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=> D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique Source: Hydro-Québec Contribution : Martin Archambault
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Afin de célébrer la distribution des nouvelles Leaf 2018, Daniel Breton et l'équipe de Montréal Auto-Prix division électrique vous invitent à venir les visiter , mercredi le 7 mars 2018 en soirée.
Nous invitons les nouveaux propriétaires de Leaf 2018 , et même les propriétaires des modèles antérieurs de Leaf a venir en grand nombre afin de faire de cette soirée, une soirée LEAF sur toute la ligne !
»»» Lire notre article: Nissan LEAF 2018: notre premier essai routier au Québec
5600, Métropolitain Est, St-Léonard, Montréal (Québec) H1S 3A4
Pour cet événement, nous allons partir les bornes rapides (EVDUTY) pour les gens sur place afin que ce soit gratuit (pour la soirée seulement).
Bravo à ce garage de la région de Vaudreuil-Dorion qui a procédé à l'installation d'une borne niveau 2 FLO pour ses clients et visiteurs. L'AVÉQ salue ce genre d'initiative qui facilite la vie aux électromobilistes.
Depuis la semaine dernière nous remarquons l'arrivée des premières Nissan LEAF 2018 chez les concessionnaires, et de multiples fans de la première génération ont déjà visité leur revendeur favori afin d'en faire l'essai. L'AVÉQ ne pouvait passer sous silence l'entrée remarquée de la toute dernière électrique de Nissan en sol québécois.
»»» Lire notre article:Impression de la LEAF 2018 en direct de Las Vegas pour un compte-rendu détaillé Bien que notre essai initial d'une version de pré-production en septembre fut concluant à l'effet que Nissan offrait finalement un véhicule plus attrayant à coût abordable, plusieurs questions sont restées en suspend puisque l'essai routier dans le désert du Nevada ne correspondait pas à la réalité québécoise. Un road trip dans nos froides contrées était donc de mise pour mieux renseigner nos lecteurs. Au menu: un trajet de près de 500 kilomètres à des températures avoisinant 0°C, pluie verglaçante, grésil, soleil et lune! Le but ici est de complémenter l'information déjà existante sur la LEAF de deuxième génération. Nous n'irons pas dans les détails de notre article précédent sur ses caractéristiques, car notre avis n'a pas changé suite à cet essai. La nouvelle LEAF est géniale: accélération vive et des reprises sur autoroute bien agréables, et une meilleure adhérence au sol grâce aux pneus Michelin inclus. Il n'y a donc pas eu de patinage et de "burns" sur les accélérations vives comme nous l'avions expérimenté à Las Vegas. Bon point. Du côté de l'infodivertissement, nous avons eu des difficultés à nous connecter au système CarPlay avec deux différents iPhone (6 et 8), la LEAF refusait de reconnaitre le matériel branché sur le port USB. Deux réussites sur une vingtaine d'essais, ce qui détonne avec d'autres VÉ essayés dans le passé. Nous espérons qu'une mise à jour du système sera offerte rapidement par Nissan Canada pour corriger le tout. Un désert de BRCC Nous avons décidé de nous aventurer pour cet essai du côté de l'Ontario, afin de compléter le trajet Montréal-Gatineau via l'autoroute ON-417, une route relativement homogène où la dernière BRCC disponible est à Rigaud avant d'entrer en territoire ontarien. Une borne rapide à Casselman reste toujours à inaugurer. Nous avons pu tester la LEAF SL 2018 à 100 km/h sur ProPilot avec chauffage à 25°C, volant et siège chauffant allumés, et le système de son Bose à fond pour assurer le divertissement du conducteur! De jour comme de nuit, le ProPilot s'est assuré de garder le véhicule au centre des lignes blanches, tout en adaptant sa vitesse au véhicule le précédent. De plus, les phare de route (les "hautes") sur le mode automatique s'assure de ne pas aveugler les conducteurs dans l'autre voie de l'autoroute ou ceux qui nous dépassent en diminuant leur intensité par pure magie. Ça fonctionne très bien pour alterner entre feux de croisement et feux de route. Le ProPilot a quelques fois bifurqué lors de sorties d'autoroute où les lignes n'étaient pas très visibles, mais la manoeuvre effectuée par le véhicule n'était pas brusque. Pour que le mode de pilotage semi-automatique soit actif, il faut garder les mains sur le volant et y appliquer une légère résistance, ce qui laisse savoir à l'ordinateur de bord que nous sommes bien au poste. Nous avons profité d'une autoroute déserte en pleine nuit pour tester l'intelligence du système en laissant complètement aller le volant: après quelques secondes une alarme se fait entendre afin d'avertir le conducteur de tenir le volant. Si ce dernier ne réagit pas, l'alarme se fait plus insistante, et le véhicule active brusquement les freins à deux reprises pour "brasser" le conducteur et espérer attirer son attention s'il somnolait. Ensuite le véhicule allume les phares d'urgence et décélère graduellement pour s'immobiliser complètement puis appeler les soins d'urgence de Nissan. Nous n'avons pas testé ce dernier bien évidemment. Somme toute, un pilotage autonome de niveau 2 qui fonctionne très bien, mais qui nécessite l'attention du conducteur.
Pour le trajet, la consommation d'énergie s'est établie à 18,5 kWh/100 km avec tous les systèmes actifs ainsi que la climatisation. Une consommation de 15 kWh/100 km fut observée en conduite manuelle avec une vitesse de croisière de 90 km/h. Une mauvaise estimation de l'énergie nécessaire pour se rendre à Ottawa lors du trajet initial a nécessité une diminution de vitesse et une climatisation ponctuelle pour éviter les soucis, ce qui nous a permis d'arriver avec 8% (20 km) en réserve. Le retour vers Montréal s'est déroulé avec brio suite à une meilleure compréhension du véhicule et de sa consommation.
Le chauffage restait aussi une préoccupation pour les anciens propriétaires. Soyez rassuré, bien que la pompe à chaleur serait la même que sur les modèles précédents selon certains, la cabine du véhicule est mieux isolée, et le courant d'air qui était présent au sol pour les passagers avants sur les modèles 2011-17 n'y est plus. Une autre bonne nouvelle donc. En bref, une LEAF avec un siège conducteur offrant une meilleure ergonomie et un support lombaire ajustable (SV/SL), une plus grande autonomie avec une consommation énergétique similaire avec le modèle précédent, une tenue de route améliorée avec une direction plus serrée, et un look séduisant. Mais le plus impressionnant du véhicule reste le ProPilot, une système de pilotage sur autoroute intelligent et bien abouti. Un véhicule électrique qui devrait avoir beaucoup de succès sur le marché québécois. Bravo Nissan!
Nous remercions chaleureusement l'équipe de Rive-Sud Nissan à Brossard pour le prêt du véhicule aux fins de notre article.
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Il y aura de la grande visite sur le plancher du deuxième Salon du véhicule électrique de Montréal.
Source : Journal de Montréal Questionné sur divers sujets reliés à l'électrification des transports dès l'ouverture de la période de questions à l'Assemblée nationale ce mercredi 21 février, le Premier ministre Philippe Couillard, manifestement au courant de la pétition concernant 2000 bornes rapides, a mentionné que cette cible «manque d'ambition» et ajoute «qu'on peut faire mieux que ça». Un extrait de la période de questions est présenté ci-dessous. Le passage est à 2 minutes 30 secondes. MAJ : Est-ce que le Premier ministre est au «courant» de la différence entre une borne rapide (Niveau 3 à 400 volts) et une borne dite régulière (Niveau 2 à 240 volts) ? Le tableau ci-dessous permet de différencier les 2 : Est-ce que le Premier ministre Couillard fera une annonce «ambitieuse» prochainement ? C'est à suivre. ![]() Dans l'extrait vidéo, le député Sylvain Gaudreault explique également le fonctionnement de la filière de l'hydrogène au Québec, à l'aide d'un tableau didactique. Voyez la couverture médiatique à ce sujet: Source : Assemblée nationale
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
La nouvelle aire de service qui remplacera la halte Le Domaine dans la réserve faunique La Vérendrye sera équipée de bornes de recharge pour véhicules électriques.
Le ministère des Transports a confirmé qu'il ne s'agissait pas d'un vœu, mais d'une intention ferme comme l'a assuré le porte-parole du ministère Guillaume Paradis.
Le ministère aménagera des bornes lorsqu'il reconstruira la nouvelle aire de service Le Domaine. Quelle sera la technologie retenue? « Ça reste à déterminer », avoue M. Paradis. « Une bonne nouvelle » Le Domaine compte déjà une borne lente, mais avec 2800 véhicules circulent sur la route 117, dans le secteur où le ministère souhaite aménager la nouvelle aire de service, « une seule borne est bien peu » comme le mentionne Martin Archambault, porte-parole de l'Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ), qui milite pour que 2000 nouvelles bornes de recharge rapide viennent s'ajouter au circuit électrique de la province. Selon lui, que le ministère planifie déjà des bornes électriques, constitue déjà une bonne nouvelle. Souvent, les coûts des bornes de recharges rapides sont liés à l'installation. Il faut casser de l'asphalte, du béton, passer des fils électriques. Quand on peut tout faire ça pendant les travaux de construction ou de confection il y a des gains économiques.
On compte environ 140 bornes rapides réparties un peu partout au Québec, mais pas toujours de manière optimale selon l'AVEQ.
Si le corridor Montréal-Québec est assez bien garni en la matière, pour M. Archambault, la réserve faunique La Vérendrye représente un lieu stratégique pour le déploiement du circuit électrique. « Il faut penser à l'objectif du gouvernement de 100 000 véhicules électriques sur les routes d'ici 2020. Ça va prendre au minimum 2000 bornes de recharge rapides si on ne veut pas avoir d'attente », insiste le porte-parole de l'AVEQ. Une pétition de l'AVEQ figure sur le site de l'Assemblée nationale réclamant une bonification du réseau électrique. L'objectif est d'obtenir 2000 nouvelles bornes de recharge rapide d'ici 2020. Source : Radio-Canada
NDLR : Voici les commentaires d'Alexandre Mercier, Directeur régional AVÉQ pour l'Abitibi-Témiscamingue :
A) Le projet prendra aux bas mots 3 ou 4 ans pour se réaliser. Ceci n'aidera donc pas à court terme pour atteindre l'objectif de 100 000 VÉ d'ici 2020. A moins d'installer la BRCC "avant" la rénovation de l'halte routière. B) Le domaine est situé à 54 km de l'entrée sud du Parc, là ou l'alimentation 600 volts / triphasée arrête. Le domaine est seulement alimenté en 240 V actuellement. Il y a donc aussi un défi d'alimentation électrique à prévoir ! Le Fonds Vert a atteint plus de $2 MILLIARDS en revenus pour le financement du PACC 2013-2020 [MAJ]19/2/2018 ![]()
Notre dernier article sur le sujet, paru le 31 mai 2017, rapportait que le Fonds Vert cumulait plus de $1,6 MILLIARDS en recettes, majoritairement obtenus du marché du carbone.
Après la vente aux enchères du mois de novembre 2017, nous apprenons via le MDDELCC que les revenus totaux du marché du carbone, versés au Fonds Vert dépassent le cap de $2 MILLIARDS.
Le Plan d’action 2013-2020 sur les changements climatiques (PACC 2013-2020) est le principal outil du Québec en matière de lutte contre les changements climatiques. C’est grâce au Fonds vert, dont les revenus sont principalement issus du marché du carbone, que le gouvernement soutient les entreprises, les municipalités et les citoyens dans leur transition vers un monde plus sobre en carbone.
Jusqu’à présent, plus d’une quinzaine de programmes et plusieurs initiatives ont été lancés dans le cadre du PACC 2013-2020, dont les suivants :
Investissements dans les infrastructures de bornes rapides Selon les informations disponibles publiquement, l'AVÉQ a pu retracer uniquement 2 mesures financées par le PACC 2013-2020 impliquant le financement de bornes rapides : En effet, les actions # 14.2.2 "Déploiement des véhicules électriques - Projet-pilote d'installations d'infrastructures de recharge le long de l'autoroute 40" et # 14.10 "Support à l'implantation de bornes de recharge le longs des principaux axes routiers " sont les seules inscrites au plan, selon le registre public (http://www.mddelcc.gouv.qc.ca/cgfv/documents/fiches-suivi/index.htm) publié par le Conseil de Gestion du Fonds Vert (CGFV) du Québec. Parmi ces 2 actions, uniquement la première (#14.2.2) a été complétée à ce jour, permettant le déploiement de 7 bornes rapides sur l'autoroute 40, entre Montréal et Québec. Un montant de $500 000 dollars provient du Fonds Vert. Le déploiement des bornes de ce projet pilote a été complété en 2015. (http://www.mddelcc.gouv.qc.ca/cgfv/documents/fiches-suivi/teq/14-2-2-projpilotes-infras-recharge.pdf) La seconde action (#14.10) est en cours, et a contribué au déploiement de bornes de recharge rapide sur quelques sites ( Melbourne, Rigaud et Rivière Beaudette. Plusieurs sites dans des aires de service sont prévus ou en réalisation à Magog, Saint-Jérôme, Saint-Nicolas et Saint-Michel-de-Bellechasse). En date d'octobre 2017, selon la fiche financière (http://www.mddelcc.gouv.qc.ca/cgfv/documents/fiches-suivi/mtmdet/14-10-implantation-bornes-recharges.xlsm) de cette mesure, moins de $350 000 ont été investis sur un budget de $2,5M, soit moins de 14% du budget total.
Selon les informations obtenues et colligées par l'AVÉQ, moins de $1 million aurait été investi dans les infrastructures de recharge rapides au Québec par le PACC 2013-2020, sur un budget totalisant 3,3 MILLIARDS, soit 3 centièmes de 1% du budget (0,03%).
Mise-à-jour : La quatorzième vente aux enchères conjointe d’unités d’émission de GES dans le cadre du programme de plafonnement et d’échange de droits d’émission de la Californie, du Québec et pour la première fois, de l’Ontario aura lieu le 21 février 2018.
Plus de 100 millions d'unités d'émission disponibles pour les enchères, le Québec devrait obtenir un résultat similaire à la dernière vente de novembre dernier, rapportant plus de 232 millions, versés intégralement au Fonds Vert. Les résultats seront publiés le 28 février 2018. Les revenus du marché du carbone, versés au Fonds Vert dépasseront vraisemblablement les $2,2 MILLIARDS après la vente aux enchères du 21 février 2018.
Sources : MDDELCC, CGFV, AVÉQ
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Ca y est ! Les activités de la section Montréal de l'AVEQ ont repris et les festivités ont été entamés avec une présence de l'équipe de bénévoles au salon Expo Yoga au palais des congrès de Montréal.
Aucun essai routier n'était prévu au programme. Une présence un peu 'exotique' dans un endroit dévolu au Zen , au bien être, et à la relaxation, mais qui finalement symbolise parfaitement l'état d'esprit de nos électromobilistes. au volant.
Inutile de vous dire que nous étions le seul kiosque avec une voiture en exposition... Les visiteurs, parfois surpris de voir une telle présence à ce salon, nous ont posés beaucoupde questions et ont obtenu des masses d'informations, et ils nous a valu démonter les mêmes mythes et rassurer de futurs acheteurs sur les mêmes craintes que dans nos autres évènements. Nous en avons profité pour sensibiliser les badauds aux problèmes de manque de bornes électriques au Québec et nous avons obtenu une bonne centaine de signatures supplémentaires pour la pétition. Finalement, nous avons eu la surprise de la présence de quelques personnalités locales à notre kiosque et avec qui nous avons pu nous entretenir briévement : Georges Laraque, Edith Cochrane et Emmanuel Bilodeau. Merci à Simon-Pierre, Louis Bernard, et aux bénévoles pour le succès de cette première activité. Si vous habitez la région de Montréal et nous souhaitez vous joindre à l'équipe de bénévoles lors d'évènements semblables (pour faire des essais routiers ou simplement répondre aux questions au kiosque) merci de vous faire connaitre à l'adresse suivant : [email protected]. On vous attend nombreux pour notre prochain évènement à Montréal : Le salon de la voiture électrique de Montréal les 20, 21 et 22 avril 2018 à la Place Bonaventure. Source : Didier Ernotte - Directeur régional AVÉQ Montréal Contribution : Martin Archambault
Un parfum sulfureux semble soudainement émaner du dossier de la filière hydrogène… et ce n'est pas qu’une odeur de gaz naturel!
Selon le Journal de Montréal, l'intérêt des gouvernements Couillard et Trudeau pour l'automobile à hydrogène pourrait tirer sa source de la très grande proximité qu'entretienent le Parti libéral du Québec (PLQ) et le Parti libéral du Canada (PLC) avec les acteurs de cette industrie naissante.
L'intérêt des proches du PLQ Dans son papier, le journaliste Robert Plouffe a dévoilé que le Registre des lobbyistes du Québec contient les noms de quatre libéraux bien connus qui représentent les intérêts de groupes qui souhaitent bénéficier de cette manne de fonds publics : Guillaume Lefèvre (directeur de cabinet adjoint de l’ex-ministre de l’Énergie Pierre Arcand de 2015 à 2016) et Jean Masson (organisateur notoire au PLQ) sont tous deux lobbyistes pour la Coalition des manufacturiers automobiles électriques à piles à hydrogène (Toyota, BMW, Mercedes-Benz, Kia et Honda). Martin Geoffroy (attaché politique de l’ex-premier ministre libéral Daniel Johnson) représente les intérêts de Toyota, qui a reçu la promesse d'achat de 50 Miraï (vendues 58 000 $ US pièce en Californie). M. Geoffroy est par ailleurs le conjoint de Mme Michelle St-Jean, directrice corporative à Transition énergétique Québec (TEQ)… l’organisme public qui finance justement le projet de station-service à hydrogène de Québec. Louis-Charles Roy aurait agi comme lobbyiste-conseil pour Toyota après l'échec de son élection comme candidat du PLQ dans Beauharnois en 2008. L'intérêt des proches du PLC L'odeur de scandale dégagée par les investissements colossaux dans l'industrie naissante de l'hydrogène semble coller au gouvernement Trudeau. Ainsi : Daniel Brock (ancien conseiller de l’ex-chef libéral Michael Ignatieff) œuvre aussi, du côté fédéral et ontarien, comme lobbyiste pour la Coalition des manufacturiers automobiles électriques à piles à hydrogène. Ben Parsons (ex-conseiller au bureau de recherche libéral du gouvernement) est lobbyiste pour Toyota. Michael Powell (ex-organisateur du PLC). Il œuvre à la promotion de l’hydrogène comme carburant alternatif pour l’Association canadienne des constructeurs de véhicules. Un dossier troublant Le dossier s'est transporté à l'Assemblée Nationale, ou le PLQ a reçu une volée de bois vert de la part des partis d'opposition. Les principaux intéressés ont tenté de minimiser les soupçons qui pèsent sur eux concernant d'éventuels conflits d'intérêts. Mais le doute est semé… d'autant plus que les sommes englouties ne profiteront qu'à une poignée de joueurs et sont sans commune mesure avec l'argent investi dans les bornes de recharge et la voiture électrique. Parions que le gouvernement Couillard ne pourra pas se contenter de balayer le sujet du revers de la main en espérant que la tempête passe rapidement, car les promesses de la filière hydrogène ressemblent de plus en plus à un ballon artificiellement gonflé. D'autant plus que la filière hydrogène n'aura rien à voir avec l'électrification des transports puisque l'hydrogène produit par électrolyse n'est pas concurrentiel face à l'hydrogène «fossile»... qui représente 95 % de la production actuelle. La grande patronne de Transition énergétique Québec (TEQ) a beau affirmer qu'ils ne sont intéressés que par l'hydrogène «propre», à plus de 4 millions de dollars par station on est en droit d'être sceptique quant à la saine gestion des fonds publics. Un dossier à lire et à suivre. «Filière libérale de l’hydrogène»: une cadre en conflit d’intérêt en mission au Japon avec son mari lobbyiste pour Toyota Sept amis du PLQ et du PLC lobbyistes pour l’auto à hydrogène >> Autres articles sur les véhicules à hydrogène
Contribution : Daniel Rochefort
Dans un esprit de courtoisie, nous vous demandons de rester à proximité de votre véhicule lors de la recharge et libérer la borne dès que possible afin qu’un autre électromobiliste puisse en profiter. Cliquez-ici et lisez l'encadré orangé afin de prendre connaissances des bonnes règles de conduite avec une borne de recharge rapide.
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Deux nouvelles bornes à recharge standard (240 volts) seront installées au cours de l'été sur le boulevard Manseau, au centre-ville, entre la place Bourget et la rue Saint-Charles-Borromée. Une troisième borne à recharge rapide (400 volts) pourrait aussi s'ajouter aux deux autres, mais son emplacement reste à déterminer.
Si le déploiement des bornes électriques est en croissance depuis six ans, c'est parce que la demande se manifeste, indique la Ville de Joliette.
En six ans, sept bornes standards et deux bornes rapides ont été installées sur le territoire de la Ville de Joliette qui possède son propre réseau électrique, Hydro-Joliette. La première En 2012, la Ville de Joliette installait ses trois premières bornes électriques au centre-ville. Hydro-Joliette, devenait du même coup « le premier réseau électrique au pays à implanter des bornes publiques à 240 volts accessibles à tout propriétaire de véhicule fonctionnant à l’électricité », selon ce qu'affirmait un communiqué de la ville paru à l'époque. « La Ville de Joliette s’est montrée avant-gardiste dans ce dossier puisque l’installation de telles bornes a été planifiée avant la réalisation du projet de réaménagement de la place Bourget qui a débuté en 2008 », ajoutait la ville dans ce communiqué. Depuis, la ville veut demeurer à l'avant-garde en déployant de telles initiatives de développement durable. La Ville de Joliette possède elle-même quatre véhicules électriques. Une priorité L'électrification des transports fait d'ailleurs partie des priorités qui avaient été identifiées lors de la démarche Éco-Joliette, laquelle fait partie de la trame de fond décisionnelle du conseil municipal. La démarche Éco-Joliette, ayant eu lieu 2016, constitue un sondage mené auprès de citoyens afin de déterminer les projets que la ville devait et doit mettre de l'avant. Source : L'action.com
La pétition lancée publiquement le 5 février dernier, figure maintenant en tête parmi la vingtaine de pétitions présentement actives sur le site de l'Assemblée nationale, avec plus de 4700 signatures!
C'est avec un départ fulgurant que notre pétition a pu s'inscrire en tête. En effet, les supporteurs ont été rapides sur leur claviers avec 2000 signatures cumulées en moins de 24 heures suivant l'annonce publique. Puis, 1000 signatures supplémentaires dans les 24 heures suivantes. Bien que l'Assemblée nationale ne publicise pas de statistiques partielles en fonction des jours, il ne serait pas surprenant que notre pétition se soit inscrit au record du plus haut taux de signatures dans les premières heures. Dans la rapidité de la mobilisation, nous y voyons un message : Pour ces électromobilistes, il y a urgence d'agir. En signant avec une telle rapidité, ils n'ont pas eu à réfléchir bien longtemps. Selon eux, la situation doit changer, et rapidement. ![]()
Dépôt de la pétition
L'AVÉQ a été convoquée pour le dépôt de la pétition à l'Assemblée nationale. La date du dépôt aura lieu le mardi 13 mars prochain, en après-midi. Les signataires et supporteurs qui désirent assister à la lecture de la pétition à l'Assemblée nationale, à Québec, sont priés de remplir le formulaire d'inscription ci-bas. Vu le nombre de places limitées dans l'estrade du Salon bleu, nous ne pouvons pas garantir des places dès l'inscription. L'ordre d'inscription sera respecté s'il y a plus d'inscriptions que de places disponibles.
Sources : AVÉQ, Assemblée nationale
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Le Salon International de l'auto de Québec ouvrira ses portes du 6 au 11 mars à ExpoCité. Avis à tous les électromobilistes : voici l’occasion de découvrir les nouveaux modèles 2018 de véhicules électriques... et de communiquer votre enthousiasme autour de vous à travers vos questions et commentaires.
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Les vedettes électriques de 2018
L’offre de modèle de véhicules électriques est en constante progression. Le Salon International de l’auto de Québec est avant tout l’endroit de prédilection pour s’informer et découvrir les nouveautés 2018-2019 du monde de l’automobile. Les manufacturiers réservent aux visiteurs de nombreuses primeurs provinciales et régionales dont la BMW I8 Roadster et la nouvelle Nissan LEAF. Le retour des essais routiers de voitures électriques Les essais routiers de véhicules électriques sont offerts gratuitement par CAA-Québec à tous les visiteurs éligibles. 8 modèles de voitures électriques seront à l’essai sur un parcours de 5,1 km. Vous aurez la chance de conduire, en primeur, la Nissan LEAF 2018. Aussi disponibles les modèles 2018 de la BMW I3 REX, la Chevrolet Bolt EV, la Chevrolet Volt, la Ford Focus Électrique, la Hyundai Ioniq Électrique, la Kia Soul EV ainsi que la Volkswagen e-Golf. Grande nouveauté : les cours de conduite hivernale avec Mitsubishi Motors. Dans un circuit fermé enneigé et sur la route, les participants pourront tester le Super Contrôle Intégral du Outlander PHEV. Par la même occasion, ils apprendront des techniques afin d’améliorer leur conduite dans des conditions hivernales avec nul autre que Carl Nadeau, pilote professionnel et chroniqueur automobile. Présentez-vous aux kiosques afin de vous inscrire. Tous les essais routiers sont gratuits et l’inscription est sous la formule, premier arrivé, premier servi. Pour les conditions et l’horaire, rendez-vous au www.salondelautodequebec.com, section Essais routiers.
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Journée de la famille Normandin – dimanche 11 mars de 9h à 15h
Afin de bien conclure la semaine de relâche, le Salon de l’auto de Québec vous offre une journée remplie d’animation et de jeux. Petit train, camion de pompier, clown, mascottes, jeux gonflables, maquillage et piste de course géante ne sont qu’un avant-goût des activités offertes lors de cette journée gratuite pour les enfants de 12 ans et moins accompagnés d’un adulte jusqu’à 15h. Sourires et plaisir garantis!
Source: Corporation Mobilis, Salon de international de l’auto de Québec
Contribution : Daniel Rochefort
Souhaitant apporter sa contribution dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), un constructeur québécois s’est récemment lancé dans la fabrication de camions 100 % électriques. Une première dans la province qui a amorcé un virage vert dans le secteur des transports ces dernières années.
La société lavalloise Nordresa, spécialisée en camions électriques, a reçu la semaine passée la première plaque verte de type L — destinée aux camions électriques de plus de 3000 kg — des mains du ministre des Transports, André Fortin.
« L’industrie du transport de marchandises est l’une des plus polluantes au monde. L’arrivée des camions électriques sur nos routes est une excellente nouvelle, puisqu’ils permettent de réduire l’émission de GES tout en offrant des économies appréciables aux utilisateurs », fait remarquer le fondateur de Nordresa, Sylvain Castonguay. Son équipe travaille depuis 2015 à la transformation de camions traditionnels, fonctionnant à essence ou au diesel, en camions électriques. Le moteur est ainsi vidé et remplacé par un moteur à batteries importées de Corée du Sud ainsi qu’un système de propulsion développé par les ingénieurs de Nordresa.
L'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) lance une pétition pour le déploiement de 2000 bornes de recharge rapide au Québec.
En novembre 2015, le gouvernement provincial a adopté une cible de réduction de 37,5% de ses émissions de GES sous le niveau de 1990, à l’horizon de 2030. Le secteur qui émet le plus de GES au Québec est celui des transports, avec 41% des émissions. Afin de parvenir à ces cibles, Québec a mis en place le Plan d’Action en Électrification des Transports, ayant comme objectif l’atteinte de 100 000 véhicules électriques au Québec. De plus, la Politique Énergétique 2030 cible pas moins de 1 million de véhicules électriques, en 2030.
Selon Simon-Pierre Rioux, président de l’AVÉQ, l'entrée en vigueur de la norme Véhicules Zéro Émission (VZE) visant l’amélioration de la disponibilité des nouveaux véhicules électriques chez les concessionnaires et conséquemment leur nombre sur nos routes ajoutera une forte pression sur l’offre de recharge rapide actuelle. « Si on considère que leur rythme de déploiement a ralenti dans les 12 derniers mois, faute de partenaires financiers, leur nombre déjà insuffisant aura des conséquences importantes sur les déplacements des futurs électromobilistes ». Déjà, on remarque des files d’attente à plusieurs sites ce qui entraîne de la frustration chez les conducteurs, et des délais imprévus lors de déplacements interurbains. En septembre dernier, le Conseil Consultatif sur l’Économie et l’Innovation (CCÉI), présidé par Mme Monique Leroux, a suggéré au gouvernement provincial d’accentuer ses efforts en vue de favoriser l’utilisation du transport électrique en ajoutant rapidement plus de 2000 bornes de recharge rapide, en plus de rehausser les incitatifs pour atteindre les objectifs d’électrification des transports. L’AVÉQ a inscrit sa pétition à l’Assemblée nationale, par l’entremise du député Sylvain Gaudreault, ce dernier faisant preuve d’exemplarité par sa conversion récente au transport électrique avec un véhicule 100% électrique. La pétition progresse à un rythme soutenu, cumulant plus de 3000 signatures en moins de 48 heures suivant la publication sur le site web de l’Association, www.aveq.ca. L’association a recommandé à tous ses membres de signer cette pétition, accessible directement via l’adresse www.bornerapide.ca. www.aveq.ca Renseignements : Relations de presse: Martin Archambault, [email protected] Communiqué officiel Cision/CNW/Telbec
L’installation d’une borne de recharge rapide pour véhicule électrique est plus que jamais dans l’air à la Ville de Baie-Comeau. La recherche de financement se poursuit et le maire Yves Montigny garde espoir que le projet devienne réalité à temps pour la saison estivale.
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En octobre dernier, la municipalité de Ragueneau a été la première sur la Côte-Nord à offrir une borne de recharge rapide aux propriétaires de véhicule électrique. Sur la photo, on aperçoit le maire de Ragueneau, Joseph Imbeault, et la représentante d’Hydro-Québec, France Lampron. Photo archives Le Manic
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Le 9 octobre 2015, le gouvernement du Québec a dévoilé le Plan d’action en électrification des transports 2015-2020. Doté d’un budget de plus de 420 millions de dollars, ce plan d’action a pour objectifs :
Saviez-vous qu'uniquement 2 actions sur les 37 inscrites dans le programme du Plan d'Action en Électrification des Transports concernent les bornes publiques de recharge rapide ?
En effet, les actions # 14.2.2 "Déploiement des véhicules électriques - Projet-pilote d'installations d'infrastructures de recharge le long de l'autoroute 40" et # 14.10 "Support à l'implantation de bornes de recharge le longs des principaux axes routiers " sont les seules inscrites au plan, selon le registre public publié par le Conseil de Gestion du Fonds Vert (CGFV) du Québec.
Parmi ces 2 actions, uniquement la première (#14.2.2) a été complétée à ce jour, permettant le déploiement de 7 bornes rapides sur l'autoroute 40, entre Montréal et Québec. Un montant de $500 000 dollars provient du Fonds Vert. Le déploiement des bornes de ce projet pilote a été complété en 2015.
La seconde action (#14.10) est en cours, et a contribué au déploiement de bornes de recharge rapide sur quelques sites ( Melbourne, Rigaud et Rivière Beaudette). Plusieurs sites dans des aires de service sont prévus ou en réalisation à Magog, Saint-Jérôme, Saint-Nicolas et Saint-Michel-de-Bellechasse).
En date d'octobre 2017, selon la fiche financière publique de cette mesure, moins de $350 000 ont été investis sur un budget de $2,5M, soit moins de 14% du budget total.
Rappelons que le Plan d'Action en électrification fait partie d’un ensemble d’actions dont les effets combinés permettront d’atteindre l’objectif que le Québec s’est fixé en cette matière dans son Plan d’action 2013-2020 sur les changements climatiques (PACC 2013-2020). Le PACC 2013-2020 dispose d'un budget global de $3,3 MILLIARDS de dollars, financé par le Fonds Vert, qui lui obtient une majorité de ses recettes du système de plafonnement et d’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre (SPEDE), mieux connu sous le nom du marché du Carbone.
L'AVÉQ demande au gouvernement du Québec d'activer des mesures pour accélérer les déploiements d'infrastructures de recharge rapide pour véhicules électrique au Québec, vu l'inéquation entre les ventes de véhicules électriques, en accélération et les déploiements de bornes rapides, en décélération en 2017.
Sources : CGFV, Transportsélectriques, AVÉQ, MDDELCC
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Dans un esprit de courtoisie, nous vous demandons de rester à proximité de votre véhicule lors de la recharge et libérer la borne dès que possible afin qu’un autre électromobiliste puisse en profiter. Cliquez-ici et lisez l'encadré orangé afin de prendre connaissances des bonnes règles de conduite avec une borne de recharge rapide.
Visitez lecircuitelectrique.com pour obtenir plus d’information! => D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique
Dans les faits, il aura fallu attendre plus de 18 mois pour qu'une borne puisse être déployée à Montmagny. Cette borne a été mise en service que le 15 décembre 2017. Selon le Circuit électrique, la recherche d'un partenaire commercial a été un élément important dans le délai déraisonnable de cette mise en service. Ce corridor n'est TOUJOURS PAS COMPLÉTÉ, faute de partenaire à Trois-Pistoles. Cette situation illustre parfaitement que le modèle d'affaires du Circuit électrique, impliquant des partenaires commerciaux ou municipaux, est à bout de souffle. L'état Québécois doit prendre le relais et investir dans les infrastructures de recharge rapide pour véhicules électriques. Il faut une orientation et un plan directeur sur un réseau structurant de recharge rapide de la part de l'état Québécois. ![]()
Dans sa pétition en cours, l'AVÉQ demande au gouvernement du Québec de déployer 2000 bornes de recharge rapide d’ici 2020 et que ces bornes soient considérées à titre d'infrastructures routières pour être financées par les paliers de gouvernements.
Signez notre pétition en cliquant sur la bannière ci-dessous.
Sources : premier-ministre.gouv.qc.ca , AVÉQ
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ ![]()
C’est avec grande fierté que Nordresa, une entreprise qui conçoit et fabrique des systèmes de propulsion pour véhicules électriques, a reçu la visite de Monsieur André Fortin, ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports (MTMDET). Monsieur Fortin a procédé à la remise de la toute première plaque verte de type L au Québec, laquelle est destinée aux camions électriques de plus de 3 000 kg.
« L’industrie du transport de marchandise est l’une de plus polluantes au monde. L’arrivée des camions électriques sur nos routes est une excellente nouvelle, puisqu’ils permettent de réduire l’émission de gaz à effet de serre tout en offrant des économies appréciables aux utilisateurs. Nous sommes fiers d’être la première entreprise canadienne à offrir un camion électrique qui répond à ces deux objectifs. De plus, notre camion est conçu et fabriqué ici au Québec. C’est donc le seul au monde à avoir été testé pour résister aux conditions hivernales québécoises. », indique Sylvain Castonguay, président et fondateur de Nordresa.
Comme les voitures électriques, les camions électriques de Nordresa ont droit à plusieurs avantages puisqu’ils sont admissibles à la plaque verte :
Fondée en 2015, Nordresa s’est donnée pour mission d’être un leader de la mobilité durable en développant et fabriquant des véhicules électriques destinés au transport de marchandises. Située à Laval, Québec, l’entreprise commercialise des systèmes de propulsion électriques pour véhicules commerciaux. Les camions de Nordresa – les seuls ayant été conçus et testés pour résister à nos hivers québécois – permettent à ses clients du Canada et d’ailleurs de réduire considérablement l’émission de gaz à effet de serre tout en offrant un retour rapide sur l’investissement. A l’heure actuelle, l’entreprise offre deux plateformes, soit la série W, une fourgonnette construite sur le châssis Ford E-450, et la série T, des camions à cabine avancée. Tous nos produits sont admissibles au programme Écocamionnage. Pour en savoir plus sur Nordresa :
DESCRIPTION DU POSTE
Relevant du chargé de projet « Flotte Rechargeable », le conseiller en électrification participera au projet en démarchant des entreprises participantes pour notre projet de démonstration dans les flottes commerciales. Il sera responsable de fournir au chargé de projet les informations des entreprises contactées et indiquer celles qui auront rempli le sondage. STATUT •Contrat à durée déterminée, fin anticipée aout 2019; • Temps partiel de 20 à 35 heures par semaine. PRINCIPALES RESPONSABILITÉS • Prendre contact avec les entreprises et identifier le gestionnaire de la flotte; • Valider les principaux critères d’éligibilité avec l’entreprise; • Proposer l’essai gratuit de 5 à 8 véhicules électriques pendant 3 semaines; • Obtenir de l’entreprise qu’elle complète le formulaire qui permettra de valider son éligibilité; • Tenir à jour une liste d’entreprises ayant une flotte de véhicules légers (automobiles); • Assurer le respect des ententes de visibilité avec les partenaires; • Assurer la logistique de transport et installation chez les participants; • Communiquer les résultats au chargé de projet. PROFIL RECHERCHÉ • Connaissance et intérêt pour les véhicules électriques, l’innovation et l’environnement; • Entregent ; • Maîtrise des communications, orales et écrites, en français et en anglais; • Maîtrise de la suite Office sous Windows. QUALITÉ ET APTITUDES • Rigueur et minutie; • Flexibilité sur l’horaire et polyvalence; • Professionnalisme; • Leadership, dynamisme et autonomie; • Bon sens du jugement. À noter que la forme masculine est utilisée aux fins de simplification du texte. SVP envoyez votre CV, votre lettre de motivation et tous liens pertinents en mentionnant le numéro de l’offre d’emploi OEIVI18001_FLOTTE à : Mme Claudine Leblanc : [email protected] Date limite : 16 février 2018 PÉTITION Implanter 2000 bornes de recharge rapide au Québec d’ici 2020
Depuis plusieurs années, les membres de l'Association des Véhicules Électriques du Québec demandent d'avoir accès à un réseau de bornes rapides au Québec afin de maximiser le potentiel des véhicules électriques. En effet, les véhicules électriques ne sont pas confinés à une utilisation urbaine, à condition de pouvoir compter sur un réseau structurant de bornes de recharge, étendu sur l'ensemble du territoire de la province, pas uniquement sur quelques tronçons d'autoroutes, comme c'est le cas depuis 2014 au Québec. Le Ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des Transports (MTMET) a réalisé en 2014-2015 un projet-pilote visant à électrifier l'autoroute 40 entre Montréal et Québec. 7 bornes rapides ont été déployées, mettant à contribution le Fonds Vert. La période d'essais du projet pilote est terminée depuis belle lurette. Exception faite d'une poignée de bornes rapides dans des Villages-Relais, financées par le Plan d'Action contre les Changements Climatiques (PACC 2013-2020), il ne semble pas y avoir de plan directeur ou d'orientation sur un réseau structurant de recharge rapide de la part de l'état Québécois. Avec l'entrée en vigueur de la norme Véhicules Zéro Émission (VZE) qui aura pour effet d'augmenter la disponibilité des nouveaux véhicules électriques et le ralentissement du rythme de déploiement de bornes rapides de la part du Circuit électrique en 2017, il est clair que l'offre de recharge rapide est et sera nettement insuffisante, considérant qu'il y a déjà des files d'attentes dans plusieurs sites et ce, depuis plus d'une année. L'AVÉQ a dressé un portrait de la situation du ratio de bornes rapides en fonction du nombre de véhicules électriques au Québec, de 2014 à 2018 (suivant les projections pour 2018) : même avec un déploiement projeté (optimiste) de 60 bornes rapides au Québec avec le modèle d'affaires actuel du Circuit électrique, le ratio du nombre de bornes rapides versus le nombre de véhicules électriques demeurera inchangé par rapport à 2017, soit 0,44% (voir Tableau 1). ![]()
Afin de rétablir un équilibre entre l'augmentation des véhicules électriques sur les routes du Québec dans les années à venir et l'offre de recharge rapide en nette perte de vitesse, il faut envoyer un message clair au gouvernement du Québec : il faut investir massivement dans les infrastructures de recharge, afin de créer un réseau structurant de recharge, lui permettant ainsi d'atteindre ses propres objectifs en électrification des transports : 100 000 véhicules en 2020 et 1 million en 2030.
Pour ce faire, l'AVÉQ a choisi d'utiliser un droit inscrit à la Charte des droits et libertés de la personne, article 21 : la pétition. L'inscription de la pétition a été effectuée par l'entremise du député de Jonquière, M. Sylvain Gaudreault, lequel fait preuve d'exemplarité par sa conversion récente aux transports électriques avec un véhicule 100% électrique. Une cible de 2000 bornes rapides au Québec en 2020, tel que le recommande le Comité Consultatif sur l'Économie et l'Innovation (CCÉI), permettrait de redresser le ratio à une valeur de 2.00% , tel que présenté dans le tableau 1 ci-dessous. L'AVÉQ encourage tous ses membres et à leur entourage de signer la pétition pour demander au gouvernement du Québec de déployer 2000 bornes de recharge rapide d’ici 2020. Ces bornes doivent être considérées à titre d'infrastructures routières pour être financées par les paliers de gouvernements.
Le dépôt de la pétition aura lieu à l'Assemblée nationale, au mois de mars 2018.
Depuis la réforme parlementaire de 2009, toutes les pétitions déposées doivent recevoir une réponse écrite du gouvernement. À défaut pour celui-ci de le faire dans le délai imparti, un ministre devra donner la réponse de vive voix à l’Assemblée. Qui plus est, la commission compétente dans le domaine touché par une pétition peut décider de s’en saisir et entendre les pétitionnaires en auditions publiques.
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Visitez lecircuitelectrique.com pour obtenir plus d’information!
=> D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique Source: Hydro-Québec Contribution : Martin Archambault
Suite à la mise en marché de ses premiers ECO DOME, Alex Industries a fait la présentation de son nouvel ECO DOME LF la semaine dernière. Celui-ci s'adapte très bien à la Nissan LEAF, pour les modèles 2017 et moins.
Fabriqué du même tissu de très haute qualité que ses autres modèles disponibles depuis un bon moment déjà (ECO DOME, ECO DOME XL et ECO DOME SOUL), l'ECO DOME LF saura prévenir l'accumulation de neige et de glace sur le port de recharge de la Nissan LEAF et dans la section découverte lorsque la portière de recharge est soulevée. L'ECO DOME LF couvre la portière de recharge et le branchement situés à l'avant du véhicule pour éviter les problèmes de gel de portière de recharge ou de son mécanisme qui pourrait occasionner certains tracas hivernaux... »» Voir le commentaire d'un de nos membres sur son Éco-Dôme LF Avec ses trois aimants (14 lb de capacité chacun) localisés dans un ourlet supérieur, il demeurera en place malgré la pluie, la neige et les bourrasques. Une fois bien disposé sur le véhicule, l'ECO DOME LF suivra les courbes de la voiture pour éviter que la neige et le verglas puissent s’infiltrer dans la zone de branchement ou sur la portière de recharge. À l'avant, une ouverture agrémentée d'un velcro de qualité supérieure laisse passer le fil du pistolet de recharge. Il se referme ensuite autour du câble électrique pour garder l'aspect "hermétique" du design offert par l'ECO DOME LF. Finalement, en plus de ce velcro, un poids est disposé au bas (en façade) pour assurer une plus grande stabilité lors des températures variables. Vous pouvez trouver tous les modèles ECO DOME sur le site de notre partenaire d'affaires au alexindustries.ca (consultez la charte des modèles sur ce site web pour bien choisir le vôtre). **Il est bien de rappeler que tous les Membres OR AVÉQ bénéficient d'un rabais de 15% sur tous les produits de la gamme ECO DOME!!! Demandez-nous [lien] votre code promotionnel pour en profiter dès aujourd'hui! Vous devez absolument nous fournir votre numéro de membre Carte OR pour obtenir le code!**
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