Toyota pourrait enfin commencer à produire des voitures électriques en masse grâce à la Chine, les 12 voitures les plus vertes sur les routes cette année, la GE3 de GAC Motor ne coûtera que de 22 200 à 25 600 $ US en Chine, voici comment les voitures électriques peuvent produire un couple maximal instantané, et un million de voitures électriques sont attendues sur les routes britanniques d'ici 2022 : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
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Notre membre Denis Perron a conçu deux outils qui pourraient vous être fort utiles pour vos déplacements en véhicule électrique.
Répertoire des bornes de recharge - 2017 ( 7,99 $ ) Il consiste en un livre électronique qui ne nécessite pas de connexion internet pour fonctionner. Il doit être téléchargé sur un appareil Android (Play Livres) ou Apple (iBooks Store). Il peut aussi être installé sur un PC ou un Mac. Notez qu’une fois acheté pour Android, il pourra être installé sur un PC qui sera sur le même compte Google. Même principe pour l’achat sur appareil Apple qui pourra être installé sur iPhone, iPad et Mac qui seront tous sur le même compte. Ce livre numérique est mis à jour régulièrement sans frais pour toute l’année. Les commerces qui sont à distance de marche des bornes ainsi que d’autres informations pertinentes y sont indiqués. C’est donc un outil fort utile pour bien planifier ses déplacements. Il inclut le Québec, le Nouveau-Brunswick, l’Île-du-Prince-Édouard et le Vermont.
NDLR : Il est possible d’offrir un livre numérique en cadeau
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
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Trois voitures électriques aux couleurs de Jean Coutu ont commencé à circuler dans la région de Chateauguay le lundi 17 juillet.
Il s’agit de Nissan Leaf acquises par les propriétaires de cinq pharmacies ayant pignon sur rues à Châteauguay, Mercier et Beauharnois, Jacques et Line Thibault et leurs associés. Une grande première québécoise pour la bannière.
«Des véhicules électriques pour faire la livraison, c’est nouveau. C’est une première dans l’ensemble des Jean Coutu du Québec», affirme Pierre Pouliot, administrateur pour les Jean Coutu de Châteauguay et Mercier. Le virage s’est amorcé en février. Les frais de livraisons effectuées par ses sous-contractants avec leurs propres véhicules ont alors été évalués. À la suite de l’exercice, M. Pouliot a proposé à ses patrons d’acquérir leurs propres véhicules. Une formule qui offrirait une visibilité à Jean Coutu puisque les voitures lui appartenant seraient lettrées, observe Pierre-Aimé Slevan, administrateur/service à la clientèle. Amortis sur cinq ans Les propriétaires ont donné le feu vert à une comparaison des coûts de revient de véhicules à essence et électrique. «Nous avons demandé des soumissions et nous avons conclu que la voiture électrique était amortissable sur une période de cinq ans au même titre qu’un véhicule à essence», révèle Pierre Pouliot. Des avantages non monétaires ont aussi pesé du côté positif. «On fait de la livraison tout en étant écologique et écoresponsable», se réjouit l’administrateur. Son collègue précise que les établissements avaient déjà entrepris un tournant écologique, notamment en pratiquant la récupération et le recyclage. «Avec les voitures, on est une coche au-dessus», estime Pierre-Aimé Slevan. L’enjeu de l’autonomie L’autonomie constituait un enjeu. Pendant trois mois, le kilométrage des livreurs a été mesuré pour déterminer si la voiture électrique offrait une portée suffisante. L’exercice a été concluant. «En moyenne, il s’est avéré que les livreurs faisaient entre 125 et 130 km par jour. La Nissan Leaf peut parcourir 174 km avec une pleine charge», laisse entendre M. Pouliot Source : Le Soleil de Chateauguay Contribution : Martin Archambault
Cette semaine, pour vous garder au fait des actualités du monde du véhicule électrique, les bénévoles de l'AVÉQ ont mis en ligne 29 articles.
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Contribution : Naïma Hassert
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Les entreprises Libner et Dachser ont créé le BIL, un petit véhicule électrique autonome relié à un camion porteur, qui achemine à sa place les livraisons en centre-ville: écologique, silencieux, rapide et moins pénible pour le livreur.
La « solution du dernier kilomètre ». C'est ce que proposent l'entreprise allemande Dachser (prestataire international de solutions de transport et de logistique) et l'entreprise française Libner (spécialiste de la carrosserie industrielle). Face aux enjeux de la livraison urbaine, compliquée par les restrictions d'accès au centre-ville mises en place par les mairies, les considérations écologiques, les problèmes de nuisances sonores pour les riverains, les deux partenaires ont mis au point un prototype de livraison innovant, dénommé le « BIL » (Base Intelligente de Logistique). Frédéric Jurado, le directeur Network Dachser France, Franck Potron, le directeur commercial de Libner, et François Joseph Libner, le fils de Joseph Libner et dirigeant du groupe Libner, ont présenté dernièrement leur innovation, à Paris 14ème. Le dispositif combine deux véhicules en un : un camion porteur de 19 tonnes emporte en son sein un petit véhicule électrique, de 2.43 mètres de long pour 1.73 mètres de large. Le livreur gare le camion à proximité de la zone à livrer. Il se déplace ensuite grâce au seul petit véhicule, le BIL, vers les points de livraison. Cela évite la présence de camions dans le centre-ville, et également les sauts de puce d'un point à un autre, parfois très rapprochés. Le BIL peut rouler sur le trottoir, accéder aux endroits où l'accessibilité est restreinte, voire impossible, comme par exemples les sous-sols, les parkings, les rues étroites… « C'est un mode de livraison en marguerite » image Frédéric Jurado. « Le livreur part d'un point pour aller aux destinations et il revient toujours au même endroit ».
Une journée type se déroulerait comme suit : la batterie du BIL est chargée chaque matin à l'agence Dachser à Pantin (93). Il est ensuite chargé avec des palettes (de 8 à 12 par livraison, cela dépend de leur taille). Il peut supporter jusqu'à sept tonnes de charges par voyage et bénéficie d'une autonomie de 120 kilomètres. Il peut se recharger sur sa base, le véhicule porteur, en cas de besoin.
Frédéric Jurado était confiant sur l'avenir du projet : « nous sommes les seules sociétés pouvant répondre à la problématique de la livraison en centre-ville. Il n'y a pas d'autres solutions. Nous offrons trois solutions d'avenir, en termes d'écologie, de nuisances sonores, de qualité client ». Totalement électrique, le BIL permettrait de réduire les émissions de CO2 en centre-ville et d'être en totale harmonie avec les règles environnementales. Comme seul celui-ci se déplacerait en ville, finis les bruits de moteur en marche des véhicules en stationnement et tous les autres désagréments sonores. L'idée du BIL est née en 2014, sur idée de Joseph Libner, le fondateur de l'entreprise en 1965. Une cellule de réflexion s'est ensuite réunie régulièrement pour donner vie à ce projet. La phase d'expérimentation réelle a débuté le 18 avril dernier, dans le 14ème arrondissement de Paris. La production des véhicules devrait débuter en septembre prochain. Source: Affiches Parisiennes Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Dans le cadre de la poursuite de l’électrification de son réseau, le Réseau de transport de Longueuil (RTL) procédera d’ici la fin de l’été à un appel d’offres pour choisir une entreprise en mesure de lui fournir 5 autobus 100 % électriques de petite taille, une première au Québec.
« Ces véhicules offriront une alternative de desserte pour l’agglomération de Longueuil. À titre d’exemple, ils pourront être utilisés dans des secteurs moins denses, ou en dehors des périodes de fort achalandage. Ils contribueront aussi à réduire l’émission de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre », a déclaré madame Colette Éthier, présidente du conseil d’administration du RTL, qui, dès son entrée en poste en 2013, s’était engagée à prendre le virage électrique.
Le RTL souhaite obtenir à terme 5 autobus électriques de 30 pieds. L’acquisition du premier véhicule est rendue possible par un financement gouvernemental, dont 50 % par le gouvernement fédéral, 40 % par le gouvernement provincial et 10 % par le RTL. « Ce projet pilote vise à nous assurer de la maîtrise des technologies de recharge, de la fiabilité d’utilisation, de son intégration dans les quartiers et des besoins d’aménagement dans nos garages », a précisé Mme Éthier. Par ailleurs, la semaine dernière, le RTL a annoncé son intention de procéder à l’acquisition de nouveaux véhicules hybrides climatisés pour améliorer le confort de sa clientèle. En 2020, le RTL prévoit disposer d’une flotte d’environ 200 autobus hybrides, soit 40 % de son parc total d’autobus. Utilisés par le RTL depuis 2010, les autobus hybrides font partie de la stratégie de réduction de l’empreinte du réseau sur l’environnement. Source : Réseau de transport de Longueuil Contribution : Martin Archambault
Les premiers camions de livraison totalement électriques fabriqués par Nordresa à Laval seront bientôt sur nos routes, avec une vingtaine d'unités produit cette année, et jusqu'à 800 en 2018 si la demande est présente.
Comme Renault, Mercedes et Tesla, l’objectif avoué de M. Castonguay est de construire un jour ses propres camions de A à Z. Mais pour le moment, son équipe utilise le châssis de véhicules existants, le vide de son moteur et y installe des batteries d'un manufacturier coréen et le système de propulsion qu’elle a développé. « La moitié des véhicules qui circulent sur les routes de Montréal en semaine sont des commerciaux et il n’y avait pas d’offre électrique pour eux. On vient combler un vide », indique M. Castonguay en glissant qu’il lancera en janvier deux autres plateformes de véhicules de classe 4 et 6. Vous pouvez lire l'article complet du Journal de Montréal ici [lien] Quelques erreurs dans l'article du JDM
Contributeur; Simon-Pierre Rioux
GM a confirmé que son usine d'Orion, où la Chevrolet Bolt est construite, sera mise en arrêt prolongé dans le cadre de l'effort plus large du constructeur automobile pour réduire les stocks.
Celui-ci lance des messages contradictoires sur son programme de véhicules tout-électriques. Les ventes du premier véhicule tout-électrique à grande autonomie de GM ont été lentes à augmenter depuis son lancement en décembre 2016. Il a atteint un nouveau sommet de 1 642 unités aux États-Unis le mois dernier et a porté le total de Bolt vendues aux États-Unis à 7 592 unités. Au début, GM a déclaré que cela était dû à des contraintes de production, mais ce n'est certainement plus le cas, car son inventaire grossit et il ferme des usines. Le constructeur automobile affirme que la mise en arrêt de l'usine d'Orion est « dûe uniquement au fléchissement des ventes de la Sonic », qui est également produite en usine, mais GM a également confirmé à Reuters que les stocks de la Bolt sont passés de 104 jours à 111 jours le mois dernier, ce qui est significativement plus élevé que les 70 jours que l'entreprise vise. C'est pourquoi elle ajoute 3 semaines de plus à son arrêt d'usine estival habituel afin de revenir à des niveaux d'inventaire plus raisonnables. En outre, le Chevroley Bolt devrait passer « à l'échelle nationale » le mois prochain, ce qui, à première vue, aurait pu résoudre le problème de l'inventaire, mais les nouveaux marchés sont modestes comparés à ceux où la Bolt est déjà disponible. Conformément au plan de distribution de GM, la Bolt est officiellement chez des concessionnaires en Californie, en Oregon, au Massachusetts, au Maryland et en Virginie depuis le début de l'année. New York, New Jersey et Washington ont été ajoutés tout au long du premier trimestre et les livraisons au Connecticut, au Maine, au Rhode Island, au Vermont, au New Hampshire et au Colorado ont commencé en mai. La bonne nouvelle est que les stocks croissants ont entraîné des réductions pour les acheteurs. Toutefois, les stocks ne soient pas exactement bien distribués. Il est toujours difficile de mettre la main sur certains marchés, alors que dans d'autres marchés, comme la Californie, il y a des stocks décents et certains clients ont réussi à ne payer que 25 000 $ après les incitatifs en raison des réductions.
Source : Electrek
Contribution : Naïma Hassert
Le « Master Plan » du chef de la direction de Tesla, Elon Musk, comprend une composante de covoiturage autonome qui pourrait sauver le marché automobile actuel d'un déclin imminent.
Tony Hughes, directeur général et chercheur chez Moody's Analytics, a récemment expliqué ce concept à TheStreet. Hughes croit que ce ne sont pas des voitures autonomes qui décideront du destin du marché automobile tel que nous le connaissons, mais plutôt les services de covoiturage. Mais le réseau Tesla d'Elon Musk pourrait plutôt faire le contraire des sociétés actuelles comme Uber et Lyft.
Hughes a partagé une note de recherche dans laquelle il présente la prédiction audacieuse de son équipe, qui est que si les entreprises de covoiturage deviennent vraiment énormes, elles chercheront à acheter des constructeurs de véhicules et à diriger les efforts de recherche et de développement dans le sens de la réduction des coûts et de la fiabilité.
En effet, si les véhicules sont tous destinés au covoiturage, il n'y a pas de place pour l'investissement, pour les véhicules de niche. La flotte de taxi, par exemple, est très homogène. Si le covoiturage représente 100% de tous les déplacements et qu'il n'y a aucune véhicule privé, cette tendance serait très mauvaise pour les constructeurs automobiles. Cela signifie que leur produit deviendrait banalisé. En règle générale, les entreprises veulent que leur produit reste spécial. Si quelque chose devient un produit de base, cela signifie que les fabricants perdent la capacité de facturer des prix excessifs... C'est moins lucratif.
Le plan de Musk n'autorisera pas les propriétaires de Tesla à utiliser leurs voitures autonomes dans d'autres réseaux de covoiturage. Au lieu de cela, ils seront propriétaires du véhicule, puis auront la possibilité de choisir d'utiliser une application mobile pour la partager. Les propriétaires pourront gagner de l'argent, être encore considérés comme propriétaires, et ouvrir un vaste réseau de covoiturage autonome. Tesla prévoit également exploiter sa propre flotte, en plus du réseau supporté par l'utilisateur. Cela pourrait aider à répondre à une demande accrue dans les zones urbaines. Hughes a continué en affirmant que cela ouvre la possibilité que Tesla ne nuise pas à l'industrie. Selon lui, la plus grande menace est l'homogénéité. Hughes espère que d'autres constructeurs automobiles de luxe se joindront à des entreprises de covoiturage, créeront des plans de mobilité similaires pour l'avenir, et continueront à compétitionner de manière saine. ![]()
Hey les fans de F-E! Vous avez vos billets, et vous désirez tout savoir sur les équipes techniques derrière les pilotes? On a un concours pour vous!
Si vous avez des billets pour le Montréal ePrix, vous pourriez gagner une visite VIP du garage de Dragon Racing !!! Pour participer, dites-nous dans les commentaires votre moment préféré de la présente saison, et à quel ePrix il a eu lieu. Nous allons tirer 1 gagnant pour chaque jour de course, et vous pouvez inviter un ami! Si vous n'avez que des billets pour un jour précis, veuillez nous donner votre préférence (samedi ou dimanche) Bonne chance!! Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Avionics est l'auteur du vélo électrique rétro le plus beau du monde, le GT Electric Championships met une Model S dans la course, la Gigafactory 1 de Tesla au cours de la dernière année vue de l'espace, la production de Chevrolet Bolt pourrait doubler après l'arrêt prolongé de l'usine, et la Tesla Model 3 contre le monde en infographie : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
L'industrie automobile essaie de mettre un frein au déploiement des véhicules électriques.
Pratiquement tous les constructeurs automobiles, à l'exception de Tesla, bien sûr, ont envoyé une lettre au gouvernement chinois pour tenter de le faire baisser considérablement les objectifs de son mandat de véhicules à zéro émission.
La Chine, le plus grand marché automobile du monde, a un mandat agressif de véhicules à émission zéro qui obligerait les constructeurs automobiles à ce que ce type de véhicule représente 8% des ventes de voitures neuves dès 2018 et jusqu'à 12 % d'ici 2020.
À présent, le magazine allemand WirtschaftsWoche (via Auto News) rapporte que l'American Automotive Policy Council (AAPC), qui représente Chrysler / Fiat, Ford et GM, l'European Automobile Manufacturers Association (ACEA), qui représente tous les grands constructeurs européens, la Japan Automobile Manufacturers Association (JAMA) et la Korea Automobile Manufacturers Association (KAMA), ont envoyé une lettre conjointe au ministre chinois de l'Industrie et de la Technologie de l'information pour demander plusieurs changements importants au mandat. « Parce que nous avons des préoccupations communes concernant les règles de véhicules électriques proposées, nous nous sommes unis pour proposer, avec le plus grand respect, six modifications recommandées qui répondent à ces préoccupations tout en respectant les objectifs de ces règles et d'autres politiques connexes », a déclaré la lettre. Les « six modifications recommandées » comprennent de ralentir le déploiement du mandat de 1 à 3 ans, de reconsidérer le système de pénalités si les constructeurs automobiles ne respectent pas le quota, d'avoir des crédits non seulement pour les voitures tout-électriques, mais aussi pour les voitures hybrides enfichables et, en gros, de rendre l'ensemble du mandat moins ambitieux afin qu'ils n'aient pas à produire autant de voitures électriques. Ce n'est pas la première fois que l'industrie automobile se regroupe pour affaiblir le déploiement des voitures électriques. Pratiquement la même situation s'est produite dans le but de bloquer la nouvelle norme de consommation d'essence de l'EPA aux États-Unis. Ce qui est souvent exclu de cette conversation, c'est que l'industrie automobile n'est pas la seule en jeu ici. Fondamentalement, ces constructeurs demandent au gouvernement chinois de leur laisser vendre leurs véhicules polluants dans leur pays pendant une période plus longue sans pénalité. La Chine a un problème important de pollution de l'air qui est censé être à l'origine de plus de 4 000 morts par jour. Cette initiative fait partie de leur campagne pour réduire la pollution atmosphérique dans les villes et son impact sur la santé de sa population. Apparemment, cela se passe trop vite pour ces constructeurs automobiles. Bien que presque tous aient admis à un moment donné que les voitures électriques sont l'avenir de l'industrie, les actions qu'ils prennent dans leurs groupes d'intérêt spéciaux envoient un message différent.
Source : Electrek
Contribution : Naïma Hassert
Arleco est fier de vous dévoiler le grand gagnant de la promo printemps 2017
Une paire de billets au ePrix de Montréal du week-end prochain a été tiré au sort parmi nos clients membre de l'AVEQ et c'est Dom Micheletti avec sa Leaf qui ira aux courses!!!
On tient à vous remercier pour votre participation et votre fidélité! Bonnes courses!! Source : Arleco Contribution : Martin Archambault NDLR : ARLECO est l'un de nos partenaires qui soutiennent l'électromobilité en offrant des rabais à nos membre OR ! Consultez la liste de nos partenaires.
Mon utilisation personnelle de l'électricité est d'environ 1300 $ par année. Ceci chauffe mon condo et fait fonctionner tous les appareils à l'intérieur. Un montant de 165 $ par rapport au 1300 $ n'est toujours pas beaucoup. L'histoire se complique quand on regarde la capacité électrique requise.
Suite à l'achat groupé de l'an passé qui visait la Kia Soul EV 2016 (réalisé par Roch Lanthier et Richard Trudeau et le concessionnaire Kia Boisvert), ChargeHub avait pris le relais jusqu'à épuisement des stocks du modèle 2016.
Le programme est de retour avec les rabais Kia pour tous les modèles Kia rechargeables. (Soul EV et Optima PHEV)
Le tout devrait être opérationnel d'ici la fin de la semaine. 1- Le programme Kia-ChargeHub pour l'année modèle 2017 est applicable pour tous les modèles Kia rechargeables. (Soul EV et Optima PHEV) 2- Le programme de parrainage est de retour et il est de 100$ pour le parrain et 100$ pour l'acquéreur du véhicule. Toujours aucune limite sur le nombre de parrainages possibles. 3- Tous les membres ChargeHub sont éligibles à 1000$ de rabais sur leur véhicule au-delà de tout rabais affiché de Kia Canada et ce peu importe le mode d'achat (cash, financement, location) 4- Tous les membres ChargeHub au Québec qui prennent avantage de cette offre recevront un an d'abonnement AVEQ OR (payé par ChargeHub) Note importante: Il y a beaucoup de nouveaux concessionnaires EV Kia au Québec. Leur nombre à plus que doublé depuis le programme 2016. C'est une bonne nouvelle car cela veut dire qu'il sera beaucoup plus facile de trouver un concessionnaire KIA EV près de chez-soi. Soyez attentif pour l'annonce officielle. Source : Richard Trudeau Contribution : Martin Archambault
Mexicana Motores Limpios S.A.P.I. a lancé la première voiture électrique produite à 100% à l'échelle nationale. Le coupé urbain à deux places sera présenté au public d'ici la fin de 2017, a déclaré Jorge Martinez, PDG de l'entreprise.
La voiture peut être chargée à la maison avec un compteur CFE installé séparément, mais le véhicule est compatible avec les systèmes de charge existants d'autres constructeurs de véhicules et a une garantie de batterie de cinq ans.
La société a l'intention de produire 200 unités pour l'année prochaine et 300 pour 2019. Martinez a déclaré qu'au cours des deux prochaines années, Mexicana Motores Limpios pourrait lancer quatre modèles et commencer à exporter lorsqu'elle fabriquera 2 000 ou 3 000 unités par année avec les incitatifs gouvernementaux nécessaires. La Zacua mexicaine sera commercialisée au prix de départ de 460 000 pesos, soit environ 33 000 dollars canadiens.
Source : Riviera Maya News
Contribution : Naïma Hassert ![]()
Alimentation Couche-Tard fut à nouveau approché par des investisseurs lors d'une récente conférence téléphonique pour connaitre la position de la compagnie par rapport à l'électrification des transports au Québec. La réponse: On teste les bornes rapides à nos stations Statoil en Norvège puisque la demande y est, mais au Québec on s'attend à ce que les véhicules moins énergivores continuent à dominer les VÉ pour les prochains 25 ans.
Présent sur plus de 300 sites en Norvège - la capitale mondiale du véhicule électrique par habitant -, Alimentation Couche-Tard s'affaire à tester de nouvelles initiatives dans ce marché que l'entreprise qualifie de «laboratoire». «C'est exploratoire à ce stade-ci (...) mais nous sommes très engagés afin d'identifier les solutions les plus efficaces», avait expliqué le président et chef de la direction de Couche-Tard, Brian Hannasch, au cours d'une récente conférence téléphonique. L'essence est responsable de 40% des profits de la compagnie. Selon l'association norvégienne des voitures électriques, de plus en plus de compagnies ont les yeux rivés sur le pays européen pour comprendre comment s'adapter. "Elles de réveillent, affirme sa secrétaire généale, Christina Bu, en entrevue téléphonique depuis Oslo. Si les stations-service ne s'adaptent pas, d'autres joueurs vont s'emparer de ce marché." Au Québec, nous avons déjà des signes que ce virage commence. Groupe Harnois Pétrolier a débuté l'installation de 10 nouvelles bornes de recharge à ses stations Esso, dont la moitié seront des bornes de recharge rapides. La première a d'ailleurs été inaugurée il y a quelques semaines à Ste-Adèle. «Des établissements de restauration se trouvent sur les sites, explique Claudine Harnois, vice-présidente de l'entreprise. Les électromobilistes s'arrêtent une dizaine de minutes et peuvent casser la croûte ou aller dans le dépanneur.»
Pour le président de l'Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ), Simon-Pierre Rioux, le nombre de ces véhicules devrait grimper de façon plus rapide au cours de la prochaine décennie, notamment en raison de l'arrivée des batteries de nouvelles générations, ce qui devrait faire fléchir les prix.
Ainsi, à son avis, les exploitants de stations-service ont tout intérêt à réfléchir à leur modèle d'affaires pour répondre aux besoins des électromobilistes qui devront s'arrêter au moins 10 minutes pour recharger leur véhicule. «Les entreprises ont tout à gagner, dit-il. Elles se retrouvent avec un consommateur captif. Il va aller s'acheter un café ou peut-être même faire des courses.» Bien que les propriétaires de stations-service «traînent légèrement de la patte» en ce qui a trait à leur virage vers l'électrification, M. Rioux estime que ceux-ci se «rendent compte» qu'il y a un retard à combler. Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Lire les articles complets de Julien Arsenault (La Presse Canadienne) ici:
Juillet 2017: http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/503900/vehicules-electriques-les-exploitants-de-stations-service-reflechissent Novembre 2016: http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201611/22/01-5043915-couche-tard-continue-de-miser-sur-le-carburant.php
Chrysler ne vantera la prise électrique de sa mini-fourgonnette qu'en Californie, Volvo Cars et Geely approfondiront leur partenariat, GM compare favorablement sa Chevrolet Bolt à une technologie vieille de 45 ans, et BMW travaillerait sur une i3 avec une autonomie de 320 km pour la fin de 2018 : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Après Paris, Berlin, New York et d’autres grandes villes du monde, la Roborace s’arrêtera à Montréal dans le cadre de l’Hydro-Québec Montréal ePrix, les 29 et 30 juillet prochains. Deux voitures de course autonomes, baptisées Robocar, offriront un spectacle unique au monde sur le circuit du centre-ville.
Pendant la course, les bolides ne requièrent aucune intervention humaine : c’est l’intelligence artificielle qui les fait rouler. Équipés de capteurs et de caméras, ces véhicules livrent une performance des plus impressionnantes en s’adaptant en temps réel aux obstacles du parcours. Quatre moteurs électriques, chacun d’une puissance de 300 kW, propulsent les voitures à une vitesse pouvant atteindre 320 km/h.
Au-delà de la course, cette voiture aux allures futuristes, une véritable innovation, permettra au public de constater les plus récentes avancées technologiques dans le secteur du transport. En effet, en plus de servir de plateforme de démonstration, la Roborace contribuera à changer les perceptions que la population a des véhicules autonomes, une véritable révolution pour la mobilité du futur. Encore une fois, le championnat de Formule E sert de formidable vitrine pour les véhicules de demain. Et l’Hydro-Québec Montréal ePrix montrera bien que l’avenir du transport est électrique, connecté… et autonome! Pour en savoir plus sur la Roborace, cliquez ici.
Source : Montréal c'est électrique
Contribution : Martin Archambault De nouvelles électrodes pourraient réduire drastiquement le temps de chargement des batteries20/7/2017
Des chercheurs de l'École d'ingénierie de l'Université Drexel affirment avoir créé un nouveau matériau bidimensionnel hautement conducteur appelé MXene qui permettrait de recharger les batteries plus rapidement. Dirigée par le professeur Yuri Gogotsi, l'équipe affirme que les électrodes fabriquées à partir de MXene permettront aux batteries ordinaires de charger aussi rapidement que les supercondensateurs mais avec le potentiel de stockage d'énergie d'une batterie conventionnelle.
Comme l'explique Gogotsi, son article réfute le dogme largement accepté selon lequel le stockage chimique d'énergie utilisé dans les piles et les pseudocondensateurs est toujours beaucoup plus lent que le stockage physique utilisé dans les condensateurs électriques à double couche, également appelés supercondensateurs. Son équipe a démontré que de fines électrodes MXene se rechargent en dizaines de millisecondes grâce à la conductivité électronique très élevée de MXene. Selon le professeur, cela ouvre la voie au développement de périphériques de stockage d'énergie ultra-rapides qui peuvent être chargés et déchargés en quelques secondes, mais stockent beaucoup plus d'énergie que les supercondensateurs conventionnels.
Expliqué simplement, le MXene a plus de place pour stocker des électrons que les électrodes utilisées aujourd'hui. Plus de stockage d'électrons est égal à plus d'énergie électrique stockée et transmise. L'équipe a récemment publié ses travaux dans la revue Nature Energy. En travaillant avec les professeurs Patrice Simon et Zifeng Lin à l'Université Paul Sabatier en France, l'équipe a développé une électrode d'hydrogel avec une plus grande performance volumétrique, une mesure importante de la capacité de la batterie à stocker de l'énergie. « Dans les batteries traditionnelles et les supercondensateurs, les ions doivent franchir un chemin tortueux vers les ports de stockage d'énergie, ce qui ne ralentit pas tout, mais crée également une situation où très peu d'ions atteignent effectivement leur destination à des taux de charge rapides », explique Maria Lukatskaya, la principale auteure de l'article. L'architecture d'électrode idéale permettrait aux ions de se déplacer vers les ports via des autoroutes à plusieurs voies et à grande vitesse au lieu de prendre des routes à une seule voie. Notre conception d'électrode macro-poreuse atteint cet objectif, ce qui permet une charge rapide, soit de l'ordre de quelques secondes ou moins. » Le principal avantage des électrodes MXene est leur conductivité supérieure, qui est l'équivalent de celle de métaux tels que le cuivre et l'aluminium. MXene a été créée pour la première fois dans les laboratoires Drexel en 2011 et les chercheurs ont exploré leurs utilisations nombreuses et variées, du stockage d'énergie en passant par la protection contre les rayonnements électromagnétiques et la filtration de l'eau.. « Si nous commençons à utiliser des matériaux à faible dimension et électroniquement conducteurs comme électrodes de batterie, nous pouvons faire fonctionner les batteries beaucoup plus rapidement qu'aujourd'hui », a déclaré Gogotsi. « Éventuellement, la reconnaissance de ce fait nous mènera à des batteries de voitures, d'ordinateurs portables et de téléphones cellulaires capables de recharger à des vitesses beaucoup plus élevées. On parle ainsi de secondes ou de minutes plutôt que d'heures. » Henrik Fisker prend un chemin similaire. Il dit que sa plus récente voiture, la Fisker EMotion, utilisera un système propriétaire semblable à un supercondensateur qui permettra à la voiture d'avoir une autonomie de 645 km et un temps de recharge de 9 minutes. Attendre sans rien faire pendant que la voiture électrique recharge est peut-être l'un des plus grands freins à l'adoption des VÉs. Même Tesla, qui possède le plus grand réseau de charge de haute puissance au monde, exige que ses conducteurs attendent 30 minutes de plus pour recharger leurs batteries lors des voyages loin de leur domicile. Si quelqu'un pouvait réduire ce temps d'attente à quelques minutes, l'impact sur le marché de la voiture électrique serait énorme. Les mises en garde habituelles s'appliquent. Des chercheurs du monde entier travaillent sur des améliorations qui rendront les batteries de VÉs plus légères, à plus grande densité énergétique et moins coûteuses tout en réduisant les délais de chargement. Des percées dans la technologie de la batterie sont annoncées presque tous les jours. Mais sortir les nouvelles technologies hors du laboratoire est une entreprise qui n'est pas sans danger. Il y a plus de startups qui échouent qu'il y en a qui réussissent. Donc, pour le moment, cette annonce de Drexel doit être prise avec le proverbial grain de sel. Mais si la promesse du laboratoire Drexel devient réalité, ce serait la fin des véhicules à essence.
Le dernier décompte des ventes de véhicules en Chine indique que les véhicules électriques (VE) représentaient 2,7% des ventes en juin 2017. Il s’agit d’une progression très importante depuis décembre 2016 où les VE représentaient 1,45% des ventes de véhicules neufs. Cette progression se compare à celles observées en 2015 et 2016 où les ventes de VE avaient respectivement triplées (223% d’augmentation des ventes) et doublées (85%).
Dans les années à venir, le gouvernement chinois a l’intention d’établir un mandat de vente de véhicules à zéro émission que certains qualifient « d’agressif », lequel obligerait les constructeurs automobiles à ce que 8% de leurs ventes de voitures neuves soient constituées de véhicules à zéro émission en 2018 et que ce pourcentage augmente à 12 % d'ici 2020.
Face à ce mandat, à l’exception de Tesla, tous les constructeurs américains (AAPC), européens (ACEA), japonais (JAMA) et coréens (KAMA) ont demandé au gouvernement chinois par le truchement d’une lettre cosignée de ralentir sensiblement ces exigences et d’éliminer les pénalités prévues. En signant cette lettre, les constructeurs pourraient très bien avoir signé leur moment Kodak et suivre le chemin de cette compagnie qui dominait le secteur de la photographie avant de faire faillite suite à l’arrivée des caméras numériques. Pour atteindre un taux de pénétration de 8% en 2018, il faudrait pratiquement tripler l’an prochain les ventes de juin. Ce bon est certainement important, mais rappelons qu’il est équivalent à celui enregistré de 2014 à 2015. À l’inverse, pour 2020, l’exigence de 12% est pratiquement impossible à ne pas dépasser. En effet, en supposant que le taux de 8% serait atteint en 2018, il ne faudrait augmenter la production que de 50% en deux ans pour l’atteindre. Même le poussif marché Nord-Américain dépasse ce niveau d’augmentation. En 2020, le gouvernement aurait très bien pu poser des exigences de pénétration des VE se situant entre 18 et 24% des ventes s’il s’était basé sur le niveau d’augmentation historique pour imposer ses seuils. On peut donc dire de manière conservatrice que les exigences du gouvernement chinois amènent au maximum à conserver le taux d’augmentation moyen des ventes de VE observé ces dernières années et ce, jusqu’en 2020. De leur côté, les constructeurs automobiles traditionnels demandent de ralentir cette progression et de presque l’arrêter. Considérant les problèmes de pollution observés en Chine, particulièrement dans les villes, cette situation exigerait un compromis important de la part du gouvernement, lequel craint la rébellion populaire s’il n’arrive pas à améliorer la qualité de l’air. Notons également que la production de pétrole stagne en Chine et que l’augmentation fulgurante du nombre de véhicules personnels entraînera une augmentation massive des importations de pétrole si cette nouvelle flotte de véhicules se trouve à être alimentée par les hydrocarbures. Dans ce contexte, que les constructeurs traditionnels le veuillent ou non, la Chine est déjà dans un processus d’électrification rapide et il est pratiquement impensable d’arriver à l’arrêter. Comme la Chine est le plus grand marché du monde pour la vente de véhicules, si ces constructeurs se traînent les pieds, ils augmentent le risque de prendre du retard dans la transition technologique. Or, il est important de le rappeler, quelque part entre 2020 et 2025, il coûtera moins cher de produire un véhicule dans sa version électrique que dans sa version à essence. Nous connaissons tous la formidable capacité industrielle et manufacturière de la Chine qui, dans les années 90 et 2000, s’est mise à construire presque tous les objets de notre vie courante. Si la Chine prend une avance dans la fabrication des véhicules électriques, elle pourrait très bien exporter ces nouveaux produits fabriqués en masse et à des prix très compétitifs. Ça n’arrivera pas direz-vous? Volvo a récemment annoncé que son premier véhicule 100% électrique sera un utilitaire vendu entre 35 000 et 40 000$. Et ce VUS sera « made in China »! Au lieu de lutter contre le gouvernement chinois, les constructeurs devraient se battre pour être les premiers au fil d’arrivée. En faire plus que les autres, avoir un véhicule moins cher, plus performant, plus propre et qui respecte les normes de tous les pays du monde, voilà la voie à suivre pour augmenter la production, les profits et éviter son moment Kodak. Auteur : Sébastien Collard Porte-parole du groupe Recycle ta Caisse, lequel demande à la Caisse de dépôt et placement du Québec de sortir des énergies fossiles. Joignez-vous aux 10 000 Québécois qui ont dit à Michael Sabia : Sortons la Caisse du carbone.
Lucid Motors a découvert que construire une voiture électrique coûte cher, Tesla aura finalement accès aux incitatifs pour VÉs de la Corée du Sud d'environ 23 000 $ US, et la ville de Toyota utilisera des hybrides rechargeables pour équilibrer l'alimentation en électricité : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
À l'instar d'autres manufacturiers, Nissan introduira le mode de conduite à une seule pédale sur sa nouvelle mouture de Nissan Leaf, qui sera présentée en septembre prochain
Le mode e-pedal devrait transformer la façon de conduire, selon les ingénieurs de Nissan.
Il suffira de mettre la fonction à "ON" via un interrupteur du tableau de bord. Dès lors, la pédale d'accélération servira aussi à ralentir et freiner en fonction de la pression appliquée à cette dernière. Selon Nissan, le mode e-Pedal sera le premier mode du genre qui permettra non seulement de ralentir mais également immobiliser la voiture sans utiliser la pédale de frein. Les utilisateurs pourront combler 90% de leurs besoin en utilisant la pédale principale et le mode e-Pedal. Ceci simplifiera la conduite et contribuera au plaisir de la conduite du véhicule. Source : Nissan Contribution : Martin Archambault ![]()
General Motors Canada continue à se moquer des consommateurs québécois à l'aube de l'adoption d'une loi VZÉ, alors que la liste d'attente pour l'acquisition d'une Chevrolet Bolt dépasse 7 mois chez les concessionnaire de la province. Pendant ce temps, les surplus d'inventaire s'accumulent chez nos voisins du Sud.
Le responsable des relations intergouvernementales chez GM Canada, Phil Petsinis, explique qu'il est normal pour tous les nouveaux modèles, peu importe s'ils sont à l'essence ou électrique, d'avoir une période de rodage à l'usine et d'augmenter la production par la suite. Une autre contrainte pour la production de la Bolt serait la sous-traitance des batteries à LG Chem, dont l'usine du Michigan peut produire 30,000 batteries par année. 200 Bolt dans la cour d'un concessionnaire Selon le New York Times [lien], l'usine d'Orion au Michigan où est produit la Bolt et la Sonic sera fermée pendant plusieurs semaines à cause d'une baisse des ventes de la Sonic, résultant en un surplus d'inventaire de véhicules alors que les ventes de la sous-compacte de GM ont baissé de 38%. La Bolt possède un surplus d'inventaire de 111 jours. Paul Masse Chevrolet dans l'État du Rhode Island [pop: 1M] possèderait 200 Chevrolet Bolt en inventaire; nous en avons recensé 83 en date d'aujourd'hui. [lien] Ce déséquilibre au niveau de l'offre et de la demande démontre le besoin d'une loi VZÉ au Québec qui est beaucoup plus agressive que ce qui nous a été présenté dernièrement par le gouvernement. Source: NYTimes Contributeur: Simon-Pierre Rioux |
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