Profitant d’une tournée régional du ministre délégué aux Transports, et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et ministre responsable de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Jean d’Amour, la Ville de Mont-Joli et le Circuit électrique ont annoncé, vendredi, la signature d’une entente de partenariat ainsi que la mise en service d’une borne de recharge rapide pour véhicules tout électriques et d’une borne de recharge standard. Ainsi, maintenant, les conducteurs peuvent maintenant recharger leur véhicule électrique à l’une ou l’autre des bornes situées dans le stationnement du Château Landry, au 1588 boulevard Jacques-Cartier. Rappelons qu’il s’agit de la deuxième borne électrique de recharge rapide de la région puisqu’une autre borne rapide est en service à La Pocatière depuis la fin juillet.
« Par sa contribution au développement et à l’expansion du réseau de bornes de recharge pour véhicules électriques, la Ville de Mont-Joli démontre que l’électrification des transports est bien engagée au Québec. Grâce aux actions entreprises au cours des dernières années, notre gouvernement confirme une fois de plus sa volonté de poursuivre l’électrification des transports et la lutte aux émissions der gaz à effet de serre » a souligné le ministre responsable de la région, Jean d’Amour. De son côté, la mairesse de Mont-Joli, Danielle Doyer, a dit sa fierté de voir Mont-Joli au rendez-vous de l’électrification des transports, une énergie propre et renouvelable. « Ce partenariat constitue une plus-value à notre offre de services auprès des nombreux visiteurs qui parcourent notre ville et profitent de ses attraits. Je remercie Nissan ainsi qu’Hydro-Québec de leur appui financier significatif, de leur diligence et de leur excellente collaboration. Merci également à notre partenaire local, la Caisse Desjardins de Mont-Joli qui a aussi contribué à la réalisation de cette initiative qui s’inscrit dans nos valeurs communes de développement durable a ajouté la mairesse. « Nous sommes fiers d’accueillir la Ville de Mont-Joli au sein des partenaires du Circuit électrique et nous saluons le leadership de la Ville pour la réalisation de ce projet ainsi que Nissan pour son appui financier. En faisant le choix d’offrir tant la recharge rapide que standard, la mairesse et son équipe contribuent à renforcer le rôle de Mont-Joli comme village-relais du Québec et comme destination de choix pour les électromobilistes de passage dans la région » a souligné Ann Bourget, la directrice adjointe-Affaires régionales-Est-du-Québec à Hydro-Québec et représentante du Circuit électrique. Le Circuit électrique poursuit son développement au Bas-Saint-Laurent où il compte maintenant 14 bornes de recharge publique, soit à Amqui, Grand-Métis, La Pocatière, Mont-Joli, Rimouski, Rivière-du-Loup, Témiscouata-sur-le-Lac et Trois-Pistoles. L’implantation de nouvelles bornes rapides au Bas-Saint-Laurent est déjà projetée à Rimouski, à Trois-Pistoles ainsi qu’à Rivière-du-Loup Le réseau de recharge rapide est en pleine expansion et compte maintenant 19 bornes au Québec grâce au soutien de Nissan Canada. Source : Journal l'Avantage Contribution : Martin Archambault
Commentaires
Billet du président de l'AVÉQ Enfin, le voilà ce plan d'électrification des transports du Gouvernement Couillard - nous l'attendions tous avec impatience, et il nous a réservé quelques belles surprises! En fait, presque toutes les recommandations de l'AVÉQ lors de la Commission sur les Enjeux Énergétiques qui eut lieu au Parlement en début d'année sont présentes dans les documents et lors des discussions que nous avons eu après la conférence. Précisions... La première surprise fut lorsque le ministre Arcand mentionnait que le gouvernement souhaitait voir l'électrification non seulement des véhicules personnels, mais aussi des flottes de compagnies, de transport routier, de livraison du dernier kilomètres, des véhicules récréatifs, ainsi que des motos - ajoutant que les motos auraient accès à un incitatif financier, autant qu'à avoir accès à une plaque verte (qui viendra bientôt avec son lot d'avantages). Cette annonce créa une vague d'applaudissements dans la foule, une surprise à laquelle personne ne s'attendait. On a ensuite mentionné, à répétition, que le programme d'incitatifs à l'acquisition d'un VÉ (présentement de 8,000$) continuerait au-delà du 31 décembre 2016; on ne vise pas une date, mais des objectifs "quantifiables". Certains ont vu un flou à cette affirmation, mais nous avons vérifié avec les fonctionnaires du MTQ, et on nous a confirmé que ce serait lorsqu'une "masse critique" de VÉ serait atteinte. Et cette masse critique est d'atteindre 100,000 VÉ avant de requalifier le programme, selon certains critères dont le plus important: le prix des véhicules à ce moment, alors qu'on s'attend à une baisse naturelle des prix alors que la technologie s'améliorera et que la production de masse puisse avoir un impact sur le coût. On se donne par ailleurs d'autres objectifs, à 200,000 voire 300,000 VÉ (oui, on m'a bien mentionné 300K VÉ sur les routes). Comprenons ici qu'une baisse de prix de 4,000$ sur une voiture de base impliquerait une baisse de l'incitatif de 4,000$ également. En plus de l'expansion prévue du Circuit Électrique au 31 décembre 2016, où on cible la mise en fonction d'un total de 785 bornes dont 60 BRCC, le MTQ participera à l'exercice en ajoutant une somme de 2,5 millions$ qui se traduirait par un nombre de BRCC "bien supérieur à 70" à des emplacements stratégiques appartenant au MTQ ou à des emplacements où les coûts d'installation ne pourraient être absorbés facilement par les partenaires. Un exemple cité fut l'implantation de 3 bornes rapides dans le "centre-ville" de Montréal d'ici juin 2016. On peut donc s'attendre à ce que le réseau de BRCC soit élargi tel que présenté par le Circuit Électrique récemment, mais en plus il sera densifié afin d'éviter l'achalandage aux bornes les plus populaires. Selon toute vraisemblance, on parlerait ici de plus de 130 BRCC au total. M. Poéti a attiré l'attention en mentionnant que les automobilistes allaient s'arracher les plaques vertes, avec tous les avantages sociaux qu'elles vont offrir. « Il ne s'agit pas d'un privilège pour les électromobiliste, c'est plutôt un retour du balancier, pour les remercier d'être des pionniers. » Plus tard, il s'échappa auprès de quelques personnes en mentionnant que plusieurs annonces importantes ajoutant d'autres avantages d'être électromobiliste auraient lieu d'ici la fin de l'année, et que les gens se battraient pour avoir une plaque verte. Un gros qui saute aux yeux: Accès gratuit au Nouveau Pont Champlain? -- car pour ceux qui ne le savaient pas, le contrat signé avec "Signature sur le St-Laurent" contient une clause où le consortium mené par SNC-Lavallin sera responsable de l'exploitation et l'entretien du pont pour 30 ans, avec un prix maximum indexé pour le péage (information sur le prix non-divulguée) C'est ce qui fait que le coût du contrat est aussi bas: il y aura un revenu assuré au consortium suite à sa construction. Une autre surprise de taille fut la mention d'une norme Zéro Émission qui serait adoptée au Québec, en partenariat avec d'autres provinces (Ontario et/ou Colombie-Britannique). Ce que la plupart des gens dans la salle ignorait, c'est que les représentants de Global Auto Makers (14 manufacturiers automobile internationaux) et du Canadian Vehicle Manufacturer's Association (Ford, GM, Chrysler) étaient sur place pour écouter la présentation, et que cette annonce les a complètement estomaqué. Le gouvernement leur avait pourtant assuré qu'aucune loi contraignante serait même mentionnée. Ce changement de cap a eu lieu après moultes négociations la nuit précédente, et qui ont continué jusqu'au matin de la présentation. Nous devons tous une fière chandelle à un homme respecté de la province qui n'a jamais lâché prise sur ce sujet, et qui a argumenté avec brio les conditions que nous voulions qui soient défendues. Bien que présentement nous ne pouvons nommer ce champion sans son consentement, son équipe nous avait rejoint il y a quelques jours afin de déterminer de quelle façon il pouvait pousser les conditions sine-qua-none que nous avions pour qu'une stratégie d'électrification des transports puisse rencontrer ses objectifs au Québec. Plusieurs autres individus sont intervenus dans le dossier afin de convaincre des bienfaits d'un mandat Zéro Émission, un combat jusqu'à la dernière minute. Tentant d'obtenir plus de détails sur ces négociations, on m'a laissé comprendre de manière fort diplomatique et avec le sourire que peu importe les défis rencontrés, le résultat aujourd'hui est là, et qu'on pouvait en être fier. Quelques heures après la conférence, les acteurs dans le domaine de l'électromobilité (dont l'AVÉQ) ont accepté de collaborer ensemble afin d'être impliqués dans l'élaboration de la norme VZÉ québécoise. Nous avons aussi obtenu le soutien du parti d'opposition (PQ) afin de s'assurer qu'une loi puisse être votée d'ici la fin de l'année. Notons que ces derniers avaient réclamé une loi Zéro Émission en avril 2015. Une journée folle, excitante à souhait, qui nous a permis de rêver d'un Québec propre, riche, silencieux, enviable; d'un projet de société solide dont les Québécois pourront être fiers. Un rassemblement de près de 200 personnes qui ont l'électromobilité et l'environnement à coeur. Et un plan qui sera mis en action. L'AVÉQ est très satisfaite de ce qui fut présenté aujourd'hui, mais nous resterons vigilants quant à la mise en fonction d'un mandat ZÉV. De très bonnes nouvelles pour toutes les sphères de l'électromobilité: des utilisateurs jusqu'à la filière industrielle. Un grand merci à toute l'équipe de l'AVÉQ ainsi qu'à ses partenaires pour votre support, une grande étape est finalement franchie! Maintenant, célébrons!! Vidéo mettant en vedette la LEAF de notre vice-président Michel Gélinas, la Tesla de Mario Langlois du Club Tesla Québec, et la Volt de notre membre Michel Turcotte (ainsi que sa main qui débranche la borne!) Vidéo mettant en vedette la LEAF de notre membre Étienne Chalifour Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Selon à l'information d'un de nos membres Richard Couture, le restaurant St-Hubert de Piedmont dans les Laurentides était en train de procéder jeudi dernier à une installation qui ressemblait vraisemblablement à une future BRCC. L'AVÉQ intriguée, est aller constater par elle-même! Arrivé sur les lieu, nous avons en effet constaté que des gens préparaient le terrain pour l'arriver de la prochaine BRCC! Selon l'électricien sur place, la dalle de béton serait coulée aujourd'hui vendredi, puis la borne installée et branchée au cours de la prochaine semaine. Après s'être entretenu brièvement avec le propriétaire du restaurant, on nous a également informé que la borne 240V qui est déjà installée de l'autre côté du stationnement, sera déplacée près du futur emplacement de la BRCC, qui semble parfaitement située, pas trop près des portes du restaurant. Nous constatons avec grand plaisir que l'annonce des Restaurants St-Hubert sur les 10 BRCC semble se concrétiser rapidement, ce qui fera la joie de plusieurs électromobilistes! À noter, selon la carte dynamique des futures BRCC de CAA-Québec, la borne du St-Hubert de Sainte-Agathe-des-Monts serait également mise en service d'ici la fin du mois d'octobre. Contribution: François Viau Le plan d'action en électrification des transports a bénéficié d'une bonne couverture télévisuelle par Ici RDI, voici plusieurs vidéos de l'événement. Discours du député de Roberval, premier ministre du Québec, Philipe Couillard: Discours Robert Poëti, député dans Marguerite-Bourgeoys (Parti libéral du Québec), Ministre des Transports et ministre responsable de la région de Montréal: Entrevue - Nissan - Shawinigan Entrevue - Martine Ouellet Le point avec Catherine Gauthier: Entrevue - Benoît Charette, copropriétaire et éditeur en chef de «L'annuel de l'automobile»: Source: Ici Radio-Canada;
Contribution: Dany Labrecque TM4 FAIT SA PLACE EN CHINE Depuis mars 2015, un autobus électrique articulé de 18 mètres est en service sur la ligne 57 du réseau de bus de Pékin. Créé par Foton, constructeur d'autobus chinois, l'engin est propulsé par un moteur de TM4, filiale d'Hydro-Québec spécialisée dans la fabrication de moteurs électriques. En Chine, TM4 travaille de concert avec sa coentreprise Prestolite E-Propulsion Systems, dont l'usine possède une capacité de production de plus de 2000 systèmes de motorisation électriques par année. Située à Boucherville, TM4 a établi de nouveaux partenariats au cours des derniers mois avec des clients en provenance du Mexique, de la Finlande et de la République tchèque. Source: La Presse DES BORNES DE RECHARGE À TRAVERS LE CANADA Au cours des 18 prochains mois, le Réseau Azra déploiera 1780 bornes de recharge dans l'ensemble du Canada. Celles-ci s'ajoutent aux 241 bornes implantées au Québec depuis l'automne 2014. D'ici deux à trois semaines, l'entreprise lancera une deuxième version de son application qui permet entre autres de géolocaliser les bornes, d'effectuer des paiements et de suivre l'avancement de la recharge de la batterie en temps réel. En parallèle, le Réseau Azra démarrera la distribution du Twizy, le quadricycle électrique urbain du constructeur Renault, dont l'entreprise espère écouler 600 unités dans la prochaine année et demie. Déjà, une centaine de véhicules ont été réservés. LA BLUECAR À INDIANAPOLIS... ET À MONTRÉAL ? Bathium Canada s'appelle désormais Blue Solutions Canada. L'entreprise du Groupe Bolloré installée à Boucherville a repris les couleurs de sa voiture électrique emblématique, la Bluecar, utilisée dans le système Autolib' à Paris depuis 2011. Mise aux normes nord-américaines, la Bluecar a pris la route d'Indianapolis le 2 septembre dernier. L'entreprise y a implanté un réseau d'autopartage de 50 voitures et de 125 bornes de recharge. Blue Solutions Canada a déjà manifesté son intérêt pour le futur système de véhicules électriques en libre-service de la Ville de Montréal. « On pourrait déployer 1000 voitures », précise Jean-Luc Montfort, directeur général de l'entreprise qui fabrique les batteries LMP (lithium, métal, polymère) qu'on retrouve dans les Bluecar. LA MOTO SORA EN VEDETTE DANS HAWAII 5-0 La populaire série américaine Hawaii 5-0 comptera un personnage de plus cet automne : la moto électrique Sora, conçue et fabriquée par la firme longueuilloise Lito Green Motion. L'acteur Daniel Dae Kim l'enfourchera régulièrement au petit écran, en plus d'en vanter les mérites dans le script. Un placement de produit au potentiel très intéressant. « C'est un coup de pub énorme : 10 millions de téléspectateurs par semaine dans 200 pays », signale Jean-Pierre Legris, président de Lito Green Motion, qui souhaite augmenter les ventes de la Sora. Plus près de chez nous, la police de la Ville de Longueuil fera l'acquisition de deux motos électriques qui prendront la route l'été prochain. De Pékin à Québec en passant par Hawaii, nous roulons plus vert, que ce soit en auto, en bus ou à moto, grâce à l'imagination d'entrepreneurs et de chercheurs de la région du Grand Montréal. Voici six organisations qui travaillent d'arrache-pied à améliorer la durabilité du transport de demain, tant ici qu'à l'étranger. NOVA BUS PRÉSENTE DE BUFFALO À MONTRÉAL Ça bouge chez Nova Bus, filiale nord-américaine du constructeur Volvo ! De 2016 à 2019, la Société de transport de Montréal mettra à l'essai trois autobus 100 % électriques de la série Nova LFSe. Nova Bus a livré cet été des autobus hybrides « conventionnels » à la Société de transport de l'Outaouais et des bus hybrides dotés du système de propulsion série E au Réseau de transport de la Capitale - ces véhicules pouvant passer du mode diesel à des opérations temporaires complètement électriques. Cet automne, Nova Bus fournira une vingtaine d'autobus roulant au gaz naturel au transporteur public de la région de Buffalo Niagara, dans l'État de New York. UN NOUVEL INSTITUT DÉVELOPPE DES VÉHICULES INNOVANTS Né le 1er avril dernier de la fusion du Centre national de transport avancé et de l'Institut du transport avancé du Québec, l'Institut du véhicule innovant est déjà impliqué de près ou de loin dans pratiquement tous les projets touchant les véhicules hybrides, électriques ou autonomes conçus au Québec, comme la moto électrique de Lito Green Motion ou l'autobus scolaire électrique d'Autobus Lion. Affilié au Cégep de Saint-Jérôme, l'institut de recherche travaille actuellement à développer un véhicule électrique autonome - à l'image des voitures sans chauffeur de Google. Ces véhicules sont toutefois destinés à des activités hors route pour des marchés de niche comme les secteurs de l'agriculture et de la manutention industrielle. AUTOBUS LION EN PRÉCOMMERCIALISATION L'eLion, l'autobus scolaire électrique de l'entreprise Autobus Lion, sera mis à l'essai dans les prochaines semaines. Six véhicules sillonneront les routes de la province par l'entremise de différents opérateurs scolaires qui auront l'occasion de se familiariser avec cet autobus ayant une autonomie de 120 kilomètres. Le constructeur de Saint-Jérôme prévoit commercialiser l'eLion dès la fin de l'automne. La demande est déjà là, non seulement au Québec et en Ontario, mais aussi dans une dizaine d'États américains qui élaborent des plans d'électrification de transport, à commencer par la Californie, l'Ohio et New York. Autobus Lion a récemment bénéficié pour ce projet d'une subvention de 2 millions du gouvernement du Québec et d'un investissement du fonds XPND Capital. Des détails du «Plan d'action en électrification» du gouvernement en avant-première à Radio-Canada8/10/2015 Exclusif - Québec annoncera vendredi qu'il investira 420 millions de dollars pour l'électrification des transports au cours des cinq prochaines années et prévoit des investissements de cinq milliards pour des projets en transport collectif. Un texte de Martine Biron - Radio-Canada L'AVÉQ sera en entrevue à Radio-Canada demain matin 6h40 pour commenter cet article à l'émission Première Heure, animée par Claude Bernatchez En 2013, le plan d'électrification du gouvernement péquiste de Pauline Marois prévoyait des investissements de 516 millions sur 3 ans, de 2014 à 2017. Sous le thème « Propulser le Québec par l'électricité », le plan libéral repose sur trois piliers : favoriser les transports électriques, développer la filière industrielle et créer un environnement favorable pour les automobilistes. Ainsi, Québec vise l'ajout de 100 000 nouveaux véhicules électriques et hybrides rechargeables sur les routes du Québec d'ici 5 ans. Pour encourager les automobilistes à opter pour ce type de véhicule, le ministère des Transports installera 785 bornes de recharge publiques sur le réseau, dont au moins une soixantaine de bornes de recharge rapide. Le gouvernement invitera aussi les employeurs à implanter des bornes sur les lieux de travail. Comme l'avait annoncé le gouvernement libéral de Jean Charest, le gouvernement Couillard maintient le rabais à l'achat d'un véhicule électrique jusqu'à concurrence de 8000 $ jusqu'à la fin de 2016. Québec entend par ces mesures faire en sorte qu'à partir de 2020, la consommation annuelle de carburant dans les transports aura diminué de 66 millions de litres. Il vise aussi, toujours à partir de 2020, une réduction annuelle des émissions de GES de 150 000 tonnes dans les transports. Le gouvernement prévoit que 5000 emplois seront créés dans l'industrie liée à l'électrification des transports alors qu'il prévoit des investissements privés de l'ordre de 500 millions. Québec donnera l'exemple Québec entend favoriser la recherche et le développement dans le secteur, et mettra sur pied des programmes conjoints entre l'entreprise et le secteur universitaire. Différents programmes de formation de la main-d'œuvre seront mis en place. Pour donner l'exemple, Québec s'engagera à électrifier le parc automobile gouvernemental et promet que d'ici 2020, 1000 véhicules seront électriques. Il s'engage aussi à créer un environnement propice aux automobilistes qui prendront le virage électrique en leur donnant, par loi, accès aux voies réservées. Ces automobilistes pourront aussi passer gratuitement aux ponts à péage des autoroutes 25 et 30, et sur les traverses payantes de la société des traversiers à partir du 1er janvier 2016. [NDLR: Pour un usager quotidien du pont payant de l'A25, cet incitatif représenterait des économies mensuelles totales de l'ordre de 125$] Le plan du gouvernement Couillard prévoit aussi des investissements de 5 milliards de dollars pour des projets présentement à l'étude en transport collectif, dont le système de transport collectif sur le nouveau pont Champlain et le train de l'Ouest de Montréal. Le PLQ se traîne les pieds, dit le PQ À 24 heures de l'annonce du gouvernement, le Parti québécois a accusé le gouvernement Couillard de prendre son temps dans ce dossier. « On a l'impression que le gouvernement libéral a le pied sur le brake », a affirmé la députée Martine Ouellet. En compagnie du chef du parti Pierre Karl Péladeau, elle a réclamé du gouvernement qu'il s'engage à présenter un projet de loi « zéro émission » pour augmenter de façon significative l'offre de véhicules électriques sur le marché automobile québécois. « Une telle législation ferait en sorte de rendre les véhicules hybrides branchables et électriques plus accessibles pour les Québécois », ajoute Mme Ouellet. Source: Radio-Canada Info Contribution: Simon-Pierre Rioux Cette semaine à l’émission; On discute des dernières nouvelles dans le monde de la voiture électrique, les BRCC chez St-Hubert, inauguration de l'institut du véhicule innovant, le positionnement des partis politiques envers l'électrification des transports, et la Tesla Modèle X. Avec Martin Archambault de l'AVÉQ . Archive des podcast auto : Cliquez ici
En collaboration avec Doc Bornee USA, l'AVÉQ est fière de vous présenter un petit concours fort amusant qui pourrait vous permettre de gagner une superbe plaque d'immatriculation Doc Bornee du "Sunshine State"! Pour participer, vous n'avez qu'à visionner la vidéo de l'événement "Driving the Future" qui a été réalisée à Fort Lauderdale lors de la semaine "Conduisons Électrique", et répondre à la question suivante:
Le concours prendra fin lorsque nous aurons trouvé 10 gagnants avec la bonne réponse - donc faites vite!! L'article sera mis à jour lorsque le concours sera terminé donc si vous lisez ce qui suit, c'est que le concours est toujours en cours. Envoyez-nous vos réponses à [email protected] Source: EVannex Bonne nouvelle pour les électromobilistes de la Baie-des-Chaleurs. Le motel Interprovincial de Pointe-à-la-Croix offre maintenant des bornes de recharge. Adjacent au restaurant Pastali, il est situé sur la route 132 à l'intersection du boulevard menant au Nouveau-Brunswick. Le propriétaire M. Thériault est très heureux d'offrir ce service aux voyageurs. L'installation comprend une borne J1772 et deux bornes Tesla, offertes grâce au programme Anxiété Zéro d'Éco Route Québec (http://www.aveq.ca/actualiteacutes/eco-route-quebec-lance-son-programme-anxiete-zero) Les bornes seront très appréciées car elles comblent un "trou" de 180 km permettant ainsi de relier Amqui à New Richmond. Elles tombent à point pour l'éVÉnement électrisant de New Richmond qui se tient la fin de semaine prochaine (http://www.aveq.ca/actualiteacutes/premier-evenement-electrisant-en-gaspesie), permettant aux gens du Bas-St-Laurent de s'y rendre sans souçi. Source : David Sylvestre, Directeur régional AVÉQ - Gaspésie
Contribution : Martin Archambault L'institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) a publié le 5 octobre 2015 un rapport sur les moyens qui peuvent être mobilisés pour financer la mise en oeuvre d'une stratégie de transition écologique dans les transports au Québec pour la période 2015-2030. Trois experts ont commenté et validé l’étude « Le rapport dresse une feuille de route en phase avec les objectifs du Québec et de la communauté internationale. Le scénario de transition proposé est celui qui permet de s’approcher de l’atteinte d’une cible de -40 % des émissions de GES pour 2030. Il ouvre également la voie à la réalisation de réductions encore plus substantielles d’ici 2050 », ont déclaré Gilles L. Bourque et Michel Beaulé, respectivement chercheur et chargé de projet à l’IRÉC. Les auteurs ont poursuivi en précisant que pour mener efficacement la lutte aux changements climatiques au Québec, il faut placer les actions en transport au cœur des stratégies. « En effet, disent-ils, compte tenu de l’importance de l’hydroélectricité dans la production d’énergie au Québec, c’est principalement le transport routier qui produit les plus grandes quantités d’émissions de GES avec 35 % des émissions totales en 2012. De plus, le plan de transition proposé aurait un effet structurant pour l’ensemble de l’économie québécoise en lui faisant réaliser un important saut de productivité ». Atteindre 80 % de l’objectif Sur le plan plus technique, le rapport précise que le scénario proposé « conduit à une baisse de 7,7 mégatonnes (Mt) de CO2. Puisque la cible de réduction globale de 40 % des émissions par rapport à 1990 exige une diminution d’au moins 9,6 Mt du transport terrestre, ce scénario permettrait d’atteindre 80 % de l’objectif. Le 20 % restant pourrait provenir d’une politique énergétique plus volontaire en faveur des biocarburants et d’une bonification des incitatifs favorisant une accélération de l’électrification des transports. Électrification des transports Le scénario de transition comprend aussi un volet d’électrification des transports. C’est l’électrification des transports qui contribuera le plus à la réduction des GES au Québec et le scénario de transition du rapport propose une stratégie pour la financer. Pour le transport collectif, il passe par le transfert vers les autobus hybrides puis électriques à partir de 2025 ainsi que par les projets de SLR vers la Rive-Sud (pont Champlain), vers l’Ouest et vers l’Est-de-Montréal. Pour le transport privé, il propose un nouveau Plan d’action sur la voiture électrique qui bonifierait et prolongerait l’aide financière aux achats de véhicules électriques (VE), mais à un coût moindre pour l’État : il repose sur un mécanisme de bonus-malus qui serait financièrement neutre et sur une réduction temporaire et partielle de la taxe de vente sur les VE. Amélioration des transports en commun Pour rendre les transports en commun urbains plus attractifs, « le scénario de transition implique, pour la période 2015-2030, des investissements gouvernementaux d’un milliard de dollars par année incluant l’inflation en plus de 5,8 milliards $ de la part des municipalités, pour un total d’immobilisations publiques de 23 milliards $. À ce montant, nous ajoutons trois projets de système léger sur rail (SLR) qui pourraient être réalisés par CDPQ Infra et qui sont évalués à 7,5 milliards $, ce qui porte le total à 30,5 milliards $ dans les transports en commun (TC). Les nouveaux revenus du Fonds Vert, une augmentation de la taxe d’accise sur les carburants ainsi que les investissements réalisés par CDPQ Infra permettent le financement et la réalisation des immobilisations prévues », ont-ils précisé. « Par ailleurs, les propositions de nouveaux revenus pour les municipalités (taxe à la congestion et taxe sur les stationnements non résidentiels hors rue) leur permettraient de faire face à leurs obligations (immobilisations et exploitation des sociétés de transport) sur l’horizon 2030 », ont ajouté les chercheurs. Effets structurants pour l’économie nationale Pour ces auteurs, les investissements dans l’écosystème productif des transports sont essentiels afin d’ancrer les retombées de cette stratégie de transition dans l’économie nationale. « La transition vers des systèmes de transport plus durables, disent-ils, est profitable au Québec en raison de l’abondance et du faible coût de son énergie électrique, mais aussi dans la mesure où il peut développer des technologies et des savoir-faire qui pourront être exportés. Plusieurs mesures sont proposées avec une approche intégrée d’investissements dans la recherche et le développement des technologies vertes et dans les secteurs industriels stratégiques qui y sont associés ». « C’est une proposition ambitieuse, mais réalisable qui est ici soumise au débat public. L’IRÉC entend ainsi contribuer au débat souhaité par le gouvernement du Québec qui, le 17 septembre, annonçait la tenue prochaine d’une consultation à propos de la cible de réduction d’au moins 37,5 % des émissions de GES au Québec à l’horizon 2030 », ont conclu Gilles L. Bourque et Michel Beaulé. Les experts qui ont commenté et validé le rapport sont madame Florence Junca-Adenot, professeure associée au Département d’études urbaines et touristiques, ESG UQAM, monsieur Daniel Breton consultant en matière d’énergie, d’environnement et d’électrification des transports et monsieur Gérald Gagnon, gestionnaire de portefeuille chez Optimum Gestion de Placements. Quelques faits saillantsUn scénario de transition est proposé, lequel suppose que les gouvernements provincial et fédéral contribuent pour $400M et $200M respectivement (en réduction de TPS et TVQ). Un investissement de $1,3G serait attribué à Hydro-Québec pour un réseau de bornes de recharge. Le nouveau Plan d’action sur les VE (NPVE) que nous proposons dans le cadre de notre scénario de transition permettrait de prolonger le programme d’aide financière aux achats de VE sur une plus longue période, à un coût moindre pour l’État, avec des objectifs plus réalistes. Il consisterait à :
Le graphique suivant montre la tendance réelle de consommation de 1995 à 2014, qui avait commencé à plafonner dans la foulée de la Grande Récession de 2009, et compare son évolution selon les deux scénarios étudiés dans ce rapport. En raison des nouvelles normes d’efficacité énergétique imposées par les États-Unis aux fabricants de voitures et de camions, les deux scénarios signalent un virage significatif, un passage vers une économie à plus faible intensité de carbone. C’est néanmoins le scénario de transition qui permet de répondre le plus correctement à l’urgence de réduire rapidement les émissions de CO2: Résumé du rapportLes données scientifiques montrent qu’il est impératif de réduire l’utilisation des énergies fossiles pour que la planète demeure habitable à long terme. Au Québec, cette réduction doit surtout s’effectuer dans le secteur des transports. En effet, compte tenu de l’importance de l’hydroélectricité dans la production d’énergie au Québec, c’est principalement le transport routier qui produit les plus grandes quantités d’émissions de GES avec 35 % des émissions totales en 2012. Et cela va croissant. Cette tendance s’explique par la popularité des camions légers (fourgonnettes, camionnettes et VUS) et par l’augmentation du nombre de camions lourds : les GES émis par les premiers ont doublé entre 1990 et 2012 alors que ceux émis par les camions et autobus étaient en hausse de 95 %. L’apport principal de cette recherche consiste à définir et analyser les moyens qui pourraient être mobilisés pour financer la mise en oeuvre d’une stratégie québécoise de transition écologique dans les transports pour la période 2015-2030. L’atteinte de cet objectif nécessitera d’importants investissements tant dans le transport privé que dans le transport public. Dans le cas du transport en commun, des projets connus sont utilisés à titre d’exemple pour illustrer ce qu’il serait possible de réaliser au moyen d’une enveloppe financière donnée, mais le rapport ne privilégie aucun projet en particulier, car le choix des projets constitue un débat en soi et ce choix repose sur des facteurs qui ne sont pas abordés dans l’étude. Notre préoccupation se limite aux moyens de financer ces enveloppes. La réalisation d’une transition énergétique du transport routier dépend de nombreuses conditions. Certaines d’entre elles sont difficiles à satisfaire dans le contexte actuel. Ainsi peut-on évoquer principalement :
Mais elle comporte aussi des risques qu’il faut prendre en compte :
À propos de l'IRÉC L’Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) est un organisme à caractère scientifique. Son objectif est d’appuyer et d’encourager la recherche en économie tant générale que politique ou sociale afin de chercher, avec d’autres, les meilleures voies de réalisation du bien commun et une meilleure définition du rôle que doivent jouer les différents acteurs sur les scènes économiques locales et mondiales. Depuis 1999, l’Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) multiplie les interventions afin de favoriser la recherche dans les champs de l’économie générale, de l’économie sociale ou de l’économie politique. L’IRÉC est un organisme sans but lucratif que ses réalisations inscrivent parmi les acteurs importants de la recherche économique au Québec. Source : IREC
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale Nationale Le dimanche 11 octobre aura lieu le tout premier événement d’essais routiers de l’Outaouais organisé entièrement par l’équipe de l’AVÉQ régionale. Plusieurs modèles de véhicules électriques disponibles au Québec seront présentés et la population générale aura l’occasion de parler avec des propriétaires bénévoles qui partageront leur plaisir et leur expérience de la conduire électrique. Il y aura également la possibilité de faire des essais à bord de leur véhicule personnel. L’équipe dynamique de l’AVÉQ Outaouais vous attend en grand nombre pour cet événement qui se déroulera entre 9h30 et 15h30 dans le stationnement du Canadian Tire du Plateau (secteur Hull de Gatineau). L’équipe dynamique de l’AVÉQ Outaouais vous attend en grand nombre. Nous aurons un beau kiosque de l’association sur place et donc une belle visibilité. Si vous êtes intéressés à participer contactez-nous par courriel au [email protected].
Source : Christine Théwissen - AVÉQ Outaouais
Contribution : Martin Archambault Septembre 2015
La Nissan LEAF est de plus en plus populaire au Canada, et fort probablement au Québec. En effet, même si la nouvelle LEAF 2016 avec une autonomie plus grande de 25% n'est pas encore disponible, la 2015 bat un record de ventes au Canada avec 144 exemplaires, soit 20 de plus qu'au mois dernier et surpassant le record de 127 datant d'avril. Très intéressant de voir cette tendance, alors que les ventes faiblissent du côté américain. Est-ce que la décision de Nissan de financer un réseau de bornes de recharges rapides au Québec s'avérera payant à long terme? Évidemment, les rabais pour écouler les 2015 continuent à se faire sentir, en plus probablement de l'enthousiasme contagieux des électromobilistes. La Chevrolet Volt de première génération, en fin de vie, fait aussi une performance honorable, avec 126 ventes en septembre. La question est de savoir maintenant quand est-ce qu'on verra des 2016 de seconde génération arriver, et comment s'établira la dynamique d'offre et de demande au pays pour ce modèle très attendu? Chez Cadillac, 1 vente avec la ELR s'ajoute également. Entre les deux rivaux, il y a une lutte décidément serrée en 2015 pour la 2e place du palmarès derrière le Model S de Tesla. La Volt a des ventes cumulatives de 868 véhicules au Canada après 9 mois, versus 850 pour la LEAF. Qu'est-ce que l'arrivée des modèles 2016 viendra changer dans les deux cas? Est-ce que les ventes exploseront? Est-ce qu'elles resteront stables, car les voitures arriveront lentement et l'effet des rabais importants sur les modèles 2015 s'atténuera? À suivre avec intérêt dans les trois prochains mois. Du côté de chez BMW, 50 exemplaires de la série i sont vendus, une performance similaire aux mois précédents. Ce n'est pas suffisant pour rivaliser avec les trois principaux joueurs, mais cela reste tout de même honorable. La iMiev de Mitsubishi fait 6 ventes, soit le double de son résultat américain! Somme toute, même avec les données partielles, on constate que le cap des 4000 ventes est franchie pour l'année 2015 et qu'il y a une croissance d'au moins 10% par rapport à l'année précédente, avant même le renouvellement des Volt et LEAF et l'arrivée de nouveaux joueurs. Retour sur août 2015 Tesla a encore pu vendre sa luxueuse berline avec succès en août, 157 Model S ayant trouvé preneur. Pour un deuxième mois consécutif, c'est bon pour la seconde position des ventes mensuelles derrière la Chevrolet Volt. Jusqu'à maintenant, 1289 Model S ont été vendus au pays depuis le début de l'année, comparativement à 847 pour l'année 2014 au complet! La smartED connait son meilleur mois depuis septembre 2014 avec 65 ventes, pour un 4e mois consécutif de progression. Chez BMW la i8 s'est finalement vendue à 17 exemplaire versus 26 pour la i3. Est-ce la performance de la super-voiture i8 qui est surprenante ou la i3 qui déçoit dans ses ventes selon vous? La Ford Focus EV avec 6 ventes complète le portrait d'août 2015. Enfin, la Kia Soul EV compte 46 ventes enregistrées en août plutôt que les 51 mentionnées. C'est malgré tout un très bon mois qui lui permet de se hisser au 6e rang des meilleurs vendeurs de VE au pays. Avec tout cela, le mois d'août 2015 s'avère le meilleur mois de l'histoire des VE au Canada, autant en terme absolu avec au moins 649 ventes, et en terme relatif avec des parts de marché d'au moins 0,37% en regard des 176000 voitures vendues au pays. Le Plan d'action en électrification des transports 2015-20 sera présenté officiellement ce vendredi6/10/2015 L'AVÉQ, c'est plus qu'un site internet. Notre travail bénévole pour supporter les propriétaires et l'industrie sera bientôt récompensé, alors que le Ministère des Transports (MTQ) annoncera son «Plan d'action en électrification des transports 2015-2020» vendredi prochain le 9 octobre 2015. L'IMPLICATION DE L'AVÉQ - Depuis la fondation de l'AVÉQ en 2013, l'exécutif bénévole de l'AVÉQ s'est toujours impliqué au niveau politique afin de s'assurer de bien faire comprendre l'électrification des transports à nos élus et à nos fonctionnaires, et de permettre l'épanouissement de la filiale d'électromobilité dans la Belle Province. Nous avons présenté des mémoires lors de : * la Commission sur les Enjeux énergétiques du MÉRN (PQ, 2013) * la Commission sur la Politique de mobilité durable du MTQ (PQ, 2013) * la table ronde d'experts sur l'électrification du Conseil du Patronat (PLQ, 2014) * la Commission parlementaire sur l'environnement et le transport du MDD (PLQ, 2015) * la table ronde d'experts sur la décarbonisation du transport routier du MTQ (PLQ, 2015) L'AVEQ se donne pour mission de sensibiliser le grand public aux avantages des véhicules électriques. Sur son site internet, on retrouve des actualités, des témoignages et plusieurs guides d'achat et d'utilisation d’un véhicule électrique. Le site internet attire plus de 400 000 visites par mois avec plus de 5,000 articles d'actualité qui en font un incontournable dans la province. L'AVÉQ sera sur place afin de vous représenter, et de vous offrir les détails de ce Plan d'action en électrification qui s'orientera dans les prochaines années autour de nos quatre recommandations principales: 1. Un programme de sensibilisation grand public adéquat 2. Une disponibilité, un choix et un inventaire adéquat pour les futurs consommateurs 3. Des incitatifs financiers et sociaux pour supporter les actuels et futurs électromobilistes 4. Des investissements dans les infrastructures de recharge en ville et sur les axes routiers majeurs Ce ne sera pas un secret pour personne que l'offre du gouvernement à ce stade ne saurait remplir les demandes des électromobilistes en ce qui concerne une loi Zéro Émission, on nous assure que cette partie du Plan d'action en électrification pourra évoluer avec le temps et l'attitude des manufacturiers. C'est donc un rendez-vous à ne pas manquer vendredi le 9 octobre 2015, l'accomplissement de plusieurs années de travail bénévole de l'AVÉQ au niveau provincial. Notre travail au niveau fédéral est déjà en action… Contribution: Simon-Pierre Rioux MogileTech n’a pas encore deux ans, et pourtant, son parcours est déjà riche en rebondissements. L’histoire débute quelque part en 2013, tout juste avant sa création officielle. La petite entreprise agit alors comme bureau montréalais d’une entreprise en démarrage ontarienne. De contrat en contrat, l’association perd progressivement de son sens. L’équipe montréalaise développe son propre créneau dans le domaine des véhicules électriques, et se distancie peu à peu de ses origines. « C’était devenu une entreprise dans une entreprise », se souvient Simon Ouellette, directeur général de Mogile Technologies. À l’automne 2013, ce dernier décide donc de racheter la division qu’il pilote avec ses collègues Olivier Proulx et Francis De Broux. Ensemble, ils fondent Mogile. L’entreprise fait alors sa marque dans le prototypage et la conception de petits véhicules électriques à la pièce. Elle en a d’ailleurs conçu pour les armées américaine et canadienne. Après tout, les membres du trio étaient maîtres du sujet – ils ont mis au point la motoneige électrique que l’Université McGill promenait dans les compétitions, du temps de leurs études. Si le succès était au rendez-vous, courir les contrats est tout de même devenu une affaire éreintante pour les trois ingénieurs. « Répondre à des appels d’offres et essayer de trouver de nouveaux clients continuellement demande beaucoup de travail qui n’est pas toujours récompensé. On s’est donc dit qu’on serait mieux de se transformer en entreprise qui vend des produits plutôt que d’agir strictement comme sous-traitant. » — Simon Ouellette, directeur général de Mogile Technologies CHANGER DE PLAN Mais pour changer de plan, il fallait d’abord trouver un premier produit à commercialiser. Heureusement pour elle, Mogile en avait déjà un sur ses tablettes : une application pour téléphones intelligents. « On l’avait conçue à la base pour un client potentiel, mais tout le projet avait avorté, explique Simon Ouellette. On l’a donc mise sur l’App Store pour s’amuser, et les gens se sont mis à la télécharger sans qu’on ne fasse rien de plus. » L’application, nommée EV ChargeHub, répertorie l’ensemble des bornes de recharge électrique qui se trouvent au Canada et aux États-Unis. Une information plus que précieuse pour tout utilisateur d’un véhicule électrique. « On est comme le TripAdvisor des bornes de recharge », résume Simon Ouellette. En l’espace de 18 mois, l’application a été téléchargée 65 000 fois, selon ce dernier. « On roule présentement à 1000 téléchargements par semaine, ajoute-t-il. On vient vraiment répondre à un besoin. » Comme l’application est gratuite pour ses utilisateurs, c’est en commercialisant les données d’utilisation à des tiers que Mogile tire une partie de ses revenus. L’entreprise entend maintenant développer une solution de paiement unique à même son application. « Chaque propriétaire de borne demande à ce qu’on utilise une carte spéciale pour payer, explique Simon Ouellette. C’est très décentralisé. » N’empêche, l’entreprise ne met pas de côté son expertise dans le développement de véhicules électriques hors route. Un secteur dans lequel Mogile est une « référence », souligne son directeur général. « On n’a pas changé de modèle d’affaires sur un 10 cents, ajoute-t-il. La différence, c’est qu’on est extrêmement sélectifs aujourd’hui dans les contrats qu’on choisit. Si ça cogne à la porte et que c’est intéressant, on va le prendre. » Source: La Presse+ Édition du 6 octobre 2015, section AFFAIRES, écran 9 (MARTIN PRIMEAU COLLABORATION SPÉCIALE)
Contribution: Dany Labrecque Le 4 octobre dernier avait lieu au IKEA Ottawa l'inauguration de deux bornes de recharge publiques gratuites pour les clients. Comme pour celles inaugurées à Montréal et Boucherville en août dernier, ces bornes font partie des 12 installations au Canada dans les magasins IKEA. Plus d'une vingtaine d'électromobilistes étaient présents pour l'ÉVÉnement dont Christine Théwissen, André LeBlanc et Sylvain Michaud de l'AVÉQ Outaouais ainsi que Paul Camiré de Sun Country. La borne double se situe dans le stationnement couvert et se rapporte à 4 espaces de stationnement peints en vert pour bien les identifier. Sur la photo ici-bas, Paul Camiré pose fièrement et sur l'autre une vue d'ensemble avec les LEAF "jumelles" des représentants de l'AVÉQ Outaouais. Félicitations et merci à IKEA pour cette belle initiative verte. Source : Gilbert Cousineau - Directeur régional Outaouais - AVÉQ
Contribution : Martin Archambault L’école Henri-Bourassa et Soleil-de-l’Aube à Repentigny est fière d’être la première école de la Commission scolaire des Affluents à accueillir une borne de recharge pour véhicules électriques. Il faut dire que cet établissement, associé au mouvement des Écoles Vertes Brundtland, ne lésine pas sur les activités de sensibilisation à la préservation de l’environnement. Le jeudi 1er octobre dernier, pour célébrer l’inauguration de la borne, le Comité environnement de l’école a organisé un véritable salon de l’auto. En plus d’un léger gouter préparé par les élèves, une quinzaine de propriétaires de voitures électriques étaient sur place avec leur véhicule afin de présenter les nombreux avantages de la conduite électrique aux familles présentes. En tout, ce sont six modèles différents qui ont été mis de l’avant : Tesla model S, Nissan Leaf, Chevrolet Volt, Chevrolet Spark, Cadillac Elr et BMW i3. De nombreux essais routiers ont permis aux participants de vivre l’expérience de la conduite électrique et d’en apprécier la puissance, le confort et le silence. Nous remercions chaleureusement l’Association des Véhicules Électriques du Québec et son équipe de bénévoles de Lanaudière et des Laurentides qui sont venus nous prêter main forte. Nous remercions également Bourgeois Chevrolet de Rawdon, le plus grand vendeur de voitures électriques au Canada, pour nous avoir prêté des modèles dont nous ne disposions pas.
À ce jour, quatre enseignants de l’école ont déjà fait le saut vers la voiture électrique et trois familles leur ont emboité le pas. Avec cet évènement, le Comité environnement espère avoir convaincu de nouvelles familles de faire le saut eux-aussi. Avec une borne de recharge à l’école, la voiture électrique devient une option encore plus intéressante pour les employés ainsi que pour les parents qui viennent s’impliquer. La borne est accessible à l’ensemble de la communauté au tarif de 1$ de l’heure. Il suffit de commander une carte du Circuit Électrique d’Hydro-Québec ou de RéseauVER. Contact: Julien Rosa-Francoeur, enseignant responsable du Comité Environnement de l'école Contributeur : Martin Archambault Suite à un sondage aux membres de l'AVEQ possédant au moins un véhicule électrique, l'AVEQ est très heureuse de vous présenter un portrait de ses membres électromobilistes. Suite à un sondage aux membres de l'AVEQ possédant au moins un véhicule électrique, l'AVEQ est très heureuse de vous présenter un portrait de ses membres électromobilistes.
Ainsi, sur 747 répondants, on compte 86% d'hommes, avec un âge médian de 46 à 55 ans, un salaire médian de 60 à 70000$ et dont près de la moitié ont des études universitaires. Près de 58% possèdent une deuxième voiture encore à essence et le quart n'ont qu'une seule voiture. Plus de 73% sont pleinement satisfait et plus de 84% achèteront une tout électrique comme prochaine voiture! Pour l'instant, la Nissan LEAF est la plus populaire chez les membres avec 45% des répondants et les gens sont propriétaires à 68,5%. L'électromobiliste type parcourt en moyenne 27km pour aller au travail et plus de 21000km par année avec sa voiture. Le sondage fournit une panoplie d'informations, en voici en rafale quelques unes d'intérêt : Le VÉ des jeunes: La Nissan Leaf (âge médian de 36 à 45 ans) Le char de gars: Tesla Model S avec 96.7% d'hommes La voiture de fille: Ford Focus EV avec 26.7% de femmes Mon auto, à moi, pour le meilleur et pour le pire: Chevrolet Volt avec 97.3% de propriétaire Amour d'été: Ford C-Max Energi avec 91.7% de locataires Est-ce que je peux connecter mon auto sur iTune? : Tesla Model S avec 67.9% qui sont également propriétaire d'un iPhone L'auto typique du membre de l'AVEQ: Nissan Leaf (45% des répondants alors qu'ils ne forment que 19% des électromobilistes du Québec selon les derniers chiffres de la SAAQ) Satisfation garantie : Tesla Model S avec 91% pleinement satisfait La voiture seule dans l'entrée : Ford C-Max Energi avec 50% qui n'ont qu'une seule voiture La voiture des riches : Évidemment, Tesla Model S avec un salaire médian entre 100 et 120000$. La voiture des autodidactes: 39,5% des propriétaires de BMW i3 n'ont pas complété leur secondaire La voiture des branchés anxieux : Ford Focus EV avec 93,3% qui possèdent une seconde voiture, à essence! Ça me prend quel VE quand je travaille loin? Tesla Model S à 33km en moyenne du travail Contribution: L'équipe stats de l'AVÉQ C’est par une belle journée ensoleillée le dimanche 27 septembre 2015 qu'a eu lieu le 10e anniversaire du Projet Écosphère à Brome, le plus important rassemblement environnemental au Québec, dont le but principal est d’informer et de sensibiliser le grand public sur un mode de vie plus saine afin de diminuer notre empreinte écologique. Plusieurs sujets pour la protection ou la valorisation de l’environnement étaient présentés soit par des exposants ou lors de conférences (micro-maison, système de récupération, abris, vêtements, aliments, etc…). Très instructif et parfois surprenant de constater tous les dangers qui nous entourent et de voir tout ce qui existe comme possibilité. Zachary Richard était présent avec une présentation intitulée« La marée noire, 5 ans après » sur le déversement de pétrole dans le golf du Mexique, évènement tragique qui eut lieu en Louisiane, sa terre natale. Du côté transports, il y eu des essais routiers de plusieurs modèles et informations données au public sur les avantages de rouler électrique:
Félicitations aux organisateurs ce fut un très bel évènement ! Contributeur: Marc Génier, AVEQ – Estrie Le réseau de bornes de recharge Azra effectue actuellement une importante mise à jour de l'application mobile. Pour la durée des travaux (encore indéterminée), l'accès aux bornes Azra sera gratuite. Il suffit de suivre les instructions affichées sur l'écran numérique des bornes. Nous vous rappelons notre numéro de téléphone en cas d’urgence : 1-844-279-2972 poste 0 Source : Réseau Azra Contribution: Martin Archambault Des efforts sont consentis pour appuyer le développement du transport électrique. Le domaine le plus connu est l'automobile, les bornes de recharge, etc. Le point sur la situation. Lorsqu'il est question de véhicules électriques (VÉ), l'argument principal des détracteurs est «le manque d'infrastructures pour recharger le véhicule». Aussi particulier que cela puisse paraître, ce «réseau» se situe à la maison, dans la grande majorité des cas.
«La grande révolution avec un VÉ, c'est que la maison devient en quelque sorte la station de service. Environ 90 % de la recharge d'un VÉ se fait à la maison, durant la nuit, ce qui fait que, chaque matin, le VÉ est plein d'énergie lorsque l'on quitte la maison», explique Louis-Olivier Batty, porte-parole chez Hydro-Québec, en ajoutant que les bornes publiques ou au bureau ne représentent que la pointe de l'iceberg des lieux de recharge. D'autant plus que la grande majorité des automobilistes roulent moins de 60 kilomètres par jour pour aller au travail et en revenir. Des chiffres provenant d'analyses du Centre national de transport avancé -devenu l'Institut du véhicule innovant le 29 septembre - en collaboration avec Mobilité Électrique Canada démontrent que la distance moyenne parcourue par 89 % des Canadiens pour se rendre de la maison au travail est de moins de 30 km. «Ce que permet de faire tout VÉ», assure M. Batty. Ces chiffres compilés dans un article de Daniel Breton sur le site Roulezelectrique.com soulignent aussi de façon étonnante que ce même constat s'applique à des villes situées hors des grands centres, comme Rivière-du-Loup, par exemple. «Les gens ne veulent pas acheter un VÉ, car ils se disent qu'ils ne pourraient voyager entre Québec et Montréal sans s'arrêter pour recharger ou partir en vacances avec», affirme M. Batty. «Si ce voyage n'arrive qu'une ou deux fois par année, il y a toujours moyen de trouver une solution de rechange ou de louer un véhicule conventionnel.» Cependant, avec cinq bornes de recharge rapide du Circuit électrique d'Hydro-Québec situées sur l'axe de l'autoroute 40 entre Québec et Montréal, même une voiture électrique ayant une autonomie de 160 à 200 km peut être rechargée sans avoir à attendre des heures. En ce moment, sur l'axe de l'autoroute 20, il y a une seule borne de recharge rapide, à Drummondville. Selon M. Batty, le corridor de la 20 devrait être complété en 2016. Toutefois, trois bornes de recharge rapide du Circuit électrique ont été inaugurées récemment, une à Val-d'Or, une autre à Mont-Joli et aussi à Lévis. Bornes résidentielles subventionnées Présentement, le gouvernement du Québec subventionne l'achat et l'installation de bornes de recharge résidentielles. Cette aide financière correspond à la moitié des dépenses admissibles, jusqu'à concurrence de 1000 $. En vertu de ce programme, il faut que la borne soit neuve, alimentée à une tension de 240 volts, munie d'un connecteur pour raccord au véhicule, approuvée par un organisme reconnu, comme l'exige la Loi sur le bâtiment, et installée par un titulaire d'une licence en électricité. Dans le cas d'une résidence unifamiliale, munie par exemple d'un garage, le défi peut se révéler plus simple que dans le cas des habitations multiples en ville. Dans ces endroits, l'installation d'une borne de recharge domestique ne se fait pas aussi facilement qu'en banlieue, en raison de la construction du bâtiment, souvent en béton. Pour ceux qui craignent que l'arrivée massive de VÉ au Québec ne vienne surcharger le réseau d'Hydro-Québec, Louis-Olivier Batty tente de se faire rassurant. «Hydro-Québec serait déjà en mesure d'alimenter un million de véhicules électriques rechargeables, soit 25 % du parc québécois actuel, sans investissement important dans son réseau», dit-il. «La consommation annuelle d'électricité du Québec augmenterait d'environ trois térawattheures [TWh]. Ce chiffre correspond à la production d'une centrale de taille moyenne comme celle de l'Eastmain-1.» Il ajoute également que «la consommation annuelle d'un seul véhicule électrique parcourant 18 000 km par année est équivalente à celle d'un chauffe-eau de 40 gallons [180 litres]». Ainsi, «rouler à l'électricité permet de faire des économies annuelles de 1500 $ à 2000 $, si on parcourt 20 000 km par année», en comparaison avec l'essence. Presque la moitié au Québec Selon des chiffres publiés par l'Association des véhicules électriques du Québec, il y avait 6167 véhicules rechargeables immatriculés au Québec en date du 31 mai. On est encore loin du million de véhicules qui pourraient engorger le réseau d'Hydro-Québec. À l'échelle du Canada, environ 14 000 véhicules électriques étaient en circulation le 1er août. Ce qui signifie que presque la moitié de ces véhicules se trouvent au Québec. Le mercredi 30 septembre à Gatineau, les équipes de MOBI-O et Vivre en Ville ont remercié les participants aux différentes activités de la Semaine des transports collectifs et actifs (STCA) ainsi que du Défi sans auto solo en leur offrant une croisière le long des rives de la Rivière des Outaouais. L’équipe de l’AVÉQ Outaouais et ses bénévoles étaient sur place afin de présenter les avantages de la conduite électrique aux participants. En tout, 5 différents véhicules ont été démontrés: TESLA, LEAF, VOLT, BMWi3 et iMiev. De nombreux curieux sont venus poser des questions et plusieurs en ont même profité pour s’asseoir dans les véhicules. L’événement fut un succès et sera certainement à répéter l’an prochain. Source : Christine Théwissen - Déléguée régionale AVÉQ Outaouais
Contribution : Martin Archambault Avec 196 événements dans 187 villes, 41 États américains, 7 provinces canadiennes, plus Hong Kong et la Nouvelle-Zélande, les associations de VÉ ont rapporté des chiffres absolument électrifiants!
Cette année plus que jamais, la Semaine nationale de la conduite électrique fut un succès sur toute la ligne, avec une participation importante des médias locaux et nationaux qui ont passé le message que les voitures électriques sont ici, elles sont abordables, elles ne polluent pas l'atmosphère ni la quiétude des citadins, et elles sont un plaisir à conduire! Au Québec, des événements ont eu lieu à Lévis, Victoriaville, Shawinigan, Magog, Greenfield Park, et Montréal. AddÉnergie a aussi organisé un concours pour stimuler l'utilisation des bornes de recharge publique, où plus de 1,000 recharges ont été effectuées pendant cette seule semaine!! L'Association des véhicules électriques du Québec se joint à Electric Auto Association, Plug In America, et le Sierra Club pour remercier sincèrement tous nos membres-bénévoles qui ont participé pour faire de cette semaine un événement à répéter annuellement! Contribution: Simon-Pierre Rioux En janvier dernier, un membre AVÉQ a découvert le mémorandum X3-1 de l'Agence du Revenu du Canada, lequel comprenait une clause qui pouvait être interprétée comme une exception pour les climatiseurs des véhicules électriques. L'article 17 du mémorandum prévoit des exceptions à l'application de la taxe d'accise : 17. La taxe d'accise sur les climatiseurs conçus pour les automobiles, les familiales, les fourgonnettes ou les camions s'applique uniquement aux climatiseurs actionnés par le moteur ou la transmission des véhicules en question. Les climatiseurs actionnés par un moteur distinct, au gaz propane ou à l'électricité, ne sont pas assujettis à la taxe d'accise. Le sujet fût également la manchette sur le site de Roulezelectrique.com. L'AVÉQ a donc suivi les procédures de l'ARC pour obtenir une interprétation du mémorandum. L'ARC fut donc contactée par la poste en date du 3 février dernier à ce sujet. Le 21 septembre dernier, soit près de 9 mois plus tard, une lettre a été reçu provenant de l'ARC. Cette lettre fait état d'une interprétation de la demande : Résumé de l'interprétation : Le mémorandum crée une divergence avec la loi et cette dernière s'applique en cas de divergence. Donc à l'achat d'un véhicule électrique, vous devez payer la taxe de 100$ pour le climatiseur, comme vous l'auriez fait pour un véhicule à essence. On n'y échappe pas. Cette loi, datant de 1977 doit être revue dans son ensemble considérant l'évolution de l'industrie, surtout le créneau des véhicules électriques. Source : Agence du Revenu du Canada , Forums AVÉQ
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale L’Association des Véhicules Électriques du Québec (AVÉQ) organise le samedi 10 octobre de 10h à 14h un événement visant à faire connaître les véhicules électriques. Toute la population gaspésienne est invitée à cette activité gratuite qui se tiendra au Carrefour Baie des Chaleurs situé au 122 Boulevard Perron Ouest à New Richmond. Vous pourrez obtenir de l’information sur divers aspects : autonomie, coût, performance, bornes de recharge, etc. Plusieurs propriétaires seront sur place avec leurs voitures électriques (divers modèles disponibles) et vous offriront des essais routiers. Une occasion à ne pas manquer pour découvrir ces véhicules écologiques et économiques! Bénévoles recherchés pour répondre aux questions et offrir des essais routiers! Écrivez au directeur régional, M. David Sylvestre : [email protected] Bornes de recharge du Circuit Électrique disponibles à proximité du site. Source : David Sylvestre - Directeur régional AVÉQ - Gaspésie
Contribution : Martin Archambault Ce mardi avait lieu à St-Jérôme , l'inauguration de l'Institut de Véhicule Innovant (IVI). Cet organisme est né de la fusion entre le CNTA (Centre National du Transport Avancé) et de l'ITAQ (Institut du Transport Avancé du Québec). Il s'agit d'un centre d’innovation pour les véhicules intelligents et non polluants L'AVÉQ était sur place afin de participer à la cérémonie et aux festivités. UN CENTRE D’INNOVATION BIEN ANCRÉ DANS SON MILIEU Les progrès enregistrés par l’IVI continueront d’émaner de Saint-Jérôme, un environnement résolument tourné vers la mobilité durable. « L’électrification de nos transports est une priorité pour nous; il s’agit d’un chantier et d’un axe de développement essentiel pour la nation québécoise. Nous avons tous les outils et toutes les ressources pour devenir un chef de file mondial en transport électrique. Je suis fier que l’Institut du véhicule innovant soit installé à Saint-Jérôme. L’Institut constitue un premier pas essentiel pour diminuer l’empreinte carbone de nos déplacements. Je félicite tous les intervenants et leur souhaite bon succès! », a déclaré M. Pierre Karl Péladeau, député de Saint-Jérôme.
Source : IVI et Martin Archambault Contribution : Martin Archambault |
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