCR. "Le succès de la Formule E et l'intérêt suscité par notre voiture électrique de rallycross, la HIPER MK1, le prouvent. De la compétition de rallycross et des voitures de course électriques, voilà qui semble une combinaison parfaite". Audi démontre de l'intérêt à y participer. Ça promet! Source: Motor1.com Contributeur: Simon-Pierre Rioux |
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