![]() La Fondation Jeunes-PROJET invite le public à son double événement annuel gratuit pour tous: le Salon de l’Auto Verte et le Rallye Jeunes & Cie. En effet, le 3e Salon de l’Auto Verte organisé par la Fondation Jeunes-PROJET se tiendra cette année à la Place Portobello situé au 7250 boulevard Taschereau à Brossard, le dimanche 4 mai prochain de 11h à 16h. Cet événement est présidé par Desjardins Caisse de Brossard. Les visiteurs pourront y admirer plusieurs modèles de voitures hybrides, électriques ou écoénergétiques de marque Ford, Mitsubishi, Nissan, Toyota et Volkswagen. Ils auront aussi la chance de faire un essai routier au volant de certains modèles porteur d’un avenir plus vert, comme la Prius, la Leaf, la I-Miev et la Focus électrique. De plus, signalons la présence d’Équiterre et de l’AVEQ (l’Association des véhicules électriques du Québec) qui présenteront le documentaire : La revanche de la voiture électrique de Chis Paine et feront la promotion du mouvement d’électrification des transports. Vous aurez aussi la chance de discuter voiture électrique avec notre invité d’honneur, Jacques Duval qui sera présent dans la première partie de l’événement. Une équipe de bénévoles et différents commanditaires et entreprises participeront aussi à cet événement. L’entrée et les essais routiers sont gratuits. Le Rallye Jeunes & Cie donnera l’occasion à des jeunes du secondaire de se voir jumelés à un représentant d’une compagnie commanditaire qui deviendra alors leur copilote et conseiller, afin d’effectuer à l’extérieur un parcours-épreuve au volant d’une voiturette électrique. Cette année, la Fondation Jeunes-PROJET en est à sa 24e année d’existence. Au cours des ans, la Fondation Jeunes-PROJET a financé plus de 3000 projets de jeunes pour un financement total d’environ un million de dollars, apportant ainsi un soutien complémentaire aux programmes éducatifs des écoles et du ministère de l’Éducation du Québec.
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![]() Les Rendez-vous branchés, initiés par Équiterre en collaboration avec ses partenaires, le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles et Hydro-Québec, sont lancés aujourd’hui à Montréal, à la Maison du développement durable, en compagnie d’experts et de nombreux participants. Cette vaste campagne de sensibilisation s’est donné pour but de rejoindre et d’informer des milliers de citoyens sur l’électrification des transports au moyen d’une tournée qui s’arrêtera dans neuf villes du Québec : Montréal, Laval, Gatineau, Rimouski, Boucherville, Trois-Rivières, Saguenay, Québec et Sherbrooke. « L’électrification des transports au Québec représente une solution intéressante considérant que le transport routier est responsable de 42,5 % de nos émissions de gaz à effet de serre et de 75 % de notre consommation totale de pétrole », souligne Steven Guilbeault, porte-parole de la campagne et directeur principal d’Équiterre. « Pour obtenir un impact environnemental majeur et durable en matière de transport, ce passage vers l’électrification doit toutefois s’accompagner de mesures visant l’aménagement urbain ainsi que le développement des transports collectifs et actifs », a-t-il ajouté. Grâce à cette initiative, Équiterre démontre que l’électrification des transports gagne en popularité auprès de nombreuses villes et organisations du Québec, de même qu’au sein de la population en général, et pourrait passer en vitesse supérieure si certains obstacles et mythes étaient levés. « Les différents gouvernements qui se sont succédés ont mis en place des incitatifs financiers destinés aux citoyens, aux municipalités et aux entreprises afin de promouvoir l’électrification des transports, en atténuant significativement le prix d’acquisition d’un véhicule électrique et d’une borne de recharge, affirme Renaud Raymond, directeur général du Bureau de l’efficacité et de l’innovation énergétiques au ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles. Grâce à ces incitatifs, le surcoût de départ à l'achat d'un véhicule électrique est rapidement absorbé par les économies d'essence et d'entretien, ce que beaucoup de gens ne savent pas encore, d’où l’intérêt d’une telle campagne. » «Le plaisir éprouvé par les automobilistes qui roulent électrique est tangible. Nous apportons notre soutien aux Rendez-vous branchés, qui permettent au grand public de vivre l’expérience du véhicule électrique et d’en découvrir tout le potentiel », précise Chantal Guimont, directrice – Planification stratégique et électrification des transports d’Hydro- Québec. « C’est également l’occasion idéale de rassurer les acheteurs potentiels sur l’accessibilité à la recharge offerte par le réseau de recharge public, le Circuit électrique, qui procure aux conducteurs de véhicules électriques une autonomie additionnelle en cas de besoin sur leur parcours. » Des activités branchées Cette tournée s’arrimera autour d’activités sur le thème de l’électrification des transports et proposera aux participants des échanges avec des experts régionaux et nationaux, la diffusion du documentaire La revanche de la voiture électrique, de Chris Paine, ainsi que des essais routiers de véhicules électriques, animés par l’Association des véhicules électriques du Québec et Communauto. Un circuit commenté en autobus électrique s'ajoutera dans certaines villes. Pour participer au Rendez-vous branché près de chez vous Afin de démystifier l’électrification des transports et de saisir cette occasion unique de faire l’essai d’un véhicule électrique, Équiterre vous invite à vous inscrire à votre Rendez-vous branché, au www.equiterre.org/electrique ![]() par Marquis Lemieux, délégué AVÉQ - Chaudière-Appalaches J'ai élaboré en 2008, un concept économique de maison à consommation d'énergie nette zéro reposant sur trois des piliers de l'énergie renouvelable soit : le solaire passif, la géothermie et le solaire photovoltaïque, j'ai construit cette maison-laboratoire ou je demeure. J'ai adhéré au programme Autoproduction d'Hydro-Québec avec l'option "mesurage net" qui permet d'injecter les surplus d'électricité produits par mes capteurs photovoltaïques dans le réseau d'Hydro-Québec et ainsi d'obtenir des crédits sur mes factures, crédits que je peux utiliser quand je consomme plus que je ne produis. C'est vraiment la façon la plus rentable de produire son électricité suite à la chute vertigineuse du prix des panneaux solaires. J'ai installé moi-même plusieurs des composantes. En 2012, j'ai acheté une Mitsubishi iMIEV que je recharge avec mon installation solaire domestique et ça fonctionne très bien, j'ai dû bien sûr ajouter quelques panneaux pour compenser la consommation de mon véhicule électrique avec lequel je parcours en moyenne 40 à 50 km par jour ce qui donne une consommation de 5 à 10 kWh/jour dépendamment des conditions. Il est donc facile de produire assez d'électricité d'origine solaire photovoltaïque pour combler ce besoin d'environ 2900 kWh/année dans mon cas, le Québec a un très bon potentiel solaire qui se situe à environ 1150 kWh/kWp c'est à dire qu'un panneau de 1000 W produira environ 1150 kWh par année. Il faut dire aussi pour le cas du Québec que les panneaux solaires sont plus performants par temps froid jusqu'à 25% de plus que leur puissance nominale c'est à dire qu'un capteur de 250 W pourrait produire jusqu'à 312 W par temps froid. L'ensoleillement de la région de Montréal est comparable à celui de Barcelone et celui du reste du sud de la province à celui de San Francisco, impressionnant! Alors on peut dire que de faire rouler son véhicule électrique à l'énergie solaire au Québec est tout a fait possible, logique et économique. Ressources naturelles Canada: Potentiel photovoltaïque et ensoleillement ![]() MONTRÉAL, le 5 novembre 2013 - Suite au dévoilement de la Stratégie d'électrification des transports de la semaine dernière, l'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) aimerait maintenant faire le point sur les avantages de ce projet. L'AVÉQ a travaillé sur la stratégie d’électrification des transports depuis près de 5 mois lors des consultations publiques du MTQ et du MRN, et nous sommes heureux de constater que la grande majorité des recommandations que nous avions mis de l’avant ont été retenues. Notre vision depuis le début était de s’assurer que l’électrification des transports au Québec soit un projet de société grandiose, dont les Québécois pourront être fiers. Ce qui a été présenté est un programme complet qui fera du Québec un leader mondial en électrification des transports, en supportant non seulement les Québécois qui veulent faire le choix d’une voiture électrique, mais offrira aussi un support à la recherche et au développement qui fera briller le génie québécois à l’étranger, en exportant des solutions de motorisation électrique extrêmement efficaces, à un coût très concurrentiel. On supporte aussi l’entreprise qui veut électrifier ses transports afin d’assurer les livraisons en émettant moins de GES. Et c'est là l'essentiel qui doit être retenu de cette stratégie: le gouvernement n'investit pas uniquement de l'argent public afin d'offrir un avantage à ceux qui décident d'acheter une voiture électrique. Comme l'ont expérimenté les pays qui ont procédé ainsi, il n'y a aucun retour sur l'investissement. On donne de l'argent pour électrifier l'auto-solo, mais on oublie les transports en commun, on ne réduit pas la congestion routière, et le plus gros émetteur de GES, le transport de marchandise, n'est pas touché par ces mesures. On se retrouve alors avec des critiques très négatives sur ces programmes d'incitatifs. Il fallait donc aller au-delà d'un simple programme d'incitatif qui ne fait que dépenser les deniers publics. Et c'est là le génie de cette stratégie: obtenir un retour sur l'investissement gouvernemental, en créant un pôle d'excellence en électrification des transports, à l'image de l'industrie du multimédia, des pharmaceutiques et de l'aéronautique qui font bonne figure au Québec. On veut non seulement garder l'argent gaspillée par les Québécois sur le pétrole dans notre économie (16 milliard $ par année) - donc de l'argent qui sera dépensé localement au lieu de sortir de la province - mais on veut promouvoir l'exportation de produits spécialisés en motorisation électrique vers les marchés extérieurs. Le transport collectif et le transport des marchandises sont donc deux volets qui feront l'objet d'un financement plus important que le transport individuel, car les deux sont de grands producteurs de GES. Des exemples de projets d'électrification: autobus urbain, interurbain et scolaire électriques, trains et monorail, taxis, remorque de 18 roues électrifiée (pour les départs et accélérations), camion-tracteurs hybridés, moteur-roue SUMO pour transport lourd, camions-vidange... Mais le but n'est pas de simplement électrifier tous les modes de transport actuels, puisque la technologie ne permet pas présentement de le faire, mais bien de redéfinir comment et pourquoi on se déplace afin d'atteindre nos objectifs de réduction de GES. Si on examine entre autres le transport de marchandise, 37% des déplacements se font sans cargaison avec des camions qui consomment près de 50 litres de diesel par 100 km. Il faut produire des solutions plus intelligentes et les exporter à l'étranger. Il faut donc être capable de voir bien au-delà des incitatifs sur l'auto-solo électrique pour une mince tranche de la population, pour apprécier l'étendue du projet de société qui se pointe à l'horizon, qui fera travailler toutes les sphères de notre économie, pour une planète qui a besoin qu'on limite nos GES et qui devient une priorité pour les pays industrialisés et en voie de développement. Les solutions présentées existent déjà au Québec, mais peu de PME ont les capacités d'exécuter les solutions développées. Les investissements du gouvernements permettront d'aller de l'avant avec des projets qui créeront les transports du futur, en s'assurant de la participation de partenaires industriels qui seront attirés par notre dynamisme en électrification des transports. Pour l'auto solo, la vision de l'AVÉQ pour le Québec correspond à une voiture électrique par foyer possédant deux voitures ou plus. Selon nos données, les familles qui achètent une voiture électrique (VÉ) comme deuxième véhicule changent leurs habitudes de transport, ce qui rend cette voiture de déplacement urbain le véhicule le plus utilisé par la maisonnée, et renforce l'importance de mieux planifier les déplacements des membres de la famille. Résultat, on remarque une augmentation de l'utilisation des transports en commun et du vélo pour compléter l'offre de mobilité. Et c'est cette prise de conscience qui permet de redéfinir comment et pourquoi on se déplace. Diminuer notre dépendance au pétrole, et utiliser nos ressources renouvelables hydro-électriques comme source principale d'énergie pour effectuer nos déplacements et ainsi diminuer notre empreinte carbone. Tels sont les objectifs que nous nous devons d'atteindre. Nous sommes disponibles pour les demandes d’entrevues. Simon-Pierre Rioux, Président AVÉQ Par courriel: [email protected] Notre site web: www.aveq.ca À propos de l’AVÉQ: L’Association des Véhicule Électrique du Québec (AVÉQ) est un organisme sans but lucratif, qui opère sans budget ni support corporatif ou gouvernemental. Membre de Mobilité Électrique Canada, l’AVÉQ repose sur la conscience sociale de ses membres et leur volonté de promouvoir l'utilisation du VÉ (véhicule électrique) en améliorant l'infrastructure de recharge du Québec par leur implication politique, en promouvant le tourisme électrique des propriétaires de véhicules électriques québécois et étrangers grâce à ses contacts avec les associations de VÉ dans les provinces voisines du Québec, et en éduquant la population sur les bénéfices de l'utilisation d'une voiture électrique. |
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