Ca y est ! Les activités de la section Montréal de l'AVEQ ont repris et les festivités ont été entamés avec une présence de l'équipe de bénévoles au salon Expo Yoga au palais des congrès de Montréal.
Aucun essai routier n'était prévu au programme. Une présence un peu 'exotique' dans un endroit dévolu au Zen , au bien être, et à la relaxation, mais qui finalement symbolise parfaitement l'état d'esprit de nos électromobilistes. au volant.
Inutile de vous dire que nous étions le seul kiosque avec une voiture en exposition... Les visiteurs, parfois surpris de voir une telle présence à ce salon, nous ont posés beaucoupde questions et ont obtenu des masses d'informations, et ils nous a valu démonter les mêmes mythes et rassurer de futurs acheteurs sur les mêmes craintes que dans nos autres évènements. Nous en avons profité pour sensibiliser les badauds aux problèmes de manque de bornes électriques au Québec et nous avons obtenu une bonne centaine de signatures supplémentaires pour la pétition. Finalement, nous avons eu la surprise de la présence de quelques personnalités locales à notre kiosque et avec qui nous avons pu nous entretenir briévement : Georges Laraque, Edith Cochrane et Emmanuel Bilodeau. Merci à Simon-Pierre, Louis Bernard, et aux bénévoles pour le succès de cette première activité. Si vous habitez la région de Montréal et nous souhaitez vous joindre à l'équipe de bénévoles lors d'évènements semblables (pour faire des essais routiers ou simplement répondre aux questions au kiosque) merci de vous faire connaitre à l'adresse suivant : [email protected]. On vous attend nombreux pour notre prochain évènement à Montréal : Le salon de la voiture électrique de Montréal les 20, 21 et 22 avril 2018 à la Place Bonaventure. Source : Didier Ernotte - Directeur régional AVÉQ Montréal Contribution : Martin Archambault
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Selon l'Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ), le gouvernement doit prendre les moyens pour atteindre son objectif de 100 000 voitures électriques d'ici 2020, et cela passe en priorité par l'ajout de 2000 bornes de recharge rapide dans l'ensemble de la province.
On en compte environ 140 actuellement, disséminée un peu partout à la faveur du programme Circuit électrique, financé en collaboration avec l’entreprise privée. Un programme qui a atteint ses limites selon l’AVEQ.
« C’est un modèle qui a aidé qui a aidé à démarrer, à mettre la roue en mouvement », estime Martin Archambault, porte-parole de l’organisme de promotion du transport électrique, « mais qui n’est pas du tout adapté au flot grandissant de véhicules électriques qu’on a sur nos routes et qui double chaque année. » D’où le lancement d’une pétition sur le site de l’Assemblée nationale et qui vise à convaincre le gouvernement de prendre le dossier en main et de financer l’installation de nouvelles bornes de recharge rapide. « C’est impossible ou à peu près de rentabiliser une borne de recharge rapide sur un horizon plus rapide que 30 ou 40 ans » estime Martin Archambault, qui rappelle que chaque borne coûte autour de 50 000 $. « Les entreprises qui en installent, comme St-Hubert, Métro, et quelques Villes, le font pour faire un statement vert, pour rendre service aux citoyens. » Utiliser le Fonds Vert Pour financer les installations, l’AVEQ propose d’utiliser l’argent du Fonds Vert du gouvernement du Québec, qui a amassé plus de trois milliards de dollars avec les taxes sur les carburants et les crédits carbone. « Le coût d’installation des 2000 bornes s’élève à 100 000 000 $. Ce n’est pas ça qui va affecter les réserves du Fonds Vert », ironise Martin Archambault. Appui de Sylvain Gaudreault Lui-même conducteur, depuis trois mois, d’une voiture électrique rechargeable, le député péquiste de Jonquière, Sylvain Gaudreault, appuie la requête de l’Association. Il croit aussi que le gouvernement du Québec doit démontrer que l’objectif fixé en matière de véhicules électriques n’est pas qu’un slogan vide. Il ajoute que tout est une question de volonté politique, soulignant certaines décisions récentes prises dans le vaste dossier des transports, dont celle de financer l’installation de deux stations de recharge à hydrogène. « Il y a à peine quelques dizaines d’autos à hydrogène au Québec et [le gouvernement] a annoncé trois millions de dollars pour une borne multirecharge hydrogène », soutient le député de Jonquière, qui se demande si ce choix tient au nombre élevé d’anciens attachés politiques libéraux qui travaillent comme lobbyistes auprès du groupe qui fait la promotion des véhicules à hydrogène auprès du gouvernement Couillard. Source : Radio-Canada
Cette semaine, pour vous garder au fait des actualités du monde du véhicule électrique, les bénévoles de l'AVÉQ ont mis en ligne 19 articles.
Pour s'y rendre, rien de plus facile, suivez la flèche! Menu Actualités / sous le menu « Actualités - résumés hebdomadaires » Pour recevoir notre infolettre hebdomadaire, inscrivez-vous ici Bonne lecture ! Contribution : Peggy Bédard
Ho ! surprise... L'une des recommandations phares du dernier rapport du CCEI est l'ajout de 2000 bornes de recharge rapide sur les routes québécoises EN PLUS du réseau déjà projeté pour un total de 4000 bornes de recharge publiques.
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Le Conseil consultatif sur l'économie et l'innovation (CCEI) a remis au gouvernement du Québec son document final intitulé «Agir ensemble pour une mise en œuvre réussie». Le CCEI en profite pour presser le gouvernement de mettre en œuvre ses propositions en vue du prochain budget et des élections à venir.
Le Conseil boucle ainsi la boucle avec un plan transformant en projets concrets les 12 recommandations principales du document «Agir ensemble - Pour un Québec innovant, inclusif et prospère» déposé en septembre dernier. 2000 BRCC requises L'une des recommandations phares de ce premier rapport est - ho ! surprise... - l'ajout de 2000 bornes de recharge rapide sur les routes québécoises EN PLUS du réseau déjà projeté pour un total de 4000 bornes de recharge publiques. ![]()
Dans son nouveau rapport, le CCEI propose au gouvernement d'investir 140 millions de dollars dans ce nouveau réseau de bornes rapides. Le comité reste cependant conservateur sur l'échéancier, qu'il fixe à 2030.
15 millions de dollars supplémentaires devraient être investis dans une campagne d'information d'une durée de trois ans. Incitatifs à l'achat Bien qu'il proposait originalement d’élever temporairement la subvention maximale pour l’achat d’un véhicule électrique ou hybride rechargeable, jusqu’à l’atteinte de 100000 véhicules électriques, le Conseil ne se prononce pas sur le montant à accorder ni sur la somme à investir dans cette proposition. Par contre, le Conseil suggère au gouvernement de se pencher sur la question et de déterminer le niveau optimal des incitatifs monétaires d' ici la fin de l'été . De la même façon, le Conseil recommanderait une période maximale de quatre mois pour bonifier, en collaboration avec les municipalités, les mesures incitatives non monétaires. ![]()
Et l'hydrogène dans tout ça ?
Dans ce qu'il qualifie [de façon un peu erronée !] de «décarbonisation» des transports, le CCEI recommande un investissement massif dans la conversion des véhicules lourds québécois au gaz naturel liquéfié (GNL), au gaz naturel comprimé (GNC) et aux biocarburants. La filière hydrogène n'est pas mentionnée dans le texte, mais elle n'y est pas explicitement exclue non plus. Selon le Conseil, 335 millions de dollars devraient être investis comme participation à la construction d’une vingtaine de stations-service pour carburants alternatifs, et 315 millions de dollars pour bonifier et prolonger les incitatifs à la conversion de camions du programme Écocamionnage. ![]()
N’oublions cependant pas que, si on fait une place à la filière hydrogène en tant que «carburant alternatif», cette filière accaparera une part disproportionnée de l’enveloppe en raison de son immaturité et des coûts très élevés de tout ce qui y est lié. Par exemple, on estime à plus de 4 millions de dollars le coût d’une station de recharge d’hydrogène électrolytique «propre». De même, le véhicule à hydrogène coûtera beaucoup plus cher que son équivalent au GNL ou au GNC. Pour un résultat optimal, il serait donc logique d’exclure la filière hydrogène de l’équation… mais le CCEI n’a pas voulu prendre position sur ce sujet glissant.
Des membres du CCEI qui ont du poids
Il est permis d'espérer que les recommandations du CCEI ne seront pas tablettées par le gouvernement. En effet, les membres du CCEI qui ont élaboré la partie sur le transport sont des interlocuteurs importants en la matière, tels :
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De mesures concrètes à appliquer sans plus tarder
« Notre Conseil avait pour mandat d'élaborer des propositions concrètes, et c'est ce que nous livrons», affirme la présidente du comité, Monique F. Leroux, au cours d’une entrevue accordée au Soleil. Le CCEI presse donc les gouvernements d'appliquer ses recommandations pour renforcer la compétitivité du Québec sans plus tarder. «Pour le début du mois d’avril», suggère même Mme Leroux. «Nous espérons que certaines propositions seront retenues dans le prochain cadre budgétaire du gouvernement.»
Sources :
Rapports du CCEI
Newswire Les affaires
Sources photographiques :
Borne BRCC Circuit Électrique Station de GNC Station d’hydrogène Mme Monique F. Leroux
Avec l'aimable collaboration du Secrétariat du Conseil consultatif sur l’économie et l’innovation
Contribution : Daniel Rochefort
SPÉCIAL PÉTITION : tout comprendre de la pétition pour avoir 2000 BRCC au Québec
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
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Le transport collectif électrique avantageux même en région; FLO, fournisseur de recharge recommandé par Nissan Canada; Noah : la voiture circulaire néerlandaise; La Tesla Model 3 révolutionne le design intérieur de l’automobile : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Daniel Rochefort
Un parfum sulfureux semble soudainement émaner du dossier de la filière hydrogène… et ce n'est pas qu’une odeur de gaz naturel!
Selon le Journal de Montréal, l'intérêt des gouvernements Couillard et Trudeau pour l'automobile à hydrogène pourrait tirer sa source de la très grande proximité qu'entretienent le Parti libéral du Québec (PLQ) et le Parti libéral du Canada (PLC) avec les acteurs de cette industrie naissante.
L'intérêt des proches du PLQ Dans son papier, le journaliste Robert Plouffe a dévoilé que le Registre des lobbyistes du Québec contient les noms de quatre libéraux bien connus qui représentent les intérêts de groupes qui souhaitent bénéficier de cette manne de fonds publics : Guillaume Lefèvre (directeur de cabinet adjoint de l’ex-ministre de l’Énergie Pierre Arcand de 2015 à 2016) et Jean Masson (organisateur notoire au PLQ) sont tous deux lobbyistes pour la Coalition des manufacturiers automobiles électriques à piles à hydrogène (Toyota, BMW, Mercedes-Benz, Kia et Honda). Martin Geoffroy (attaché politique de l’ex-premier ministre libéral Daniel Johnson) représente les intérêts de Toyota, qui a reçu la promesse d'achat de 50 Miraï (vendues 58 000 $ US pièce en Californie). M. Geoffroy est par ailleurs le conjoint de Mme Michelle St-Jean, directrice corporative à Transition énergétique Québec (TEQ)… l’organisme public qui finance justement le projet de station-service à hydrogène de Québec. Louis-Charles Roy aurait agi comme lobbyiste-conseil pour Toyota après l'échec de son élection comme candidat du PLQ dans Beauharnois en 2008. L'intérêt des proches du PLC L'odeur de scandale dégagée par les investissements colossaux dans l'industrie naissante de l'hydrogène semble coller au gouvernement Trudeau. Ainsi : Daniel Brock (ancien conseiller de l’ex-chef libéral Michael Ignatieff) œuvre aussi, du côté fédéral et ontarien, comme lobbyiste pour la Coalition des manufacturiers automobiles électriques à piles à hydrogène. Ben Parsons (ex-conseiller au bureau de recherche libéral du gouvernement) est lobbyiste pour Toyota. Michael Powell (ex-organisateur du PLC). Il œuvre à la promotion de l’hydrogène comme carburant alternatif pour l’Association canadienne des constructeurs de véhicules. Un dossier troublant Le dossier s'est transporté à l'Assemblée Nationale, ou le PLQ a reçu une volée de bois vert de la part des partis d'opposition. Les principaux intéressés ont tenté de minimiser les soupçons qui pèsent sur eux concernant d'éventuels conflits d'intérêts. Mais le doute est semé… d'autant plus que les sommes englouties ne profiteront qu'à une poignée de joueurs et sont sans commune mesure avec l'argent investi dans les bornes de recharge et la voiture électrique. Parions que le gouvernement Couillard ne pourra pas se contenter de balayer le sujet du revers de la main en espérant que la tempête passe rapidement, car les promesses de la filière hydrogène ressemblent de plus en plus à un ballon artificiellement gonflé. D'autant plus que la filière hydrogène n'aura rien à voir avec l'électrification des transports puisque l'hydrogène produit par électrolyse n'est pas concurrentiel face à l'hydrogène «fossile»... qui représente 95 % de la production actuelle. La grande patronne de Transition énergétique Québec (TEQ) a beau affirmer qu'ils ne sont intéressés que par l'hydrogène «propre», à plus de 4 millions de dollars par station on est en droit d'être sceptique quant à la saine gestion des fonds publics. Un dossier à lire et à suivre. «Filière libérale de l’hydrogène»: une cadre en conflit d’intérêt en mission au Japon avec son mari lobbyiste pour Toyota Sept amis du PLQ et du PLC lobbyistes pour l’auto à hydrogène >> Autres articles sur les véhicules à hydrogène
Contribution : Daniel Rochefort
Dans un esprit de courtoisie, nous vous demandons de rester à proximité de votre véhicule lors de la recharge et libérer la borne dès que possible afin qu’un autre électromobiliste puisse en profiter. Cliquez-ici et lisez l'encadré orangé afin de prendre connaissances des bonnes règles de conduite avec une borne de recharge rapide.
Visitez lecircuitelectrique.com pour obtenir plus d’information! => D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique
Deux nouvelles bornes à recharge standard (240 volts) seront installées au cours de l'été sur le boulevard Manseau, au centre-ville, entre la place Bourget et la rue Saint-Charles-Borromée. Une troisième borne à recharge rapide (400 volts) pourrait aussi s'ajouter aux deux autres, mais son emplacement reste à déterminer.
Si le déploiement des bornes électriques est en croissance depuis six ans, c'est parce que la demande se manifeste, indique la Ville de Joliette.
En six ans, sept bornes standards et deux bornes rapides ont été installées sur le territoire de la Ville de Joliette qui possède son propre réseau électrique, Hydro-Joliette. La première En 2012, la Ville de Joliette installait ses trois premières bornes électriques au centre-ville. Hydro-Joliette, devenait du même coup « le premier réseau électrique au pays à implanter des bornes publiques à 240 volts accessibles à tout propriétaire de véhicule fonctionnant à l’électricité », selon ce qu'affirmait un communiqué de la ville paru à l'époque. « La Ville de Joliette s’est montrée avant-gardiste dans ce dossier puisque l’installation de telles bornes a été planifiée avant la réalisation du projet de réaménagement de la place Bourget qui a débuté en 2008 », ajoutait la ville dans ce communiqué. Depuis, la ville veut demeurer à l'avant-garde en déployant de telles initiatives de développement durable. La Ville de Joliette possède elle-même quatre véhicules électriques. Une priorité L'électrification des transports fait d'ailleurs partie des priorités qui avaient été identifiées lors de la démarche Éco-Joliette, laquelle fait partie de la trame de fond décisionnelle du conseil municipal. La démarche Éco-Joliette, ayant eu lieu 2016, constitue un sondage mené auprès de citoyens afin de déterminer les projets que la ville devait et doit mettre de l'avant. Source : L'action.com
La pétition lancée publiquement le 5 février dernier, figure maintenant en tête parmi la vingtaine de pétitions présentement actives sur le site de l'Assemblée nationale, avec plus de 4700 signatures!
C'est avec un départ fulgurant que notre pétition a pu s'inscrire en tête. En effet, les supporteurs ont été rapides sur leur claviers avec 2000 signatures cumulées en moins de 24 heures suivant l'annonce publique. Puis, 1000 signatures supplémentaires dans les 24 heures suivantes. Bien que l'Assemblée nationale ne publicise pas de statistiques partielles en fonction des jours, il ne serait pas surprenant que notre pétition se soit inscrit au record du plus haut taux de signatures dans les premières heures. Dans la rapidité de la mobilisation, nous y voyons un message : Pour ces électromobilistes, il y a urgence d'agir. En signant avec une telle rapidité, ils n'ont pas eu à réfléchir bien longtemps. Selon eux, la situation doit changer, et rapidement. ![]()
Dépôt de la pétition
L'AVÉQ a été convoquée pour le dépôt de la pétition à l'Assemblée nationale. La date du dépôt aura lieu le mardi 13 mars prochain, en après-midi. Les signataires et supporteurs qui désirent assister à la lecture de la pétition à l'Assemblée nationale, à Québec, sont priés de remplir le formulaire d'inscription ci-bas. Vu le nombre de places limitées dans l'estrade du Salon bleu, nous ne pouvons pas garantir des places dès l'inscription. L'ordre d'inscription sera respecté s'il y a plus d'inscriptions que de places disponibles.
Sources : AVÉQ, Assemblée nationale
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Toyota plaide pour la diversité; Des boutiques Renault 100% électriques; Dyson, de l'aspirateur à la voiture électrique; La voiture électrique : un défi pour les services d'incendie : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Daniel Rochefort
Norvège : 100% électrique en 2025; Un tunnel pour résoudre les problèmes de production de Tesla; Nouveaux chiffres sur le cycle de vie du VÉ; Le plein et la contamination bactérienne : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Daniel Rochefort
Le Salon International de l'auto de Québec ouvrira ses portes du 6 au 11 mars à ExpoCité. Avis à tous les électromobilistes : voici l’occasion de découvrir les nouveaux modèles 2018 de véhicules électriques... et de communiquer votre enthousiasme autour de vous à travers vos questions et commentaires.
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Les vedettes électriques de 2018
L’offre de modèle de véhicules électriques est en constante progression. Le Salon International de l’auto de Québec est avant tout l’endroit de prédilection pour s’informer et découvrir les nouveautés 2018-2019 du monde de l’automobile. Les manufacturiers réservent aux visiteurs de nombreuses primeurs provinciales et régionales dont la BMW I8 Roadster et la nouvelle Nissan LEAF. Le retour des essais routiers de voitures électriques Les essais routiers de véhicules électriques sont offerts gratuitement par CAA-Québec à tous les visiteurs éligibles. 8 modèles de voitures électriques seront à l’essai sur un parcours de 5,1 km. Vous aurez la chance de conduire, en primeur, la Nissan LEAF 2018. Aussi disponibles les modèles 2018 de la BMW I3 REX, la Chevrolet Bolt EV, la Chevrolet Volt, la Ford Focus Électrique, la Hyundai Ioniq Électrique, la Kia Soul EV ainsi que la Volkswagen e-Golf. Grande nouveauté : les cours de conduite hivernale avec Mitsubishi Motors. Dans un circuit fermé enneigé et sur la route, les participants pourront tester le Super Contrôle Intégral du Outlander PHEV. Par la même occasion, ils apprendront des techniques afin d’améliorer leur conduite dans des conditions hivernales avec nul autre que Carl Nadeau, pilote professionnel et chroniqueur automobile. Présentez-vous aux kiosques afin de vous inscrire. Tous les essais routiers sont gratuits et l’inscription est sous la formule, premier arrivé, premier servi. Pour les conditions et l’horaire, rendez-vous au www.salondelautodequebec.com, section Essais routiers.
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Journée de la famille Normandin – dimanche 11 mars de 9h à 15h
Afin de bien conclure la semaine de relâche, le Salon de l’auto de Québec vous offre une journée remplie d’animation et de jeux. Petit train, camion de pompier, clown, mascottes, jeux gonflables, maquillage et piste de course géante ne sont qu’un avant-goût des activités offertes lors de cette journée gratuite pour les enfants de 12 ans et moins accompagnés d’un adulte jusqu’à 15h. Sourires et plaisir garantis!
Source: Corporation Mobilis, Salon de international de l’auto de Québec
Contribution : Daniel Rochefort
Explosion des ventes de VÉs en Ontario; 200 équipes attendues au plus gros rassemblement de VÉs au monde; La Nissan Leaf récompensée; Baojun E100, la petite électrique à petit prix : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Daniel Rochefort
Souhaitant apporter sa contribution dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), un constructeur québécois s’est récemment lancé dans la fabrication de camions 100 % électriques. Une première dans la province qui a amorcé un virage vert dans le secteur des transports ces dernières années.
La société lavalloise Nordresa, spécialisée en camions électriques, a reçu la semaine passée la première plaque verte de type L — destinée aux camions électriques de plus de 3000 kg — des mains du ministre des Transports, André Fortin.
« L’industrie du transport de marchandises est l’une des plus polluantes au monde. L’arrivée des camions électriques sur nos routes est une excellente nouvelle, puisqu’ils permettent de réduire l’émission de GES tout en offrant des économies appréciables aux utilisateurs », fait remarquer le fondateur de Nordresa, Sylvain Castonguay. Son équipe travaille depuis 2015 à la transformation de camions traditionnels, fonctionnant à essence ou au diesel, en camions électriques. Le moteur est ainsi vidé et remplacé par un moteur à batteries importées de Corée du Sud ainsi qu’un système de propulsion développé par les ingénieurs de Nordresa.
Cette semaine, pour vous garder au fait des actualités du monde du véhicule électrique, les bénévoles de l'AVÉQ ont mis en ligne 22 articles.
Pour s'y rendre, rien de plus facile, suivez la flèche! Menu Actualités / sous le menu « Actualités - résumés hebdomadaires » Pour recevoir notre infolettre hebdomadaire, inscrivez-vous ici Bonne lecture ! Contribution : Peggy Bédard
L'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) lance une pétition pour le déploiement de 2000 bornes de recharge rapide au Québec.
En novembre 2015, le gouvernement provincial a adopté une cible de réduction de 37,5% de ses émissions de GES sous le niveau de 1990, à l’horizon de 2030. Le secteur qui émet le plus de GES au Québec est celui des transports, avec 41% des émissions. Afin de parvenir à ces cibles, Québec a mis en place le Plan d’Action en Électrification des Transports, ayant comme objectif l’atteinte de 100 000 véhicules électriques au Québec. De plus, la Politique Énergétique 2030 cible pas moins de 1 million de véhicules électriques, en 2030.
Selon Simon-Pierre Rioux, président de l’AVÉQ, l'entrée en vigueur de la norme Véhicules Zéro Émission (VZE) visant l’amélioration de la disponibilité des nouveaux véhicules électriques chez les concessionnaires et conséquemment leur nombre sur nos routes ajoutera une forte pression sur l’offre de recharge rapide actuelle. « Si on considère que leur rythme de déploiement a ralenti dans les 12 derniers mois, faute de partenaires financiers, leur nombre déjà insuffisant aura des conséquences importantes sur les déplacements des futurs électromobilistes ». Déjà, on remarque des files d’attente à plusieurs sites ce qui entraîne de la frustration chez les conducteurs, et des délais imprévus lors de déplacements interurbains. En septembre dernier, le Conseil Consultatif sur l’Économie et l’Innovation (CCÉI), présidé par Mme Monique Leroux, a suggéré au gouvernement provincial d’accentuer ses efforts en vue de favoriser l’utilisation du transport électrique en ajoutant rapidement plus de 2000 bornes de recharge rapide, en plus de rehausser les incitatifs pour atteindre les objectifs d’électrification des transports. L’AVÉQ a inscrit sa pétition à l’Assemblée nationale, par l’entremise du député Sylvain Gaudreault, ce dernier faisant preuve d’exemplarité par sa conversion récente au transport électrique avec un véhicule 100% électrique. La pétition progresse à un rythme soutenu, cumulant plus de 3000 signatures en moins de 48 heures suivant la publication sur le site web de l’Association, www.aveq.ca. L’association a recommandé à tous ses membres de signer cette pétition, accessible directement via l’adresse www.bornerapide.ca. www.aveq.ca Renseignements : Relations de presse: Martin Archambault, [email protected] Communiqué officiel Cision/CNW/Telbec
L’organisation de la Formule E et la FIA ont dévoilé les premières images numériques de la prochaine génération de monoplace 100% électrique. La Gen2 fera son entrée en compétition lors du championnat de Formule E ABB FIA 2018/2019 et sera utilisée pour les trois saisons suivantes.
Du point de vue du design, la Gen2 représente une véritable «disruption». Du museau à l’aileron arrière, elle se distingue radicalement des standards des autres catégories de sport automobile. Elle aura cependant en commun avec la Formule 1 le nouveau et controversé «halo», un arceau de protection au-dessus du cockpit conçu pour protéger le pilote de débris volants. Ce nouveau dispositif ne fait pas l’unanimité en F-1, certains craignant qu’il nuise à l’extraction du pilote en cas d’urgence.
Pour Alejandro Agag, fondateur et directeur de la Formule E, « cette voiture représente le futur de la course automobile. Lorsque nous avons démarré la Formule E, notre but était de briser le moule, de défier le statu quo pour révolutionner le sport automobile. Cette voiture de nouvelle génération concrétise cette révolution. » La Gen2 poussera encore plus loin les performances des bolides de Formule E. La capacité des accumulateurs et l’autonomie seront presque doublées. Les pilotes seront ainsi en mesure de compléter la course sans changer de véhicule à mi-course, tout en atteignant des vitesses plus élevées. La Gen2 fait ainsi la démonstration des progrès stupéfiants accomplis en seulement quatre ans au chapitre des technologies de batterie et de moteurs électriques. Lucas di Grassi, champion de la saison 2017, aurait rapporté à Motorsport.com qu’on pourrait voir filer ces nouveaux bolides électriques à plus de 300 km/h dans les années à venir… un bond de géant par rapport aux 225 km/h des Formules E actuelles. Il suggère d’ailleurs que les organisateurs devraient considérer, dès maintenant, un redesign des circuits urbains pour la prochaine saison en incorporant, par exemple, de plus grandes lignes droites. La FIA et la Formule E n’ont pas encore confirmé les prédictions du pilote. C’est la première voiture signée par la FIA, l’organisation ayant réuni autour de la planche à dessin la crème des designers et des ingénieurs. Lors du dévoilement, le président de la FIA Jean Todt affirmait : «Je suis très fier que la FIA ait été au premier plan de son développement. C’est quelque chose de nouveau pour la Fédération, et le projet a été un grand succès.» Comme c’est le cas actuellement, les différentes équipes travailleront avec la même structure de voiture et les mêmes batteries d’accumulateurs, ces derniers étant fortement intégrés à la structure de la monoplace. Les manufacturiers concurrents auront toujours le loisir de se distinguer au niveau du groupe motopropulseur personnalisé. Le prototype final du bolide sera dévoilé au Salon International de l’Automobile de Genève, en mars 2018. Cliquez ici pour les images numériques de la Gen2. Source : ABB Formula E, Digital Trends, Motorsport.com Contribution : Daniel Rochefort
L’installation d’une borne de recharge rapide pour véhicule électrique est plus que jamais dans l’air à la Ville de Baie-Comeau. La recherche de financement se poursuit et le maire Yves Montigny garde espoir que le projet devienne réalité à temps pour la saison estivale.
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En octobre dernier, la municipalité de Ragueneau a été la première sur la Côte-Nord à offrir une borne de recharge rapide aux propriétaires de véhicule électrique. Sur la photo, on aperçoit le maire de Ragueneau, Joseph Imbeault, et la représentante d’Hydro-Québec, France Lampron. Photo archives Le Manic
Renault s’investit davantage dans la recharge rapide en Europe; un camion cargo électrique Mercedes en 2019; le VÉ, moins sexy pour les moments intimes; après la voiture zéro émission, voici la voiture compostable : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Daniel Rochefort
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Le 9 octobre 2015, le gouvernement du Québec a dévoilé le Plan d’action en électrification des transports 2015-2020. Doté d’un budget de plus de 420 millions de dollars, ce plan d’action a pour objectifs :
Saviez-vous qu'uniquement 2 actions sur les 37 inscrites dans le programme du Plan d'Action en Électrification des Transports concernent les bornes publiques de recharge rapide ?
En effet, les actions # 14.2.2 "Déploiement des véhicules électriques - Projet-pilote d'installations d'infrastructures de recharge le long de l'autoroute 40" et # 14.10 "Support à l'implantation de bornes de recharge le longs des principaux axes routiers " sont les seules inscrites au plan, selon le registre public publié par le Conseil de Gestion du Fonds Vert (CGFV) du Québec.
Parmi ces 2 actions, uniquement la première (#14.2.2) a été complétée à ce jour, permettant le déploiement de 7 bornes rapides sur l'autoroute 40, entre Montréal et Québec. Un montant de $500 000 dollars provient du Fonds Vert. Le déploiement des bornes de ce projet pilote a été complété en 2015.
La seconde action (#14.10) est en cours, et a contribué au déploiement de bornes de recharge rapide sur quelques sites ( Melbourne, Rigaud et Rivière Beaudette). Plusieurs sites dans des aires de service sont prévus ou en réalisation à Magog, Saint-Jérôme, Saint-Nicolas et Saint-Michel-de-Bellechasse).
En date d'octobre 2017, selon la fiche financière publique de cette mesure, moins de $350 000 ont été investis sur un budget de $2,5M, soit moins de 14% du budget total.
Rappelons que le Plan d'Action en électrification fait partie d’un ensemble d’actions dont les effets combinés permettront d’atteindre l’objectif que le Québec s’est fixé en cette matière dans son Plan d’action 2013-2020 sur les changements climatiques (PACC 2013-2020). Le PACC 2013-2020 dispose d'un budget global de $3,3 MILLIARDS de dollars, financé par le Fonds Vert, qui lui obtient une majorité de ses recettes du système de plafonnement et d’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre (SPEDE), mieux connu sous le nom du marché du Carbone.
L'AVÉQ demande au gouvernement du Québec d'activer des mesures pour accélérer les déploiements d'infrastructures de recharge rapide pour véhicules électrique au Québec, vu l'inéquation entre les ventes de véhicules électriques, en accélération et les déploiements de bornes rapides, en décélération en 2017.
Sources : CGFV, Transportsélectriques, AVÉQ, MDDELCC
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Dans un esprit de courtoisie, nous vous demandons de rester à proximité de votre véhicule lors de la recharge et libérer la borne dès que possible afin qu’un autre électromobiliste puisse en profiter. Cliquez-ici et lisez l'encadré orangé afin de prendre connaissances des bonnes règles de conduite avec une borne de recharge rapide.
Visitez lecircuitelectrique.com pour obtenir plus d’information! => D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique
Dans les faits, il aura fallu attendre plus de 18 mois pour qu'une borne puisse être déployée à Montmagny. Cette borne a été mise en service que le 15 décembre 2017. Selon le Circuit électrique, la recherche d'un partenaire commercial a été un élément important dans le délai déraisonnable de cette mise en service. Ce corridor n'est TOUJOURS PAS COMPLÉTÉ, faute de partenaire à Trois-Pistoles. Cette situation illustre parfaitement que le modèle d'affaires du Circuit électrique, impliquant des partenaires commerciaux ou municipaux, est à bout de souffle. L'état Québécois doit prendre le relais et investir dans les infrastructures de recharge rapide pour véhicules électriques. Il faut une orientation et un plan directeur sur un réseau structurant de recharge rapide de la part de l'état Québécois. ![]()
Dans sa pétition en cours, l'AVÉQ demande au gouvernement du Québec de déployer 2000 bornes de recharge rapide d’ici 2020 et que ces bornes soient considérées à titre d'infrastructures routières pour être financées par les paliers de gouvernements.
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Sources : premier-ministre.gouv.qc.ca , AVÉQ
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ |
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