![]() Le Circuit électrique annonce la signature d’une entente de partenariat avec la Ville de Contrecœur pour le déploiement de deux bornes de recharge publiques pour véhicules électriques. Les bornes, situées dans le stationnement du Centre sportif régional de la rue des Saules, sont accessibles dès maintenant aux conducteurs de véhicules électriques rechargeables. « La Ville de Contrecœur est fière de se joindre au circuit électrique d’Hydro-Québec. Cette affiliation témoigne de nos efforts pour faire de Contrecœur une ville encore plus verte pour assurer le bien-être de nos citoyens présents et futurs. L’installation de ces deux bornes de recharge est une autre de nos initiatives écoresponsables » mentionne Suzanne Dansereau, mairesse de Contrecœur. « Nous sommes enchantés d’accueillir la Ville de Contrecœur au sein du Circuit électrique et d’ainsi offrir deux points de recharge supplémentaires dans l’axe Montréal-Sorel, entre la route 132 et l'autoroute 30, a affirmé, au nom des partenaires du Circuit électrique, Pierre-Luc Desgagné, vice-président – Affaires publiques et gouvernementales d’Hydro-Québec. Ces deux nouvelles bornes s’inscrivent fort bien dans notre stratégie visant à densifier le réseau et permettront aux conducteurs de véhicules électriques de s’arrêter dans cette municipalité fort bien située. » Source: Hydro-Québec
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De passage dans la région la semaine dernière pour annoncer la mise en place de deux bornes de recharge publiques pour véhicules électriques à Saguenay, Hydro-Québec a confié au Journal Le Lac-St-Jean avoir comme objectif de doter le Lac-St-Jean de bornes partout dans la région du Lac-St-Jean, d'ici la fin de 2015. ![]() «C'est clair que ça fait partie de nos objectif pour 2015. Nous avons déjà des pourparlers avec plusieurs organisations. Avec certaines d'entre elles, les négociations sont très avancées», explique Pierre-Luc Desgagné, vice-président – Affaires publiques et gouvernementales d’Hydro-Québec, tout en refusant d'en dire plus sur les futurs emplacements. Selon M. Desgagné, la région du Saguenay-Lac-St-Jean est une pionnière en ce sens où elle a été dans les premières à installer des bornes. «Si on exclut les deux grands centres, la région a été la première à démontrer de l'intérêt», mentionne celui qui rappelle que la création du Circuit électrique a été réalisée au printemps 2012. Les nouvelles bornes de l’UQAC et du Cégep de Chicoutimi s’ajoutent aux bornes de recharge de la Ville de Saguenay, de l’Hôtel Chicoutimi et du Cégep de Jonquière, qui a mis en service une deuxième borne à la fin d’octobre, ce qui porte à dix le nombre de bornes de recharge publiques actuellement en service dans la région. Source : LeLacStJean.com
Contribution : Richard Lemelin ![]() Le Circuit électrique et la M.R.C. de La Vallée-du-Richelieu sont heureux d’annoncer la mise en service d’une borne de recharge publique pour véhicules électriques. La borne est disponible dès maintenant dans le stationnement de la MRC au 255, boulevard Laurier, à McMasterville. L’arrivée de cette nouvelle borne est le fruit d’une initiative regroupant quatre organismes, soit le Conseil intermunicipal de transport de La Vallée-du-Richelieu (CITVR), la Conférence régionale des élus (CRÉ) de la Montérégie Est, le Centre local de développement (CLD) de La Vallée-du-Richelieu et la M.R.C. de La Vallée-du-Richelieu, qui partagent le stationnement où est installée la borne, leurs bureaux étant tous situés dans le même immeuble. M. Gilles Plante, maire de McMasterville et préfet de la MRC, explique son enthousiasme face à ce projet et précise que « c’est grâce à la collaboration entre le CIT, la CRÉ, le CLD et la MRC que nous posons un geste concret afin d’encourager l’utilisation de véhicules propres. Je peux vous affirmer que nous continuerons à favoriser l’élargissement du Circuit électrique sur notre territoire. Bref, nous sommes sur la bonne voie ! » « Nous sommes très heureux d’accueillir la M.R.C. de La Vallée-du-Richelieu au sein du Circuit électrique », a souligné, au nom des partenaires du Circuit électrique, M. Pierre-Luc Desgagné, vice-président – Affaires publiques et gouvernementales d’Hydro-Québec. « L’arrivée de ce nouveau partenaire en Montérégie est une excellente nouvelle pour les conducteurs de véhicules électriques. Elle témoigne du dynamisme de la région, qui compte maintenant 88 bornes de recharge publiques en service. » Source: Hydro-Québec On peut s'attendre à une «installation aggressive de BRCC» en 2015 par le Circuit Électrique8/12/2014 ![]() Le nombre de recharges de voitures électriques a doublé sur le Circuit électrique d'Hydro-Québec ces derniers mois, le nombre de véhicules atteignant 5000. La clientèle commence à se servir du réseau, qui a coûté quelques millions de dollars à investir. 2800 RECHARGES EN NOVEMBRE Les recharges se sont élevées à 2800 lors du mois de novembre alors qu'elles se chiffraient à moins de 1500 par mois avant l'été, a révélé Pierre-Luc Desgagné, vice-président Affaires publiques et gouvernementales chez Hydro-Québec. Il prenait la parole lundi au Forum stratégique sur les ressources naturelles de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Environ 3500 voitures électriques sur les 5000 en circulation se servent du Circuit électrique, lancé en 2012. Les propriétaires paient 2,50 $ la charge. «Nous allons maintenir la pédale au plancher, indique M. Desgagné. Nous nous faisions regarder avec un air dubitatif par des gens qui se demandaient s'il y allait vraiment y avoir un intérêt [au lancement]. Je peux vous dire que nous avons recruté près d'une centaine de partenaires et que nous dépassons les 350 bornes à 240 volts.» Le vice-président avance que l'on peut s'attendre à une «opération aggressive de recharge rapide à 400 volts» l'an prochain. Ces bornes seront certainement prisées par la clientèle. Elles permettent de recharger 80% de la batterie en seulement 20 minutes. «Un premier corridor de recharge rapide se trouve entre Montréal et Québec, sur l'autoroute 40, signale Pierre-Luc Desgagné. Un autre mène vers Montpellier, au Vermont.» Et l'Ontario ? Hydro-Québec pense un lien vers Ottawa, mais les efforts n'ont pas encore porté fruit. «Ça a été plus facile de signer une entente avec un État situé en pays étranger, pour bâtir un corridor de recharge, que ce ne l'est pour faire un corridor Québec-Ontario», lance-t-il. Appelé à préciser sa pensée, le vice-président d'Hydro fait savoir que le plus grand nombre de distributeurs d'électricité en Ontario ralentit l'exercice. Le Circuit électrique prendrait toutefois de l'expansion en 2015 et la société d'État compte étendre ses tentacules. «Les gens nous disent qu'ils voyagent d'une juridiction l'autre et qu'ils veulent avoir l'occasion de se recharger [hors du Québec], soutient M. Desgagné. C'est ce que essayons de faire. Vous allez en entendre parler.» Source: Argent (Canoe) Le vice-recteur aux ressources de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), Dominique Bouchard, le directeur général par intérim du Cégep de Chicoutimi, Alain Bouchard, et, au nom des partenaires du Circuit électrique, le vice-président – Affaires publiques et gouvernementales d’Hydro-Québec, Pierre-Luc Desgagné, ont annoncé aujourd’hui que l’UQAC et le Cégep de Chicoutimi deviennent partenaires du Circuit électrique, le plus important réseau de bornes de recharge publiques du Québec. ![]() Alain Bouchard, directeur général par intérim du Cégep de Chicoutimi, Pierre-Luc Desgagné, vice-président – Affaires publiques et gouvernementales d’Hydro-Québec et représentant des partenaires du Circuit électrique, et Dominique Bouchard, vice-recteur aux ressources de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), lors de l'inauguration officielle de la borne de recharge publique de l'UQAC. © Denis Blackburn. L’UQAC a mis en service une borne dans le stationnement situé au nord du pavillon Alphonse-Desjardins. De son côté, la borne du Cégep de Chicoutimi se trouve dans le stationnement principal en face du théâtre Banque Nationale.
« Ce partenariat confirme la volonté de l’Université du Québec à Chicoutimi dans son rôle de pionnier du développement durable. Son influence notoire en formation et en recherche, avec ses programmes en éco-conseil, est reconnue partout à travers le monde. Nous devons maintenant travailler tous ensemble pour faire de l’UQAC un modèle de développement durable, et l’annonce d’aujourd’hui est un pas dans la bonne direction », a affirmé Dominique Bouchard, vice-recteur aux ressources de l’UQAC. « Depuis de nombreuses années, le Cégep de Chicoutimi est résolument tourné vers le développement durable. À l’initiative du Comité d’action et de concertation en environnement du Cégep de Chicoutimi (CACECC) et de la direction, le choix d’offrir une borne de recharge publique pour les véhicules électriques s’inscrit tout à fait dans la politique environnementale du Cégep et dans sa volonté de contribuer à un meilleur environnement pour tous », a souligné Alain Bouchard, directeur général par intérim du Cégep de Chicoutimi. « Le Circuit électrique est ravi d’accueillir l’UQAC et le Cégep de Chicoutimi, qui ont fait le choix d’offrir des bornes de recharge publiques pour soutenir les conducteurs de véhicules électriques, a mentionné, au nom des partenaires du Circuit électrique, Pierre-Luc Desgagné, vice-président – Affaires publiques et gouvernementales d’Hydro-Québec. Je tiens à féliciter nos nouveaux partenaires et à souligner leur contribution au développement du réseau de bornes de recharge publiques dans la région. Et j’ajouterais, sur un plan plus personnel, en tant que fils du recteur-fondateur de l’UQAC, que je suis particulièrement heureux de constater combien cette institution demeure toujours à l’avant-garde du développement. » Les nouvelles bornes de l’UQAC et du Cégep de Chicoutimi s’ajoutent aux bornes de recharge de la Ville de Saguenay, de l’Hôtel Chicoutimi et du Cégep de Jonquière, qui a mis en service une deuxième borne à la fin d’octobre, ce qui porte à dix le nombre de bornes de recharge publiques actuellement en service dans la région. Source: Circuit électrique ![]() L'AVÉQ fut invité par le Conseil du Patronat dernièrement pour discuter du futur de l'électromobilité au Québec, et des grandes orientations à prendre pour que ce mode de transport puisse continuer à prendre de l'ampleur dans la province. Le Conseil, après avoir entendu de nombreux experts, doit émettre des recommandations au Ministère du développement durable. Nous avons donc concentré nos recommandations sur 4 points principaux: 1) Sensibilisation et éducation 2) Incitatifs financiers et sociaux 3) Disponibilité des véhicules électriques 4) Infrastructures Lors de la dernière année, l'AVÉQ en collaboration avec Équiterre a fait une tournée provinciale de sensibilisation auprès de la population afin de les éduquer sur les avantages des véhicules électriques et de leur utilisation au quotidien grâce à notre armée de bénévoles-propriétaires. Nous avons pu remarquer à quel point ce volet est important pour atteindre le plus grand nombre de gens, et nous avons constaté que nos efforts ne nous permettent que d'atteindre une petite partie de la population. Il faut un budget et des moyens plus important pour subvenir à la tâche. Les incitatifs financiers de 8,000$ tels que présentement disponibles à l'achat ou la location d'une voiture entièrement électrique ou hybride rechargeable demeurent importants pour cette jeune industrie qui n'existe que depuis quelques années. Pour la majorité des consommateurs encore, l'achat d'un VÉ n'aurait pas été possible sans ces mesures. De multiples centres de recherche, une centaine de compagnie et des milliers d'emplois existent dans ce domaine au Québec, un créneau d'avenir qui est important de soutenir tout comme nous l'avons fait pour l'aéronautique et les pharmaceutiques, car ces technologies souvent sont utilisées dans ou pour les véhicules que nous retrouvons sur le marché, et ceux qui vont être commercialisés dans les prochaines années. L'impact sur la diminution des gaz à effet de serre (GES) est non-négligeable, puisque que remplacer une voiture à essence par une voiture électrique contribue directement et localement à diminuer la pollution de l'air et sonore, une diminution quantifiiable de 4T de GES par VÉ par année, alors que l'achat de crédits de carbone par exemple ne pourrait avoir un impact ciblé alors qu'on irait planter des arbres dans le Nord du Québec. Planter des arbres à Chicoutimi n'aura pas d'impact au centre-ville de Montréal sur la pollution atmosphérique et sonore. Diminuer la pollution en enlevant 20,000 voitures à essence dans le centre-ville de Montréal et les remplacer par des véhicules électriques, c'est vérifiable et quantifiable. Électrifier les autobus urbains, les camions de livraison "du dernier kilomètre", et les taxis, aura un impact local et direct. Le coût futur en perte de productivité agricole, en frais de santé et en perte de propriété causée par la montée des niveaux de la mer est évalué à 36$/T GES en Europe et aux É-U. Il faut aussi calculer l'impact du VÉ sur son cycle entier, du berceau au tombeau, et différentes études à travers le monde démontrent l'impact environnemental important de cette jeune technologie qui ne peut que s'améliorer. La qualité de l'air doit être affectée localement, et non diminuée en différé par l'achat de ces crédits de carbone. Les gens qui habitent et travaillent dans les centre-villes sont les premiers à être affectés par le stress sonore et la mauvaise qualité de l'air qui cause de nombreux problèmes respiratoires importants, réduisant non seulement la qualité de vie mais aussi la longévité, et possède un impact financier majeur aux personnes affectées qui doivent se procurer des médicaments à cet effet. Les incitatifs financiers existent afin de permettre que la technologie et la production de masse puissent diminuer le surcoût à l'achat au point d'entrecroisement où ce support palliatif ne sera plus nécessaire. Ces incitatifs devront être calculés pour que leur date d'expiration corresponde à la diminution importante du surcoût, qu'on pourrait estimer au coût énergétique annuel d'un véhicule à essence. Nous devons arrêter de subventionner au coût de 88 milliards$ l'industrie pétrolière. Les incitatifs sociaux impliquent l'accès à des mesures permettant de faciliter le trajet des électromobilistes, tels que le stationnement gratuit en ville, l'accès à des voies réservées, la recharge gratuite au travail, et des modifications au code du bâtiment pour s'assurer que les infrastructures nécessaires soient disponibles pour les nouvelles constructions. En plus des avantages mentionnés plus haut, l'achat d'un VÉ permettra aussi d'améliorer notre balance commerciale qui est en déficit de 12G$ par année dû à l'importation de pétrole - de l'argent qui quitte notre province à tout jamais. En achetant de l'hydro-électricité pour subvenir à nos besoin en transport, nous faisons rouler l'économie locale et nous permettons de faire travailler les gens d'ici. L'argent continue de rouler localement au lieu de sortir du pays. 12 milliards de dollars annuellement qui roulerait dans notre économie permettrait de grandement améliorer le sort financier des Québécois avec de meilleurs emplois plus payants, et une diminution des impôts aux particuliers. Si le public est bien éduqué et comprend l'importance de l'électromobilité, il serait important d'avoir des véhicules électriques disponibles lorsque le consommateur sera prêt à passer à l'action. En ce moment, il est encore compliqué pour les clients de se procurer un VÉ chez le concessionnaire. Ce ne sont pas tous les concessionnaires qui sont accrédités à en vendre, les conseillers en vente qui ne connaissent pas le produit n'ont pas d'incitatifs à vendre un produit qu'ils n'ont pas en inventaire, et le nombre de manufacturiers qui offrent leurs véhicules électriques dans la province est très limité. Il sera donc important de mettre de l'avant une Loi Zéro Émission pour le Québec qui avantagera l'électrification et non l'hydrogénation des transports, ce qui avantagera notre Pétrole Bleu, l'hydro-électricité, notre industrie en électromobilité, et le consommateur qui verra ses coûts énergétiques pour le transport diminuer. Il sera important de se faire épauler par l'Ontario à cet effet, afin qu'ils adoptent ce type de loi qui pénaliserait les manufacturiers qui n'offrent pas un nombre de véhicules suffisant à la demande, et qui offrirait des crédits de carbones (et non des incitatifs financiers) à ceux qui offrent ces véhicules en quantité suffisante. La technologie apportera aussi son lot de changements dans la façon d'utiliser les transports individuels, où on entrevoit une augmentation des services d'auto-partage électrifiés à conduite autonome tout comme la démocratisation des voitures interconnectées, ce qui aidera aussi à diminuer la congestion routière. Finalement, les infrastructures de recharge et de soutien balisé aux véhicules à conduite autonome sont la clé du succès pour alimenter des véhicules électriques aux quatre coins de la province. Le fardeau revient au Ministère des Transports, tel que recommandé dans le passé lors de notre mémoire à la Commission sur les Enjeux Énergétiques. L'autoroute bleu Puisque nous sommes très dépendant sur les avancées technologiques pour l'autonomie et le coût des batteries qui permettront d'électrifier nos flottes de voitures et camions, il sera important que le Québec puisse se doter de solutions de rechange en attendant que 100% des transports puissent être logiquement électrifiés. La solution qui est privilégiée présentement par le gouvernement est le gaz naturel, extrait localement ou crée par biométhanisation des déchets organiques, ce qui permettra aussi au Québec d'atteindre ses objectifs de réduction de déchets organiques dans les dépotoirs, et créer de l'énergie qui pourra remplacer l'essence dans les véhicules utilisés pour le transport des marchandises, local et interurbain. Outre la réduction de GES, les bénéfices environnementaux, sociaux et économiques des VÉ améliorent notre qualité de vie au quotidien. Article à lire: Étude KPMG sur l'impact financier mondial des changements climatiques: de 70-100 milliards$ par année pour s'adapter ![]() Saint-Hyacinthe, en Montérégie, devient la première municipalité québécoise à transformer des matières organiques en gaz naturel afin d'alimenter sa flotte de véhicules municipaux. La Ville a inauguré son nouveau Centre de valorisation des matières organiques, où les déchets de 23 municipalités et d'entreprises agroalimentaires de la région seront traités. Il s'agit d'un projet de près de 50 millions de dollars auquel ont participé les gouvernements fédéral et provincial. Saint-Hyacinthe a acquis une technologie européenne pour traiter les déchets organiques dans son nouveau centre. Les résidus issus des bacs bruns des citoyens et des entreprises sont d'abord broyés pour produire un consommé, qui est ensuite versé dans les biodigesteurs de l'usine de biométhanisation de Saint-Hyacinthe, déjà en opération depuis 2010. Une flore bactérienne digère ensuite ce consommé et le transforme en biométhane qui, une fois purifié, devient du gaz naturel. Au départ, sept véhicules municipaux seront propulsés par cette source d'énergie, mais l'objectif est d'en alimenter une cinquantaine éventuellement. La Ville espère ainsi économiser plus d'un demi-million de dollars par année en carburant et en chauffage de ses véhicules. Les surplus vendus à Gaz Metro Saint-Hyacinthe a aussi conclu une entente de principe pour vendre les surplus de gaz naturel générés, jusqu'à 13 millions de mètres cubes par année, à Gaz Metro. Un premier accord du genre a déjà été rejeté par la Régie de l'énergie, mais le directeur général de la Ville, Louis Bilodeau, croit que cette fois-ci sera la bonne. « C'est sûr qu'on est confiant d'obtenir l'autorisation du côté de la Régie de l'énergie. Le dossier est plus attaché, mieux ficelé. On a beaucoup plus d'appuis qu'on pouvait avoir au départ. Le dossier gagne à être connu et assurément, on aura ce qu'il faut pour aller de l'avant. » L'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique salue l'initiative de la Ville de Saint-Hyacinthe et y voit la preuve qu'il est possible de produire de l'énergie à partir de matières organiques putrescibles. Son président, André Bélisle, espère maintenant que d'autres municipalités emboîteront le pas. « Il faut que les gens voient. C'est un peu bête, mais comme on dit, il faut y toucher pour en avoir la conviction. Maintenant, on voit très bien que ça fonctionne et que c'est payant. »— André Bélisle, président de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique Le gouvernement Couillard, lui, voit dans ce projet un élément important pour tenter d'améliorer le bilan de la province en matière de récupération des matières organiques. Le Québec accuse un retard important à cet égard. Selon une étude de Statistique Canada publiée l'an dernier, la province se classe bonne dernière au Canada pour ce qui est du compostage par ménage, avec un taux de 42 %, loin derrière l'Île-du-Prince-Édouard, la Nouvelle-Écosse ou l'Ontario. De plus, selon la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles, le gouvernement vise un objectif de récupérer 60 % des déchets organiques d'ici 2015. Or, la province demeure loin de la cible, avec un taux qui n'atteint même pas 40 %. Le ministre du Développement durable, de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, David Heurtel, demeure néanmoins optimiste. « Par la magie gouvernementale, l'année 2015 se termine le 31 mars 2016. [...] Alors, on a encore un peu de temps. [...] Il y a des résultats encourageants, il y a moins de matières qui se retrouvent dans le trou, on recycle plus. [...] Il y a du chemin à faire, mais nous sommes sur la bonne voie. » Le Québec s'est donné pour objectif d'interdire l'enfouissement des déchets organiques putrescibles en 2020. Source: Radio-Canada Contribution: Simon-Pierre Rioux ![]() Aujourd'hui marque le début d'une ère nouvelle au Québec pour l'électromobilité, alors que la première borne rapide à courant continu (BRCC) publique a été déployée en présence de nombreux dignitaires du gouvernement; l'AVÉQ était présente pour représenter ses membres. Annoncées en grande pompe lors de la présentation de la Stratégie d'électrification des transports du Parti Québécois en novembre 2013, les bornes rapides faisaient partie intégrante d'une planification permettant l'essor de la voiture électrique au Québec. Initialement testée comme projet-pilote à Boucherville durant l'année 2012-13, la première borne rapide au standard CHAdeMO (auquel souscrit les manufacturiers japonais et coréens) a démontré hors de tout doute la pertinence d'utiliser ce type de borne dans un climat tempéré comme celui du Québec. Mais avec l'avènement d'un nouveau standard utilisé par les constructeurs automobiles européens et américains nommé "CCS Combo", et les régulières défaillances de la borne AeroVironment qui fut installée à fort prix, les responsables du Circuit Électrique ont préféré faire développer localement une solution de recharge plus abordable qui répondrait aux exigences de notre climat ainsi qu'aux deux types de standards pour la recharge à haute vitesse. Développée par la compagnie québécoise AddÉnergie Technologies, la borne rapide SmartDC [TM] qui sera déployée par le Circuit Électrique offre une puissance de recharge à 50 kW de 126A à 390V pour une recharge en moins de 30 minutes pour les véhicules électriques possédant l'option du port de recharge haute vitesse CHAdeMO [Nissan LEAF, Mitsubishi iMiev, Kia Soul EV, ZERO Motorcycles avec adaptateur, Tesla Model S avec adaptateur] ou un port CCS-Combo [Chevrolet Spark EV, BMW i3]. Cette borne a été testée en laboratoire ainsi qu'à deux emplacements privés (Montréal et Québec) afin de s'assurer de son parfait fonctionnement, avec plus de 1,000 recharges à son actif. La technologie de recharge rapide est à point, les véhicules sont disponibles, et les prix sont plus accessibles. De nouveaux corridors sont à prévoir Bien que le projet-pilote de l'autoroute 40 entre Montréal et Québec soit d'une durée de 2 ans, le Ministère des Transports (MTQ) n'a pas l'intention d'attendre les résultats de l'étude pour aller de l'avant avec l'électrification d'autres corridors de recharge. Les corridors planifiés sont:
D'autres BRCC seront installées par le Circuit Électrique chez certains de leurs partenaires, ainsi que par le Réseau VER, le Réseau AZRA, et d'autres regroupements/coopératives présentement en organisation légale. Nous avons aussi appris que le Car Charging Group (US) avait un intérêt à électrifier nos routes. La logique dicte que des tronçons reliant les plus grands marchés VÉ (Laurentides-Montréal-Estrie) soient rapidement électrifiés par les réseaux privés qui ont intérêt à profiter de la lenteur gouvernementale pour profiter d'un avantage concurrentiel, en offrant aux électromobilistes et à tous ceux qui souhaitent le devenir des BRCC à des haltes stratégiques et populaires le long des autoroutes et en périphérie des grandes villes, en gagnant la loyauté de ceux-ci. Les bornes rapides augmentent les parts de marché des VÉ Avec des bornes rapides sur les autoroutes et en périphérie des grandes villes, on verra le nombre de véhicules électriques augmenter sur nos routes, que ce soit pour des particuliers, pour la livraison locale par des commerces (pharmacies, restaurants, etc...), par les commis-voyageurs, pour les taxis urbains. La grande particularité de l'installation de bornes de recharge rapide BRCC est qu'elles offrent aux consommateurs le choix d'utiliser la voiture électrique avec toute la liberté d'une voiture traditionnelle mais à un coût plus abordable. Que ce soit aux États-Unis, en Norvège ou au Japon, on a pu observer l'augmentation importante des ventes de VÉ le long des tronçons d'autoroutes électriques. Ce sont surtout les voitures entièrement électriques offrant un port de recharge rapide qui profiteront de ces infrastructures de BRCC et qui verront leurs ventes grimper en flèche suivant l'éducation populaire. L'impact des ventes ne saurait se faire sentir avant plusieurs mois, puisque le public en général ne sera pas bien renseigné par rapport aux avantages de ces bornes. Un programme d'éducation populaire serait le bienvenue dans cette instance, pour les consommateurs, les journalistes et les vendeurs de voitures. Le communiqué de presse officiel ainsi que de nombreuses photos seront publiées dans les prochaines heures. Roulez Électrique a rendu public aujourd'hui la tenue d'une conférence de presse, vendredi 26 septembre 2014, à Maskinongé. Deux ministre du gouvernement du Québec, le député de Maskinongé, un représentant d'Hydro-Québec et plusieurs acteurs de l'électromobilité seront sur place. Les travaux semblent terminés sur le site, aux abords de l'autoroute 40. Une boite en bois contreplaqué cache ce qui semble être une borne de recharge à courant continu (BRCC), de par son envergure. Quelle borne se cache sous cette boite ? - Une borne AeroVironment (comme celle de Boucherville) ? - La nouvelle borne d'AddÉnergie SmartDC, qui était en développement en mars dernier (dont l'AVÉQ avait obtenu les détails sur les avantages) ? - Autre ? Source : roulezelectrique Contribution : Richard Lemelin , membre AVÉQ Mise à jour: La borne sous la boîte est bien la SmartDC d'AddÉnergie, puisque c'est le fabricant qui a gagné l'appel d'offre d'Hydro-Québec pour les bornes rapides. AeroVironment n'est plus sur la liste des contractants du Circuit Électrique.
La primeur a été présenté sur notre site il y a deux jours: Qu'y a-t-il dans la boîte? Une surprise?!? On remarque ici que les poteaux jaunes ont été retirés, probablement pour les séances photos, et seront remis avant l'hiver pour protéger les bornes d'un éventuel dommage. Il est important de rappeler que contrairement à ce qui circule dans les médias sociaux, l'événement privé de demain est réservé aux journalistes et médias. Ceux qui ont l'intention de s'y présenter et qui ont besoin d'une recharge pour revenir à la maison risquent d'attendre très longtemps, puisqu'on attend une trentaine de personnes. Nouvelles fraîches... (2014-09-22) (source: Mario L.)
Aire de services de Maskinongé... =-=-=-=-=-=-= La borne L2 est installée, alimentée mais pas encore en fonction. La borne L3 semble être dans l'immense boite en bois que vu juste à coté de la borne L2. Donc... c'est pour bientôt. Village relais - La porte de la Mauricie : =-=-=-=-=-=-= Au pif... les travaux vont commencer sous peu. La zone de travaux est délimitée et protégée par des chevalets... Les marques, les piquets... tout est là... Donc... à suivre. Aire de service "À la pointe-du-jour": =-=-=-=-=-=-= ... Rien à signaler pour le moment.
C'est ainsi que se termine la semaine "National Drive Electric Week" pour sensibiliser la population aux avantages de rouler électrique, et de simplement les informer que les voitures électriques sont bel et bien disponibles en Amérique! Merci à tous nos bénévoles aux quatre coins de la province de leur support! Bonne nouvelle pour tous les électromobilistes du Québec en ce qui concerne le projet-pilote de la A-40 QC-MTL:
LES TRAVAUX SONT DÉBUTÉS! Les travaux pour la borne 240V vont bientôt commencer à l'aire de service Cap-de-Pierre (4 photos ci-bas). À l'aire de service Baie-Maskinongé (les 2 au bas complètement), l'excavation est faite et le câble d'alimentation est rendu. L'installation des bornes rapides BRCC devrait se faire d'ici la fin du mois de septembre. Par contre, la mise en service pourrait prendre plusieurs jours pour s'assurer des connexions cellulaires et du bon fonctionnement du système de paiement. Un début d'automne fort excitant s'annonce pour tous nos membres, avec des installations aussi prévues par le Réseau AZRA et un prototype de BRCC provenant de chez ELMEC en test à Trois-Rivières et Shawinigan. Un gros merci à nos membres Daniel B. & Mario L. pour les photos! Si nos membres ont d'autres photos à nous faire parvenir, n'hésitez pas! Nous voulons connaitre l'état des lieux pour Drummondville, Trois-Rivières, Deschambault, Lavaltrie, Yamachiche, et Berthierville!! Lire notre article "BRCC sur la A-40" pour en connaitre plus sur ce projet-pilote [lien] ![]() Le gouvernement du Québec envisage la conversion à l’électrique de certaines de ses camionnettes. Les moteurs thermiques de deux d’entre elles ont été remplacés par des moteurs électriques. Celles-ci rouleront sur les routes de la province dès le mois d’octobre. Voici les grandes lignes de ce programme. « Nous sommes en phase d’essai. Nous évaluerons comment ça se déroule avant d’aller plus loin. Il faut voir si ça fonctionne sur le plan technique et si ça tient la route sur le plan financier », dit Marc-André Bois, chef des acquisitions au Centre de gestion de l’équipement roulant (CGER) du ministère des Transports du Québec. Le programme, autorisé par la Société d’assurance automobile du Québec (SAAQ), consiste à la conversion électrique de deux camionnettes gouvernementales de modèle Ford F-150 2010. L’initiative s’inscrit dans un contexte plus large : la Stratégie d’électrification des transports du gouvernement du Québec par laquelle les instances gouvernementales québécoises s’engagent à électrifier une partie de leurs flottes. D’ici 2017, celles-ci devront compter 2000 véhicules électriques ou hybrides. Le CGER est la pierre angulaire de cette stratégie. Le Centre gère un parc d’environ 9000 véhicules et équipements dont déjà près de 300 sont électriques, ce qui représente environ 10 % des véhicules électriques de la province. GranTuned Automobile, une entreprise affiliée à l’École de technologie supérieure (ÉTS), assure la modification des véhicules. Une douzaine de professeurs, de chercheurs et de conseillers d’affaires de l’ÉTS ont travaillé au projet. Andy Ta est cofondateur et président de GranTuned Automobile. Il rappelle qu’aucun des grands constructeurs de camionnettes n’offre actuellement de modèle électrique. Il précise du même souffle que la conversion se révèle, au fil des ans, moins onéreuse que l’achat d’un nouveau véhicule. Le CGER débourse en moyenne 25 000 $ pour l’achat des véhicules qui, après plus ou moins six ans, sont revendus à des prix qui varient entre 3000 et 8000 $. AVANTAGES DE LA CONVERSION La conversion à l’électrique serait particulièrement avantageuse pour les véhicules à usage intensif. « Nous avons des véhicules que nous usons de façon prématurée; des véhicules qui font plus de 200 000 kilomètres en moins de deux ans, par exemple », indique Marc-André Bois. Car voilà, la valeur de revente des véhicules à usage intensif est plombée par l’usure du système motopropulseur. Toutefois, la carrosserie et les autres composantes sont toujours en bonne condition. Qui plus est, en raison de sa très longue durée de vie, un système électrique pourra servir à plusieurs véhicules. Certes, la conversion à l’électrique est une voie considérée par le CGER. Marc-André Bois répète toutefois que l’électrification de deux camionnettes n’est qu’une phase exploratoire. Rien n’indique que le gouvernement empruntera nécessairement cette route. Source: La Presse + ![]() Donner une deuxième vie aux camionnettes en les convertissant à l'électrique. Voilà la mission que s'est donnée GranTuned Automobile, jeune entreprise soutenue par le Centech, l'incubateur d'entreprises de l'ÉTS. Andy Ta est un passionné. L'étudiant à l'École de technologie supérieure (ÉTS) estime que la lutte aux changements climatiques passe par l'électrification des transports. C'est ce qui l'a poussé à fonder en 2011 avec un ami, Meng Lim, GranTuned Automobile. Pour l'essentiel, l'entreprise propose de remplacer le moteur thermique d'origine de véhicules à forte consommation par un système motopropulseur électrique à la fine pointe de la technologie. «Nous, ce qu'on vise, ce sont des véhicules de moins de quatre ans et de plus de 200 000 kilomètres. Des véhicules à usage intensif dont le moteur va s'user rapidement, comme des véhicules de patrouille ou de livraison», dit Andy Ta. Une fois converties, ces camionnettes servent en milieu urbain. Environ 15% des véhicules des grandes flottes répondraient à ces critères. L'opération est toutefois plus complexe qu'il n'y paraît. Chaque véhicule modifié doit répondre à de nombreuses normes de sécurité. Andy Ta cite l'exemple du sac gonflable, dont la sortie lors d'un impact dépend d'une multitude de facteurs dont les matériaux utilisés et le poids du véhicule. «Avec une telle transformation, tous les paramètres de sécurité doivent être réévalués», indique-t-il. Voilà qui explique le coût élevé d'une conversion à l'électrique. Celle-ci oscillerait entre 25 000 et 30 000$, une somme similaire au prix d'achat de ce type de véhicule. Andy Ta soutient que les avantages résident dans les économies qu'un propriétaire de parc fera au fil des ans. Selon ses estimations, un moteur électrique permettrait de réduire de moitié les frais annuels d'entretien et de 90% les dépenses - carburant et autres - pour chaque tranche de 20 000 kilomètres parcourus. «Annuellement, l'utilisateur va économiser 30%», ce qui représenterait plus de 5000$, estime-t-il. Les émissions de gaz à effet de serre (GES) devraient pour leur part être réduites de neuf tonnes par année. Qui plus est, la longévité du moteur électrique pourrait atteindre 20 ans, voire 1 million de kilomètres. Du coup, le système propulseur électrique peut aisément être réutilisé dans d'autres véhicules de la même catégorie. À l'heure actuelle, GrandTuned travaille sur un projet avec le Centre de gestion de l'équipement roulant (CGER) du ministère des Transports du Québec. Celui-ci consiste à convertir à l'électrique deux camionnettes gouvernementales de modèle Ford F-150 2010. Il ne s'agit là que du premier pas, laisse entendre Andy Ta. Le potentiel du marché serait notable. Il rappelle qu'il s'est vendu «7,7 millions de camionnettes» au Canada et aux États-Unis au cours des cinq dernières années. De ce nombre, 3% auraient les deux caractéristiques recherchées par l'entreprise, soit faire partie d'un parc et être un véhicule à usage intensif. Au Québec seulement, cela représenterait un marché potentiel de près de 6000 camionnettes, selon les estimations de GranTuned Automobile. L'entreprise cherche actuellement des investisseurs qui lui donneront les moyens de ses ambitions. GranTuned Automobile est en négociation avec un fonds d'investissement québécois intéressé par sa technologie. Source: La Presse Affaires ![]() Le Circuit électrique est fier d’annoncer qu’il s'apprête à franchir le cap des 3 000 membres. « De nouveaux membres adhèrent au Circuit électrique tous les jours. Depuis la fin août seulement, 150 conducteurs se sont procuré une carte de membre de notre réseau, explique Pierre-Luc Desgagné, vice-président – Affaires publiques et gouvernementales et responsable en matière d'électrification des transports à Hydro-Québec. Notre intention est de maintenir le rythme de déploiement des bornes pour être en phase avec les besoins de nos clients. » Le modèle d’affaires mis en place par Hydro-Québec est unique en son genre, puisqu’il s’appuie sur un partage des coûts avec les partenaires privés, publics et institutionnels qui ont décidé de se joindre au Circuit électrique. À l’heure actuelle, plus de 70 entreprises, institutions et municipalités visionnaires ont adhéré au modèle du Circuit électrique et ont investi dans ce réseau par l’achat et l’installation de bornes. En payant pour les bornes et en assumant les coûts liés à leur installation, les partenaires du Circuit électrique soutiennent avec force l'électrification des transports au Québec. « Le succès du Circuit électrique est le fruit d’une collaboration exemplaire entre Hydro-Québec et les partenaires privés et institutionnels au bénéfice des utilisateurs de véhicules électriques rechargeables. Ces derniers ont maintenant accès à 300 points de recharge. Nous nous maintenons à l’avant-garde en terme d'accès à la recharge publique de véhicules », conclut Pierre-Luc Desgagné. Au cours de l'automne 2014, l'offre du Circuit électrique sera bonifiée avec l'ajout de plusieurs bornes rapides à 400 volts. Ces nouvelles bornes offriront un service complémentaire au réseau de bornes de recharge à 240 volts. L’expérience acquise pendant la période d’essais d'une borne à 400 volts à Boucherville démontre que la technologie est mûre et que le marché pour ce type de service est croissant. Les utilisateurs du Circuit électrique bénéficient d’un service d’assistance téléphonique 24 heures sur 24 exploité et géré par CAA-Québec ainsi que d’un service de repérage de bornes. Le site Web,lecircuitelectrique.com(Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre), et l’application mobile du Circuit électrique pour iOS(Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre) et Android(Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre) sont mis à jour au fur et à mesure que de nouvelles bornes sont déployées. Rappelons finalement que la recharge principale d’un véhicule électrique rechargeable se fait à la maison, là où le véhicule est stationné la majeure partie du temps. Le Circuit électrique offre donc un excellent service de recharge d'appoint pour les conducteurs qui souhaitent prolonger l’autonomie électrique de leur véhicule. Source: Hydro-Québec Grand Prix de Formule E: une occasion manquée pour le Québec
par Hélène Baril, La Presse Affaires Extrait intéressant: "L'homme d'affaires Harold Leclerc croyait fermement au projet pour être la vitrine de la technologie développée au Québec [NDLR: en 2008!] GreenPrix Racing, l'entreprise qu'il a formée pour promouvoir le projet, a été refroidie par la crise financière de 2008." Commentaire: Tout comme Sylvain Castonguay du CNTA, l'AVÉQ s'est impliquée à approcher Octane et d'autres pour la tenue d'une course au Québec, mais l'intérêt n'y était pas, même si le coût est dix fois plus bas que pour la F1. On ne veut pas prendre de chance avec un nouvel événement. Octane voulait une implication financière de la ville de Montréal et des deux paliers de gouvernement, bien qu'il devait initialement gagner son pari de garder la F1 à Montréal au début de l'été. Grand Prix de Formule E: 225 km/h en pleine ville par Hélène Baril, La Presse Affaires Commentaire: Bon résumé, belle compréhension de l'événement, très bien présenté. La Formule-E met le cap sur Pékin AFP, La Presse Auto Extrait intéressant: "Plus de la moitié des pilotes engagés portent un nom rendu plus ou moins célèbre par la catégorie-reine du sport auto, la Formule 1, ce qui va bien aider l'image et la notoriété de la nouvelle formule: les fils d'Alain Prost et Nelson Piquet, le neveu d'Ayrton Senna, soit 10 titres mondiaux à eux trois, sont trois vrais pilotes. Grâce à leur patronyme, Nicolas, Nelson Jr et Bruno seront aussi des têtes d'affiche de la Formule E. Les favoris, sur le papier, sont un Suisse et un Brésilien, Sébastien Buemi et Lucas di Grassi" Tesla: premiers «superchargers» au Canada par Sébastien Templier, La Presse Auto Extrait intéressant: "Étant donné les distances Toronto-Cornwall (436 km) et Cornwall-Québec (372 km), les deux versions de la Model S équipées du bloc-batterie de 85 kWh pourront rallier ces villes en une seule charge, à condition de ne pas avoir le pied trop lourd sur l'accélérateur. Si l'on se fie à son autonomie calculée par l'EPA - 335 km -, la version équipée du bloc de 60 kWh ne le permettra pas. " Commentaire: Prochains Superchargeurs au Canada: Ontario (+4), C-B (+4), Alberta (+2), Québec (+1). Pourtant, Tesla Motors va ouvrir sa plus grande salle de montre d'Amérique du Nord (45,000 pc) à Montréal. Pas en Ontario ou en Colombie-Britannique. Et pourtant, un seul Superchargeur au Québec. Trouvez l'erreur. Il y a une rumeur qui court dernièrement, voulant que des bornes de recharge rapide du manufacturier ABB soient en sol québécois. Nous aimerions taire ces rumeurs une fois pour toute... :) Répétez après moi: «Il n'y a pas de bornes rapides ABB au Québec, ce ne sont que des rumeurs infondées» ;)
![]() Depuis quelques années maintenant, le Podcast Auto présente des essais routiers, des analyses approfondies de l'actualité automobile, et on y discute de tout ce qui est auto, avec un style ludique et irrévérencieux. À l’émission cette semaine; On parle de voitures électriques avec Simon-Pierre Rioux, de l’AVÉQ, qui fait un compte-rendu de sa première année au volant d’une Nissan Leaf. On discute aussi du future de la voiture électrique et des réseaux de bornes rapides du Réseau AZRA. Animé par Luc Desormeaux. Avec Simon-Pierre Rioux. Une belle émission où on a pû discuter char électrique de manière divertissante! Un rendez-vous régulier à ne pas manquer!! ![]() Le 26 août 2014, à l'annonce du futur Réseau AZRA de bornes de recharge rapide, le site de l'AVÉQ a encaissé 11,499 hits en 24 heures. C'est très certainement notre record à date, qui démontre aussi l'intérêt que suscite les bornes rapides BRCC auprès de la communauté électrique. Si vous prévoyez prochainement acheter un véhicule électrique, nous vous conseillons fortement de choisir le modèle avec le port de recharge rapide pour profiter pleinement de votre VÉ sans restriction. Restez bien branché sur le site de l'AVÉQ pour les plus récentes annonces concernant les BRCC, nous vous réservons des surprises et des exclusivités à ne pas manquer!! L'AVÉQ tient aussi à féliciter les dirigeants de l'entreprise privée Réseau AZRA pour leur engagement, leur persévérance, leur passion, et leur conviction à vouloir électrifier nos routes afin de faire avancer l'électromobilité au Québec. Ces chiffres prouvent que nos membres vous soutiennent dans vos démarches, et ont très hâte de devenir membre de votre réseau.
Pour la première fois au Québec, nous sommes fiers de vous présenter les possibles premières bornes rapides qui devraient être en opération d'ici la fin de l'année 2014
Le Circuit Électrique (7 carrés rouge) Nous savons tous depuis un certain temps que le Ministère des Transports du Québec met en oeuvre un projet-pilote sur l'autoroute 40 entre Montréal et Québec avec des bornes rapides BRCC, en plus d'une BRCC à Drummondville à proximité du SuperCharger de Tesla sur l'autoroute 20. De plus, n'oublions pas la seule BRCC au Québec présentement en fonction, celle de Boucherville. Bornes ELMEC (2 icônes verts) Il y a quelques semaines, le manufacturier ELMEC de Shawinigan a laissé savoir qu'il testerait deux bornes rapides au début octobre à Shawinigan et Trois-Rivières. AZRA Réseau (10 bornes jaunes) Bien qu'elles n'ont pas encore été divulguées officiellement, notre membre MbJ a publié sur nos forums les emplacements de dix futures haltes routières AZRA. On peut facilement déduire que des BRCC s'y trouveront. Outre la borne rapide de Boucherville qui est au standard CHAdeMO, les 18 autres bornes des différents réseaux offriront le double standard CCS-Combo ainsi que le CHAdeMO. Nous ne comptons pas les deux bornes privées du RéseauVER qui sont présentement en tests dans la ville de Québec ainsi que dans la ville de Montréal, car elles resteront fort probablement privées. Ce portrait incomplet reste tout de même une belle représentation de ce que notre autoroute électrique aura l'air dans quelques mois. L'électromobilité au Québec ne sera plus jamais pareille suite à l'installation de ces bornes, et devrait permettre une accélération des ventes de véhicules 100% électriques possédant le port de recharge rapide. Le futur semble de plus en plus vert! Et ça nous plait. BEAUCOUP! Note: Les emplacements identifiés sont au niveau des villes, la précision des icônes n'est pas présente. C'est un survol préliminaire de ce qui est appelé à devenir notre futur. Rien ne sert de zoomer pour voir l'adresse exacte! Depuis sa création en avril 2013, l'AVÉQ a toujours soutenu l'idée du déploiement de bornes de recharge rapide (BRCC) pour accélérer la pénétration des véhicules purement électriques dans la province. Diminuer notre dépendance aux importations de pétrole, améliorer notre économie, soutenir les acteurs en électromobilité dans la province, et surtout répondre à l'appel des propriétaires de voitures électriques sont autant de facteurs qui nous stimulent à faire avancer ce projet de société dont nous pourrons tous être fiers. Déjà, nos actions auprès du gouvernement et des compagnies privées ont porté fruit. Nous avons tissé des liens solides avec de nombreux entrepreneurs pour permettre au Québec d'atteindre cet objectif d'électrification. Nous aurons plusieurs annonces pour vous dans les prochaines semaines. Aujourd'hui, nous voulons vous proposer le premier volet de notre projet: « 100 BRCC pour un Québec électrifié »Depuis plusieurs semaines déjà, de nombreux collaborateurs ont offert de leur temps pour nous aider à tisser un futur réseau de BRCC à travers la province, en trouvant des sites d'installation potentiels qui seraient intéressants pendant l'attente, et situés près des routes principales. De nombreux sites dans les grandes villes et en périphérie ont aussi été recommandés. Ces bornes doivent offrir une recharge CHAdeMO et CCS-Combo à 50 kW. Les couloirs de recharge aux stations doivent être à sens unique. Placées près de pompes à essence, pour stimuler la conversation et les échanges. Nous vous présentons un aperçu de ce que pourrait avoir l'air un futur réseau de bornes rapides. C'est beau n'est-ce pas? Ça fait rêver, même! Est-ce réalisable par le gouvernement? ![]() Le corridor Montréal-Québec du Circuit Électrique Déjà, nous savons que le réseau public du Circuit Électrique accueillera 5 bornes de recharge rapide sur l'autoroute 40 entre Montréal et Québec. Cette borne conçue par AddÉnergie fait ce qu'une BRCC doit faire: charger rapidement. Nous pouvons vous annoncer que c'est la borne la plus rapide que nous ayons eu la chance de tester, et que le système de ventilation est très efficace pour éviter la surchauffe. Déjà, plus de 1000 recharges-tests ont été effectués avec différentes voitures électriques pour s'assurer d'une excellente compatibilité. Cette borne SmartDC est prête et fonctionnelle. Des retards Dès novembre 2013, on anticipait un déploiement de ce corridor par le MTQ pour la première moitié de l'été 2014, mais quelques problèmes que nous ne sommes pas en mesure de vous partager ont freiné les travaux. Officiellement, on parle maintenant d'une mise-en-service pour la fin de l'automne. Nous aurons donc manqué la très importante période estivale, et sachez que tous les responsables du projet en sont extrêmement déçus et navrés. Un projet-pilote de 2 ans Tel que rapporté dans nos forums par Gilles Lavoie du Ministère de l'Environnement et des Ressources Naturelles (MÉRN), ce corridor est un projet-pilote d'une durée de 2 ans!!! Vous avez bien lu: deux ans. On veut y évaluer l'utilisation de ces bornes par les électromobilistes, les temps et nombres de recharges selon les saisons, bref déterminer si l'investissement pour d'autres corridors est légitime pour le gouvernement en ces temps de coupures budgétaires. Le projet-pilote prendra fin le 31 décembre 2016, en même temps que les incitatifs financiers de 8000$ à l'achat d'un VÉ. Pourtant, il a été démontré à maintes reprises lors de déploiement similaires d'autoroutes électriques que leur impact sur les ventes de VÉ était significatif, en plus de stimuler l'économie locale et soutenir les emplois. Nous avons partagé au Ministère des Transports (MTQ) notre désarroi et notre désaccord face à cette période d'évaluation inutile et interminable; on nous a répondu qu'il était trop tôt pour conclure que cela ralentirait les autres corridors prévus, donc qu'il n'est pas impossible que des travaux sur de nouveaux sites soient approuvés pendant le projet-pilote. Et une solution Vous êtes plusieurs à nous avoir proposé des solutions utilisant le micro-financement, un projet de coopérative, l'appel aux plus fortunés, ou des dons de toutes sortes. Soyez assurés que tous vos commentaires dans nos articles et dans nos forums ont été lus et considérés. Selon nous, le gouvernement peut y aller à son rythme, car les entreprises privées ont intérêt à profiter de ce laps de temps pour envahir et stimuler le marché. Rêve ou réalité? La réponse dans quelques semaines... ![]() Le voile a finalement été levé aujourd'hui sur la future borne rapide à courant continu (BRCC) du constructeur Elmec de Trois-Rivières. En effet le fabriquant de la borne domiciliaire EVduty 240V 30A a annoncé via son distributeur RoulezÉlectrique.com que la première borne à haute-vitesse fabriquée au Québec sera vraisemblablement en fonction avant les bornes SmartDC d'AddÉnergie de Québec. La BRCC ELMEC offrira les standards CHAdeMO et CCS Combo à 50 kW, mais les deux pistolets ne pourront être utilisés simultanément selon son concepteur, Jean-Marc Pittet, et ce par souci d'offrir la recharge la plus rapide possible. Bien que nous ne pouvons rien confirmer pour l'instant, une rumeur veut que le fabriquant français IES Synergy soit le manufacturier des modules utilisés dans «une future borne rapide de fabrication québécoise» que l'on déduit être le fabricant ELMEC. Les modules KeyWatt de 12.5 kW au standard CHAdeMO et CCS Combo 1 et 2 permettent d'être additionnés sans limite pour des puissances de 25 kW, 50 kW, voire 100 kW, fonctionnant en mode Maître ou BMS. Pour mieux tester la borne, une invitation sera lancée aux propriétaires de voitures électriques dans 6 semaines pour venir essayer la borne rapide ELMEC sur la route 138 à Trois-Rivières (l'adresse sera dévoilée à une date ultérieure) C'est une annonce que toute l'équipe de l'AVÉQ accueille avec jubilation; la rapidité d'exécution d'ELMEC associée au dévouement du meilleur ambassadeur VÉ qui soit, M. Sylvain Juteau, ne peut être qu'un atout majeur pour les propriétaires de voitures électriques, les futurs propriétaires, et toute l'industrie du transport. Source: Roulez Électrique
8-août: Correction sur les exigences de certification en mauve ci-bas. Seules les bornes de recharge ayant fait partie des appels d'offre pour équiper le Circuit Électrique ont à subir les épreuves de l'IREQ pour s'assurer de leur efficacité en climat hivernal; une exigence de qualité pour ce réseau uniquement. Voici une photo qui fait sourire: une ligne d'attente à des bornes de recharge rapide BRCC en Angleterre -- mais est-ce que c'est ce qui nous attend au Québec dans quelques semaines? En effet, cette scène semblerait familière dans plusieurs États américains et pays d'Europe où les BRCC sont en grande demande, puisque leur installation a stimulé les ventes de VÉ le long des axes où on retrouve ce type de borne de recharge. On s'attend à la même réponse du public québécois tant que les manufacturiers en feront la promotion. Le gouvernement du Québec s'implique en faisant l'achat et l'installation de ces bornes tant convoitées par les électromobilistes, mais qui en bénéficiera le plus? Les propriétaires actuels bien entendu, mais surtout les manufacturiers qui verront les ventes de leurs voitures électriques augmenter de façon significative. ![]() Autant qu'on peut admirer les publicités de Mazda qui vantent la frugalité d'essence de leur VUS CX-5 en avançant des prix par destination (Montréal-Toronto 54.60$ d'essence) - c'est exactement à quoi on pourrait être en droit de s'attendre des manufacturiers qui offrent des VÉ avec un port de recharge haute-vitesse: Nissan, Mitsubishi, BMW, Kia, Tesla (dans une moindre mesure - il faudra que le propriétaire s'équipe d'un adaptateur pour les bornes du MTQ), Chevrolet (sauf la Volt), et peut-être Via Motors. Avec une BRCC de disponible aux 50 kilomètres approximativement, et la possibilité de vérifier la disponibilité d'une borne à distance avec les applications mobiles, il sera toujours possible de s'aventurer un peu plus loin, ou de se recharger un peu plus tôt pour éviter ce genre de désagrément. Reste à déterminer si les instances gouvernementales ont prévu l'ajout facile d'une deuxième BRCC à un site qui deviendrait rapidement populaire? Les informations les plus récentes Jusqu'à maintenant, le Ministère des Transports (MTQ) n'offre pas beaucoup d'information sur l'échéancier du projet-pilote de l'autoroute 40. Ils auraient intérêt à mieux communiquer cette information pour que les manufacturiers puissent en faire la promotion. Ce n'est pas un secret d'État!! Selon ce que nous avons pu dénicher comme information, les BRCC d'AddÉnergie qui seront utilisées par le MTQ sous le réseau "Circuit Électrique" ne sont pas encore certifiées par les normes canadiennes CSA. De plus, cette nouvelle borne devra subir les test climatiques de l'IREQ avant d'être approuvée par le Circuit Électrique. Cette exigence de qualité pour s'assurer du bon fonctionnement des bornes dans nos conditions hivernales n'est applicable que pour le réseau de bornes de recharge d'Hydro-Québec et des manufacturiers qui participent aux appels d'offre de notre société d'État. Cela signifie que cette exigence n'est pas requise pour d'autres réseaux; tant qu'elles sont approuvées CSA, elles peuvent être installées sur le territoire québécois. Mise-à-jour: Une signalisation routière sera dévoilée "prochainement" pour bien identifier les BRCC à proximité sur l'autoroute, et à l'intérieur du site pour faciliter leur accès. Une belle initiative qui fera sûrement jaser les automobilistes qui emprunteront l'autoroute 40! Mise-à-jour 2: La compagnie "Pancarte Bleue" responsable de ces pancartes nous a laissé savoir qu'ils n'étaient pas au courant d'une telle signalisation. Ce qui signifie que la signalisation est certainement pour l'intérieur d'un complexe, et ne se retrouvera pas sur l'autoroute - ce qui aurait été une excellente idée que nous gardons en tête. ![]() Lors de son allocution à la Tour de la Bourse cet après-midi, M. Pierre Arcand, ministre de l'Énergie et de l'Environnement a mentionné très clairement que des bornes de recharge haute vitesse (BRCC) seraient installées cette année non seulement sur l'autoroute 40 tel que l'AVÉQ vous a déjà présenté de manière détaillée en grande primeur, mais aussi sur l'autoroute 20. Donc, outre la borne privée SuperCharger de Tesla Motors qui sera installée à Drummondville sur la QC-20, d'autres bornes rapides 480V du MTQ seront disponibles sur cette autoroute, une information qui nous a été confirmée par un cadre du Circuit Électrique. Une borne sera installée justement près du SuperCharger Tesla. Analyse de la situation Puisque le corridor Montréal-Québec sera déjà complété sur la QC-40, il serait étonnant qu'on ajoute d'autres bornes entre ces deux villes sur la rive-sud du St-Laurent et redoubler le même parcours. On pourrait ainsi imaginer que des bornes pourraient être installées sur un 2e corridor tel que Québec-Rimouski, ce qui est peu probable à cette étape-ci dû au nombre limité de VÉ empruntant cette route versus le potentiel plus important que possèderait des autoroutes comme la QC-15 Laurentides ou QC-10 Estrie. Autres corridors Il est aussi possible qu'on complète le corridor entre Montréal et la 401 pour relier le Québec aux futures BRCC des haltes routières ONroute de la 401 en direction de Toronto. Selon nos plus récentes informations, le discours du trône du gouvernement Libéral de Kathleen Wynne aura lieu demain après-midi, suivra plus tard un vote sur le budget qui possédera une enveloppe spécifiquement pour ce projet - rien n'aboutira avant la fin juillet. Tel que présenté en primeur à notre AGA, l'AVÉQ collabore présentement avec les directeurs de ce projet, tout comme nous travaillons avec l'État de New York pour sa 2e phase de financement des bornes de recharge pour ouvrir des corridors avec le Québec, ainsi qu'avec l'État du Vermont pour parachever le corridor Montréal-Burlington avec des BRCC. Toutefois, on prévoit que ce sera entre MTL et QC à nouveau que de nouvelles BRCC seront installées sur la 20... C'est une excellente nouvelle, très inattendue, qu'on nous a présenté aujourd'hui, que nous saluons!!! Les autoroutes électriques s'en viennent, c'est merveilleux! C'est un gros facteur à l'adoption des VÉ qui se pointe à l'horizon au Québec...... Si vous aimez notre implication, aimez notre page FaceBook, et partagez nos liens d'articles avec vos amis! Permettez-nous de rejoindre le plus grand nombre de Québécois afin qu'on puisse les sensibiliser aux avantages des véhicules électriques!!
Bonjour, Je vous invite à visualiser cet excellent reportage du journaliste Martin Ross de V-Télé qui a été réalisé le soir de l'événement "Les Rendez-vous Branchés" organisé par Équiterre. Malheureusement, ce reportage est seulement passé sur la chaîne locale de Rimouski et il n'était pas disponible par internet. Nous avons dû filmer le reportage avec un iPhone à partir de la télévision alors vous verrez un reflet dans l'image. Néanmoins, le contenu est excellent et ce reportage mérite d'être écouté. Rémi St-Amant Délégué régional Bas-St-Laurent UN GRAND SUCCÈS, MERCI À TOUS!!!![]() C'est l'événement le plus important en développement durable au Québec en 2014 Du 6 au 8 juin au Parc Olympique de Montréal, le Projet Écosphère réunira plus de 200 exposants, et vous présentera 40 conférences [lien] sur tous les sujets possibles: champs électromagnétiques dans nos maisons, les hydrocarbures du St-Laurent, Fondation David Suzuki, le marché du carbone au Québec, la réduction de notre dépendance au pétrole, crise des changements climatiques, ville intelligente, maison autonome.... Mylène Paquette nous parlera de sa traversée de l'Atlantique en 129 jours; Steven Guilbeault discutera des changements climatiques; Maxim Martin et Gilbert Rozon nous ferons rire à la Soirée des Moins Sages; Dr Dominique Belpomme et Louise Vandelac nous renseigneront sur les recherches prometteuses sur le cancer; Marco Calliari, Nuzan Tara, et Madcooks nous ferons danser avec des musiques endiablées. ![]() Il y aura un espace pour enfants avec escalade, modules d'hébertisme, et modules pour tous les goûts, ainsi que des promenades en tracteur électrique!! Essais Routiers avec L’AVÉQ au 4141, av. Pierre-De Coubertin Venez rencontrer l’Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) qui seront présents samedi et dimanche afin de vous informer sur les avantages de conduire un véhicule électrique dans notre province, et aussi répondre à toutes vos questions concernant leur utilisation. Vous aurez aussi l’occasion unique de faire des essais routiers avec les populaires Nissan Leaf, Mitsubishi iMiev, Smart ED et Chevrolet Volt en compagnie des propriétaires. ![]()
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