Rendez-vous branché de Montréal: toujours en manque de bénévoles pour le 23 septembre, 16h30-20h3014/9/2015 ![]() Nous recherchons encore des bénévoles pour l'événement de la semaine prochaine qui aura lieu à Montréal-Est - nous vous invitons à participer à électrifier Montréal!! Où: Centre Roussin 12125 rue Notre-Dame Est Quand: mercredi 23 septembre 16h30 à 20h30, arriver 30 minutes à l'avance. Besoin de Chevrolet Volt, Smart ED, Tesla Model S Avec le RVB de Magog où il y avait 30 voitures et 45 bénévoles, pour 260 essais routiers en 3 heures, nous avons besoin de renforts pour Montréal si on veut suffire à la demande! SVP envoyer un courriel à Corinne pour vous porter volontaire! MERCI!!!
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![]() (MAGOG) Le Sherbrookois David Allard a acheté en juin une Nissan Leaf, une voiture complètement électrique. Sa motivation pour décider de tirer la plogue sur le gaz? Des considérations strictement économiques, dit-il. « Certains choisissent les voitures électriques pour des raisons plus environnementales, mais peu importe la raison, c'est immanquable que tu économises de l'argent », soutient-il. « Les gens prennent rarement le temps de calculer dans le détail toutes les dépenses qui viennent avec une voiture. Mais quand on le fait, on se rend compte des avantages des voitures électriques. » Comme plusieurs autres détenteurs de voitures qui roulent à l'énergie propre, M. Allard est devenu un ambassadeur pour ce type de véhicule. Il est d'ailleurs directeur adjoint de l'Association des véhicules électriques du Québec section Estrie, qui organisait en partenariat avec Équiterre samedi après-midi le Rendez-vous branché, séance de démonstration à partir du stationnement du tout nouveau Carrefour Santé Globale de Magog. Les propriétaires de 23 véhicules électriques - de 11 modèles différents - ont fait essayer gratuitement à environ 250 curieux leurs bagnoles et répondaient aux questions. « Ce qui est intéressant, c'est qu'il n'y a pas de concessionnaires ou de vendeurs ici. Ce sont des usagers qui sont honnêtes, authentiques. Et ça fait en sorte que tu peux essayer à la même place des voitures de Nissan, BMW, Tesla... » soulignait William Levasseur, également propriétaire d'une Nissan Leaf. Clients militants Dans les mots de William Levasseur, les propriétaires de voiture électriques qui étaient à Magog samedi étaient non seulement des clients satisfaits, mais aussi des « clients militants ». Ainsi, lorsque l'on demande à David Allard, au cours d'une balade de quelques kilomètres qu'il nous fait faire dans sa voiture, de nous parler de son véhicule, le discours est effectivement fort séduisant, mais aussi documenté. « Les statistiques démontrent que 90 % des propriétaires de voitures électriques s'en rachèteraient une. Actuellement, une charge complète peut durer en moyenne de 120 à 160 km. La plupart des gens roulent beaucoup moins que ça dans une journée », dit-il. Les familles qui possèdent deux véhicules peuvent choisir d'en avoir une électrique pour les déplacements de tous les jours, en plus d'une à l'essence pour les longues distances, ou encore une hybride, suggère-t-il. Et le Québec compte maintenant 700 bornes de recharge, un nombre qui grimpe continuellement. Juste au Carrefour Santé Globale, quatre bornes ont été installées, en plus d'une borne à recharge rapide (la première en Estrie). Un dernier argument? Le silence. « On a fait un party de chars aujourd'hui, et il n'y a pas eu de boucane, pas de bruit, pas de chaleur », résume en souriant William Levasseur, bien content de s'être affranchi des stations-service. Selon un sondage mené par Équiterre, 75 % des gens qui avaient participé aux Rendez-vous branché l'an dernier se disaient prêts à faire le saut après leur visite. Un Rendez-vous branché du même genre se tiendra à Victoriaville samedi, de 13 h 30 à 17 h, au stationnement de la rue du Bigarré entre Perreault et Notre-Dame. Source : La Tribune - Camille Dauphinais-Pelletier Contribution : Martin Archambault ![]() Le stationnement du Canadian Tire de Blainville s'est transformé en vaste piste d'essai pour voitures électriques, samedi dernier. Sous l'égide de l’Association des Véhicules Électriques du Québec (AVÉQ) des Laurentides, plusieurs membres, bénévoles et partenaires sont venus présenter leur voiture (BMWi3, Nissan Leaf, Kia Soul, Chevrolet Volt et autres) aux gens curieux de faire l'essai d'une voiture électrique. Sur place, Caroline Lachance, directrice de l’AVÉQ des Laurentides a expliqué que les gens sont souvent mal informés sur les avantages de posséder une voiture électrique et que cet événement représentait une belle occasion d’obtenir des réponses à leurs questions. «Il y a beaucoup de désinformation qui circule, encore aujourd’hui, sur les véhicules électriques. C’est une des principales raisons qui m’ont poussé à offrir mon temps bénévolement pour promouvoir l’électromobilité», a-t-elle confié. Selon elle, la conduite de ce genre de véhicule est agréable, les économies bien réelles, tout comme les bienfaits pour l'environnement. «Quand je rentre à la maison, je branche ma voiture comme d'autres branchent leur téléphone cellulaire», compare-t-elle. Elle-même propriétaire d'une Nissan Leaf, Mme Lachance indique que sa voiture possède une autonomie de 160 km. Elle estime également que plus les gens vont s'intéresser à ce type de véhicule, plus l'offre se bonifiera. «Déjà la technologie a beaucoup évolué», note-t-elle, avançant que 95 % des gens qui font l'essai d'une voiture électrique vont finir par en acheter une. «Au bout de quatre ou cinq ans, si on tient compte des économies d'essence et d'entretien, ça coûte moins cher de rouler électrique». De plus en plus populaires en Europe et aux États-Unis, particulièrement en Californie, les voitures électriques trouvent leur chemin jusqu'ici, alors qu'on répertorie à ce jour quelque 6 000 voitures du genre au Québec (11 000 au total circulent au Canada). On compte, au Québec seulement, près de 750 bornes de recharges électriques, dont plus de 450 sont inclus dans le circuit électrique [www.lecircuitelectrique.com]. Une quinzaine d'emplacements se trouvent dans les Basses-Laurentides. Source: NordInfo / Valérie Maynard ![]() Pour prendre d'assaut l'Allemagne avec ses motos électriques haut de gamme, Jean-Pierre Legris passera par la Californie. Bref, afin de quintupler, au pays d'Angela Merkel, les ventes de ses motos écologiques fabriquées au Québec, le président de Lito fait affaire avec une boîte californienne. Cette fois-ci devrait être la bonne. Le fondateur et grand patron de Lito (autrefois Lito Green Motion) croit fermement en ses chances de voir enfin ses ventes décoller. Pour y parvenir, il ne se contentera plus de vendre directement aux consommateurs la Sora, une moto électrique de luxe valant 70 000$ (et 100 000$ dans sa version «Signature»). Il fera plutôt son entrée dans des succursales destinées aux véhicules électriques haut de gamme. Et où de mieux qu'en Allemagne, puissance économique d'Europe et royaume du génie industriel, pour asseoir la réputation d'une marque comme Lito? Un entrepreneur européen s'est associé à la PME québécoise il y a déjà deux ans. L'homme d'affaires allemand s'apprête à ouvrir trois boutiques dans son pays. Pour ce qui est de la Californie, c'est là qu'est désormais préparé et diffusé tout le matériel promotionnel de la Sora, laquelle est entièrement fabriquée à Longueuil. L'État de la côte ouest américaine est la Mecque des véhicules électriques, bref de tout ce qui est branché. Jean-Pierre Legris veut que sa moto devienne objet de convoitise. Pas seulement auprès des riches, mais aussi aux yeux des passionnés de motos. Certes, sa moto, l'équivalent d'une 800 cc pouvant atteindre 200 km/h, trouve déjà preneurs un peu partout sur le globe. L'an dernier, il en a vendu une quinzaine d'unités. Récemment, une Sora a été acquise au Kazakhstan. Mais parce qu'il croit que le salut de son entreprise passe par des bases solides, le fondateur de Lito voulait trouver un marché stable où l'économie se porte bien. Mais aussi un pays reconnu pour son appréciation et sa connaissance de véhicules routiers. «Nos études de marché pour déterminer où on devrait s'établir dans des boutiques nous ont indiqué que l'Europe et l'Allemagne, plus précisément, arrivaient en tête de liste», explique Jean-Pierre Legris. Dès 2012, Lito a participé à Intermot, à Cologne, l'un des plus importants salons de la moto au monde. Les deux Sora en démonstration ont retenu l'attention d'un investisseur allemand. Ce dernier ne s'est pas gêné pour tester la moto québécoise qui, à l'époque, n'avait pas encore été homologuée par Transport Canada. Lorsqu'elle a compris que l'Allemagne pouvait lui rapporter gros (au propre comme au figuré) et qu'un investisseur allait prendre en charge une partie du risque financier, la PME Lito n'a pas hésité à investir elle aussi temps et argent. Rien qu'en 2014, Jean-Pierre Legris s'est rendu à trois reprises en Allemagne afin de former son partenaire, notamment en ce qui a trait au service après-vente et à l'entretien de la Sora. Le président de la PME québécoise y est même retourné une quatrième fois à l'invitation du gouvernement québécois dans le cadre d'une mission commerciale visant à promouvoir le génie québécois en matière d'électrification des transports. Jean-Pierre Legris prévoit retourner en Allemagne encore quelques fois cette année, question de vérifier que tout est bien en place avant le lancement officiel de la Sora en terre allemande. «On est la Rolls Royce des motos électriques et ce type de produit, les Allemands en veulent, explique Jean-Pierre Legris. Notre plus gros défi est maintenant de développer notre marque, de dire à la planète que Lito fabrique la meilleure moto au monde.» Le choix délibéré de la Californie pour la gestion des ventes et des relations publiques commence par ailleurs à porter ses fruits. Dans la télésérie américaine Hawaï 5-0, l'un des personnages principaux roulera en Sora lors de la nouvelle saison qui débutera sous peu. «Dans le script, l'acteur dit textuellement qu'il conduit une Sora», se félicite M. Legris. Jean-Pierre Legris croyait avoir pensé à tout lorsqu'il a vendu sa première Sora en Allemagne l'an passé. «Le propriétaire de la moto m'a écrit pour me dire que le support de sa plaque minéralogique était brisé, dit-il. Je lui en ai envoyé un premier, puis un deuxième jusqu'à ce que je lui demande à quoi ressemblait sa plaque: elle est deux fois plus grosse et deux fois plus lourde qu'une plaque sur une voiture nord-américaine. L'avantage de cet incident cocasse est que le client allemand sait que je peux personnaliser n'importe laquelle de mes motos en un tournemain. Et ça, il va le dire aux gens qui vont le questionner sur sa moto.» Source: La Presse / Stéphane Champagne C’est samedi le 12 septembre au Carrefour Santé Globale de Magog que s’est déroulé le premier Rendez Vous Branché 2015 d’Équiterre avec la collaboration de toute l’équipe de l’AVEQ Estrie. Sur un site magnifique, avec le Mont-Orford en fond de paysage et par cette deuxième fin de semaine de la Fête des Vendanges, une quantité impressionnante de visiteurs s’est présentée aux essais routiers qui se déroulaient de 13h30 à 16h30, tout de suite après l’inauguration officielle de la BRCC et des 4 bornes niveau 2 du Circuit Électrique. Des conférences données sur l'analyse du cycle de vie de la voiture électrique par M. Ben-Amor de l'Université de Sherbrooke ainsi que sur les mythes et réalités de la voiture électrique par David Allard, directeur-adjoint région Estrie de l’AVÉQ ont su informer les visiteurs curieux. Le Rendez-Vous Branché de Magog en quelques chiffres:
Mais le plus important, ce sont les sourires des visiteurs impressionnés par la passion de nos bénévoles, la conviction que nous avons fait connaître la réalité du véhicule électrique à de futurs acheteurs. En somme, un succès sur toute la ligne, confirmé par plusieurs bénévoles réguliers à ces évènements. Un immense bravo à toute l’équipe de l’AVEQ Estrie et remerciements à Marilène Bergeron et Marie –France Thompson d’Équiterre ainsi qu’à nos hôtes M. Gilles Bélanger et Mme Sarah Bouchard du Carrefour Santé Globale…et une mention spéciale pour les lunchs santé de Crudessence Magog, situé à l’intérieur de la nouvelle épicerie Avril! Source : Claude Harvey - Directeur régional AVÉQ - Estrie
Contribution : Martin Archambault Les Québécois sont invités à participer à la semaine "Conduisons Électrique!" du 12 au 20 septembre13/9/2015 ![]() Même si près d'un véhicule électrique sur deux au pays roule au Québec, il y aurait encore beaucoup de travail à faire pour sensibiliser les Québécois aux avantages de ce moyen de transport écologique. En juin dernier, près de 50 pour cent des 14 000 véhicules électriques circulant au pays se trouvaient au Québec. De plus, au cours de la dernière année, le nombre de véhicules électriques vendus ici a augmenté de 87 pour cent, ce qui démontre l'engouement grandissant des Québécois pour l'auto électrique, souligne Chantal Guimont, présidente-directrice générale de Mobilité électrique Canada, l'organisme sans but lucratif derrière les activités de la 5e semaine nationale «Conduisons électrique!». Toutefois, dit-elle, il reste beaucoup de sensibilisation à faire auprès des conducteurs, dont certains sont encore réticents en raison d'une autonomie qui serait, selon eux, pas toujours au rendez-vous. Mme Guimont estime les gens connaissent peu la technologie, mais elle veut remettre les pendules à l'heure. Elle rappelle que la majorité des automobilistes roulent moins de 40 kilomètres par jour, ce qui est largement suffisant avant de devoir recharger les piles. De plus, dit-elle, il y a de plus en plus de modèles de véhicules offrant une autonomie plus grande. L'organisme, qui a l'appui du groupe environnemental Équiterre, d'Hydro Québec et de l'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ), note qu'il y a de plus en plus de bornes de recharge et qu'une aide financière gouvernementale allant de 5000 à 8000 $ est prévue à l'achat, selon la province, sans compter les frais minimes pour l'entretien de la voiture. Mobilité électrique Canada rappelle également que les voitures écologiques sont aussi amusantes à conduire, propres, faciles à recharger et qu'elles contribuent à réduire les émissions de gaz à effet de serre. L'organisme affirme aussi que les conducteurs de véhicules électriques affichent des niveaux de satisfaction beaucoup plus élevés quant à leur voiture que les propriétaires de véhicules conventionnels. Dans le cadre de la semaine «Conduisons électrique!», les gens intéressés pourront faire des essais routiers gratuits et discuter avec des experts en la matière à Lévis, Magog, Shawinigan et Victoriaville. Source: La Presse Canadienne ![]() En un samedi assez pluvieux, quelques courageux bénévoles de l’AVÉQ se sont rassemblés pour informer les participants à l’Expo Greenfield Park des avantages des véhicules électriques. C'est la première fois que se tenait ce nouvel évènement à Greenfield Park, et l'AVÉQ avait été approchée pour y participer. Des petits problèmes ont fait en sorte qu'un appel général aux bénévoles s’est fait tard vendredi soir… pour le samedi matin suivant! On voit que les membres de l’AVÉQ sont bien branchés car plusieurs ont répondu positivement. C’est donc sous la direction de Ghislain Poisson, directeur régional de l’AVÉQ pour la Montérégie, que le kiosque a été monté pour accueillir les visiteurs entre 9h00 et 17h00. La pluie assez constante du matin et sporadique en après-midi, a évidemment nuit à l’achalandage du site, et par conséquent, au kiosque de l’AVÉQ. Par contre, ceux qui se sont arrêtés étaient très intéressés par les véhicules électriques. Les échanges étaient plutôt longs et détaillés, à preuve, Ghislain Poisson a passé près d’une heure à discuter avec un participant. Nul doute qu’il était bien informé! Quelques essais routiers furent réalisés, l’accent a été mis plutôt sur l’information, dans les deux langues (pour aider le plus possible les participants). Cela a donné parfois de beaux échanges, moitié français, moitié anglais, dans la bonne humeur et la compréhension, chacun accommodant du mieux possible l’autre. Du côté des voitures représentées, les Nissan Leaf étaient à l’honneur, avec 3 exemplaires. Au courant de la journée, une i-miev, une Volt, une Spark de Location Eeko et enfin, une Fusion Énergie ont également été présentes sur le site. À plusieurs reprises, nous avons eu de chaudes félicitations sur notre implication à faire connaître les véhicules électriques. Bien des mythes ont été déboulonnés. Les gens étaient étonnés de la somme de connaissances que l’ensemble du groupe possédait. Un gros merci aux bénévoles présents ! Contribution: Dany Labrecque, Ghislain Poisson
Il y a quelques semaines, nous vous partagions la carte des futures bornes rapides du Circuit électrique au Québec. Un de ces emplacements était la ville de Val d'Or et un article avait paru sur ICI Radio-Canada à ce sujet, mais rien n'indiquait où et quand elle serait mise en marche. Surprise, nous avons obtenu des informations aujourd'hui qui sont de très bons indices! C'est en fait notre membre Félix Dumont qui nous a relayé l'information, publiée sur sa page Facebook. Vous vous souvenez, ce jeune propriétaire d'une Nissan Leaf habitant Rouyn-Noranda qui avait fait l'exploit d'un trajet de 600 km en 29 heures avec sa Leaf, partant d'un coin de pays où les bornes de recharge sont à peu près nulles. Étant le seul propriétaire de LEAF connu qui possède un port de recharge rapide en Abitibi, il fut contacté par l'électricien responsable de l'installation et du branchement de la BRCC, afin d''être en mesure d'y effectuer quelques tests avec sa voiture lors de la journée du branchement, qui aura lieu le 18 septembre prochain! La borne sera très bien située, à l'hôtel de Ville de Val-d'Or, en plein centre-ville. Bien entendu, d'autres BRCC seront nécessaires dans le parc de la Vérendrye afin d'être en mesure de le traverser en véhicule 100% électrique. En attendant que la ville soit reliée par d'autres BRCC, l'AVÉQ est très heureuse de cette initiative de la ville de Val d'Or qui encouragera grandement les citoyens à s'intéresser et se tourner vers l'achat d'un véhicule électrique.
Nous en profitons pour saluer et remercier notre directeur régional en Abitibi, Joël Côté, très actif dans l'organisation d'éVÉnements afin de faire découvrir aux gens de la région les avantages de conduire un véhicule électrique. Ils pourront être très fiers d'avoir leur propre BRCC à Val d'Or! Merci également à Alexandre Mercier pour les photos! Contribution: François Viau ![]() Équiterre en collaboration avec le Carrefour santé globale et l'Association des véhicules électriques du Québec vous invitent au Rendez-vous branché de Magog. Quand: Samedi le 12 septembre de 13h30 à 16h30 Où: Au nouveau Carrefour de santé globale à Magog - 2381 Principale Ouest DÉROULEMENT DE L'ÉVÈNEMENT
Blainville, 5 septembre 2015. Un événement électrique mettant en vedette 6 marques de voitures. Des bénévoles généreux et enthousiastes. Une température ressentie dépassant les 34 degrés Celsius. Selon les bénévoles et Charly le Golden retriever (notre mascotte de la journée), il faisait terriblement chaud! Par chance, nous avions de belles tentes à l’effigie de l’Association des véhicules électriques du Québec pour nous réfugier à l’ombre et Toiturama (www.toiturama.ca) fournissait gracieusement des bouteilles d’eau aux participants et aux bénévoles. Au total, c’est plus de 25 bénévoles passionnés qui ont répondu à l’appel et se sont présentés pour partager leurs connaissances des véhicules électriques. Considérant la chaleur, le long congé et le fait que la 15 était complètement bloquée par les gens qui se rendaient dans le « nord », notre équipe est très satisfaite des 33 essais routiers comptabilisés dans la journée (nous évaluons qu’une dizaine d’essais ont été faits sans être répertoriés). A titre informatif, voici la répartition des essais par modèle : · Nissan Leaf : 9 · BMW i3 : 9 · Tesla : 6 · Kia Soul EV : 5 · Chevrolet Volt : 3 · Ford Focus Electric: 1 Comme le démontre ces données, la Leaf et la BMWi3 ont eu la cote pour les essais routiers, mais elles ont également été fort utiles pour le transport du matériel nécessaire à l’événement. L’équipe en a même profité pour faire une évaluation de la capacité de « remplissage » de ces deux voitures. Toute une aventure, qui démontre que nos aptitudes en jeu électronique (Tétris) peuvent parfois nous servir et que les véhicules électriques peuvent aisément convenir aux familles qui magasinent chez Costco. D’ailleurs, les enfants n’étaient pas en reste lors de cette journée « familiale », puisque Kia Boisvert a généreusement offert des Timbits et des ballons de la Fifa aux apprentis VÉistes. Notons également que l’équipe des Laurentides comptait de très jeunes bénévoles : Mélisande (9 ans) était responsable des ballons à l’hélium, Charles-Alexandre (7 ans) était responsable du jeu de poche et Ariane (11 ans) assistait l’équipe des essais routiers et s’assurait que les gens participent à notre tirage électrisant. Une belle relève! Notre tirage fut très populaire et apprécié des participants. Surveillez nos prochaines communications, alors que nous publierons le nom des gagnants. Nous tenons à remercier une fois de plus nos précieux commanditaires qui ont offert les prix suivants : une location d’une journée pour une BMW i3 (offerte par Location EEKO : www.eekorentals.com/fr), un abonnement de trois mois au Énergie Cardio de Blainville (615, boulevard Curé-Labelle), ainsi qu’un superbe panier-cadeau pour les amateurs de café Kicking Horse (café biologique torréfié dans les rocheuses : (www.kickinghorsecoffee.com). Pour terminer, nous avons demandé aux participants de nous indiquer ce qu’ils avaient le plus apprécié de la journée. Voici quelques réponses obtenues : « La cordialité de tous! Le beau soleil et l'implication de plusieurs bénévoles. » « Nous étions très heureux de voir que la quasi-totalité des marques et modèles de VÉs était représentée. » « Très bonne organisation, très belle journée » « La journée a été parfaite dans tous les cas! J'ai adoré!! » Notez que le prochain événement organisé par l’équipe AVÉQ-Laurentides se déroulera à Prévost le 4 octobre, en collaboration avec le Réseau des gens d’affaires de Prévost. Une invitation sera lancée aux bénévoles sous peu. Vous souhaitez devenir bénévole pour l’AVÉQ-Laurentides? Communiquez avec Caroline Lachance à l’adresse suivante : [email protected] Au plaisir de vous revoir très bientôt, Caroline - Directrice régionale, AVÉQ-Laurentides Remerciements spéciaux :
Contribution: François Viau
Il était une fois un automobiliste qui a décidé de changer sa Saturn 1999 pour une plus récente car celle-ci lui avait bien rendu service durant ces 16 dernières années. À tous les jours, il allait au bureau pour ramasser ses sous afin de mettre de l’essence dans sa voiture Saturn sans trop se poser de questions à savoir s’il y avait une alternative. À tous les pleins, il ajoutait environ un demi-litre d’huile 10W30 dans le moteur à combustion qui avait développé, au fils des années, une dépendance à ce lubrifiant. Il n’arrivait même plus à le conserver à l’intérieur de son carter tellement il adorait dévorer ce précieux liquide. À tous les 5 000 kilomètres, il faisait un cadeau à sa voiture en lui payant un changement d’huile synthétique "Formula one" de Canadian Tire et ce durant ces 16 ans où il a été propriétaire de sa fameuse Saturn 1999. Au fil des ans, il avait développé un attachement car celle-ci lui rappelait tellement de bons souvenirs. Cependant, elle se faisait vieille et commençait à montrer des signes de fatigue et elle était rendue à une autre étape de sa vie utile. C’est à ce moment qu’un jour, il se demanda s’il pouvait y avoir une alternative à conduire une voiture à essence. Grâce à internet, ses amis de RoulezÉlectrique et de l’AVEQ, il constata qu’il existait une alternative qui allait lui permettre même de faire du vélo sans avoir à respirer les émanations par cette nouvelle façon de se déplacer. C’est à ce moment qu’il alla au salon de l’auto de Québec en mars 2014 pour profiter de l’occasion afin d'essayer la Nissan Leaf, la Chevrolet Volt et la Mitsubishi iMiev avec son fils alors âgé de 7 ans. Il disait à son fils qu’un jour, il allait avoir une auto électrique comme l’un de ses voisins. Il faisait même remarquer à son fils le moment où cette dernière était branchée. Cela intriguait le petit garçon de 7 ans autant que son père de 39 ans. Ayant adoré les essais des voitures électriques au salon de l’auto de Québec, il décida de partir à l’aventure à Rawdon. Ce petit village Gaulois où l’on retrouve plus de 20 bornes de recharges sur les murs du concessionnaire. Que voulez-vous, les frères "Jeanson" sont tombés dans les autos électriques lorsqu’ils étaient petits. C’est alors que Samuel Jeanson a fait essayer la Spark EV à ce papa de 39 ans qui était parti de Québec juste pour essayer une Spark EV à plus de 250 km de chez lui. Faut le faire non! À cause des problèmes respiratoires de son père et de son grand-père, le fils de 39 ans, se dit un jour qu’il pouvait faire quelque chose pour améliorer sa situation et celles des autres et ce, en conduisant une voiture électrique. De plus, elle accélérait bien plus vite que sa Saturn! À cause de son silence, de son accélération fulgurante, de son plaisir de conduite, il décida de faire le saut même si tout le monde autour de lui, lui disait que cette petite Spark EV ne comblerait pas ses besoins à cause de son autonomie trop limitée. Finalement, après un an, il s’aperçu que 150 km d’autonomie l’été et 80 km l’hiver, il avait bien au-delà de ses besoins quotidiens et a réussi à faire plus de 17 000 km avec cette petite voiture sans aucun problème même après l'hiver le plus froid de l'histoire du Québec. C’est une autre histoire d’amour qui est encore au stade du coup de foudre avec sa Spark EV 2014.... Comme disait si bien Édith Piaf : "Non, je ne regrette rien." Texte original de Sébastien Grenier, délégué régional AVÉQ - Capitale Nationale Électromobiliste et fier de l’être. Mon BILAN après un an!
Ce que j'adore de ma SPARK EV: a) Accélération 0-100 en 7,2 sec et le 402 lbs/ft de torque. b) Coût pour se déplacer 1,68$/150km c) Le silence d) Reprises sur la route et conduite sportive e) Régénération jusqu’à 60 kW!!! Ce que j'aime moins: a) Absence de port de recharge rapide sur mon modèle b) Chargeur 3,3kw au lieu de 6,6kw c) Roues non symétriques avant-arrière ce qui limite la rotation de pneus. Quelques données: Date de l'achat : 29 août 2014 Prix payé : 27 495$ + tx. C'est un véhicule usagé donc pas de 8 000$ de rabais du gouvernement Concessionnaire : Bourgeois Chevrolet à Rawdon Date de l'installation électrique : 9 septembre 2014 par Boucher Lortie Date de l'installation du compteur électrique : 18 septembre 2014 de la compagnie EKM Metering Entretien : Un contenant de lave-vitre (2,99$). Deux pneus avant seront nécessaires pour l'été prochain Kilométrage lors de l'achat : 3 500 km Kilométrage après un an : 16 514 km (20 014 km au compteur) Énergie utilisée depuis le 18 septembre 2014 : 3 205, 8 kWh (3,2MWh) Coût en électricité : 256,46$ (à 0,08$/kWh)* Coût/km : 0,01553$ Coût/100 km : 1,553$ ** Durée de rentabilisation projetée : 5 ans (2 250$ d'économie en essence par année sans compter l'économie en entretient) * 11 jours d'électricité ne sont pas comptabilisés, soit donc environ 3% d'erreur sur la consommation d'électricité totale. Les quelques déplacements à l'extérieurs de Québec ne sont pas comptabilisés et comptent que pour très peu dans la balance. * * incluant le préchauffage en hiver et excluant quelques recharges publiques. Contribution: François Viau Analyse du positionnement des partis politiques fédéraux sur l'électrification des transports10/9/2015 ![]() À la mi-juin, l'AVÉQ a présenté sa stratégie pour faire de l'électrification des transports un enjeu lors de la période électorale fédérale en cours. Une lettre a été envoyée à la mi-juin aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports sera à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. Les chefs de partis suivants ont été contactés :
Ils ont été invités à répondre à une liste de 10 questions afin d'orienter leur future politique d'électrification des transports. Leurs réponses ont été publiées sur notre site au début septembre. L'AVÉQ a préparé une synthèse des réponses des 5 partis politiques reçues : Réponses détaillées: Est-ce que cette synthèse vous aide à faire votre choix en vue des élections du 19 octobre prochain? Source : AVÉQ
Analyse et contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale ![]() Dans le cadre de la semaine nationale de la conduite électrique, du 12 au 20 septembre 2015, tous les utilisateurs du RéseauVER courent la chance de remporter un crédit de recharge allant jusqu’à 300$. Facile de participer! Il s’agit simplement d’utiliser votre carte du RéseauVER sur les bornes AddÉnergie*. Chaque période de recharge vous donne une chance de gagner. Trois prix seront remis au hasard lors du tirage le 22 septembre 2015!
*Conditions : Utilisation des bornes du RéseauVER et du Circuit électrique avec la carte ou l’application mobile du RéseauVER.
Source : Dominique Gagnon-Bourget - RéseauVER Contribution : Martin Archambault ![]() Carl Plante est responsable de l’aménagement à la MRC de L’Érable. Comme il demeure à Saint-Étienne (Ville de Lévis), il se tape chaque jour (matin et soir) 140 km pour le travail à Plessisville. Et depuis Noël dernier, il roule électrique avec sa nouvelle automobile Kia Soul EV, une décision qu’il ne regrette pas, huit mois plus tard! «La question de l’autonomie était ma principale source de préoccupation au départ. Mais le stress a rapidement fait place à la confiance quand j’ai appris à mieux connaître mon véhicule qui peut rouler jusqu’à 160 km sans faire le plein d’électricité et même 200 km si je fais attention à ma conduite. C’est simple, il s’agit d’avoir le pied moins pesant sur la pédale à gaz ou plutôt sur la pédale d’accélérateur», lance-t-il en riant. De plus, le cadran indiquant le niveau d’électrolyte donne une idée très précise du «jus» qui reste dans la batterie, ce qui est rassurant. Le prix de détail du modèle électrique qu’il conduit se chiffre à 36 000 $ avant taxes, montant qui paraît assez dispendieux alors qu’on retrouve le même véhicule à essence pour la moitié du prix, un écart qui s’amoindrit un peu avec la subvention de 8000 $ à l’achat appliquée après taxes par le gouvernement provincial dans sa politique pour favoriser l’acquisition de voitures vertes. PRINCIPES ENVIRONNEMENTAUX M. Plante mentionne que c’est d’abord pour ses principes environnementaux qu’il s’est acheté une auto électrique, et tant mieux s’il peut réaliser des économies à l’utilisation. «Ma défunte Toyota Matrix m’a probablement coûté 100 000 $ sur un peu plus de 10 ans. Est-ce que ma Kia Soul EV me coûtera ça ?» Celui-ci espère bien que non. «Pour les 12 premiers mois d’utilisation, je prévois épargner autour de 5500 $. Cela comprend une économie sur l’essence, qui est dix fois plus coûteuse que l’électricité, sur les primes d’assurances et l’entretien de la voiture qui est extrêmement limité. Je n’ai plus de changement d’huile à faire. Les freins sont également moins sollicités que sur une automobile à essence puisque la voiture électrique décélère d’elle-même dès qu’on lâche la pédale d’accélérateur ce qui permet de plus de régénérer la batterie.» M. Plante ajoute aussi qu’il est moins contraignant de faire recharger son véhicule à la maison que d’aller régulièrement dans une stationservice pour faire le plein d’essence. «Il nous arrive à l’occasion de nous servir du réseau de bornes provinciales, mais 95% des utilisateurs ne s’en servent que pour se dépanner», estimet-il en se fiant à sa propre expérience. De plus, l’acquisition et l’installation d’une borne de recharge à la maison (240 volts) ne lui auront coûté que 300 $ ayant obtenu un autre rabais de 600 $ du gouvernement provincial. UNE BELLE SURPRISE! Côté performance, M. Plante dit avoir été surpris de sa Kia Soul EV. «Je pense même qu’elle m’a évité un accident alors que je me suis fait couper le chemin sur l’autoroute 20 près du pont Laporte et que j’ai dû accélérer brusquement. L’accélération a été instantanée.» Parmi les éléments qui ont un certain impact sur l’autonomie de la batterie au lithium de son véhicule, il y a bien sûr le froid en hiver. «Il s’agit d’être un peu plus prudent, mais cela ne m’a pas empêché de faire l’aller-retour de la maison à mon lieu de travail. Ce qui est plaisant par contre, c’est que ça part tout l’temps et que l’auto électrique est dotée d’un système programmable permettant de réchauffer l’habitacle (ou de le refroidir en été), un peu comme le fait un démarreur à distance sur une voiture à essence.» À l’occasion, il lui arrive d’aller faire un plein d’électricité à la borne de recharge située à l’hôtel de ville de Plessisville quand il sait qu’il aura à parcourir quelques kilomètres additionnels durant la journée. Il lui en coûte alors un p’tit 2.50 $ pour se brancher. Un plein peut prendre jusqu’à trois heures s’il ne lui reste plus que 15% de batterie. Dans une borne de recharge rapide, cela ne prend que 15 à 20 minutes. Conduisant une voiture blanche, M. Plante s’assure de la garder propre, même en hiver. «J’ai cependant un conseil à donner aux conducteurs de voitures électriques. Ne pas la laver quand il fait moins 15 degrés Celsius, car elle reste tout de glace n’étant pas réchauffée par le moteur électrique.» Petite anecdote, les voitures électriques sont munies d’une plaque d’immatriculation avec lettrage vert. «J’ai été arrêté pour un excès de vitesse dans le village de Dosquet et le policier pensait que j’avais aussi masqué la licence», de raconter Carl ajoutant que l’histoire s’est arrêtée là après vérification de l’agent. Même si des bornes de recharge s’implantent de plus en plus et qu’elles sont facilement repérables via le web, Carl explique qu’il lui arrive encore de conduire la Lexus de sa copine lorsqu’ils savent qu’ils feront de longues randonnées. «Ça nous est arrivé à quelques reprises en vacances et une autre fois quand on s’est rendu dans le nord de Lanaudière.» Mais, croit-il, ce n’est qu’une question de temps pour que le problème d’autonomie limitée de la voiture électrique ne soit résolu avec les nouvelles générations de batterie. Au Canada, la Tesla est le véhicule électrique le plus populaire avec 984 unités vendues entre janvier et juillet 2015 suivi de la Nissan Leaf (582), de la Chevrolet Volt (575) et de la Kia Soul EV (118). Source : La Nouvelle Union Contribution : Martin Archambault ![]() Briser sa dépendance à l'or noir pour se déplacer, voilà le motif qui guide le plus souvent les acheteurs de voitures électriques. La Montérégie en serait la capitale, regroupant près du quart des électromobilistes québécois, indiquent des données compilées par l'Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ). ![]() Les voitures qui font le plein à l'électricité, cette ressource presque inépuisable en sol québécois, se multiplient sur le bitume de nos routes. Pour ces propriétaires, exit les milliers de litres d'essence engloutis sur une base annuelle. Selon le véhicule choisi, les milliers de dollars sauvés permettent de rentabiliser son choix, selon les fabricants, et ce, même si le véhicule électrique demeure plus coûteux à acquérir que son semblable roulant à l'essence. Cette décision, nous rappelle-t-on, contribue aussi à réduire les émissions polluantes, tels les gaz à effet de serre. À la grandeur du Québec, le nombre de véhicules électriques enregistrés dépasse les 6100 unités. Accaparant 45% des ventes canadiennes, la Belle Province fait bonne figure. Les trois modèles qui se retrouvent le plus dans les entrées de cour des Québécois demeurent la Chevrolet Volt, une hybride rechargeable (45%), la Nissan Leaf (19%) et la Tesla Modèle S (8%), indique l'étude de l'AVEQ. La Haute-Yamaska compte entre 6 et 9 véhicules électriques pour 10 000 habitants. Dans Brome-Missisquoi, on en dénombrait entre 9 et 12 par tranche de 10 000 habitants, en date de mai 2015. La moyenne montérégienne s'établit à 10. L'étude révèle aussi que 24% des propriétaires de voitures électriques habitent en Montérégie. Le fait de voir la région au sommet repose sur un ensemble de facteurs, selon Ghislain Poisson, directeur régional pour la Montérégie au sein de l'AVEQ. «Il y a le fait que les gens ont des distances peu excessives à parcourir, mais trop grandes pour être desservies par le transport en commun. Nous avons une bonne concentration d'infrastructures de recharge et comptons sur la présence de concessionnaires à l'avant-garde», note-t-il. Les véhicules à zéro émission, telles la Nissan Leaf, la Tesla Modèle S et la Kia Soul EV côtoient les hybrides rechargeables comme la Chevrolet Volt. Ces engins et toute leur technologie demeurent relativement récents lorsque mis en contexte dans l'histoire de l'automobile. Certaines caractéristiques, l'autonomie des piles et le comportement face à nos hivers rigoureux, entre autres, en freinent plusieurs. Le prix aussi. «Les gens pensent souvent à tort que les prix n'ont pas bougé depuis 2011. L'offre est beaucoup plus abordable maintenant, surtout avec les modèles de fin d'année, affirme M. Poisson. On ne parle plus de véhicules qui coûtent 45 000$, mais plus autour de 30 000$. C'est souvent moins cher d'opter pour une voiture électrique, compte tenu des économies d'essence et d'entretien.» Selon certaines évaluations, les économies s'élèvent à près de 2000$ par année. Québec a mis en place une série de mesures incitatives à travers son programme Roulez électrique. La subvention du gouvernement provincial peut atteindre 8000$ à l'achat ou à la location d'un véhicule électrique. Ceux qui optent pour l'installation d'une borne de recharge à la maison peuvent obtenir jusqu'à 1000$ de remboursement. Malgré le nombre de modèles qui s'ajoutent sur le marché au fil des mois, ce ne sont pas tous les concessionnaires qui en tiennent dans leur inventaire. «Nous en vendons une douzaine par année, une trentaine depuis les débuts en 2012, et on sent que ça ira en augmentant au fil des ans», explique Jean-Pierre Rocheleau, propriétaire du concessionnaire Chevrolet, Buick et GMC à Cowansville, l'un des seuls endroits à Cowansville où il est possible d'acquérir un véhicule électrique neuf (Chevrolet Volt). Le constructeur américain lèvera bientôt le voile sur son modèle de deuxième génération. Le «carburant» Les bornes de recharge poussent à vue d'oeil un peu partout et leur nombre dépasse les 750 au Québec. Le prochain défi? L'apparition plus fréquente de bornes de recharge à haute vitesse (400 volts), qui régénèrent les batteries en une trentaine de minutes, selon les conditions. Le Québec n'en compte que 20. Une telle infrastructure est d'ailleurs dans les cartons à Granby. Tesla Motors installait récemment à Drummondville un de ses «superchargeurs», un parc de bornes qui doivent permettre de recharger gratuitement les véhicules de la marque en quelques minutes, au lieu de quelques heures. Un autre est aménagé dans la salle de montre du groupe à Montréal. Le Québec bien positionné? Les retombées du marché des voitures électriques pour le Québec sont loin d'être négligeables. «C'est un avantage sur le plan économique et sur le plan environnemental, puisque nous produisons notre électricité à partir de l'eau. La voiture électrique permet également d'utiliser les surplus d'électricité. Le problème, c'est que le prix du baril de pétrole a baissé. Tant que le prix à la pompe est bas, les consommateurs vont attendre. Je pense que c'est inévitable, la voiture électrique va percer le marché, mais ça va prendre plus de temps», observe Robert Benoit, membre du conseil d'administration d'AddÉnergie, une importante entreprise de bornes de recharge. Celle-ci remportait fin 2014 un appel d'offres d'Hydro-Québec pour l'implantation d'une cinquantaine de bornes de recharge rapide. «À cause des changements climatiques et de la pollution atmosphérique, il y a d'importants investissements qui seront faits au niveau institutionnel. Il faut travailler sur les modes de transport et trouver des solutions pour diminuer la consommation de pétrole.» Emboiter le pas Des bornes de recharge sont implantées un peu partout sur le territoire. L'Auberge Knowlton annonçait récemment s'en être munie d'une dégageant 240 volts. Les propriétaires affirmaient par voie de communiqué vouloir ainsi soutenir le tourisme durable. Et nul besoin d'être client pour l'utiliser, moyennant des frais de 5$. «Nos recherches nous indiquaient qu'il n'y a pas de borne dans les environs.» Le Zoo de Granby vient d'implanter quatre bornes dans son stationnement, dans le cadre d'un programme visant à encourager les employeurs à soutenir leurs travailleurs électromobilistes. Le Musée des communications et d'histoire de Sutton y allait également de sa propre initiative récemment, en offrant à ses visiteurs de se brancher sur le 110 volts en explorant l'une de ses expositions. Diversité de l'offre Plusieurs pas restent à faire avant de voir nos autoroutes remplies de convois de voitures fonctionnant à l'électricité. L'AVEQ fait pression auprès du gouvernement du Québec pour que celui-ci prenne le virage de l'initiative Zéro émission. L'adoption d'une telle loi, proposée par le Parti québécois, imposerait aux concessionnaires la vente d'un quota minimal de véhicule à zéro émission, dans l'intention de diversifier l'offre. Dix États américains, dont la Californie, en font déjà autant. Selon les estimations, cela représenterait 2% des véhicules vendus en 2016, pour grimper à 11% en 2019. «On souhaite que le Québec s'inspire de ce qui se fait aux États-Unis. Ce serait une façon d'accélérer le mouvement, parce qu'on ne sent pas toujours une volonté très forte des manufacturiers automobiles», juge M. Poisson. Le Québec pourrait ainsi devenir la première province canadienne à emprunter cette voie. Le Québec ratifiait récemment une entente avec la Californie et les Pays-Bas pour que tous s'échangent leurs bons coups en lien avec l'arrivée sur le marché des véhicules électriques. «On trouve intéressant qu'il y ait une telle volonté gouvernementale.» La voiture électrique en chiffres Une moyenne de 200 voitures électriques s'ajoutent mensuellement sur les routes du Québec. 86 % des électromobilistes sont des hommes et 14 % des femmes; ils sont en moyenne âgés de 45 ans. Le Québec compte environ 10 bornes de recharge publique par tranche de 100 000 habitants. Il se classe derrière la Colombie-Britannique avec ses 15 unités per capita ou le Vermont, à 20 unités. En date de juin 2015, la Montérégie demeure la région avec le plus grand nombre de bornes de recharge publique avec 146, devant Montréal (138) et la Capitale nationale (129). Merci à Ghislain Poisson, notre directeur régional pour la Montérégie. Ce dernier à donné l'entrevue au journaliste afin de réaliser cet article. Source : Ghyslain Forcier - Granby Express Contribution : Martin Archambault ![]() Équiterre convoque la population de Montréal et des environs à son Rendez-vous branché de Montréal-Est, qui se tiendra le mercredi 23 septembre prochain, au Centre Roussin de 17h à 20h. Pour discuter avec des experts en véhicules électriques et en faire l'essai, il suffit de s'inscrire gratuitement ici, via Équiterre. Plusieurs partenaires d'Équiterre seront présents lors de cet événement, dont le Circuit Électrique, le Ministère de l'Énergie et des Ressources Naturelles (MÉRN) ainsi que l'AVÉQ. La direction régionale de Montréal de l'AVÉQ est mandatée par Équiterre pour les volets essais routiers et informations. Nous avons besoin de bénévoles supplémentaires pour combler les besoins de ces 2 volets. Appel aux électromobilistes (actuels ou en devenir) qui désirent s'impliquer : si vous êtes disponible le 23 septembre prochain, inscrivez-vous ici en tant que bénévole. Nous avons présentement amplement de Nissan LEAF, mais il nous manque des Volt, Kia Soul, BMW i3, Spark, iMiev, etc... donc il serait impératif que vous puissiez y être! Source : Équiterre ![]() En ce lundi de congé de la fête du travail, lors de ma lecture matinale, j’ai vu un commentaire sur la page de Roulez Électrique qui a attiré mon attention. Les vergers Philion étaient maintenant munis de deux bornes de recharge pour accommoder les visiteurs. Les premiers au Québec! Wow! ![]() Petits calculs d’usage pour vérifier la distance pour s’y rendre, 63 km, en Leaf, ça se fait bien. Les panneaux indicateurs pour trouver le vergers sont aidants et c’est sans problèmes qu’on trouve l’endroit. Les bornes sont bien situées, visibles en arrivant sur le site (voir vidéo), avec amplement d’espace pour se stationner autour. On y retrouve une borne Tesla 80 ampères (Destination charging) et une borne Suncountry evCharger EV40. Bien que la recharge est gratuite, il est suggéré de laisser de l’argent dans une boîte de dons. Les fonds recueillis iront au “Club de petits déjeuners de Montréal”, une cause qui tient à coeur au sympathique propriétaire, Hubert Philion. ![]() Dès mon arrivée, les responsables ont vu que je m’étais pas rendu proche de l’édifice principal comme le font habituellement les clients. Il n’en fallait pas plus pour piquer leur curiosité et réaliser que j’avais branché ma Leaf sur leur toute nouvelle borne. J’ai appris que j’étais leur premier client à l’utiliser (la Suncountry, pour la borne Tesla, on retrouve une photo sur le site Plugshare avec une Tesla qui y est branchée). La charge s’est effectuée sans problème, au maximum de la capacité de mon chargeur de 6,6 kW. En une heure, je suis passé de 54% à 80%. Parfait! ![]() Nous avons profité de cette heure pour rencontrer le propriétaire et ses parents venus lui donner un coup de main. Un accueil chaleureux, avec offres multiples de goûter à leur cidre de glace Friga et au poiré de glace Gaia. Une petite bouteille de Friga a pris preneur :-) Nous avons cueilli trois variétés de pommes: Ginger Gold, Gala et Lobo. Les pommiers sont disposés en rangs d’environ 2 metres de haut, rendant les pommes facilement accessibles à tous. Le site est très bien tenu, tout est d’une propreté exemplaire. On y trouve des chaises de parterre, des tables de pique-nique et un vaste espace de stationnement sur gazon. De quoi à nous inviter à profiter du paysage… et à y revenir!
Collaboration: Dany Labrecque Le plus célèbre résident de Saint-Élie-de-Caxton a permis à sa municipalité d'acquérir le statut de village de contes et légendes. Reste que pour le conteur Fred Pellerin, son coin de pays est bien ancré dans la modernité. À preuve, Saint-Élie-de-Caxton a inauguré dimanche quatre bornes de recharge de voitures électriques pour attirer les visiteurs.
Lors de l'inauguration, Fred Pellerin a raconté que, déjà en 1915, quatre maisons du village avaient l'électricité. « En 2015, 100 ans plus tard, il y a maintenant quatre bornes électriques pour remplir les chars. Comme quoi on continue d'être d'avant garde! » Attirer les visiteurs Les bornes électriques de Saint-Élie-de-Caxton. Photo : ICI Radio-Canada La municipalité espère que cette initiative incitera les quelque 7 000 utilisateurs de voitures électriques québécois à venir visiter le pays de Fred Pellerin et à consommer dans les différents commerces et restaurants, pendant que leur véhicule se recharge gratuitement. « Ça devient une destination pour les véhicules électriques », dit l'initiateur du projet, Gilbert Guertin. Le Montréalais Jean Désy, propriétaire d'une voiture électrique, estime que la présence de bornes en région rurale est nécessaire. « Avec les bornes ultras rapides qui sont sur les axes routiers, lors qu'on entre dans le territoire, d'avoir des endroits pour se brancher et finaliser la recharge, c'est très important. Ça vient enlever l'anxiété que les gens ont vis-à-vis des voitures électriques », soutient-il. « C'est payant économiquement parlant pour la municipalité, puis ça devient aussi une question de vision de développement durable. »— Sylvain Juteau, président de Roulez électrique Un phénomène qui se répand dans la région Outre Saint-Élie-de-Caxton, les municipalités de la Mauricie sont de plus en plus nombreuses à installer des bornes de recharge, notamment pour attirer les visiteurs, mais également pour encourager la communauté locale à se tourner vers ce type de voiture. Saint-Alexis-des-Monts a installé des bornes sur son territoire dernièrement et d'autres devraient apparaître au Lac-à-l'Eau-Claire. La Ville de Shawinigan s'est quant à elle dotée de huit bornes de recharge publiques de voitures électriques en 2015. Source: Radio-Canada / Valérie Houle Simon-Pierre Rioux, Président Association des Véhicules Électriques du Québec Quebec EV Association Monsieur Rioux, Je vous remercie pour votre lettre dans laquelle vous me posez des questions quant aux orientations du Nouveau Parti démocratique en matière d’électrification des transports. Veuillez prendre note que le NPD n’a pas encore rendu publique sa plateforme électorale complète. En réponse aux questions que vous soulevées, le NPD croit que le gouvernement fédéral doit travailler avec les Canadiens pour bâtir un avenir énergétique durable. Sous les conservateurs, nous avons plutôt été témoins de l’inverse. Le NPD a été le seul champion à Ottawa d’une stratégie pour développer une industrie de fabrication des voitures vertes. Le Canada a perdu sa place de leader environnemental et il est clair que les États-Unis ont une longueur d’avance dans la construction d’une économie propre et durable. Ainsi, un gouvernement néo-démocrate travaillera avec le secteur automobile pour favoriser la recherche et le développement pour faire du Canada un chef de file en production de voitures vertes et éco énergétiques. Nous avons proposé de créer un crédit d’impôt à l’innovation pour les entreprises qui investissent dans la machinerie, l’équipement et les actifs qui stimulent la recherche et le développement. Ce plan fera économiser près de 40 millions $ par année aux fabricants canadiens qui font d’importants investissements en recherche et développement. Nous travaillerons également avec le secteur pour améliorer la performance énergétique des véhicules fabriqués au Canada ainsi que ceux qui sont offerts aux consommateurs. De plus, le NPD croit que le gouvernement devrait faire des investissements ciblés dans les infrastructures qui encourageront le développement d’une flotte de véhicules éco- énergétiques. Un gouvernement néo-démocrate considérerait diverses mesures pour appuyer la réduction des gaz à effet de serres, comme un usage stratégique des acquisitions gouvernementales pour appuyer une flotte de véhicules exo-énergétiques. Aussi, le NPD travaillera avec les provinces sur une stratégie pour réduire les GES, y compris en sensibilisant les consommateurs sur l’impact de leurs choix en matière de transport. En ce qui concerne l’accord de libre-échange Canada-Europe, le NPD souhaite accroître les choix des consommateurs tout en maintenant des normes robustes en matière de sécurité des véhicules. Le NPD estime qu’il faut avoir en main un texte final de l’accord de libre-échange Canada-Europe avant de se prononcer sur le contenu. À cette heure, aucun texte final n’existe. En terminant, je réitère l’engagement du NPD à redevenir un leader mondial en matière de lutte aux changements climatiques. L’électrification des transports fait partie du plan du NPD pour le développement d’une économie verte et durable. Je vous remercie d’avoir communiqué avec moi dans le cadre de la présente campagne électorale. Veuillez recevoir, monsieur, mes cordiales salutations. Tom Mulcair, Chef Nouveau Parti démocratique du Canada ![]() Un questionnaire fut envoyé mi-juin par l'AVÉQ aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports serait à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. »» Lire Électrification des transports au Canada: l'AVÉQ présente sa stratégie pour les prochaines élections fédérales Le Canada est le seul pays industrialisé qui ne possède aucune initiative en matière d'électrification des transports, ce qui est inacceptable dans la lutte mondiale contre la pollution, le smog, l'impact sur la santé des citoyens, et les tensions géopolitiques liées au secteur pétrolier, entres autres. Voici la réponse officielle qui nous fut envoyée le 29 août 2015 par le chef du NPD, M. Tom Mulcair: Les commentaires de nos membres sont appréciés. Que pensez-vous de l'offre du NPD?
![]() Un questionnaire fut envoyé mi-juin par l'AVÉQ aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports serait à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. »» Lire Électrification des transports au Canada: l'AVÉQ présente sa stratégie pour les prochaines élections fédérales Le Canada est le seul pays industrialisé qui ne possède aucune initiative en matière d'électrification des transports, ce qui est inacceptable dans la lutte mondiale contre la pollution, le smog, l'impact sur la santé des citoyens, et les tensions géopolitiques liées au secteur pétrolier, entres autres. Voici la réponse officielle qui nous fut envoyée le 30 juin 2015 par le chef du Parti Conservateur, M. Stephen Harper: 1) 2) 3) 4) 5) 6) 7) 8) 9) 10) Please know that your e-mail message has been received in the Prime Minister's Office and that your comments have been noted. Our office always welcomes hearing from correspondents and being made aware of their views. Thank you for writing. »» Lire Politique d'électrification fédérale: la réponse du Parti Libéral du Canada »» Lire Politique d'électrification fédérale: la réponse du Parti Vert du Canada Les commentaires de nos membres sont appréciés. Que pensez-vous de l'offre du Parti Conservateur?
Chers (futurs/es) bénévoles de l'Outaouais: Vous êtes invités à participer à notre premier déjeuner-causerie qui aura lieu le dimanche 13 septembre à 10h00 au restaurant Cora du 200 Boul. Gréber, Gatineau
Cette rencontre nous permettra de faire connaissance, de prendre le pouls du groupe et d’échanger nos idées et suggestions de projets d’électromobilité pour la région. Aucun besoin d’être déjà inscrit en tant que bénévole, ni de posséder un véhicule électrique. Si vous avez le goût de donner un peu de votre temps, de vous joindre à une équipe dynamique et de faire une vraie différence dans le développement de l’électromobilité de notre ville et région, venez nous rencontrer! Au plaisir de vous voir en grand nombre. RSPV avant mercredi le 9 septembre à [email protected] Votre équipe AVÉQ Outaouais: Gilbert Cousineau, Directeur, Sylvain Michaud, Directeur-adjoint André LeBlanc, Délégué Christine Théwissen, Déléguée ![]() Un questionnaire fut envoyé mi-juin par l'AVÉQ aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports serait à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. »» Lire Électrification des transports au Canada: l'AVÉQ présente sa stratégie pour les prochaines élections fédérales Le Canada est le seul pays industrialisé qui ne possède aucune initiative en matière d'électrification des transports, ce qui est inacceptable dans la lutte mondiale contre la pollution, le smog, l'impact sur la santé des citoyens, et les tensions géopolitiques liées au secteur pétrolier, entres autres. Voici la réponse officielle qui nous fut envoyée le 29 juillet 2015 par le chef du Parti Libéral, M. Justin Trudeau: Simon-Pierre Rioux, Membre du conseil d’administration de Mobilité électrique Canada Président de l’Association des véhicules électriques du Québec [email protected] Cher M. Rioux, Je vous remercie d’avoir pris le temps de m’écrire pour me faire part des questions formulées par l’Association des véhicules électriques au sujet du transport électrique. Le caucus libéral et moi croyons que le Canada peut être un chef de file mondial dans la recherche, le développement et la fabrication de technologies propres. Afin d’atteindre cet objectif, j’ai récemment pris l’engagement que le Parti libéral, s’il forme le prochain gouvernement, ajouterait les technologies de stockage de l’électricité et les stations de recharge pour voitures électriques à la liste des investissements qui sont admissibles à l’amortissement accéléré. Par ailleurs, nous installerons des bornes de recharge pour véhicules électriques dans tous les terrains de stationnement du gouvernement fédéral, et nous ajouterons des véhicules électriques au parc automobile fédéral. Un gouvernement libéral collaborera avec les provinces, et les territoires pour attirer au Canada plus d’entreprises de technologies propres et plus d’investissements dans ce secteur. En veillant à ce que le gouvernement fédéral utilise davantage de technologies propres, pour ses édifices, ses achats et ses besoins en énergie, nous aiderons à créer une demande pour les entreprises de technologies propres, tout en appuyant des entrepreneurs canadiens et en donnant l’exemple sur la scène internationale. Permettez-moi encore une fois de vous remercier d’avoir pris le temps de m’écrire pour me faire part de vos questions relatives au transport électronique. Recevez, Monsieur, mes salutations distinguées. Cordialement, Justin P.J. Trudeau Député de Papineau Chef du Parti libéral du Canada Les commentaires de nos membres sont appréciés. Que pensez-vous de l'offre du Parti Libéral? AVEQ - Green Party of Canada
Le Parti vert du Canada a un plan d’ensemble pour encourager l’utilisation des véhicules électriques et d’autres formes de transport vert à l’échelle du pays. L’utilisation des technologies vertes actuellement disponibles pour rendre le transport plus efficient réduira énormément les émissions de gaz à effet de serre (GES) du secteur du transport qui représente environ 25 pourcent des émissions du Canada. Le Parti vert incitera les gens à utiliser des véhicules électriques et puis, s’efforcera de rendre les véhicules électriques et l’infrastructure plus répandus. Les véhicules entièrement électriques d’aujourd’hui sont économiques pour la conduite en ville et les modèles qui sont en développement remplaceront la fonction complète des véhicules à moteur à combustion interne. Alors qu’un plus grand nombre de véhicules électriques et de véhicules hybrides deviennent disponibles à des prix abordables, les véhicules personnels à combustion interne non hybride devraient disparaître progressivement. En vue d’appuyer entièrement les véhicules électriques verts, nous devons également éliminer la production d'électricité à partir de charbon partout au Canada. Dans l’intention de promouvoir l’utilisation des véhicules électriques partout au Canada, le Parti vert adoptera les mesures suivantes :
Oui, le Parti vert compte offrir des rabais à échelle progressive pour l’achat des véhicules les plus efficaces, y compris les véhicules électriques. Nous comptons également mettre en place des frais à échelle progressive pour l’achat de véhicule énergivore au Canada afin de créer un fond de transition équitable pour le secteur automobile.
Oui, le Parti vert accélérera l’arrivée sur le marché des véhicules hybrides rechargeables (VHR) et des véhicules entièrement électriques en ajoutant des clauses de conditionnalité de carbone dans les contrats fédéraux. Ces contrats nécessiteront l’achat d’un grand nombre de véhicules électriques destinés à être utilisés par le gouvernement fédéral aussitôt qu’ils sont disponibles.
Le Parti vert reconnaît la nécessité d’avoir une infrastructure facilement accessible pour appuyer l’utilisation des véhicules électriques à l’extérieur des routes principales, y compris des bornes de recharge électrique près de la maison et du travail. Nous reconnaissons que le secteur privé a également un rôle à jouer dans la promotion des véhicules électriques et de l’infrastructure des édifices. Nous encouragerons les efforts des entreprises en ce sens, y compris en accordant un montant déductible aux fins de l'impôt aux voitures d’entreprises écoénergétiques.
Le Parti vert compte adopter les normes de la Californie dans lesquelles une réduction de 30 pourcent des émissions de GES pour les nouveaux véhicules vendus au Canada d’ici 2020, de 50 pourcent d’ici 2025 et de 90 pourcent d’ici 2030. Ceci permettra d’augmenter la disponibilité des véhicules à émission zéro et de l’infrastructure requise pour les appuyer. Il créera également des normes de rendement du carburant conformes à celles des principaux états des États-Unis pour le modèle de l’année 2011.
Oui, le Parti vert compte démarrer une infrastructure nationale de recharge rapide des véhicules électriques en investissant 12 millions de dollars dans des projets pilotes de couloirs de déplacement autour des grands centres urbains.
Le Parti vert du Canada fera la promotion de la sensibilisation du public et du soutien des véhicules électriques en contribuant au développement de l’infrastructure requise pour appuyer leur utilisation répandue. Nous comptons également accroître la sensibilisation aux véhicules électriques auprès du grand public en faisant la promotion des achats à grande échelle de véhicules électriques au sein du secteur public et des industries privées. De plus, nos normes sur les systèmes d'échappement des véhicules feront la promotion du rendement du carburant et des VHR sur le marché de l'automobile. L’exigence que nous proposons concernant l’étiquetage obligatoire de l'efficacité énergétique des véhicules, tel que la mesure qui a été adoptée par l’UE, servira également à informer les Canadiens au sujet de l’efficacité accrue des véhicules électriques par rapport aux modèles traditionnels.
Dans le but d’appuyer l’industrie de la voiture électrique au Canada, le Parti vert offrira des primes aux fabricants canadiens de véhicules électriques et de véhicules hybrides rechargeables. Le Parti vert compte également travailler avec l’industrie automobile, les provinces, les territoires et les autres partenaires dans le but d’élaborer une stratégie des véhicules durables qui permettrait d’atteindre une réduction de 85 pourcent des émissions sous le niveau actuel d’ici 2040. Nous offrirons des incitations fiscales pour le stockage de l’électricité afin de favoriser le développement de l’énergie renouvelable dans chaque province et territoire, et de maximiser l’utilisation efficiente de l’infrastructure existante. Notre plan vis à encourager la transition vers les véhicules électriques comprend également l’établissement d’une nouvelle autorité pour créer un fond de transition équitable pour le secteur automobile. Ce fond serait appuyé par des frais additionnels sur toutes les ventes de voitures énergivores au Canada.
Bien que le Parti vert s’oppose généralement à l’Accord de libre-échange entre le Canada et l'Union européenne (AECG), nous appuyons absolument l’harmonisation des normes d’émissions avec l’Union européenne de façon à ce que les Canadiens aient accès à un meilleur choix de véhicules électriques de qualité.
Oui, le Parti vert est en fait disposé à discuter de notre soutien des véhicules électriques et de nos autres initiatives d’infrastructure de transport vert dans de futurs débats de chef de partie. ![]() Un questionnaire fut envoyé mi-juin par l'AVÉQ aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports serait à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. »» Lire Électrification des transports au Canada: l'AVÉQ présente sa stratégie pour les prochaines élections fédérales Le Canada est le seul pays industrialisé qui ne possède aucune initiative en matière d'électrification des transports, ce qui est inacceptable dans la lutte mondiale contre la pollution, le smog, l'impact sur la santé des citoyens, et les tensions géopolitiques liées au secteur pétrolier, entres autres. Voici la réponse officielle qui nous fut envoyée le 28 août 2015 par la cheffe du Parti Vert, Mme Elizabeth May: Les commentaires de nos membres sont appréciés. Que pensez-vous de l'offre du Parti Vert?
![]() En droite ligne avec le vaste projet d'électrifier le secteur des transports, le Québec va extraire de son sous-sol le lithium servant à fabriquer les batteries des véhicules électriques. Nemaska Lithium, une jeune entreprise québécoise créée en 2008, a obtenu le feu vert des autorités gouvernementales pour aller de l'avant avec son projet visant à extraire 3475 tonnes de minerai par jour pendant 26 ans. Les travaux de construction sur le territoire de la Baie-James, près du village cri de Nemaska, devraient débuter d'ici la fin de l'année et la mine à ciel ouvert devrait être en marche en 2018, procurant 250 emplois durant la phase de construction et 190 emplois par la suite. L'entreprise vient de recevoir son certificat d'autorisation du ministère du Développement durable et de l'Environnement, élément essentiel pour lancer les travaux. Ce projet minier était en marche depuis 2011. Même si le secteur minier traverse un important creux de vague depuis quelques années, la demande pour le lithium servant de composante aux batteries de véhicules électriques est en pleine croissance sur les marchés internationaux. L'annonce du projet Whabouchi a été faite vendredi par le président de Nemaska Lithium, Guy Bourassa, en présence du ministre délégué aux Mines, Luc Blanchette, et du ministre des Ressources naturelles, Pierre Arcand. «Nous pouvons maintenant nous attaquer à la tâche ardue de financer ce projet nécessaire à l'électrification mondiale des transports, je répète, mondiale», a commenté M. Bourassa, en conférence de presse. Le montage financier du projet, évalué à 200 millions de dollars, n'est pas complété, et les ministres présents n'ont pas pu dire combien de fonds publics y seraient injectés. Le projet Whabouchi sera admissible au nouveau Fonds Capital Mines Hydrocarbures, doté d'une enveloppe d'un milliard de dollars. Grâce à ce fonds, Investissement Québec entend prendre des participations dans des entreprises exploitant les ressources naturelles, incluant des minières. Il n'y aura pas de subventions gouvernementales. Mais l'essentiel des fonds proviendra de sources privées. La direction de Nemaska Lithium, une entreprise basée à Québec, est à la recherche de partenaires. Le contexte est plus que favorable pour investir dans ce projet, selon M. Bourassa, qui fait valoir que le la demande pour le lithium avait augmenté de plus de 10% au cours des 18 derniers mois et que le prix de vente suivait la même tendance, atteignant à l'heure actuelle 8500$ la tonne. Le ministre Arcand est demeuré évasif quant aux retombées escomptées, sous forme de redevances, à attendre du projet Whabouchi. Il a parlé d'un «projet catalyseur» pour le Québec, qui permettra le développement d'une nouvelle filière tout en contribuant à la «décarbonisation» du Québec, par son apport aux véhicules électriques. Selon M. Bourassa, la production de lithium au Québec aura un effet de levier sur d'autres entreprises pour faciliter l'électrification des transports. Le secteur minier «est cyclique», a rappelé le ministre Arcand, voulant se faire rassurant quant à l'avenir du Plan Nord et des projets miniers moins avancés que celui de Nemaska. «Il y a au moins un minimum de 17 projets actuellement dans le cadre du Plan Nord d'entreprises qui sont prêtes à investir», a-t-il commenté. «Les choses peuvent très bien repartir également», a ajouté le ministre. Sauf que le secteur minier traverse depuis quelques années une période très difficile, le prix des métaux ayant plongé. Des projets et des investissements ont dû être retardés. Au total, les investissements miniers au Québec ont atteint 4,6 milliards de dollars en 2013, en baisse de près de 11 pour cent par rapport à l'année précédente. Source: La Presse / Jocelyne Richer ![]() Puisqu'il sera absent lors du raccordement de la BRCC de Montebello qui est prévu pour la semaine de 7 au 11 septembre, notre ami Sylvain est allé s'amuser et prendre quelques photos avec "sa" borne dimanche dernier. L'inauguration officielle de cette borne tant attendue sera le 1er octobre à 10h00. Tous les membres de la communauté sont invités à venir assister à la cérémonie. Il sera possiblement nécessaire de coordonner l'utilisation de la BRCC alors si vous prévoyez devoir l'utiliser veuillez m'envoyer un courriel a [email protected] en m'indiquant votre heure prévue d'arrivée et l'heure à laquelle vous devez quitter et je tenterai d'établir une cédule de recharge. Au plaisir de vous y voir en grand nombre. Source : Gilbert Cousineau - Administrateur et directeur régional AVÉQ Outaouais Contributeur : Martin Archambault |
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