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La firme de Québec Dubuc Motors a signé une entente avec le site américain de sociofinancement StartEngine (startengine.com) pour vendre 25 millions $US en actions privées afin de concevoir et de construire un véhicule électrique au Québec.
Contrairement aux plateformes de sociofinancement connues comme Kickstarter, Indiegogo ou, plus près de nous, La Ruche, StartEngine ne sollicite pas des dons ou ne vend pas à l'avance un produit, mais plutôt des actions privées. «On a dû passer au travers d'un rigoureux processus de sélection duquel moins de 1 % des projets sont retenus», a confié au SoleilMario Dubuc, pdg de Dubuc Motors. Dans StartEngine, il y a présentement neuf projets en cours de financement, dont une autre voiture à essence et un avion - sans prototype - à décollage et atterrissage vertical. À l'opposé, KickStarter affirme avoir «des milliers de projets» qui attendent d'être financés. Les projets retenus par StartEngine ont 90 jours pour accomplir leur objectif de souscription, sous forme de promesses d'achat d'actions. Les investisseurs intéressés peuvent souscrire pour un minimum de 100 $US. Dubuc Motors a fixé la souscription minimale à 500 $US. Les investisseurs ont ensuite 30 jours pour confirmer leur achat d'actions. ![]()
Au moment même où les plus importants salons de l’auto au pays sont en préparation, KIA CANADA a fait connaître ses choix pour son nouveau réseau de distribution de véhicules électriques KIA SOUL EV. La haute direction de KIA STE-FOY a le plaisir d’annoncer qu’elle fait partie de la courte liste de ces distributeurs, en plus de devenir le plus important concessionnaire de véhicules électriques au pays avec des inventaires prévus allant jusqu’à 300 modèles en 2016.
Pour souligner l’événement et afin de mieux mettre en valeur l’aspect économique de la Soul EV qui est proposée à partir de 29 000$ – après subventions-, KIA STE-FOY s’engage à défrayer la facture d’électricité d’une année entière pour ses 100 premiers consommateurs. « La marque Kia s’étant méritée en 2013 d’être inscrite au TOP 50 INTERBRAND des meilleures marques écologiques mondiales, KIA STE-FOY a pris la décision d’investir dans cette voie pour promouvoir la solution électrique au Québec, tout en continuant d’opérer l’une des plus performantes concessions Kia au pays dans le secteur des véhicules traditionnels. », a déclaré M. Serge Beaudoin, président de KIA Ste-Foy et de Kia Québec. ![]()
Parmi près de 200 concessionnaires au Canada, seulement 11 ont été choisis et formés pour offrir la solution électrique la plus économique et la plus respectée de l’industrie. En effet, la Kia Soul et sa version EV ont remporté de nombreux prix dont ceux-ci :
Devant cette pluie d’éloges qui positionne KIA comme le seul véritable leader électrique au Canada, KIA STE-FOY innove en créant sa division électrique et en y affectant une équipe spécialisée et formée pour la distribution de ce produit spécial. En investissant plus de 5M$ en inventaire, en formation, en infrastructure et en mise en marché, KIA STE-FOY envoie un signal clair sur ses intentions de servir la clientèle « électrique » au Québec. La nouvelle division électrique de KIA STE-FOY Déjà 60 modèles en inventaire sont en cours de livraison et il est prévu que le concessionnaire vende entre 150 et 300 véhicules. Les consommateurs curieux et la presse sont invités à venir faire l’essai de la KIA SOUL EV pour constater ses exceptionnelles qualités et son design plus d’une fois récompensés. La nouvelle porte-parole de KIA STE-FOY, Nathalie Clark, s’ajoute à l’ambassadeur déjà actif de la marque, Hugo Langlois. Tous deux feront le « branchement officiel » de la nouvelle division électrique de KIA STE-FOY ce lundi et rouleront dès ce printemps dans une KIA Soul électrique.
Source : La Force Kia
Contribution : Martin Archambault ![]()
Nos amis du Circuit Électrique ont mis en ligne sur Twitter, dans le cadre du Salon de l'auto de Montréal, un petit sondage éclair
Ce sondage vise l'intention d'achat (ou achat déjà fait) de véhicules électriques. Merci d'aller répondre au sondage
Source : Louis-Olivier Batty - Circuit Électrique
Contribution : Martin Archambault
Une journaliste de Radio-Canada Outaouais a utilisé notre légendaire programme de jumelage afin d'essayer une BMW i3 et une Nissan Leaf.
Vous pouvez aller écouter le reportage ici, la chronique en question se trouve à 8h50.
Merci à Michel Savard, un bénévole AVÉQ de Gatineau pour son essai routier !
Source : Ici Radio-Canada Contribution : Martin Archambault
Cette semaine à l'émission , Martin Archambault nous parle des nouveautés annoncées lors des différents salons de l'auto. On parle aussi de la fameuse Bolt.
![]() Statistiques SAAQ-AVÉQ sur l'électromobilité au Québec en date du 31 décembre 2015 [Infographique]18/1/2016
L'AVEQ vous présente à nouveau en exclusivité les données d'enregistrement de véhicules électriques au Québec selon les chiffres de la SAAQ en date du 31 décembre 2015.
Ces données permettent désormais de suivre en détails l’évolution de la situation avec un portrait complet depuis désormais près d'un an et demi. Nous pouvons ainsi observer une progression de 14% des enregistrements sur le dernier trimestre et de 57.1% dans la dernière année.
Un total de 8338 véhicules électriques est désormais enregistré au Québec au 31 décembre 2015. Il s'est donc ajouté environ 1000 voitures électriques en trois mois dans la province, soit une moyenne de plus de 300 par mois ou plus de 10 par jour! Comme on peut le voir sur l'infographie, les modèles 2016 commencent à apparaître, avec plus de 710 déjà sur nos routes. Et les villes championnes restent les mêmes pour ce début, sauf qu'il faut souligner l'apparition de Lévis dans le top 10.
Le graphique suivant présente une projection de l'augmentation du nombre de voitures électriques selon une tendance linéaire ou exponentielle à l'horizon 2020. On peut y voir qu'il y a du pain sur la planche pour atteindre l'objectif gouvernemental de 100 000 voitures électriques. Toutefois, avec l'arrivée de plusieurs nouveaux modèles, des technologies de batteries qui progressent rapidement et l'incroyable effet contagieux des électromobilistes du Québec, tous les espoirs sont permis de vivre cette croissance exponentiel et pourquoi pas dépasser les objectifs!
Le gouvernement du Québec vient d’accorder la gratuité aux véhicules électriques sur les traversiers ainsi que sur les ponts à péage des autoroutes 25 et 30. Mais attention, ce n’est gratuit que pour le véhicule (le conducteur et les passagers doivent encore payer). Même principe que pour les vélos, donc. Voilà un agréable bonus pour ceux qui font un choix écologique!
Combien d’entre vous, en apprenant cette nouvelle, avez pensé – comme moi – que les autos électriques pourraient dorénavant emprunter gratuitement le traversier pour se rendre aux Îles de la Madeleine?
Eh non, détrompons-nous, il n’y a aucun rabais pour venir aux Îles! Seuls les traversiers de la Société de traversier du Québec sont soumis à cette mesure. La traversée IPÉ-Îles étant interprovinciale, celle-ci ne s’applique pas. Ainsi donc… seule la balade de notre char électrique vers l’Île d’Entrée est gratuite! Plusieurs propriétaires de tels véhicules se voyaient déjà venir aux Îles de la Madeleine l’été prochain en raison de ce présumé incitatif, mais, hélas, maintenant que lumière est faite, ils en sont à réévaluer leurs plans de vacances!
Pour un réel incitatif au transport électrique Évidemment, cette mesure en est une parmi plusieurs. Qu’on se le dise, l’électrification des transports commence d’abord par l’accès à ces véhicules sur le marché et par l’accès à la recharge publique (quoiqu’à ce sujet, tout le monde peut se charger à domicile la nuit sur une prise ordinaire. Voici quelques éléments supplémentaires qui devraient alimenter la réflexion sur cette mesure de « gratuité » sur les traversiers:
Avez-vous trouvé l’erreur? La véiste néo-madelinienne que je suis ne peut s’empêcher de quémander un rabais d’au moins 47,50$ pour la traverse Souris-Cap-aux-Meules et de minimalement 3,16$ pour le pont de l’ÎPÉ. Qui dit mieux?
Il serait souhaitable que ces nouveaux incitatifs s’adaptent au caractère insulaire des populations liées par traversier et qu’ils s’appliquent aux liaisons interprovinciales reliant l’archipel madelinien au Québec continental en passant par l’ÎPÉ et le NB. À propos, des discussions sont en cours sur l’IPÉ pour que le péage du pont soit aboli. II faudrait à tout le moins qu’au terme de cette démarche, il soit gratuit pour les véhicules électriques. Le transport électrique sur l’ÎPÉ est croissant et il serait aussi logique que les autorités de cette province l’encouragent. Source - Adapté de Lait-Pétrole et Papillon : « Traversier gratuit » pour les nuls* Contribution : Martin Archambault
Attention, attention, cette annonce s’adresse aux électriciens qui souhaitent ouvrir leurs horizons à des opportunités d’affaires électrisantes seulement!
Le 11 janvier 2016 marque un tournant dans le monde des véhicules électriques au Québec : le lancement de la toute première formation en installation de bornes électriques offerte aux électriciens. Ce projet novateur est mené par la Chambre de commerce et d’industrie MRC de Deux-Montagnes (CCI2M), en collaboration avec le Centre de formation professionnelle (CFP) des Moulins et Emploi-Québec Laurentides. L'AVÉQ était sur place et c’est avec grande fierté que ces visionnaires nous ont accueillis dans les locaux du CFP pour nous présenter le programme, les installations et les formateurs.
Le programme de formation compte deux spécialisations de 35 heures chacune, soit pour l’installation de bornes électriques en milieu résidentiel et commercial. Elles permettront aux électriciens du Québec d’être au fait des dernières spécificités techniques en ce qui concernent les normes d’installation et de maintenance des bornes, incluant les méthodes d’installation, le calcul de la charge admissible, la vérification des circuits électriques, le dépannage et les réparations mineures.
« Les inscriptions sont ouvertes et tout porte à croire que les premières cohortes afficheront complètes », affirme Mélanie Laroche, directrice générale de la CCI2M, qui en a profité pour souligner le dynamisme des Laurentides dans le transport électrique et le développement durable. Vous êtes électricien et vous souhaitez étendre votre offre de service à l’installation de bornes électriques? Consultez le site de la CCI2M pour vous inscrire et en savoir davantage sur le programme : www.chambrecommerce.com/activites/formations.
Le lancement de cette formation démontre que l’intérêt envers les voitures électriques est loin d’être éphémère, en plus d’être rassurante pour les futurs électromobilistes qui ne s’y connaissent pas nécessairement en électricité. Sous peu, il sera possible de demander à votre électricien s’il a bien suivi une formation, gage de la qualité des travaux. Et comme le gouvernement vise 100 000 véhicules électriques au Québec d’ici 2020, il y a un réel besoin de former la main-d’œuvre à ce contexte. Bien que ce programme de formation, subventionné par Emploi-Québec Laurentides, soit le seul offert au Québec pour le moment, gageons que d’autres emboîteront le pas prochainement.
Pour terminer, nous tenons à féliciter le CFP des Moulins pour le développement de cette formation bien adaptée à la réalité d’aujourd’hui et leurs projets futurs, puisque nous avons appris qu’une borne de recharge sera installée dans les prochaines semaines, sur le site de l’établissement Source : Caroline Lachance Crédit photo : Martin Archambault ![]()
2016 sera une année très effervescente pour l'électromobilité en Mauricie.
L'an dernier, plusieurs villes se sont positionnées en faveur de l'industrie des voitures électriques en installant des bornes de recharge dans la région. Le tourisme qu'apporte ces bornes a même augmenté en 2015. Le directeur régional de l'Association des véhicules électriques du Québec pour la Mauricie, Marc Chapdelaine.
Source : Marc Chapdelaine - Directeur régional AVÉQ - Mauricie
Salon International de l’Auto de Montréal : Le CAA-Québec fait découvrir l’électrique!
Québec, le 14 janvier 2016 – Tentés par la Chevrolet Spark EV, la BMW i3, la Kia Soul EV ou encore la Porsche Cayenne S E-Hybrid? Ou peut-être est-ce la LEAF ou la Ford Focus EV qui attise la curiosité? Ces véhicules et bien d’autres seront à la disposition du public lors du 48e Salon International de l’Auto de Montréal (SIAM) du 15 au 24 janvier au Palais des congrès. Organisés par CAA-Québec avec la précieuse collaboration du ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles, du SIAM et de la Corporation des concessionnaires d'automobiles du Québec, ces essais routiers permettront au public d’apprécier le comportement, l’autonomie et la technologie de bord de véhicules dont la variété et les performances sont en constante amélioration. En fait, rien n’égale un véritable essai pour constater les différences avec les voitures traditionnelles, ne serait-ce que pour l’accélération ou les déplacements silencieux qui les caractérisent.
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Une technologie à découvrir
Accompagnés d’experts, les participants sillonneront la ville de Montréal sur un circuit de 3,1 km alliant conduite sur route et parcours en ville. « Et si certaines interrogations demeurent, nous serons présents pour y répondre et faciliter la compréhension », explique Sophie Gagnon, vice-présidente aux communications et aux affaires publiques chez CAA-Québec. ![]()
Les différents paliers de gouvernement impliqués
« Notre gouvernement est fier de contribuer à l’initiative de CAA-Québec grâce à une aide financière de 85 000 $ qui servira à la tenue d’essais routiers de véhicules électriques ou hybrides rechargeables et à la production de vidéos éducatives. Nous sommes plus que jamais engagés vers l’électrification des transports, comme en témoigne notre Plan d’action en électrification des transports 2015-2020 dévoilé en octobre dernier, et je suis convaincu que ce projet de sensibilisation contribuera à l’expansion de cette filière au Québec. », affirme M. Pierre Arcand, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable du Plan Nord. ![]()
Montréal, ville engagée
« Dans le cadre du 48e Salon international de l'auto de Montréal, notre Administration est fière d'annoncer la mise en service de 16 points de recharge pour véhicules électriques près du Palais des congrès. Notre contribution également à la tenue d’essais routiers de véhicules électriques durant le Salon démontre notre soutien au développement de la filière électrique. Comme vous le savez, Montréal souhaite se démarquer comme ville innovante en misant sur les nouvelles technologies et sur l’électrification des transports. Notre objectif est d’implanter 1000 points de recharge à travers la Ville d’ici 2020 », a déclaré le maire de Montréal Denis Coderre.
Des essais accessibles
Pour participer, rien de plus simple : il suffit de s’inscrire au kiosque prévu à cette fin à l’entrée principale du SIAM, de posséder un permis de conduire valide et d’être âgé de 25 ans et plus. « Tous nos visiteurs sont invités à prendre place à bord de l’un de ces véhicules électriques et à faire l’essai d’un des 13 modèles coups de cœur choisis par les adeptes et amis du Salon. Comme quoi, notre offre est toujours plus intéressante pour nos visiteurs », souligne Luis Pereira, directeur du Salon.
Plusieurs modèles sur place
Au total, ce sont 18 véhicules électriques ou hybrides rechargeables qui seront disponibles. Cette flotte comprendra les Nissan LEAF, Ford Focus EV, Ford Fusion Energi, Ford C-Max Energi, Chevrolet Spark EV, Chevrolet Volt, Mitsubishi i-MiEV, BMW i3, BMW i3 REx, Kia Soul EV, Tesla Model S, Porsche Cayenne S E-Hybrid et Porsche Panamera S E-Hybrid. ![]()
CAA-Québec
Pour CAA-Québec, il s’agit de la troisième édition des essais routiers tenus lors des salons de l’auto de Montréal et de Québec. Ceux-ci ont déjà permis à près de 10 000 personnes de prendre place à bord d’un véhicule électrique. Ces essais s’avèrent donc l’occasion d’initier le public aux différents aspects techniques et d’obtenir de l’information objective autant sur les incitatifs à l’achat que sur l’offre sans cesse grandissante de modèles disponibles. L'activité rappelle aussi au public que les options liées à la mobilité durable existent et s’améliorent constamment. Soulignons que le Circuit électrique alimenté par Hydro-Québec, la Ville de Montréal, AddÉnergie, Location EEKO et Porsche Prestige s’associent également à CAA-Québec pour mener à bien ces essais routiers.
À propos de CAA-Québec
CAA-Québec, organisme à but non lucratif, assure la tranquillité d’esprit à chacun de ses membres en lui offrant des avantages, des produits et des services de haute qualité dans les domaines de l’automobile, du voyage, de l’habitation et de l’assurance.
Sources : SIAM (communiqué de presse) , SIAM , CAA-Québec
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale Le citoyen le moindrement conscientisé a compris qu’un virage important est à faire au niveau de l’environnement et que la problématique du réchauffement climatique planétaire doit être solutionnée dans des délais assez brefs. Du moins, c’est ce qu’ont compris un nombre impressionnant de dirigeants de pays lors de la Conférence de Paris tenue au mois de décembre 2015. Dans un compte-rendu de l’événement, le président de l’organisme Équiterre a fait la déclaration suivante : ‘’ Pour la première fois, tous les pays du monde sont liés par une entente qui les forcera à tourner le dos aux énergies fossiles et à développer une économie basée sur des énergies propres et renouvelables. ‘’ ![]() L’électromobilité fait partie fait partie de ces nouveaux types d’énergie et l’on doit souligner sans se tromper que ce sujet a été largement commenté au Québec et partout ailleurs sur la planète et l’on se rend compte à la lecture des articles sur ce sujet que les grands constructeurs automobiles rivalisent d’ingéniosité et de créativité afin de créer un prototype qui pourra satisfaire le consommateur avec des revenus moyens afin de déclencher une consommation de masse dans ce secteur de l’économie. Une des dernières initiatives de la compagnie General Motors concerne la mise en marché d’un nouveau modèle, la Chevrolet Bolt EV, avec une autonomie de 320 kilomètres au coût de plus ou moins 30,000$. Que penser également du constructeur automobile suédois Saab qui mise désormais sur le tout électrique avec un premier contrat de 225,000 voitures à une société chinoise de location. C’est sans précédent, si l’on considère qu’à la fin de 2014, on ne comptait que 665,000 voitures électriques dans le monde, dont 83,000 en Chine. Mention honorable à la compagnie Tesla qui n’a fait aucun profit avec ses voitures vendues à date mais qui vise une consommation de masse avec son prochain modèle en 2017. Également, des recherches scientifiques sont faites présentement à la grandeur de la planète (en technologie, en chimie et en physique) pour trouver des sources d’énergie moins coûteuses afin d’alimenter la voiture électrique et baisser le coût de la batterie qui l’alimente. Bien d’autres initiatives dignes de mention à travers le monde pourraient être citées, mais je retiens que l’électromobilité suscite énormément d’intérêt et nécessite d’énormes ressources financières et humaines. Qu’en est-il de la situation de l’électromobilité au Québec en 2016? Premier élément, l’on sait qu’il y a plus ou moins 8,000 propriétaires de voitures électriques sur notre territoire dont la moitié sont des modèles Volt qui n’exigent aucun compromis puisque basés sur deux formes d’énergie. Récemment, le gouvernement Couillard a annoncé un objectif de 100,000 véhicules électriques et hybrides pour 2020 avec la continuation des différentes formes de subvention connues à date. Le chef de l’opposition, M. Pierre Karl Péladeau a déclaré que les sommes annoncées pour supporter ce programme d’investissement sont largement insuffisantes et ne pourront permettre l’atteinte des objectifs annoncés. Par ailleurs, Mme France Lampron, représentante d’Hydro-Québec, déclarait que pour l’année 2015, 46,465 recharges ont été effectuées aux bornes du Circuit électrique avec l’ajout de 3,000 nouveaux membres et de plus, 217 nouvelles bornes ont été mises en service l’an dernier pour un total de 577 bornes dans 16 régions du Québec. Ces dernières données sont-elles encourageantes pour l’avenir et le nombre de propriétaires de véhicules électriques et hybrides au Québec est-il satisfaisant compte tenu de nos ressources et de nos capacités comme société? La réponse est évidemment négative compte tenu de nos immenses ressources hydro-électriques qui pourraient supporter l’apport en énergie pour 1 million de véhicules électriques selon un représentant d’Hydro-Québec. Mais alors, à quel niveau se situe le problème du manque d’engouement pour l’électro -mobilité au Québec? Selon un article publié sur le sujet en France, trois variables sont en cause : le prix, l’autonomie et les bornes de recharge. Concernant le coût de la future voiture électrique, comme déjà mentionné, tous les constructeurs automobiles intéressés à ce type de produit sont engagés dans une course effrénée afin de déclencher une consommation de masse de la voiture électrique supportée par les subventions gouvernementales. La question de l’autonomie est sur le point d’être résolue grâce aux recherches intensives effectuées dans ce domaine. Et enfin, la question des bornes rapides dont le déploiement nécessitera une stratégie précise et assez élaborée au Québec selon l’opinion de M. Daniel Breton, spécialiste de la mobilité électrique. Il faut donc s’attendre dans un avenir plus ou moins lointain à une éclosion du marché de la voiture électrique. Toutefois, les peurs et les fausses conceptions sont tenaces vis-à-vis la voiture électrique. Prenons un exemple concret : dans une ville comme Laval, toutes les familles propriétaires de deux automobiles pourraient acquérir une voiture électrique sans faire aucun compromis, puisque l’argument de l’autonomie ne tient pas la route, cette dernière servant à des distances plus courtes. Toutefois, des zones d’ombre subsistent quand au comportement du concessionnaire au Québec. Certains sont-ils vraiment intéressés à vendre des voitures électriques compte tenu des marges de profit et du peu d’entretien requis pour ce type de voiture? Dans ce sens, j’applaudis l’initiative de l’AVEQ sur son questionnaire envoyé aux propriétaires de voitures électriques du Québec. Ce bref survol de la situation de la voiture électrique au Québec soulève autant d’espoir que d’interrogations. Entre ces deux extrêmes, je souhaite que le gouvernement du Québec adopte des politiques musclées d’aide financière au consommateur doublées d’un marketing agressif afin de briser la barrière des craintes et préjugés chez ses citoyens en relation avec le dossier global de l’électromobilité. Pour tous les acteurs dans ce dossier, le gouvernement, Hydro-Québec et l’entreprise privée, j’espère qu’une cohérence solide alimente leurs actions vers des résultats probants et prometteurs. Enfin, je demande à l’AVEQ de continuer à informer et questionner les Québécois dans le dossier de l’électromobilité. Source : Pierre Collin Le mois de décembre 2015 s'annonce similaire à novembre au Canada dans le monde des voitures électriques. Les ventes de la Volt augmentent à nouveau pendant que la LEAF et la i3 se maintiennent à un bon niveau, ce qui permet de surpasser aisément décembre 2014. Décembre 2015 Malgré une disponibilité encore très limitée, la Volt 2016 permet d'atteindre 220 ventes en décembre pour la voiture phare de Chevrolet, à peine moins que le record de 222 datant d'avril 2014! Pour vous donner une idée, il s'est vendue seulement 198 voitures électriques (tous modèles confondus) au Canada en février 2015, le pire mois de l'année. La question qui se pose maintenant : quand est-ce que la barre des 300 ventes mensuelles sera franchie? C'est ce qu'on verra en 2016 qui devrait être une bonne année, après une année 2015 qui a débuté timidement pour la Volt. Au final, la nouvelle génération a permis de remonter la pente pour des chiffres quasi-égaux à ceux de l'année précédente. Après l'arrivée de la nouvelle Nissan LEAF 2016 en novembre qui avait permis d'établir un nouveau record pour ce modèle, les ventes ont un peu ralenti en décembre pour s'établir à 122. Cela permet de terminer l'année au troisième rang des ventes derrière la Tesla Model S et la Chevrolet Volt avec 1233 voitures pour 2015, soit près de 14% supérieur à 2015. Chez BMW, on conclut clairement l'année comme 4e joueur sur le marché avec la BMW i3 qui fait sa deuxième meilleur performance de l'année avec 46 ventes. Lentement, mais sûrement, l'ajout de concessionnaires accrédités fait son œuvre et la i3 finit l'année avec presque le double des ventes de 2014. La iMiev de Mitsubishi complète l'année avec 11 ventes en décembre, le meilleur résultat depuis juin et suffisant pour terminer l'année 2015 en très légère hausse par rapport à 2014. Pas mal pour la petite voiture un peu vieillissante, l'une des véritables pionnières de la renaissance des voitures électriques. Quant à la Cadillac ELR, un troisième mois d'affilé où elle fait chou blanc, ça sent la fin pour ce modèle. On verra si la CT6 peut faire mieux en 2016. Quant à la fameuse Porsche 918 Spyder, elle aura encore trouvé 3 acheteurs en décembre, pour finir l'année à 22. Pour un bilan complet de l'année 2015, un article dédié suivra une fois que nous aurons l'ensemble des chiffres. Retour sur novembre 2015 Le bilan de novembre est maintenant complet et ce fut encore un bon mois au Canada. Plus de 568 ventes, peut-contre 274 en novembre 2014! Ça permet d'effleurer 0.4% de part de marché avec 0.39%. Avec 1786 ventes depuis le début de l'année, la Tesla Model S a bien le droit de connaître un mois un peu plus faible, avec 104 ventes, le plus bas total depuis février, mais tout de même quatre fois plus que novembre 2014! La Kia Soul EV connait son plus faible mois depuis mai avec 15 ventes en novembre, mais cela devrait repartir à la hausse avec plusieurs concessionnaires ayant confirmé de nouvelles voitures en inventaires récemment. La smartED connait un mois plus faible avec 11 ventes, alors que chez BMW la répartition s'effectue comme suit : un très honorable 44 i3 et 13 i8. La Ford Focus EV avec 3 ventes continue d'attendre sa mise à jour pour redevenir un joueur significatif sur le marché. La Chevrolet Spark retombe sur terre après ses stratosphériques 11 ventes en octobre avec 4 en novembre. Parions que la Bolt fera beaucoup mieux dans un an! Enfin, pour compléter le portrait, la Porsche Cayenne hybride rechargeable se maintient avec à nouveau 24 ventes. Contributeur: Jean-François Morissette
Sources: www.goodcarbadcar.net, www.roulezelectrique.com, www.greencarreports.com, www.insideevs.com
Les propriétaires ont alors saisi l'occasion d'acquérir une Lincoln MKZ hybride et une Chevrolet Volt électrique. Cette dernière étant dédiée, entre autres, au transport scolaire matin et soir, permettant ainsi de recharger le véhicule entre les deux transports.
«Une des craintes que les gens ont face au transport électrique, c'est l'autonomie, particulièrement en hiver où, par temps très froid, on peut enregistrer jusqu'à 40 % de perte d'autonomie, déclare M. Drolet. C'est pourquoi jusqu'à présent nous avons privilégié l'achat de véhicules hybrides pour faire du taxi, mais je pense que d'ici deux ans, à la fois le choix, les prix et l'autonomie des voitures électriques seront devenus suffisamment intéressants pour que l'on envisage une flotte 100 % électrique.» Des programmes incitatifs en demande croissante Grâce à une aide financière des programmes Roulez électrique et Branché au travail, des mesures inscrites au Plan d'action en électrification des transports 2015-2020, la Smart diesel utilisé pour la livraison de colis entre Coaticook, Sherbrooke et Magog a fait place à une Smart électrique à zéro émission. Taxi300 a aussi procédé à l'installation de bornes de recharge de 240 volts à ses bureaux, réduisant de moitié et parfois davantage le temps de recharge effectué sur une prise 120 volts. Qui plus est, les nouvelles bornes ont été acquises chez ELMEC, une compagnie québécoise établie à Grand-Mère. Depuis leur mise en vigueur en janvier 2012, ces programmes ont connu une croissance importance, signe de l'intérêt des Québécois pour le transport vert. À ce jour, le ministère de l'Énergie et des Ressources naturelles (MERN) a accordé plus de 7300 aides financières pour l'achat ou la location d'un véhicule hybride rechargeable ou entièrement électrique. «Le plan d'action identifie une cible de 100 000 véhicules électriques en circulation au Québec à l'horizon 2020, indique Nicolas Bégin, porte-parole du MERN. Est-ce que ce sera le cas? L'avenir nous le dira.» Source : La Tribune Contribution : Martin Archambault
![]() Au Québec, en 2012, le secteur des transports consommait près de 80 % du pétrole importé et constituait la principale source d’émissions de GES, avec 45 % du bilan total[2]. Dans ce contexte, je vous expose mon expérience personnelle. Je suis à la retraite depuis 2½ ans et l’une des premières décisions que nous avons prises, ma conjointe et moi, est de se départir de la 2e voiture. L’impact sur la réduction des GES était plutôt timide, puisque nous utilisions davantage l’autre voiture qui était une Toyota Venza, qui consommait, en moyenne, environs 10 litres/100km. J’ai toujours été intéressé par une voiture hybride, mais la Venza ne se faisait pas en version hybride en 2010. Lors du renouvellement de notre voiture, en 2014, j’ai bien tenté de faire l’essai de la Toyota Prius. J’habite à Trois-Rivières et mon vendeur était très peu collaboratif à ce point de vue là. Je n’ai jamais été en mesure d’en faire l’essai. C’était effectivement très difficile de faire l’essai d’une voiture électrique ou hybride rechargeable tant l’inventaire était presque inexistant et je ne connaissais pas le programme de jumelage de l’AVEQ à ce moment-là. J’ai eu le même problème pour faire l’essai de la Volt, bien qu’après avoir insisté, j’ai réussi à faire l’essai d’une Volt 2011. Finalement, le concessionnaire Ford de ma région avait une C-Max Energi disponible pour un essai. C’est à ce moment-là que j’ai découvert l’agrément que nous avons à conduire une voiture électrique. C’est finalement ce modèle que j’ai acheté, mais pour lequel il m’a fallu attendre presque trois mois pour en prendre possession. ![]() Ford n’a pas révolutionné la voiture hybride rechargeable. En réutilisant un modèle vendu en Europe, Ford a limité ses investissements en développement. Avec une autonomie d’une trentaine de kilomètres, la Ford C-Max Energi répond à la très grande majorité de nos déplacements en utilisant exclusivement le mode électrique. En effet, pour nos déplacements à Trois-Rivières et dans les alentours, nous utilisons presque exclusivement le mode électrique. C’est la même situation lorsque nous sommes en Floride. À titre d’exemple, l’an dernier, pour la durée totale de notre séjour en Floride, soit près de 6 mois, nous avons fait un seul plein d’essence. Depuis que nous possédons notre C-Max Energi, et bien que nous voyagions souvent à Ottawa, au Lac-Saint-Jean et à Québec, nous avons diminué notre consommation d’essence de 60 %, ce qui est bien au-delà de la cible de réduction de 37,5 % des GES et cela avec une voiture qui a une autonomie de seulement une trentaine de kilomètres en mode électrique. Voilà un exemple simple d’un impact réel et significatif qu’une famille peut avoir sur la réduction des gaz à effet de serre et cela sans compromis sur le confort et le plaisir de conduire une telle voiture. La voiture hybride rechargeable est une alternative très intéressante surtout lorsque la famille ne possède qu’une seule voiture. Il est très heureux de voir que les constructeurs automobiles augmentent de façon significative leur offre de véhicule électrique et hybride rechargeable. Contributeur : Normand Shaffer [1] Ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques. Cible de réduction d'émissions de gaz à effet de serre du Québec pour 2030 – Document de consultation. 2015. 51 pages. http://www.mddelcc.gouv.qc.ca/ changementsclimatiques/consultations/cible2030/index.htm [2] Idem
L'équipe de l'AVÉQ lève son chapeau et félicite chaudement Sylvain. Le fait qu’un Québécois soit en tête de ce concours à l’échelle nord-américaine a attiré l’attention de grand médias américains (dont Electrek et Green Car Reports)…
Source : RoulezElectrique.com Contribution : Martin Archambault ![]() Du 15 au 24 janvier, CAA-Québec vous invite au 48e Salon International de l’auto de Montréal (SIAM) pour y découvrir les tout derniers modèles en vogue, mais aussi… y faire l’essai de l’un des 18 véhicules électriques (VÉ) ou hybrides rechargeables accessibles au public. Vous avez toujours voulu tester la tenue de route des VÉ, leur autonomie, leur accélération, bref, leur comportement routier? Grâce à CAA-Québec et à ses partenaires, dont le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles (MERN), le SIAM et la Corporation des concessionnaires d’automobiles du Québec (CCAQ), vous aurez l’occasion d’expérimenter la conduite toute particulière des VÉ. D’ailleurs, rien n’égale un véritable essai pour constater les différences entre ces modèles et les véhicules traditionnels! Un circuit de 3,1 km alliant conduite sur route et parcours en ville a été spécialement élaboré pour exploiter le plein potentiel de ces voitures. De plus, un expert de CAA-Québec vous accompagnera afin de répondre à vos questions et de vous donner de l’information objective, notamment sur l’autonomie, les incitatifs à l’achat et bien d’autres aspects. Quoi de mieux, donc, pour vous permettre de mieux connaître ces nouvelles technologies vertes! Offerts gratuitement aux visiteurs du SIAM, les essais de VÉ risquent d’intéresser plus d’un curieux. La preuve : près de 10 000 personnes ont déjà pris place à bord d’un de ces véhicules lors d’éditions précédentes tenues aux salons de l’auto de Montréal et de Québec. Pas encore convaincu? Voici la liste des modèles qui seront disponibles :
Selon plusieurs adeptes de VÉ, les essayer, c’est les adopter… Venez le constater par vous-même! Et tout au long du salon, suivez-nous sur nos médias sociaux (#SIAMVE) : nous vous présenterons ces voitures sous différents angles!
CAA-Québec remercie le Circuit électrique alimenté par Hydro-Québec, la Ville de Montréal, AddÉnergie, Location EEKO et Porsche Prestige, qui contribuent à mener à bien ces essais routiers. Source: CAA-Québec Contributeur: Simon-Pierre Rioux Signe que les problèmes de qualité de l'air ne concerne pas uniquement les grandes métropoles de pays densément peuplés, Environnement Canada a émis des alertes météo relativement à la qualité de l'air pour les régions de Québec et Mauricie pour le 7 janvier ainsi que la région métropolitaine pour le 8 janvier 2016. 12h15 HNE le jeudi 07 janvier 2016 Bulletin spécial sur la qualité de l'air en vigueur pour :
Jusqu'à vendredi matin Les conditions atmosphériques sont susceptibles d'entraîner une détérioration de la qualité de l'air. Chacun peut améliorer la qualité de l'air en posant des gestes simples comme utiliser le transport collectif, réduire la vitesse de son véhicule ou éviter de laisser tourner inutilement le moteur*. Le smog affecte surtout les enfants asthmatiques et les personnes atteintes de maladies respiratoires ou cardiaques. Il leur est donc recommandé d'éviter les activités physiques intenses à l'extérieur jusqu'à la levée de l'avertissement de smog. Les détails de la qualité de l'air peuvent être consultés sur le site Info-Smog. Les données pour les régions affectées sont les suivantes: FLCN51 CWUL 071650 AAA Prévisions de qualité de l'air mises à jour pour le sud du Québec émises conjointement par Environnement Canada, le ministère du Développement durable, de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, le ministère de la Santé et des Services sociaux, la Direction de santé publique de l'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal et la ville de Montréal à 11h50 HNE le jeudi 7 janvier 2016 pour aujourd'hui et vendredi. 7 janvier 2016: Mauricie. Avertissement de smog en vigueur. Aujourd'hui..Qualité de l'air mauvaise. Ce soir et cette nuit..Qualité de l'air mauvaise. Vendredi..Qualité de l'air acceptable. Québec Montmagny - L'Islet Beauce. Avertissement de smog en vigueur. Aujourd'hui..Qualité de l'air mauvaise. Ce soir et cette nuit..Qualité de l'air mauvaise. Vendredi..Qualité de l'air acceptable. 8 janvier 2016: Gatineau. Avertissement de smog en vigueur. Aujourd'hui..Qualité de l'air mauvaise. Ce soir et cette nuit..Qualité de l'air acceptable. Samedi..Qualité de l'air bonne. Montréal métropolitain - Laval Vaudreuil - Soulanges - Huntingdon Vallée du Richelieu - Saint-Hyacinthe Lachute - Saint-Jérôme Lanaudière. Avertissement de smog en vigueur. Aujourd'hui..Qualité de l'air mauvaise. Ce soir et cette nuit..Qualité de l'air acceptable. Samedi..Qualité de l'air bonne. Pour connaître l'indice de la qualité de l'air pour la ville de Montréal, visitez le site Internet du Réseau de surveillance de la ville: www.rsqa.qc.ca. Pour connaître l'indice de la qualité de l'air ailleurs au Québec, visitez le site Internet du MDDELCC: WWW.MDDELCC.GOUV.QC.CA/AIR/IQA. Pour en savoir plus sur les effets du smog sur la santé, consultez le site Internet de la DSP de Montréal au www.santemontreal.qc.ca/vivre-en-sante/environnement-sain/info-smog L'AVÉQ précise (*) que l'amélioration de la qualité de l'air passe également par l'utilisation de véhicules électriques, lesquels n'émettent pas de polluants atmosphériques. MAJ : Après vérification des données de l'Indice de Qualité de l'Air (IQA), les données du vendredi 8 janvier 2016 démontrent que la qualité de l'air s'est dégradée dans la région métropolitaine : Sources : Environnement Canada , MDDELCC, Ville de Montréal
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale ![]() C’est maintenant fait! Un premier véhicule 100% électrique pour la livraison locale et régionale à Sherbrooke. LASERPRO, expert en impression durable, livre maintenant ses cartouches recyclées et imprimantes en véhicule zéro-émission. Alexandre Champagne, président de LASERPRO, considère que l’entreprise doit être conséquente avec l’image corporative qu’elle projette. C’est pourquoi la livraison de leurs produits s’effectue en Cmax hybride et aussi, depuis cette semaine, en Leaf SV 2016. Alexandre espère bien que leur décision convaincra d’autres commerces à se joindre à tous ceux qui ont à cœur le développement durable et la réduction des gas à effet de serre. La section régionale de l'Estrie travaille en collaboration avec ses partenaires, dont la ville de Sherbrooke, pour permettre à d’autres commerces de joindre les rangs, entre autre par une meilleure dispersion des bornes de recharge. Parmi les véhicules de promenade « branchable », c’est à Sherbrooke que la Leaf a le plus haut taux de pénétration au Québec (nb de véhicules par 1000 habitants)… pourquoi ne serait-ce pas possible de faire de même du côté des commerces?…Le défi est lancé aux autres commerces ! L'AVÉQ est fière d'initiative comme celle-ci. Bravo à LASERPRO ! MAJ : Voici l'article paru sur EstriPlus.com La mesure, qualifiée de projet pilote dans le communiqué de presse de la Société des traversiers du 23 décembre 2015 a été analysée par un membre de l'AVÉQ de Chaudière-Appalaches. Un membre AVÉQ, résident de Lévis (dans la région administrative de Chaudière-Appalaches) a analysé cette mesure afin de prendre un décision éclairée sur les 2 options qui s'offrent à lui pour son parcours pour se rendre au travail, dans le centre-ville de Québec. ![]() Option 1 : Aller-retour au travail via route et pont (option utilisée actuellement) Kilométrage journalier: 70 km Mensuel (20 jours ouvrables): 1400 km/mois Annuel (220 jours ouvrables): 15400 km/an Coût du déplacement (électricité seulement) /an: 15400 km / 6 km/kwh * 0.1$/kwh = 256,67 $/an ![]() Option 2 : Aller-retour au travail via la traverse Québec-Lévis Kilométrage journalier: 28 km Mensuel (20 jours ouvrables): 560 km/mois Annuel (220 jours ouvrables): 6160 km/an + Passe piéton (pour le conducteur): 35$/mois -> 420 $/an Coût de déplacement (électricité) /an: 6160km / 6 km/kwh * 0.1$/kwh = 102,67 $ Coût réel du déplacement: électricité + laissez-passer piéton = 102,67 $ + 420 $ = 522,67 $/an Dans le contexte de la traverse Québec-Lévis qui offre un parcours alternatif au parcours traditionnel par les ponts, notre membre arrive au chiffres suivants pour l'option #2 impliquant le traversier :
Conclusions : En tenant compte des dépenses évitées liées à l'entretien et à l'usure du véhicule (par exemple les pneus), l'option #2 (traverse Québec-Lévis) est considérée comme avantageuse dans le cas où seul le conducteur effectue le trajet. Dans le cas où un ou des passagers supplémentaires sont présents dans le véhicule qui effectue le parcours, l'option #2 (traverse Québec-Lévis) est considérée comme plus onéreuse, ce qui a pour effet de décourager l'adoption du covoiturage en utilisant cette traverse. Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale
Vous avez une belle plume ? Vous avez l'expertise et le goût de donner du temps pour votre association ? L'AVÉQ recherche des collaborateurs pour rédiger et adapter des articles pour son site web. ![]() Les bénévoles intéressés auront un travail à faire qui est très variable et surtout, adaptable à la situation et à la disponibilité de chacun. Aucune obligation, aucune pression. Le travail peut consister à :
Le tout, au sein d'une équipe déjà en place de rédacteurs, traducteurs, etc... Pas besoin d'avoir de connaissables poussées en informatique, nous vous prenons en main ! Nous travaillerons à partir de vos aptitudes et de vos goûts. Les personnes intéressées devront envoyer un message à [email protected] . Dans ce message vous devrez vous présenter et expliquer pourquoi vous voulez participer à cette belle aventure. Idéalement, vous étalerez également vos compétences pertinentes. Au plaisir de collaborer- Merci de donner du temps pour votre association NB : L'AVÉQ se réserve le droit de sélectionner les candidats en fonction des besoins ainsi que des compétences rédactionnelles et techniques des candidats. Martin Archambault / Webmestre et responsable des publications - AVÉQ Selon le journal le Soleil, il faudra une vignette pour utiliser gratuitement nos VÉ sur les traversiers C'est du moins ce qui ressort d'un article du Journal le Soleil qui cite une entrevue avec le ministre Poëti. Les usagers doivent se présenter avec leur certificat d'immatriculation au bureau administratif de l'une des trois traverses annuelles afin de se procurer la vignette à apposer sur leur pare-brise Il est à noter que sur un traversier, il y a des frais pour la voiture ET les passagers. Le programme de gratuité pour les VÉ ne s'applique que pour le véhicule. Par conséquent, le conducteur et les passagers devront tout de même payer pour une traversée. ( Ref : Société des traversiers )
Source : Journal le Soleil Contribution : Martin Archambault Vous êtes électricien ? La vague de besoins liés à l'électromobilité s'en vient. Soyez prêts ! La chambre de commerce de la MRC de Deux-Montagnes vous propose les formations suivantes : Pour plus d'information ou pour vous inscrire : Cliquez ici !
Source : Chambre de commerce de la MRC de Deux-Montagnes Contribution : Martin Archambault En cette période de réjouissances et de moments entouré des gens que l'on aime, l'Association des Véhicules Électriques du Québec tient à témoigner sa gratitude à tous ses bénévoles pour leur engagement dans l'électrification des transports. Une organisation comme la nôtre ne peut avoir de rayonnement et d'envergure sans le don de temps et d'énergie de la part de personnes comme eux! Ce temps offert, qu'il soit petit ou grand, nous permet de nous positionner avec sérieux et crédibilité lors des événements, des essais routiers, des représentations publiques, etc. Ils sont tous de précieux agents de changement dans la décarbonisation de notre société. Profitez de l'arrêt que nous offre les Fêtes pour passer du temps avec votre famille, vos amis et tout ceux que vous aimez. Nous souhaitons à tous nos membres et à tous nos lecteurs la paix, la prospérité, le bonheur et le plus grand nombre de kilomètres au Kilowatt-heure ! Découvrez sans tarder la carte de Noël que l’Association vous offre de bon coeur: Petit vidéo des Fêtes de notre ami Gilles Fortier en ce Noël vert et inquiétant pour notre planète...
![]() L'AVÉQ a participé à la Soirée Électrique Nez rouge samedi le 19 décembre dernier. Voici donc le récit de la soirée de notre membre Marc Olivier Chouinard, qui a participé au projet depuis la centrale Nez rouge de Longueuil : ![]() C'est sur une petite neige blanche que je me suis levé une deuxième fois aujourd'hui... Eh oui, car c'est la soirée Nez Rouge électrique en collaboration avec AVÉQ, Club Tesla Québec et le Circuit Électrique ! Une petite sieste avant de partir vers la centrale pour être alerte jusqu'à la fermeture est primordiale, car la fatigue peut-être tout aussi dangereuse qu'être sous l'influence de l'alcool ! Bon, un peu sur moi ! Je suis propriétaire d'une Tesla modèle S 85 depuis septembre 2014 et vraiment en amour ! Je conduisais précédemment une Nissan Versa, mais je désirais être 100% électrique et n'avoir qu'une seule voiture. Mes déplacements peuvent être de plus de 200 km dans une journée, or de longs arrêts sur des bornes de niveau 2 n'est pas acceptable. Alors la Tesla était ma seule option pour respecter le 100% électrique ! 52,000km plus tard, me voici en route pour la 32e édition de l'opération Nez Rouge, pneus d'hiver chaussés, chargé et reposé ! Je n'avais pas d'équipe de formée, mais il y a toujours d'autres bénévoles à la centrale qui sont aussi sans équipe et je savais que je serais jumelé. Je dois dire que je n'avais aucune inquiétude sur l'autonomie, car c'est ma deuxième année comme bénévole et avec la Tesla. Malgré ça, je voulais vraiment être chargé à bloc au début de ma soirée ! J'ai rechargé a 100% a la maison, mais je suis à plus de 30km de la centrale, la borne la plus proche est à près d'un kilomètre et je ne me vois pas faire cette marche encore moins avec les autres bénévoles dont je veux bien sûr impressionner! J'ai donc décidé d'arrêter au Alt Hotel à Brossard pour recharger quelque kilomètres utilisé en route et d'en profiter pour nettoyer la Tesla avec les produits Sans-Zo durant la recharge d'environ 15 minutes. Malheureusement, la borne Tesla était déjà utilisée par une voiture dont la recharge était complétée, et la borne J1772 était utilisée par une Volt. J'ai décidé d'abandonner cette idée et de me rendre directement à la centrale. Heureux de voir que la Central est au courant de l'activité, la responsable m'offre de parler au répartiteur pour discuter des potentielles limitations, mais la réalité, avec l'autonomie de la Tesla, ce n'est vraiment pas un problème. Puisque je n'avais pas formé d'équipe, j'ai dû attendre 2 heures à la centrale pour d'autres bénévoles, qu'ils fassent leurs formations et que nous avions des appels pour nous. Je suis jumelé avec 2 jeunes hommes qui sont des cadets pour la police et profitent de l'activité pour accumuler des crédits de bénévolat à leur école. Il est 23h00 et nous partons pour notre premier appel à Boucherville avec une charge de 90% ! Normalement, une charge de 90% me donne 370km, mais avec une température de -5C et des vents de 30km/h, une autonomie de 314km était plus réaliste. Notre premier raccompagnement nous apporte à Saint-Denis-sur-Richelieu pour un total de 130km incluant le retour à Longueuil. J'ai vraiment apprécié la grande autonomie que la Tesla m'offre ici, mais dans cette situation, la borne du Circuit Électrique de Sainte-Julie aurait rendu la tâche facile à n'importe quel VÉ avec port de recharge rapide. Ce premier raccompagnement a pris 2 heures, mais la distance était considérable et la contribution des clients était à la hauteur ! Recharge Il est maintenant 1h du matin et je suis à 50% de charge, on continue ! Notre second raccompagnement était de courte distance, à l'intérieur de Longueuil, mais 2 arrêts pour laisser un passager à sa résidence. Notre troisième raccompagnement partait de Longueuil pour Beloeil, alors pour moi, c'est l'occasion idéale d'utiliser la borne de recharge rapide de Sainte-Julie au retour de notre raccompagnement. Malgré ça, il allait être 3h du matin lors que nous arriverions à la borne, et j'avais encore une charge de 27%, donc 95km d'autonomie. Je communique avec la centrale pour s'informer si nous devrions continuer pour un dernier appel immédiatement ou si on peut prendre une petite pause de 20 minutes, et on me confirme qu'il reste beaucoup d'appels, alors on nous conseille de prend une pause maintenant. Arrêt prévu à Sainte-Julie. Malheureusement, les bornes rapides du Circuit Électrique ne sont pas identifiées sur la carte de Tesla, et la signalisation routière n'identifie généralement pas les sites de recharge. Avant la soirée, j'avais pourtant regardé sur la carte, mais sur place, je ne voyais pas ou elle était. C'est mon coéquipier qui a vu la borne finalement. Malgré la difficulté pour trouver la borne, elle est pourtant très bien située une fois que l'ont connait sa position. La Tesla ne vient pas avec un port de recharge rapide CHAdeMO, mais ils ont créé un adaptateur qui permet d'utiliser ces bornes. Je me suis procuré l'adaptateur il y a seulement 2 semaines et principalement pour cet événement (le Club Tesla Québec offre en location gratuite des adaptateurs qui sont commandité par Roulez Électrique). Avec le nombre grandissant et la couverture des bornes rapides du Circuit Électrique, l'adaptateur commence à être intéressant. Plusieurs des bornes rapides sont trop proches pour être utiles avec une voiture a grande autonomie comme la Tesla, mais il y en a quand même quelques unes qui sont en dehors des centres urbains qui aura une grande utilité pour moi lors de grands déplacements. Je suis plutôt habitué aux bornes de Tesla pour la recharge, et ceux-ci sont très simples à utiliser: on appuie un bouton, la porte de recharge ouvre et on branche, c'est tout ! Les bornes rapides du Circuit Électrique ont 2 étapes additionnelles, soit l'authentification avec la carte et l'activation de la charge à l'aide d'un bouton vert sur la borne. Ma première expérience pour démarrer une recharge rapide a pris un peu moins de 4 minutes. Un biscuit et un berlingot de lait plus tard, de retour à la voiture. Nous sommes arrivés avec 28% (114km) et repartis avec 45% (186km) pour une recharge totale de 20 minutes pour 13.58kWh, soit une puissance moyenne de 44kW! Alors prêt pour servir un autre client, à 3h18 nous nous annonçons sur les ondes que nous somme disponible , mais on nous annonce qu'il n'y a plus d'appels et nous devons retourner à la centrale ! J'étais déçu de ne pas pouvoir m’être en profit notre petite recharge rapide ! Nous sommes donc retournés à la centrale. Bilan Nous avons donc fait 3 raccompagnements dans notre soirée et avons reçu un total de 140$ en dons de clients! Un total de 231km a été effectué pour l'opération nez rouge ! Basé sur ce kilométrage et le tarif d'essence du jour, j'ai eu droit à une carte cadeau de 25$ d'essence, que j'ai donnée à nez rouge comme dons bien sûr ! Sur une borne rapide du Circuit Électrique cette autonomie m'aurait coûté 12$, ou encore 4.50$ a la maison ! En écrivant cet article, j'ai vu une belle surprise du Circuit Électrique qui a déposé des fonds dans mon compte pour la gratuité des recharges pour Nez rouge! Il aurait fallu que je me rendre a une borne du CÉ a mon retour pour faire le plein de ce que j'ai utilisé pour nez rouge, mais aucune borne sur mon chemin, et il reste que ça me coûtera seulement 3.15$ de recharge à la maison. Je suis arrivé chez nous avec une charge de 24% (99km), et dans moins de 6h ma voiture sera entièrement rechargée pour faire une autre soirée Nez rouge. J'ai vraiment bien aimé mon expérience, la Tesla n'a vraiment aucun problème à accomplir la mission de Nez rouge. J'espère que cette activité sera reprise l'an prochain et de voir d'autre collègues électrique y participer. Mais la réalité est qu'il n'est pas nécessaire d'attendre un événement pour participer à cette activité. Il est possible de faire des raccompagnements en tout temps en voiture électrique ! Source : Marc Olivier Chouinard
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale Nationale |
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