Des étudiants en design industriel proposent des solutions innovantes pour recharger les véhicules électriques.
Avec la multiplication des véhicules électriques, les bornes de recharge se sont installées dans la province et soulèvent des questions relativement à leur intégration en ville et aux solutions de charge qu’elles proposent. Des étudiants en design industriel de l’Université de Montréal se sont penchés sur des solutions innovantes.
Ces solutions, issues de l’atelier de codesign augmenté, seront présentées :
Au total, 13 projets seront présentés allant de solutions portables pour résidants d’immeubles à logements en passant par la charge durant la conduite et la charge d’appoint. C’est en collaboration avec l’Université Lorraine-Metz (France), la Victoria University of Wellington (Nouvelle Zélande) et la University of South Australia à Adelaide, que les étudiants ont développé ces concepts en s’appuyant sur le système de réalité virtuelle sociale Hyve-3D interconnecté. Alors que le milieu du design dénonce l’absence de créativité dans la conception des solutions de stations de charge actuelles et leur pollution visuelle dans le paysage urbain, les concepteurs des bornes installées au Québec répondent d’abord aux impératifs d’efficacité, de robustesse et de sécurité. Le dilemme entre les considérations fonctionnelles et utilitaires et les considérations innovantes s’est installé. Le débat suscite la volonté de démocratiser les solutions de charge afin d’encourager l’électrification des transports, particulièrement en milieu urbain, tant au centre-ville que dans les quartiers résidentiels. L’atelier de design augmenté et le Laboratoire de recherche en design, Hybridlab ont lancé un projet visant à repenser la charge des véhicules électriques en ville, du point de vue du constructeur automobile, en passant par le design d’interaction et de service, jusqu’à la conception de l’infrastructure urbaine. Selon Tomás Dorta, directeur du Laboratoire de recherche en design Hybridlab et professeur dans le cadre de l’atelier de design, « l’objectif du cours est de mieux intégrer différentes solutions de charge avec de nouveaux services et de nouvelles interactions, le tout dans un paysage urbain repensé. » Source : Université de Montréal
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Pour favoriser la réduction des émissions de gaz à effet de serre et l’électrification des transports, la Ville de Granby remboursera 25 % de la facture des citoyens qui feront l’achat et l’installation d’une borne de recharge résidentielle pour véhicule électrique, jusqu’à concurrence de 250 $ par borne.
Un avis de motion en ce sens a été adopté lors de la dernière séance du conseil municipal. Le règlement entrera en vigueur après son adoption, le 9 avril prochain. Ce programme de subvention s’ajoutera aux autres initiatives « vertes » de la Ville, telles les subventions à l’achat d’un baril récupérateur d’eau de pluie ou encore de tondeuses écologiques et de lames déchiqueteuses.
« On a prévu un budget de 25 000 $ par année. On est donc prêts à aller jusqu’à 100 bornes pour véhicules électriques par année. Mais on va voir ce qu’il en est », a souligné mardi le coordonnateur de la division environnement à la Ville, Serge Drolet. Selon lui, Granby est parmi les premières villes à mettre au point un tel programme de subvention. « Saint-Jérôme l’a fait aussi. On s’est inspiré de ça, mais avec le modèle [de subventions] qu’on a mis en place à la Ville », souligne M. Drolet. Celui-ci affirme que Granby veut ainsi être au diapason de la popularité croissante des véhicules électriques. « On veut être en appui. Une borne coûte environ 1000 $, 1200 $. Si on en paye le quart, c’est un beau 250 $ pour les gens. Je pense que ça va favoriser l’achat de ces véhicules. On en voit de plus en plus en ville. Et c’est ce qu’on veut, que les gens de Granby roulent vert. On remarque qu’il y a aussi de plus en plus de gens de l’extérieur qui se branchent sur nos bornes de recharge », souligne le coordonnateur en environnement. Source :La voix de l'Est
Pour nos membres du Plateau Mont-Royal à Montréal qui ne seraient pas au courant, il y aura une consultation publique sur le stationnement via ruelle qui pourrait avoir des conséquences négatives sur l'installation de bornes de recharge.
Selon un lecteur: Je vous écrit relativement à un projet de règlement qui a été voté le 5 mars dernier dans l'arrondissement du Plateau Mont-Royal à Montréal. Pour le détail du règlement et certains impacts, je vous propose de lire ce texte : https://plateauauxfamilles.wordpress.com Vous y trouverez un lien vers le règlement. En résumé, l'administration refusera toute nouvelle demande d'aire de stationnement. Ce règlement aura aussi un impact sur ceux qui désirent installer une borne de recharge dans leur cour. La ville refusera toute demande de permis même si c'est pour y installer un borne. Mardi 3 avril, il y aura une consultation publique où il sera possible aux gens d'exprimer leurs opinions face à ce règlement. Je crois qu'il serait important que les membres puissent assister à cette consultation publique et au besoin soulever les impacts que ce règlement aura. Il y a une période de question et les gens peuvent s'exprimer. Nous invitons donc les électromobilistes présents et futurs de se mobiliser afin de s'assurer que le nouveau règlement n'impacte pas l'installation de bornes de recharge.
Voici un bref retour sur la consultation publique de mardi.
Une vingtaine de personnes étaient présentes, tous contre le règlement.
Les arguments ont été essentiellement sur l'impact des familles, surtout avec de jeunes enfants, pour les personnes âgées et à mobilité réduite qui n'ont pas la force de se pelleter une place sur la rue. Tous les gens présents partageaient les mêmes objectifs de sécurité, verdissement et la création d’un milieu de vie intéressant, mais jugeais que le moyen était trop drastique et contraignant pour une partie de la population visée par ce règlement. Les automobilistes. Et l’ensemble partageait la même opinion que ce règlement n’aurait pas de véritable impact sur la circulation. Il y a eu des comparaisons avec l’arrondissement Rosemont qui plutôt de prohiber mise sur la participation citoyenne et la création de ruelles vertes… ce qui attire les familles plutôt que les faire fuir. Les arguments de l'arrondissement sont essentiellement le verdissement et la réappropriation des ruelles. Il a été clairement discuté que ce règlement n'empêchait pas la cohabitation et le verdissement. Et nous savons que cet argumentaire est faux puisque le vrai désir de l'arrondissement est de bannir simplement les voitures, mais ceci ils ne l'avoueront pas. Un regroupement de résident verront à forcer un processus référendaire si l'administration adopte ce règlement tel quel lundi. ![]()
Le gouvernement du Québec, majoritairement composé de députés du parti libéral, a refusé d'entendre l'Association des véhicules électriques du Québec et Hydro-Québec, hier, lors d'une session de travail de la Commission des Transports et de l'Environnement.
La proposition d'entendre ces 2 groupes, appuyée par les députés du parti Québécois et de la Coalition Avenir Québec siégeant à la Commission, a été refusée par les 4 députés du parti libéral du Québec prenant part également aux travaux de cette commission. Les députés réfractaires auraient argumenté qu'il y a déjà une cible de 2500 bornes de recharge publique au Québec, dans la politique énergétique du Québec 2030. Il y a là une évidence que des élus ne comprennent pas la problématique et les enjeux de recharge des véhicules électriques au Québec.
Les députés libéraux ont donc refusé d'entendre les revendications de l'Association des véhicules électrique du Québec ainsi que près de 11 000 supporteurs, exprimant l'urgence d'agir sur les infrastructures de recharge rapide au Québec par voie d'une pétition.
Pendant ce temps
Nous avons appris que du financement est présent dans le dernier budget du ministre des finances, soit 94 M$ pour reconduire le programme Rouler électrique pour l'achat de véhicules électriques neuf et usagés. Donc,
L'Association des véhicules électrique du Québec déplore cette situation, qui ne contribuera qu'à accentuer le déséquilibre en électrification des transports qui sévit au Québec. Sans mesures correctives rapides, ce déséquilibre pourrait devenir irréversible.
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Plusieurs de nos membres ont reçu ce matin leur invitation à configurer leur Tesla Model 3, autant des propriétaires actuels de Tesla que d'autres qui ne le sont pas. Une belle façon de débuter la journée!
C'est ainsi qu'on découvre que les premières Tesla Model 3 seront livrables dans 4-8 semaines pour ceux qui ont réservé leur véhicule dans les premiers jours suivant sa présentation.
Le véhicule de base à 45,600$ avec 354km d'autonomie sera disponible début 2019 au Québec, alors que les modèles plus dispendieux avec une batterie offrant 500km d'autonomie sont disponible dès maintenant. Le modèle qui risque d'intéresser bon nombre de québécois sera celui équipé d'une traction intégrale, disponible cet été.
Gardez donc un oeil sur vos courriels, car si vous avez réservé à la fin mars 2016, vous recevrez sous peu votre invitation à configurer votre rutilante Tesla Model 3!! Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Il s’agit d’une introduction au monde des véhicules électriques, qui s’adresse principalement aux professionnels voulant en connaître davantage sur le sujet, que ce soient des ingénieurs, des fonctionnaires, des cadres d’entreprises ou des enseignants qui auront à travailler dans ce domaine fascinant. Il va de soi que le simple amateur passionné, qui veut augmenter son bagage de connaissances, va être ravi de monter à bord et participer à cette journée de découverte sur un secteur qui va changer notre société de façon radicale, dans les années qui viennent.
La formation est divisée en six sections :
Les thématiques abordées sont les suivantes:
Voici quelques échantillons des quelques 300 diapositives de la formation:
À propos de la formation
Interrogé par l'AVÉQ sur cette toute nouvelle formation, Pierre Langlois mentionne que « C'est tout un programme. Après avoir abordé ces nombreuses facettes, vous serez plus en mesure d’avoir une vision d’ensemble des grands enjeux et de répondre à plusieurs interrogations et critiques de ceux qui résistent à ce changement inévitable. Mais, ce changement doit être fait correctement, en tenant compte des études de cycle de vie ». Poursuivant sur l'aspect réaliste et pragmatique de la formation, M. Langlois affirme « C’est la science qui doit primer et non les idéologies, quelles qu’elles soient. L’avenir des transports électrifiés est certes lumineux, mais on doit toujours garder à l’esprit le développement durable. Dans ce sens, simplement changer un véhicule thermique pour un véhicule électrique n’a pas de sens, il faut diminuer de beaucoup le nombre de véhicules sur les routes. Et c’est là que les qualificatifs « intelligents, connectés et partagés », pour les véhicules, doivent s’ajouter à « électrifiés », en plus de mettre l’accent sur des transports collectifs efficaces, bien sûr ». ![]()
Avantage pour les membres OR AVÉQ
Un tarif préférentiel exclusif aux membres OR de l’AVÉQ, soit un tarif de 535$ au lieu du tarif régulier de 635$, un rabais de 100$! (Pour s'inscrire comme membre OR AVÉQ, utilisez ce lien). Pour obtenir le code promo réservé aux membres de l’AVÉQ et ainsi bénéficier d’un tarif préférentiel pour votre inscription à la formation, veuillez écrire à [email protected] en indiquant votre nom complet et votre statut membre. ![]()
À propos de Pierre Langlois
Pierre Langlois est un physicien (Ph.D.) bien connu dans le domaine des véhicules électriques. Avec son livre Rouler sans pétrole (Éd. MultiMondes, 2008), et ses quelques 300 articles dans des revues et sur les blogues (dont roulezelectrique.com), il a cumulé plus de 10 000 heures de recherche sur l’ensemble des filières de la mobilité durable. Il a été consultant pour le Réseau des ingénieurs du Québec, le gouvernement québécois, des Instituts de recherche et des compagnies qui ont requis son expertise en électrification des transports. Pierre Langlois donne également le cours «Transports électrifiés, intelligents et connectés» en formation continue, à la Faculté de sciences et de génie de l’Université Laval, et il intervient régulièrement dans les médias. Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ Source : Université Laval - Centre de formation en développement durable, Pierre Langlois
Trouver des solutions pour pallier au premier et dernier kilomètres; la mise en place d'infrastructures sécuritaires et agréables à utiliser; des incitatifs proposés par la Ville aux entreprises en matière de mobilité durable, voilà quelques-unes des idées qui sont ressorties des ateliers du Forum lavallois sur la mobilité durable tenu le 23 mars, au Château Royal.
L'événement, organisé par le Conseil régional de l'environnement (CRE) de Laval, en partenariat avec la Chambre de commerce et d'industrie de Laval dans le cadre de la démarche Par Notre PROPRE Énergie (PNPE), rassemblait une cinquantaine de personnes, principalement du monde des affaires, venues discuter des enjeux et solutions concernant le transport actif et collectif.
Après la prise de parole de Virgnie Dufour et Éric Morasse (président d'honneur et v-p de la STL), respectivement conseillère de Sainte-Rose et élu dans Saint-François, le Forum s'est ouvert sur les propos de la conférencière Florence Junca Adenot, professeure au département d’études urbaines et touristiques à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). «Il y a une augmentation plus rapide du nombre d'automobiles que de la population et c'est vrai depuis 10 ans, a-t-elle indiqué d'entrée de jeu. La congestion mine le transport des personnes et des marchandises et la qualité de vie des gens, excédés d'être pris en otages. Le choix de la résidence de plus en plus éloignée des emplois et l'étalement urbain y sont aussi pour quelque chose et Laval n'y échappe pas.» La congestion routière vient avec une facture de 1,8 milliard de dollars et le coût du transport par personne se situe à 5271 $, a mentionné Florence Junca Adenot. «Tout ça a des conséquences environnementales, sociales et sur la santé publique, mais il y a des conditions favorables en ce moment avec notamment des finances publiques plus assainies et un consensus social et politique que le transport n'est pas viable». Dans un comparatif avec l'Ontario, la conférencière a souligné que les investissements du gouvernement de la province voisine étaient à 70 % injectés dans le transport collectif et 30 % dans le transport routier. Au Québec, on parle de 27,5 % dans le transport collectif et le reste dans le transport routier. «La solution est de réduire les déplacements en auto avec un cocktail intégré de transport actif et collectif. Il faut [entre autres] faciliter l'accès aux lieux de travail, concentrer le développement immobilier dans des aires multifonctionnelles autour des pôles de transport en commun déjà existantes selon les principes de TOD (Transit-Oriented Development) et électrifier les moyens de transport», a-t-elle signalé, ajoutant que les planètes étaient alignées pour du changement.
Interrogé sur la possibilité d'imposer une taxe spéciale sur les véhicules polluants afin d'aider le Québec à atteindre ses cibles en matière d'émissions de GES, le premier ministre a fermé la porte à cette possibilité, du moins pour les petits véhicules utilitaires, en se référant à sa propre région du Saguenay Lac-Saint-Jean
«Dans ma région, ce sont des agriculteurs et des forestiers. Ce monde-là, ça roule en pickup», a-t-il déclaré aux journalistes"(3)
Pourtant, Il y avait 71 050 camions légers (Pickup et VUS) en circulation en 2011 et 84 446 en 2016, immatriculé par des personnes, alors que les immatriculations commerciales, institutionnelles ou professionnelles sont demeurées pratiquement les mêmes à 11 0001. Donc 13 396 camions légers de plus en cinq ans pour une utilisation personnelle, mais pas de variation dans le secteur commercial. Sans compter que la moyenne de possession de véhicules routiers par habitant est le double dans les régions périphériques que les grands centres urbains (1). On peut donc conclure que, contrairement aux affirmations de M. Couillard, ce ne sont pas les agriculteurs ni les travailleurs forestiers, qui augmentent le parc de camions légers au Saguenay Lac St-Jean. Il y a aussi une légère baisse d'entrepreneurs dans ces deux secteurs2. Sans oublier que la région est très friande de ce type de véhicule avec la Cote-Nord et la Gaspésie1, à ne pas confondre avec le Bas Saint-Laurent. Donc, la situation géographique et les routes n'expliquent pas tout! J’ai aussi vécu en Abitibi, à Lebel-sur-Quévillon précisément. On ne peut pas qualifier cette région de très urbaine, mais on ressence pourtant plus d’autos et moins de camions légers (1). ![]()
Le jeudi 26 avril prochain à 19h aura lieu une conférence traitant de l’électrification des transports par M. Claude Gauthier, directeur régional adjoint de l'AVÉQ pour le Saguenay,
C’est une première conférence au Lac Saint-Jean. Les sujets abordés seront variés et appuyés de beaucoup de données. Vous pourrez mieux comprendre les véhicules électriques, hybrides, branchables, avec prolongateur d’autonomie, les couts, les bornes de recharge et le rabais gouvernemental ! Obtenez réponse à toutes vos questions. Entrée gratuite! D’autres propriétaires de véhicules électriques seront présents. Si la météo le permet, nos véhicules électriques seront à l'extérieur pour démonstration après la conférence. Le tout se fera au populaire Restaurant Marchand de St-Bruno, 128 Rue Melançon. >> D'autres informations sur les véhicules électriques au Saguenay À tous les membres de l'AVÉQ et supporteurs de notre pétition demandant 2000 bornes de recharge rapide au Québec d'ici 2020, votre collaboration est encore requise pour faire avancer le dossier au gouvernement. En effet, maintenant que la pétition comportant près de 11 000 signataires est déposée, les députés seront prochainement mis à contribution pour analyser cette requête et décider si une commission compétente (Transports et Environnement) doit être saisie du dossier. Afin de s'assurer que les députés soient sensibilisés à l'importance de ce dossier, nous vous demandons d'écrire à VOTRE député, pour lui faire part de votre intérêt pour la progression des infrastructures de recharge rapide au Québec.
Voici comment procéder :
Étape #1 : Si vous ne connaissez pas votre circonscription provinciale, vous pouvez consulter le site d'Élections Québec afin d'identifier votre circonscription. Utiliser le bouton ci-dessous pour accéder au site. Entrez votre code postal puis cliquer sur le bouton [Chercher].
Étape #2 :
Pour transmettre votre message à VOTRE député, il vous faut connaitre son adresse courriel. Le tableau ci-dessous, trié par ordre alphabétique de circonscription vous permettra de l'obtenir : Étape #3 : Copiez et personnalisez le message ci-bas dans votre logiciel de courriel en adressant le courriel à l'adresse de votre député. Prendre note que le député Gaétan Barrette ne publie pas son adresse de circonscription. Pour le premier ministre, utilisez le formulaire sur le site web du Premier ministre.
Monsieur/Madame le(la) député(e),
Depuis plusieurs années, les membres de l'Association des Véhicules Électriques du Québec demandent d'avoir accès à un réseau de bornes rapides au Québec afin de maximiser le potentiel des véhicules électriques. En effet, les véhicules électriques ne sont pas confinés à une utilisation urbaine, à condition de pouvoir compter sur un réseau structurant de bornes de recharge, étendu sur l'ensemble du territoire de la province, pas uniquement sur quelques tronçons d'autoroutes, comme c'est le cas depuis 2014 au Québec. Avec l'entrée en vigueur de la norme Véhicules Zéro Émission (VZE) qui aura pour effet d'augmenter la disponibilité des nouveaux véhicules électriques et le ralentissement du rythme de déploiement de bornes rapides de la part du Circuit électrique en 2017, il est clair que l'offre de recharge rapide est et sera nettement insuffisante, considérant qu'il y a déjà des files d'attentes dans plusieurs sites et ce, depuis plus d'une année. Afin de rétablir un équilibre entre l'augmentation des véhicules électriques sur les routes du Québec dans les années à venir et l'offre de recharge rapide en nette perte de vitesse, il faut investir massivement dans les infrastructures de recharge, afin de créer un réseau structurant de recharge, lui permettant ainsi d'atteindre ses propres objectifs en électrification des transports : 100 000 véhicules en 2020 et 1 million en 2030. Une pétition intitulée "Ajout de 2000 bornes de recharge rapide pour véhicules électriques d’ici 2020"a été déposée le 14 mars dernier à l'Assemblée nationale soutenue par près de 11 000 signataires. Comme toute pétition, le gouvernement doit analyser cette requête et y répondre. Une séance de travail sera prochainement demandée afin que la commission compétente en la matière puisse être saisie du dossier. C'est donc à titre de citoyen de votre circonscription et en tant qu'électromobiliste ou futur électromobiliste que je vous demande prendre action afin que la Commission des Transports et de l'Environnement soit saisie du dossier des bornes rapides. Cordialement, (Inscrire ici votre nom, et votre ville)
Merci de votre collaboration habituelle!
Si les 125 députés reçoivent des lettres de leur citoyens électromobilistes, ils leur sera difficile de ne pas représenter vos intérêts.
Source : AVÉQ, Élections Québec
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Grande surprise et excellente nouvelle pour ceux qui attendent avec impatience le petit SUV urbain de Hyundai ! Le Kona EV sera en démonstration au Salon du Véhicule Électrique de Montréal
Disponible avec deux groupes motopropulseurs distincts, le Kona offrira l'autonomie et la performance souhaitée pour une véhicule de cette gamme.
Le style extérieur se démarque de la version essence par une calandre aérodynamique, des roues en alliage aéro exclusives de 17 pouces, et des ouvertures latérales au niveau du pare-choc avant permettant de rediriger l'air afin de diminuer les turbulences dans les arches de roues. C'est donc 20 au 22 avril 2018, Place Bonaventure , lors de la 2ème édition du SVÉM que vous pourrez voir ce nouveau venu !
Nous en profitons pour rappeler à nos membres (AMI ou OR) , qu'en participant à l'Assemblée Générale Annuelle de l'Association le 21 avril, vous aurez gratuitement accès au SVÉM.
VAL-D'OR. Des citoyens estiment que la Ville de Val-d'Or ne possède pas suffisamment de bornes pour recharger les véhicules électriques sur son territoire et exigent que des changements soient rapidement apportés.
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Un couple de Val-d'Or a fait part de son mécontentement, le 19 mars dernier, lors du conseil municipal. Josée Béliveau et son conjoint, Danny Lauzon, sont consternés par le manque de bornes à Val-d'Or. «On avait entendu dire que des résolutions étaient en cours et que la Ville voulait faire un virage vert, explique Josée Béliveau. On aimerait que ça aille plus vite.»
Le couple assure que la ville d'Amos, quant à elle, possède bien plus de bornes. «Quand on va à Amos, il y a cinq bornes qui sont accessibles et gratuites, soutient Mme Béliveau. On peut se stationner partout et aller magasiner.» Le couple, qui possèdent une Chevrolet Volt qui est totalement électrique, croit que l'installation de bornes serait aussi intéressante pour la Ville de Val-d'Or que pour les propriétaires de voitures électriques. «Si on veut attirer des gens qui vivent à Val-Senneville ou à Malartic qui ont des véhicules électriques pour qu'ils dépensent ici, il faudrait plus de bornes», croit Danny Lauzon. Coûts En réalité, il existe deux types de bornes pour recharger ce genre de véhicules. En effet, la borne de recharge à courant continu (BRCC) coûterait plus de 30 000 $ pour être installée. Sinon, des bornes de 240 volts, qui coûteraient seulement 800 $ selon le couple, seraient une deuxième option envisageable pour la Ville de Val-d'Or. «Une ville peut facilement se permettre l'installation d'une borne à 800 $», estime Josée Béliveau. De plus, les entreprises peuvent avoir de grandes subventions si elles installent des bornes pour ses employés.» Val-d'Or, une ville pionnière? De son côté, le maire Pierre Corbeil estime que Val-d'Or n'est pas à la traîne dans le domaine des véhicules électriques. «La Ville de Val-d'Or fait figure de pionnière dans cette matière, indique M. Corbeil. Nous avons été la première ville de la région à avoir une borne de recharge rapide.» À ce jour, des bornes de recharges sont disponibles notamment au Carrefour du Nord-Ouest, au Centre Air Creebec, à la rôtisserie Saint-Hubert ou encore à l'hôtel Le Forestel. «Maintenant, des voitures peuvent faire 300 km sans avoir besoin de recharge. 300 km, ça peut amener une voiture jusqu'à Mont-Laurier. Le problème ce n'est donc pas d'installer des bornes à Val-d'Or, mais à Mont-Laurier», conclut Pierre Corbeil. Source : L'Écho Abitibien Le Citoyen
Depuis quelques années, l'AVÉQ est inscrite au programme VPP de Nissan Canada, qui permet à nos membres OR de sauver plusieurs centaines de dollars à l'achat d'une LEAF neuve. Le rabais ne s'applique pas sur les 2018. Voici les détails.
Pour la majorité des nouveaux modèles Nissan (essence et électrique), le programme ne s'applique jamais dans les premiers mois de disponibilité. La LEAF 2018 disponible depuis le début du mois de mars ne fait pas exception. Notre contrat avec Nissan Canada termine le 31 mars 2018, ce qui signifie que la LEAF 2018 n'aura pas pu profiter de ce programme. Nous espérons renouveler notre entente dans les prochaines semaines, tout en étant conscient que la LEAF 2018 ne sera toujours pas accessible à travers ce programme avant longtemps. Nous ne pouvons pas vous spécifier le moment de l'année auquel il sera possible d'en bénéficier. Nissan Canada non plus. En effet, les ventes de LEAF ont explosé, surtout en Ontario où l'incitatif gouvernemental de 14,000$ pour ce véhicule le rend très populaire chez les consommateurs. Tant que la demande reste élevée, le programme VPP ne pourra être appliqué. La rumeur mentionnant que le rabais VPP sera disponible dès le mois d'avril est fausse.
Le Mouvement Desjardins annonce l'installation de 200 bornes de recharge pour véhicules électriques dans son réseau de caisses. Il soutiendra ainsi substantiellement le développement de l'électrification des transports au Québec et en Ontario, en partenariat avec Hydro-Québec.
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« Suivant notre engagement de contribuer à la transition énergétique et au développement socio-économique des communautés, cet ajout de 200 bornes démontre la détermination du Mouvement Desjardins d'aborder de front cet enjeu majeur. Il s'agit d'une autre initiative concrète qui s'inscrit dans la foulée de notre prise de position sur le défi climatique. Cette contribution s'appuie sur la mobilisation de nos caisses pour offrir aux utilisateurs d'une voiture électrique un accès élargi à l'alimentation en énergie au cours de leurs déplacements au Québec ou en Ontario, a souligné Guy Cormier, président et chef de la direction du Mouvement Desjardins. C'est par la collaboration constructive entre partenaires, comme Desjardins et Hydro-Québec, que nous relèverons les grands défis collectifs auxquels nous faisons face, en particulier celui du climat ».
Ce partenariat avec Hydro-Québec et son réseau de recharge public, le Circuit électrique, met en valeur l'expertise développée au Québec en matière d'électrification des transports, notamment la technologie des bornes conçue par une firme québécoise. Depuis près de six ans, le Circuit électrique s'étend dans toutes les régions du Québec. Il s'accroît constamment pour répondre aux besoins grandissants des électromobilistes actuels et futurs. Desjardins met ainsi en place les conditions gagnantes pour atteindre ses objectifs liés à sa contribution à une économie durable et responsable. « Ce partenariat avec le Mouvement Desjardins nous permet de faire un grand bond en avant et de lancer un message clair à tous ceux qui songent à faire l'acquisition d'un véhicule propulsé à l'électricité : l'infrastructure de recharge publique sera au rendez-vous. Il est temps d'y penser sérieusement », a déclaré Éric Martel, président-directeur général d'Hydro-Québec. D'ici 2021, ces 200 bornes seront installées partout sur le territoire québécois et dans l'est de l'Ontario. Leur répartition reposera principalement sur le réseau des caisses propriétaires. Elles seront mises en place : de Chapais, dans le Nord-du-Québec, jusqu'à Havre-Saint-Pierre, sur la Côte-Nord; de Windsor, en Ontario, jusqu'aux Îles-de-la-Madeleine. Leur installation renforcera le réseau du Circuit électrique grâce à plus d'une centaine de nouvelles bornes standard (240 V) et à une soixantaine de bornes rapides (400 V). La répartition des deux types de bornes ainsi que leur localisation se préciseront au cours des prochains mois, au fil de l'élaboration du plan de déploiement. Il s'agit d'un pas de plus dans la transition vers une économie sobre en carbone. Pour qu'elle se poursuive, il doit y avoir un effort collectif. C'est la somme de toutes ces actions qui nous permettra d'y arriver. Pour consulter notre stratégie pour faire face au défi climatique, visitez le https://blogues.desjardins.com/communiques-de-presse/2017/12/desjardins-annonce-des-pratiques-concretes-face-au-defi-climatique.php. À propos du Mouvement Desjardins Le Mouvement Desjardins est le premier groupe financier coopératif au Canada et le cinquième au monde, avec un actif de 275,1 milliards de dollars. Il figure parmi les Employeurs de choix au Canada selon le palmarès établi par Aon Hewitt. Pour répondre aux besoins diversifiés de ses membres et clients, particuliers comme entreprises, sa gamme complète de produits et services est offerte par son vaste réseau de points de service, ses plateformes virtuelles et ses filiales présentes à l'échelle canadienne. Figurant parmi les institutions bancaires les plus solides au monde selon le magazine The Banker, Desjardins affiche des ratios de capital et des cotes de crédit parmi les meilleurs de l'industrie. À propos du Circuit électrique Le Circuit électrique est le plus important réseau de recharge public du Québec. Il compte plus de 1 370 bornes de recharge publiques, dont plus d'une centaine de bornes rapides, déployées dans 16 régions du Québec. Depuis son inauguration, quelque 265 partenaires privés et institutionnels se sont joints au Circuit électrique, et le réseau compte maintenant plus de 20 000 membres. Les utilisateurs du Circuit électrique bénéficient d'un service d'assistance téléphonique 24 heures sur 24 exploité et géré par CAA-Québec ainsi que d'un service de repérage de bornes. Le site Web lecircuitelectrique.com et l'application mobile Circuit électrique pour iOS et Android sont mis à jour au fur et à mesure que de nouvelles bornes sont déployées. La carte de membre du Circuit électrique permet également aux utilisateurs d'accéder aux bornes de recharge des réseaux FLO et branché (eCharge Network du Nouveau-Brunswick). SOURCE Mouvement Desjardins
L'AVÉQ se réjouit de cette annonce, alors que depuis 2014 nous avons régulièrement échangé et tenu des rencontres avec de nombreux dirigeants de Desjardins sur le sujet.
Desjardins, par ce geste, démontre un fois de plus son implication dans un environnement plus vert et plus sain pour tous, tout en misant sur une ressource naturelle qui appartient à tous les Québecois ! BRAVO !
Le bon vieux moteur à essence à l’origine de l’invention de l’automobile au début des années 1900 est encore loin d’être délogé par le moteur électrique au Saguenay-Lac-Saint-Jean puisque seulement 339 voitures électriques (VÉ) circulaient sur les routes régionales au 31 décembre dernier.
Selon les données publiées par l’Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ) à partir des immatriculations enregistrées par la Société de l’Assurance Automobile du Québec (SAAQ), la région figure dans le peloton de queue avec 12,2 VÉ par 10 000 habitants, une situation qui se compare avec la Côte-Nord où l’on retrouve 11,07 VÉ/10 000 habitants. En tête de liste figure la région de Lanaudière avec un taux de 46,21 VÉ/10 000 h., soit un parc de 2315 VÉ.
En entrevue, Martin Archambault, porte-parole de l’AVÉQ, observe que toutes sortes de facteurs expliquent la faible popularité des VÉ dans les régions périphériques. Le premier, selon lui, s’explique pour des raisons historiques d’autonomie, une croyance encore bien ancrée chez les automobilistes à l’effet que les voitures mises en marché ne pourront rendre leur conducteur à destination en raison d’une panne énergétique. Dans les faits, un VÉ de modèle Volt ( Note de Martin Archambault : J'ai parlé de BOLT pas de VOLT !) peut atteindre une autonomie de 380 km dans des conditions idéales pendant la saison chaude. « Au Saguenay, il se fait beaucoup de publicité pour de gros véhicules. Il y a la perception que les VÉ, ça ne fonctionne pas l’hiver », affirme-t-il. Le second facteur qui explique la faible popularité des VÉ dans la région, selon l’AVÉQ, est relié au faible nombre de bornes de recharge qui est actuellement à 25 bornes de 240 volts sur un vaste territoire. Trois d’entre elles sont à recharge rapide (400 v.) à Saguenay, Roberval et Lac-Bouchette. « Lorsque je regarde la carte des bornes de recharge dans votre région, on constate que sur la route 172 entre Chicoutimi-Nord et Tadoussac il n’y en a aucune. Entre Tadoussac et La Malbaie, il n’y a rien. À Alma, on en retrouve deux. Le Saguenay-Lac-Saint-Jean est drôlement organisé en terme d’infrastructures. » M. Archambault constate que la péninsule de Gaspésie, avec 77 VÉ seulement, dispose de bornes de recharge à tous les 50 km parce que des regroupements locaux ont pris les choses en main pour réclamer des bornes de recharge. Source : Le Quotidien ![]()
Jour après jour, les entreprises et la population lavalloise sont confrontées aux enjeux grandissants du transport. Congestion routière, retards au travail, volatilité du prix de l’essence et émissions de gaz à effet de serre (GES) ne sont que quelques exemples des conséquences auxquelles les usagers de la route doivent faire face quotidiennement. Votre Association sera présente, son porte-parole Média Martin Archambault sera paneliste.
Plusieurs alternatives au transport conventionnel (auto-solo, voitures à essence) sont à la portée des entreprises, des institutions et de tous les automobilistes. Quelles sont ces solutions? Quels sont les avantages de l’électrification des transports? Comment implanter ces mesures au sein de son entreprise? Quelles sont les retombées économiques? Toutes ces questions seront abordées par nos invités spécialistes de la mobilité durable qui sauront assurément vous convaincre de passer à l’action.
Objectifs du forum
La pétition AVÉQ demandant 2000 bornes rapides au Québec a été déposée à l'Assemblée nationale le 14 mars 2018.
La pétition a obtenue 10 448 signatures électroniques, via le site web de l'Assemblée nationale, en plus de 508 signatures manuscrites sur les formulaires papier. La pétition cumule donc plus de 10 956 signatures. Merci à tous les signataires! L'extrait vidéo suivant présente le député de Jonquière, M. Sylvain Gaudreault effectuant la lecture du texte de la pétition pour le dépôt officiel. Une seconde lecture a été effectuée pour les 508 signatures manuscrites, avec un texte identique.
Plusieurs représentants et membres de l'AVÉQ étaient présents pour le dépôt, en plus de M. Daniel Breton et M. Pierre Langlois, Ph.D.
Suivez nos actualités puisque votre contribution ne s'arrête pas ici. La prochaine étape sera de sensibiliser les différents députés du Québec au besoin essentiel de bornes rapides.
Sources : Assemblée nationale , AVÉQ
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Renewz inc, de Montréal (Canada), a annoncé aujourd'hui qu'elle s'est associée à SmartReno, une entreprise canadienne offrant aux propriétaires un réseau fiable d'entrepreneurs compétents et révisés, pour ses systèmes d'ombrage solaire iSun Oasis uniques, dont l'un est présenté au Salon national de l'habitation, au Enercare Centre de Toronto.
"Nous sommes fiers d'avoir créé ce partenariat avec SmartReno et d'exposer notre système d'énergie solaire innovateur iSun Oasis lors du plus grand salon de l’habitation au Canada", a déclaré Sass M. Peress, PDG de renewz. «Avec l'intérêt croissant de combiner l'énergie solaire et rénovation résidentielle, y compris la recharge des véhicules électriques, renewz construit ce produit directement sur son stand, en quelques heures d'assemblage simple. La sécurisation de cette relation avec SmartReno permet d'assurer la satisfaction totale des clients résidentiels de nos abris à l'énergie solaire, que ce soit pour abrités les voitures, terrasses ou les jardins a la maison. La combinaison de notre capacité de configurateur en ligne sur isunenergy.com avec des options de financement direct mettra le pouvoir entre les mains du propriétaire, ce qui, selon nous, est le moyen le plus simple de fournir des systèmes d'énergie solaire intelligents, propres et simples.”
"Nous sommes très heureux de nous associer à renewz inc. qui offre ce produit innovateur aux Canadiens. Parce que nous avons le plus grand réseau d'entrepreneurs vérifiés, nous serons en mesure de fournir l'installation du système d'énergie solaire iSun Oasis partout au Canada de la manière la plus efficace possible pour les clients de renewz. SmartReno fournit constamment des solutions nouvelles et innovantes à ses clients et sous-traitants et ce partenariat est une proposition gagnante pour tous ceux qui sont impliqués », a déclaré Andrei Uglar, PDG de SmartReno. L'opportunité d'achat direct fournie par le site isunenergy.com inclura la possibilité de participer au rabais de lancement de 25% de renewz, tandis que les participants au National Home Show bénéficieront d'un cadeau bonus lors de la visite d'iSun Energy au stand 2616. À propos d'iSun Energy par Renewz iSun Energy est une marque de solutions technologiques pour l'énergie solaire et les véhicules électriques de Renewz. L'entreprise canadienne a pour mission de créer de l'énergie gratuite et propre pour les gens, là où ils se trouvent, en leur offrant une expérience énergétique intelligente et partagée. Grâce à la technologie solaire de pointe américaine, combinée à la structure canadienne et au logiciel européen, iSun Energy a créé une gamme de systèmes d'ombrage solaire pour tous les types d'utilisations, résidentielles et commerciales, disponibles et configurables pour satisfaire les utilisateurs sur isunenergy. com. À propos de SmartReno Une entreprise canadienne basée à Montréal, fondée en 2012, SmartReno change la façon dont nous trouvons des entrepreneurs pour réaliser des projets de rénovation. Le service permet aux personnes de décrire leur projet en un seul endroit et d'être référé en moins de 24 heures à des entrepreneurs sélectionnés en fonction de leurs qualifications, de leur disponibilité et de leur localisation. SmartReno reçoit environ 40 000 demandes de projets par année, d'une valeur de plus de 200 millions de dollars, grâce à son réseau de près de 10 000 entrepreneurs partout au Canada. Renewz a recu l’apppui financière du C3E et PME-MTL, deux organismes dédiés au startup innovantes. ![]()
Dans le but de promouvoir le transport écologique, la Ville de Prévost offre à ses résidents 100 $ de subvention municipale à l'achat et à l'installation d'une borne domestique de recharge pour véhicule électrique ou hybride rechargeable.
Malgré les programmes gouvernementaux et les nombreux avantages des véhicules électriques, le coût additionnel à l’achat demeure toujours une barrière par rapport aux véhicules à essence. C’est pourquoi, la Ville de Prévost souhaite bonifier l’offre du gouvernement du Québec par l’octroi d’une aide financière additionnelle et ainsi favoriser l’achat de véhicules électriques par ses citoyens. Plus d'une borne par résidence peut être subventionnée dans le cas où les résidents possèdent plus d'un véhicule électrique. Les personnes intéressées trouveront plus de détails au www.ville.prevost.qc.ca > Onglets |Services municipaux | Environnement | Programmes et subventions.
Le député Marc Bourcier s’inquiète du choix de l’utilisation de l’hydrogène du Parti libéral du Québec qui, selon lui, aura des répercussions négatives sur le développement du transport électrique, mais aussi sur une entreprise de Saint-Jérôme, la Compagnie Électrique Lion.
« L’arrivée de l’hydrogène risque fortement de retarder les projets électriques déjà en cours », souligne M. Bourcier.
Selon le député, l’hydrogène est une ressource excessivement dispendieuse. « Il coûte sept fois plus cher de rouler à l’hydrogène qu’à l’électricité sur une distance de 100 kilomètres. De plus, une seule station-service d’hydrogène coûte 4 M$, tandis qu’une borne de recharge rapide vaut 50 000 $. Deux stations seront construites dans le cadre du projet pilote du gouvernement libéral. Les sommes investies permettraient de doubler le nombre de bornes de recharge rapide au Québec », explique ce dernier. Pour Marc Bourcier, le fait de rouler à l’hydrogène permet l’utilisation des carburants fossiles produits en Arabie Saoudite ou aux États-Unis à coût moindre que l’hydrogène généré par électrolyse. « Favoriser les véhicules électriques, c’est faire usage de l’électricité produite ici, au Québec, par des Québécois », ajoute le député de Saint-Jérôme. « Ce choix de l’hydrogène ne va que retarder les nombreux projets électriques, ce qui sera dommageable et même néfaste pour l’électrification des transports. Dernièrement, le Parti Québécois a mis en lumière les liaisons dangereuses entre le Parti libéral et la filière de l’hydrogène. Est-ce en raison du lobby libéral que le gouvernement a décidé de se tourner vers l’hydrogène ? », questionne le député de Saint-Jérôme et porte-parole de l’opposition officielle en matière d’électrification des transports, Marc Bourcier. Inquiétude pour les emplois d’ici L’hydrogène est dangereux pour l’électrification et pour de nombreux emplois à Saint-Jérôme. La Compagnie Électrique Lion, de Saint-Jérôme, continue sa progression dans l’électrification du transport scolaire et compte prochainement tripler la superficie de ses installations pour répondre à la demande de son nouveau camion urbain. Cette compagnie jérômienne innovante de l’industrie du transport contribue à l’économie des Laurentides avec ses 120 employés et envisage maintenant de concurrencer Tesla. « Pour permettre aux entreprises de chez nous, comme la Compagnie Électrique Lion, de continuer leur progrès dans l’énergie propre, le gouvernement doit offrir un meilleur soutien », conclut le député. Source : Journal le Nord
AddÉnergie est fière d'être la lauréate du Frost & Sullivan 2017 North American Electric Vehicle Charging Competitive Strategy Innovation and Leadership Award, remis dans le cadre du Frost & Sullivan Excellence in Best Practices Awards Gala, qui s'est tenu le 6 mars dernier à San Diego, en Californie.
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Ce prix d'envergure internationale récompense AddÉnergie pour son leadership dans l'industrie du véhicule électrique, qui repose sur une intégration verticale permettant à l'entreprise d'offrir une solution complète pour la recharge de véhicules électriques. Frost & Sullivan souligne la capacité d'AddÉnergie à développer et fabriquer des bornes de recharge pour tous les segments de marché (public, employeurs, maisons unifamiliales, immeubles résidentiels et flottes), de même qu'à opérer son propre réseau, FLO, et des réseaux tiers comme le Circuit électrique (Québec) et le Réseau branché (Nouveau-Brunswick). Cliquez ici pour consulter l'évaluation complète de Frost & Sullivan (en anglais seulement).
Frost & Sullivan est une firme d'analyse de marché et de consultation réputée, qui, depuis 57 ans, reste à l'affût des tendances dans plusieurs industries, dont l'automobile, la santé ainsi que les technologies de l'information et de la communication. Chaque année, Frost & Sullivan remet des prix aux compagnies qui se sont démarquées grâce à une stratégie d'affaires compétitive leur ayant permis d'augmenter leurs parts de marché, d'optimiser leur positionnement de marque et d'améliorer la satisfaction de leur clientèle. « Frost & Sullivan reconnaît que le fait d'exploiter notre propre réseau de recharge, notre solution complète permettant aux fournisseurs d'électricité de créer leur réseau et notre rôle de premier plan dans le développement de standards d'interopérabilité entre réseaux sont des éléments distinctifs qui font d'AddÉnergie un chef de file dans l'industrie. Au fil des années, cette approche innovante a grandement influencé le développement de l'infrastructure de recharge du Canada et eu un impact positif sur l'adoption du véhicule électrique à travers le pays. Cette récompense démontre que notre modèle d'affaires a le potentiel de soutenir le développement de la mobilité électrique partout à travers l'Amérique du Nord, grâce à des infrastructures de recharge efficaces, fiables et ouvertes », affirme Louis Tremblay, président et directeur général d'AddÉnergie. AddÉnergie a récemment entamé son expansion aux États-Unis en ouvrant un bureau à San Francisco, en Californie. L'entreprise travaille déjà avec plusieurs partenaires américains sur des projets d'infrastructure de recharge pour véhicules électriques, et prévoit s'attaquer au marché résidentiel avec sa borne de recharge FLO Maison au cours des prochains mois. AddÉnergie continue aussi de travailler sur des projets de déploiements majeurs au Canada, où l'entreprise compte maintenant plus de 120 employés répartis dans 5 bureaux, et plus de 7 500 bornes de recharge en fonction, tant au niveau commercial que résidentiel.
Du 6 au 9 mars 2018, les participants sont invités à visiter le kiosque 4639 d’Isuzu, au Centre de convention d’Indiana, pour découvrir le camion électrique Série N.
« Isuzu continue de se développer et de grandir afin de soutenir la nouvelle génération de besoins en transport et de répondre à la demande grandissante de ses clients pour d’éventuels camions électriques. Les besoins de nos clients varient d’une région à l’autre. En présentant ce camion, qui utilise une motorisation électrique conçue par Nordresa, une des entreprises nord-américaines avec qui Isuzu collabore actuellement, Isuzu sera en mesure de développer le camion qui répondra aux besoins de ses clients. » affirme Shaun C. Skinner, président d’Isuzu Commercial Truck of America et Isuzu Commercial Truck of Canada. Il ajoute : « Il n’y a aucun doute que les camions tout-électrique font partie du futur des véhicules commerciaux; ils font également partie de notre avenir. » « C’est un réel honneur et un plaisir de participer au développement de l’offre de véhicules électriques d’Isuzu. L’industrie des transports est l’une des plus polluantes au monde. L’arrivée des camions électriques sur nos routes est une excellente nouvelle, puisqu’elle permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre tout en offrant des économies considérables aux opérateurs. Nous sommes fiers d’être la première entreprise canadienne à offrir un système qui atteint ces deux objectifs. Notre équipe d’experts est reconnue dans le domaine de l’électrification des transports. Nous sommes prêts pour l’avenir. » affirme Sylvain Castonguay, président, directeur-général et fondateur de Nordresa. A propos de Nordresa Fondée en 2015, Nordresa s’est donnée pour mission d’être un leader de la mobilité durable en développant et fabriquant des véhicules électriques destinés au transport de marchandises. Située à Laval, Québec, l’entreprise commercialise des systèmes de propulsion électriques pour véhicules commerciaux. Les camions de Nordresa – les seuls ayant été conçus et testés pour résister à nos hivers québécois – permettent à ses clients du Canada et d’ailleurs de réduire considérablement l’émission de gaz à effet de serre tout en offrant un retour rapide sur l’investissement. Pour plus d’information, veuillez visiter www.nordresa.com. A propos de Isuzu Trucks Les camions commerciaux d’Isuzu sont les camions à cabine avancée les plus vendus en Amérique depuis 1986. Aux États-Unis, ils sont distribués par Isuzu Commercial Truck of America, à partir de Anaheim en Californie, une filiale de Isuzu Motors Limited, l’un des plus grands fabricants de camions moyens et lourds au monde. Plus plus d’information, visitez le www.isuzucv.com.
Une nouvelle entreprise de taxis électriques a annoncé lundi son implantation au Québec. E-Taxi vise la mise en service de 25 à 50 véhicules à l’automne à Montréal.
«Notre but est de réaliser l’électrification complète de la flotte de taxis du Québec», a lancé le cofondateur de E-Taxi, Yung Cuong.
Pour ce faire, l’entreprise offre aux propriétaires de taxi de servir d’entremetteur auprès du constructeur chinois BYD. «On importe les véhicules, on les habille, on les offres avec un financement préétabli, en formule clé en main, a expliqué M. Cuong. Le propriétaire paie environ 240$ ou 250$ par semaine. Il va réaliser une économie d’environ 7000$ par année.» Le véhicule coûte environ 60 000$ et le gouvernement offre une subvention de 8000$ pour le passage à l’électrique. Le modèle e6 de BYD, que propose E-Taxi, offre une autonomie de 300 kilomètres par charge et vient avec son propre chargeur. Les véhicules sont construits à Shenzhen, en Chine. S’il vise que de 25 à 50 taxis de sa flotte soient en service à l’automne à Montréal, M. Cuong a indiqué que, pour l’instant, il n’a conclu aucun contrat avec une entreprise de taxi ou des propriétaires. «On va solliciter tous les propriétaires de taxis, a-t-il ajouté. Nous sommes convaincus que l’industrie du taxi va l’adopter rapidement.» Le vice-président du Regroupement des propriétaires de taxis de Montréal, Kamal Sabbah, trouve que le principe mis de l’avant par E-Taxi «n’est pas mauvais» et «encourage tout ce qui est électrique». Toutefois, il n’est pas convaincu que ce sera si facile de convaincre les propriétaires de se procurer une voiture d’un valeur de 60 000$. «On vit une crise et notre avenir n’est pas garanti parce qu’on ne sait pas ce que le gouvernement va faire avec Uber, a-t-il rappelé. Si je ne vois pas de futur, je ne vais pas m’engager dans l’achat d’une voiture électrique à 60 000$. À court terme, j’économise sur l’essence, mais on parle d’un engagement de plusieurs années.» Le vice-président du regroupement a précisé que plusieurs propriétaires ont déjà des problèmes à contracter des emprunts pour des montants bien moins élevés et que ce système pourrait surtout convenir à des chauffeurs qui ont déjà fini de payer leur permis de taxi. M. Sabbah a aussi souligné que l’autonomie de 300 kilomètres lui semble peu élevée pour Montréal. «Pour moi, ce n’est pas assez. Ça nous prendrait 500 kilomètres [d’autonomie], surtout si la voiture roule 24 heures par jour avec deux chauffeurs, a-t-il avancé. On ne peut pas se permettre d’arrêter pour charger la voiture quand on a des clients à bord ou de devoir arrêter pendant une tempête de neige.» Dans les modèles utilisés par la compagnie Téo Taxi, seules les voitures de marque Tesla ont une autonomie de plus de 300 km. La Nissan Leaf et la Kia Soul Ev ont une autonomie respective de 133 kilomètres et de 150 kilomètres. Source :Journal Métro ![]()
Le Ministère du Développement Durable, de l'Environnement et de la Lutte contre les Changements Climatiques (MDDELCC) a confirmé par communiqué de presse, le 28 février dernier, les résultats de la vente aux enchères du marché du carbone Québec-Californie-Ontario.
C'est la première vente aux enchères avec la participation du Ministère de l'Environnement et de l'Action en matière de Changement Climatique (MEACC) de l'Ontario, tenue le 21 février dernier. Cette vente a généré des revenus bruts de l’ordre de 193 millions de dollars canadiens pour le Québec. Ces derniers seront versés au Fonds vert pour financer les mesures du Plan d’action 2013-2020 sur les changements climatiques (PACC), au bénéfice de la société québécoise.
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Le communiqué de presse fait état des faits saillants suivants :
Financement de mesures bonifiées pour l'électrification des transports
Afin de rétablir un équilibre entre le nombre de véhicules électriques et les infrastructures de recharge rapide, l'Association des véhicules électriques du Québec demande au gouvernement de déployer 2000 bornes de recharge rapide (niveau 3 - 400 volts), en plus de la cible existante de 2000 bornes de recharge régulières (niveau 2 - 240 volts) d'ici 2020. La pétition tenue en février dernier a récolté plus de 10 000 signatures de soutien, envoyant un message clair sur la nécessité et l'urgence du déploiement de ces infrastructures pour rétablir l'équilibre. Évalué à $100 millions, ces infrastructures peuvent être financées entièrement avec les recettes de la dernière vente aux enchères du marché du carbone ($193 millions). L'Association recommande également au gouvernement une bonification des incitatifs à l'achat ou location de véhicules électriques de 2e génération comportant des batteries de grande capacité. Cette bonification pourrait également être financée entièrement avec les recettes de la dernière vente aux enchères du marché du carbone, soit avec les $93 millions restants.
»»» Lire notre dernier article sur le PACC et le Fonds Vert (2018)
»»» Lire notre article de 2017 sur les investissements en électrification versus le Fonds Vert Les revenus d'une seule vente aux enchères du marché du carbone pourraient bien suffire à corriger le déséquilibre en électrification des transports qui sévit au Québec. Sans mesures correctives rapides, ce déséquilibre pourrait devenir irréversible. La prochaine vente aux enchères aura lieu le mardi 15 mai 2018. Tout comme celle de février 2018, cette vente aux enchères devrait rapporter aux environs de $200 millions de nouveaux revenus au Fonds Vert.
L'Association a récemment fait part des ses recommandations au ministre des Finances. Est-ce que le financement de ces mesures sera inscrit au prochain budget provincial du ministre des Finances, M. Carlos Leitão? C'est à suivre...
Sources : MDDELCC (Communiqué de presse) , (résultats) , marché du carbone
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Le Salon International de l’auto de Québec (SIAQ) est de retour cette année. Les portes ouvrent demain le 6 mars jusqu’au dimanche 11 mars 2018 inclusivement. Une équipe régionale de l’AVÉQ, composée de Maxime Roussel, Karine Chapdelaine, Pierre Langlois, Caroline Plante et Pierre-Étienne Messier, est allée visiter le Salon lors de la journée des médias, le 5 mars 2018.
Encore cette année, CAA Québec organisent des essais routiers de véhicules électriques sur un parcours de 5,1 km dans la ville de Québec (autoroute et ville). Les modèles proposés sont la BMW i3, la Chevrolet Bolt, la Chevrolet Volt, la Honda Clarity, la Hyundai Ioniq électrique, la Kia Soul EV, la Nissan Leaf 2018, la Toyota Prius Prime ainsi que la Volkswagen e-Golf. Nous avons ainsi pu essayer le parcours à bord de la Honda Clarity.
Mitsubishi a dévoilé leur Outlander PHEV. Celui-ci est également disponible en essais routiers de conduite hivernale sur une piste enneigée en circuit fermé (très amusant à essayer!). Leur conférence de presse nous a appris que le gouvernement du Québec a commandé 103 véhicules. En conférence de presse, BMW a dévoilé la i8 Roadster, une décapotable haute performance hybride rechargeable dotée d’une batterie de 11,6 kWh. Ils ont également montré leur désir d’augmenter leur offre électrique en confirmant que les marques i1 à i9 et iX1 à iX9 sont déjà réservées pour les années à venir. La version électrique du BMW X3 devrait notamment voir le jour en 2020. La i8 Roadster est le seul véhicule électrique de BMW présent au Salon, la i3 et la i3s étant absentes de l’exposition. La nouvelle mouture de la Nissan Leaf est présente au Salon. Toutefois, nous n’avons rien appris de nouveau que nous ne savions pas déjà. La Pacifica hybride branchable de Chrysler est bien visible. Les modèles S et X de Tesla sont présentes au pavillon Silverwax (pavillon de la jeunesse), avec quelques modèles de luxe, véhicules antiques et voitures de collection. Nous aurions cependant aimé voir un kiosque de Tesla dans le pavillon principal, puisqu’un centre de service devrait ouvrir ses portes à Québec cette année. Nous avons également été déçus que Tesla ne présente pas le modèle 3. La plupart des voitures électriques disponibles sont présentes au salon, mais il faut parfois ouvrir l’oeil pour les trouver. Lors de votre visite, vous pourrez ainsi voir les modèles suivants:
Nous tenons à remercier l’organisation du SIAQ pour nous avoir donné accès à l’événement durant la journée des médias et nous vous souhaitons de nombreux visiteurs durant cette semaine de relâche! |
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