Les véhicules électriques à batterie ne produisent aucune émission de carbone directes lors de la conduite, cependant la fabrication de ces véhicules est une autre source d'émission de carbone. Les émissions liées au cycle de vie complet des véhicules électriques est un sujet important qui semble lancer de nombreuses études depuis quelques années.
Les critiques de véhicules électriques ont suggéré que les émissions liées à leur construction sont plus élevés que ceux des voitures à essence, donc pourrait annuler les gains en émissions enregistrées par leur conduite. ![]()
Maintenant, une autre étude américaine a réfuté cette notion.
Les voitures électriques ont en effet des émissions de CO2 liées à la fabrication, plus élevé que les voitures à essence, mais les émissions totales, calculées sur l'ensemble du cycle de vie sont inférieures, selon une étude intitulée "Cleaner Cars from Cradle to Grave - How Electric Cars Beat Gasoline Cars on Lifetime Global Warming Emissions" publiée par "Union of Concerned Scientists (UCS)" en novembre dernier. Les chercheurs ont comparé une Nissan LEAF (24kWh) à une voiture à essence de taille comparable, consommant en moyenne 29 mpg, ainsi qu'une Tesla Model S (RWD 85 kWh) à une voiture à essence de taille similaire, consommant 21 mpg.
Les émissions liées à la fabrication se sont révélés être 15 pour cent plus élevées pour la LEAF et 68 pour cent plus élevé pour le modèle S. La plus grande source d'émissions est lié à la fabrication de la batterie, ce qui représentait 24% du total de la LEAF et 36% du total de la Tesla.
En évaluant le cycle de vie complet du véhicule électrique ("du berceau à la tombe"), les émissions de carbone sont restées beaucoup plus faible que celles des voitures à essence.
Commentaires
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Pour voir 100 000 véhicules branchables sur les routes du Québec d’ici 2020, il faudra non seulement imposer aux constructeurs une loi zéro émission, mais également promulguer et maintenir des mesures fortes.
Étendre le réseau de recharge Le Québec est l’un des territoires en Amérique du Nord où le réseau de bornes de recharge est le plus dense et le plus développé. Avec quatre fournisseurs principaux (Le Circuit électrique, RéseauVER, Sun Country Highway et Tesla), la concurrence est même un peu rude. Néanmoins, les efforts vont devoir se poursuivre en ce qui a trait aux bornes de recharge rapide (400 V). Il faudra parvenir à terme à un juste équilibre, sachant que 90 % du temps, les utilisateurs rechargeront leur véhicule à la maison et au travail. Maintenir les subventions Les futurs propriétaires d’un véhicule branchable peuvent bénéficier d’une subvention gouvernementale à l’achat qui grimpe jusqu’à 8000 $ pour une voiture tout électrique. Le programme Roulez électrique, qui rembourse aussi l’achat et l’installation de bornes à domicile, est en vigueur jusqu’au 31 décembre 2020 ou jusqu’à épuisement des fonds disponibles. Mais après ? Faudra-t-il encore subventionner ? Depuis 2012, 65 millions en aide financière ont déjà été versés en date du 31 décembre 2015. Il reste 93 millions pour les cinq prochaines années. Suffisant pour encourager ces achats d’ici cette échéance ? Aux prix des véhicules actuels, ce genre d’incitation est très attirant. Libre accès à la voirie Comme en Norvège, Sylvain Castonguay réclame que les stationnements soient gratuits en tout temps pour les véhicules branchables et qu’il y ait plus de voies réservées pour ceux-ci. Afin de faciliter les déplacements de ceux-ci, justifie l’ancien directeur technique du Centre national du transport avancé. C’est néanmoins une mesure gouvernementale plus mineure, qui aurait moins ou peu d’impact sur la décision d’achat. Hausser les taxes sur les carburants ![]()
L'Ontario applique sa nouvelle Stratégie en matière de changement climatique en présentant un Programme d'encouragement pour les véhicules électriques nouveau et modernisé qui contribuera à réduire la pollution par les gaz à effet de serre (GES) et aidera les Ontariennes et Ontariens à se procurer un véhicule électrique (VE).
La première ministre Kathleen Wynne en a fait l'annonce aujourd'hui à WaterPark Place à Toronto. L'adoption de véhicules à émissions faibles ou à zéro émission est cruciale pour que l'Ontario réalise son objectif de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 80 % par rapport aux niveaux de 1990 d'ici 2050. Le tout premier Programme d'encouragement pour les véhicules électriques a été lancé en 2010. Grâce à ce programme, on a offert des incitatifs pour l'achat de 4 800 véhicules électriques et environ 1 100 chargeurs résidentiels Voici les détails du nouveau Programme d'encouragement pour VE :
L'initiative d'aujourd'hui se fonde sur l'annonce de décembre 2015 selon laquelle un montant additionnel de 20 millions de dollars provenant du Fonds d'investissement vert de l'Ontario servira à créer un réseau public de stations de recharge rapide pour les véhicules électriques dans l'ensemble de l'Ontario afin de faciliter les déplacements de VE de ville à ville et dans les villes. Le Fonds d'investissement vert de l'Ontario offre un paiement initial de 325 millions de dollars pour le programme de plafonnement et d'échange de la province visant à renforcer l'économie, à créer des emplois et à réduire les émissions de GES. Lutter contre le changement climatique tout en soutenant la croissance économique, l'efficience et la productivité, cela s'inscrit dans le plan du gouvernement qui vise à favoriser l'essor de l'Ontario et à concrétiser sa principale priorité, à savoir stimuler l'économie et créer de nouveaux emplois. Ce plan à quatre volets consiste également à investir dans les talents et les compétences de la population, à faire le plus important investissement dans l'infrastructure publique de l'histoire de l'Ontario et à créer un environnement dynamique et novateur où les entreprises prospèrent. Source: Gouvernement de L'Ontario Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]() Voiture électrique - De nouveaux modèles abordables offerts General Motors lancera à la fin de l'année la Bolt, capable de parcourir 300km, à 30 000$. Tesla répliquera quelques mois plus tard avec Model 3. Est-ce que le début de la véritable démocratisation du véhicule électrique? Robert Dupuy est porte-parole aux relations médias de l'Association des véhicules électriques du Québec. L'entrevue de Robert Dupuy est à 6:50 Source : Radio-Canada
Contribution : Martin Archambault
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
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Une excellente nouvelle pour débuter la fin de semaine: Le Circuit électrique est heureux de vous annoncer qu’une nouvelle borne de recharge rapide a été mise en service à la Ville de L’Ange-Gardien, située dans le stationnement de l’Hôtel de Ville au 1177, Route 315.
On y propose la recharge rapide à 400 volts au moyen des connecteurs CHAdeMO et Combo. La recharge rapide est offerte à 10 $ l’heure et facturée à la minute. Ainsi, par exemple, une recharge rapide de 20 minutes coûte 3,33 $ et une recharge de 30 minutes, 5,00 $. Cette BRCC s'ajoute à celle de Montebello dans le corridor Montréal-Gatineau afin d'assurer la quiétude énergétique des électromobilistes.
Samedi dernier avait lieu au Cora de Boucherville, le premier déjeuner-causerie pour les bénévoles AVÉQ du grand secteur régional de la Montérégie. Une rencontre riche en discussions qui a permis de mettre la table pour l'année 2016 qui débute.
Cette initiative, organisée par Ghislain Poisson (directeur régional) ainsi que François Viau (directeur régional adjoint) a permis de rassembler pas moins de 35 bénévoles pour cette rencontre. Malgré plusieurs visages connus, un bonne proportion de participants étaient également de nouveaux bénévoles intéressés à en savoir davantage sur l'association, les éVÉnements à venir pour 2016 en Montérégie et ce qu'ils pouvaient faire afin de s'impliquer. Nous avons également eu la chance de compter parmi nous le Président de l'AVÉQ, Simon-Pierre Rioux, ainsi que le Vice-Président Michel Gélinas, qui a pris le temps de faire un récapitulatif l'impressionnante évolution de l'AVÉQ de ses débuts jusqu'à aujourd'hui. À travers le repas, Ghislain Poisson a fait un retour sur les éVÉnements de 2015 en Montérégie, puis nous a donné un aperçu des éVÉnements à venir pour l'année 2016, qui débute à peine mais s'annonce déjà très occupée. La dernière heure se résuma en un échange très enrichissant entre les bénévoles présents et la direction régionale, dans le but constant de s'améliorer dans notre façon de promouvoir les VÉs à travers les éVÉnements et s'assurer que l'expérience des bénévoles demeure agréable et enrichissante. Puisque la Montérégie est un très grand territoire à couvrir et que les éVÉnements de 2016 s'annoncent nombreux, nous avons également lancé une invitation aux bénévoles intéressés à se joindre à l'équipe régionale en tant que délégués afin de nous épauler dans l'organisation de divers éVÉnements, prise de décision, nouvelles idées, etc. Nous sommes donc très heureux de vous annoncer la nomination de ces délégué(e)s pour l'équipe régionale de la Montérégie:
L'équipe régionale de l'AVÉQ Montérégie plus que satisfaite du succès de cette rencontre et nous sommes très enthousiastes de commencer avec vous cette nouvelle année 2016, qui s'annonce déjà fort intéressante! Contribution: François Viau
General Motors lancera à la fin de l’année sa petite Bolt, capable de parcourir 300 km et vendue 30 000 dollars. [NDLR : Le prix en $ canadien n'a toujours pas été annoncé officiellement] Tesla répliquera quelques mois plus tard avec son Model 3. La bataille pour l’auto électrique enfin populaire est engagée.
L’histoire de la voiture électrique est celle de l’éternel retour. Elle était là dès l’aube de l’aventure automobile, propre sur elle, facile à conduire, dénuée de la manivelle indispensable au démarrage du moteur, déjà limitée par son faible rayon d’action. La voiture à lourds accumulateurs est réapparue pendant les guerres mondiales, les crises du pétrole, les diverses tentatives légales de réduire consommation et pollution. Un tour et puis s’en va, en silence, sans avoir convaincu les foules de ses qualités.
Dans un sens, celui de la mobilité de masse, la situation est encore pire aujourd’hui. La voiture la plus désirable du moment est la Tesla Model S, 100 % électrique, made in Silicon Valley. Mais elle est réservée au plus petit nombre en raison de son coût d’environ 115 000 dollars. La Tesla fait payer cher son autonomie de 400 km et plus. Seuil critique Il existe des modèles électriques meilleur marché. Ennui : leur rayon d’action entre deux charges dépasse à peine les 100 ou 200 km. Avec le prix de vente et le manque d’infrastructures de recharge, cette faible autonomie est le principal frein à l’achat. Nombre d’études ont montré que le seuil psychologique, pour l’acquisition d’une telle technologie, est de 300 km. Grâce aux progrès des batteries et la baisse de leur coût, voilà que se profilent à l’horizon des petits modèles de voitures électriques capables de parcourir un peu plus de 300 km, vendues entre 30 000 et 35 000 dollars. La formule magique, selon les marques, pour espérer pénétrer les marchés en profondeur. Tesla dévoilera à la fin du mois prochain les esquisses de son futur modèle « économique », le Model 3, qui proposera ces performances et ce prix. S’il n’est pas retardé par les difficultés de fabrication et importants délais de livraison dont est coutumier le constructeur californien, le Model 3 devrait être commercialisé en 2017. Mais Detroit, la capitale américaine du moteur à essence, passée tout près de la mort clinique, s’apprête à brûler la politesse à la Silicon Valley. Revanche ! La vedette incontestée du salon automobile de Detroit, le mois dernier, a été la Chevrolet Bolt. Une voiture compacte à hayon, haute sur pattes. General Motors, dont Chevrolet est la marque principale, a tiré profit de la tentative en 2011 de la Volt. Un modèle électrique doté en complément d’un petit moteur à essence qui avait pour seule fonction de recharger les batteries. Une solution trop chère, trop compliquée. Or les études poussées sur la chimie des accumulateurs au lithium-ion, leurs performances par grand froid et forte chaleur ou leur capacité à parcourir le plus de kilomètres possibles, ont nourries la conception de la petite Bolt, dont le lancement est prévu en fin d’année aux États-Unis et au Canada. Là encore, l’équation intègre une autonomie d’un peu plus de 300 km et un prix d’un peu plus de 30 000 dollars. Combat revanche Mary Barra, la présidente de General Motors, a fait du projet Bolt une cause personnelle. C’est à la fois une affaire de rédemption (GM sauvé de justesse par les milliards du gouvernement fédéral) et d’anticipation. L’automobile s’apprête à autant changer dans les 10 prochaines années qu’elle ne l’a fait dans les 70 dernières. Pas question que les promesses de conduite autonome, de connectivité, de partage, de mobilité propre ne proviennent que de Tesla, Google, Apple ou Uber. Voilà plus d’un siècle que Detroit fabrique des automobiles à la chaîne. Ce ne sont pas les geeks de la périphérie de San Francisco qui vont écrire le futur. La bataille pour la voiture électrique populaire s’annonce ainsi passionnante. D’autant que les Chinois ou les Japonais n’ont aucune intention de laisser le champ libre aux seuls Américains. À preuve l’annonce le 1er février du projet de Renault-Nissan de développer une auto électrique à très bas coût, d’abord pour le marché chinois, puis le reste du monde si entente. Source: Le Devoir Contribution: François Viau
L’édition 2016 des foires de l’environnement et de l’écohabitation présentées par le Projet ÉCOSPHÈRE depuis plus de 10 ans s’allie à de nouveaux partenaires cette année et propose 3 éditions revisitées. Avec entre 150 et 200 exposants par édition et près de 30 conférences en 2 jours, le Projet ÉCOSPHÈRE est le festival de l’environnement le plus important au Québec.
Une nouvelle édition à Québec Pour la première fois cette année, la foire de l’environnement et de l’écohabitation sera présentée à Québec. Les 28 et 29 mai prochain, c’est à l’Espace du 400e, que se tiendront conférences, ateliers et présentations de produits et innovations écologiques. En collaboration avec la Ville de Québec, la foire Projet ÉCOSPHÈRE s’associe à la semaine du commerce équitable et à Branchez-vous pour la tenue de l’évènement. Pour cette grande première, Steven Guilbeault d’Équiterre et Laure Waridel du Centre interdisciplinaire de recherche en opérationnalisation du développement durable (CIRODD) participeront à la Soirée des Sages avec quelques autres invités afin de présenter leurs visions pour des solutions pour la planète. Par ailleurs, cette première édition à Québec, coïncide avec l’événement Branchez-Vous qui offre des essais de véhicules rechargeables en compagnie de propriétaires d’expérience. Il s’agit d’une occasion unique pour se familiariser avec les véhicules électriques et les hybrides rechargeables puisque tous les modèles offerts au Québec y seront disponibles en un même lieu, sur le site d’ExpoCité.
En matière d'électrification des transports, il est de notoriété publique que la Norvège trace la voie à suivre pour les pays du monde entier. Avec des parts de marché atteignant près de 25% des ventes de nouvelles voitures, les voitures électriques font véritablement partie du paysage de façon durable dans ce pays. Comparons donc avec le Québec.
Le Québec, avec son hydroélectricité et son caractère nordique, a des points en commun avec la Norvège. Et le Québec veut également être un leader en électromobilité. L'objectif du gouvernement du Québec est de voir 100,000 véhicules électriques sur nos routes en 2020. Il s'avère qu'il y a près de 80000 voitures électriques en Norvège, contre 8000 au Québec, malgré une population deux fois moindre. Il est donc intéressant de comparer la progression des ventes entre les deux. La figure suivante permet de constater le fossé qui nous sépare de la Norvège, qui vit une croissance formidable. Le niveau où le Québec se situe est loin derrière celui de la Norvège.
En regardant plus précisément, on constate toutefois que le nombre de voitures électriques au Québec à la fin de 2015 avoisine celui qu'avait la Norvège à la fin de 2012. Et celui de 2014 ressemble à 2011 en Norvège. Reprenons les chiffres précédents, en décalant les années. Et si le Québec était simplement en retard de 2-3 ans sur la Norvège?
Comme on peut le constater, la progression est drôlement similaire. La question est donc: pourra-t-on tenir la comparaison dans les prochaines années? L'arrivée des nouveaux modèles, la stratégie gouvernementale, le bouche à oreille, la vulgarisation du grand public nous permettront-ils de suivre les traces de la Norvège? En faudra-t-il plus? La Norvège est un pays pionnier, car il y a plusieurs voitures électriques qui y existaient et y étaient fabriquées avant la renaissance moderne, mais est-ce à dire que cela a suffit? Ou alors est-ce plutôt l'usage de la carotte et du bâton dans les mesures incitatives qui ont permis cette progression impressionnante? Saurons-nous relever le défi?
Cela reste à voir dans les prochaines années, mais une chose est certaine, la Norvège nous fournit un beau cas de figure à étudier et nous ouvre la voie de façon inspirante. Source: SAAQ, http://www.evnorway.no/ Contributeur: Jean-François Morissette ![]()
Les électromobilistes devraient pouvoir faire halte au bureau municipal de L'Ange-Gardien pour recharger rapidement leur batterie, à partir du mois de février. La borne de recharge de 400 volts est installée et sera branchée au Circuit électrique au cours des prochaines semaines.
Propriétaire d'un véhicule 100% électrique depuis le mois de mai, la municipalité a décidé d'offrir le service de recharge à ses citoyens et aux passants, dans le cadre de son plan d'action sur l'environnement. La mairie a manifesté son intérêt à installer une telle infrastructure chez elle auprès du Circuit électrique d'Hydro-Québec, cet automne. L'emplacement a été jugé idéal, considérant sa situation entre la borne rapide de Montebello, ainsi que la Ville de Gatineau, qui n'a pas encore entériné un tel projet. Le coût total de la borne et de l'installation se chiffre à près de 70 000$. Après avoir reçu une subvention de la société d'État ainsi que de Nissan Canada, la somme versée par la municipalité sera d'environ 27 000$. «Nous avons choisi la borne de recharge rapide parce que ce n'est pas comme un restaurant, il fallait que ça se passe rapidement», précise le directeur général, Alain Descarreaux. L'infrastructure est située dans le stationnement municipal, au 1177 Route 315, à proximité de la sortie 174 de l'autoroute 50. Ces initiatives vertes découlent de l'inventaire des gaz à effet de serre, document ayant servi à bâtir un plan d'action pour limiter l'empreinte écologique de la ville. À long terme, «on aimerait modifier la flotte de véhicule de la municipalité, mais il n'y a pas encore la diversité. Par exemple, des camionnettes qui auraient assez d'autonomie. Mais je crois que c'est une question de temps avant que ça soit possible», fait savoir M. Descarreaux. Comme municipalité, on s'est toujours dit pro-environnement, vert. Alain Descarreaux Le Circuit électrique désire offrir une borne de recharge rapide de 400 volts à chaque 40 ou 60 kilomètres. La prochaine étape logique serait d'installer une borne à Gatineau, où Hydro-Québec est en pourparlers. «Rien n'est concret, pour le moment», spécifie le porte-parole de l'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) en Outaouais, Gilbert Cousineau. La borne de recharge rapide de 400 volts peut complètement recharger les batteries d'automobiles électriques en seulement 20 minutes, comparativement à plusieurs heures pour la borne de 240 volts. Source: INfo07 Contributeur: Simon-Pierre Rioux Les voitures électriques de plus en plus populaires en Abitibi-Témiscamingue [ICI Radio-Canada]29/1/2016
Le nombre de voitures électriques et « hybrides rechargeables » a bondi de 35 % en Abitibi-Témiscamingue entre 2014 et 2015 selon la Société d'assurance automobile du Québec. L'engouement des actuels propriétaires et des potentiels acheteurs a poussé plusieurs concessionnaires de la région à se lancer dans la vente de ces véhicules écologiques.
« Les véhicules sont à 95% vendus avant d'arriver sur le terrain »
Selon un passionné de voitures électriques, Alexandre Mercier, l'adage de vendeur de voiture « l'essayer, c'est l'adopter » s'applique pleinement ici. « La minute qu'on est propriétaire d'un véhicule d'une voiture électrique, on devient mordu et on voit des avantages, dit-il. Ensuite, on propage la bonne nouvelle aux autres personnes. » Selon l'assistant-gérant aux ventes chez Thibeault GM ,Christian Dupuis, les clients potentiels qui viennent sur place sont très informés. Ils connaissent le produit et sont même prêts à faire face aux délais de livraison du véhicule. L'engouement pour la Volt de Chevrolet est tel qu'actuellement, aucune voiture électrique n'est sur le plancher de vente. « Ça signifie que les véhicules sont à 95% vendus avant d'arriver sur le terrain, note-t-il. Les gens ont fait leurs devoirs sur Internet, les gens de voitures électriques sont des gens passionnés. »
Engouement à Amos?
La demande est devenue une motivation pour Norauto Nissan d'Amos, qui vient de recevoir le feu vert pour obtenir la certification « Leaf ». C'est entre autres ce qui a poussé le maire d'Amos, Sébastien D'Astous, à s'y procurer sa propre voiture électrique à 100 %. « Avec l'arrivée des véhicules 100 % électriques, pour montrer l'exemple, j'ai décidé de tenter le coup puis de me joindre à cette « vague » de véhicules à zéro émission [de gaz à effet de serre] », explique-t-il. Un projet de construction de quatre bornes de recharge est par ailleurs en démarche à la ville d'Amos.
Écoutez ce segment de nouvelles où l'on y entend notre délégué régional AVÉQ Alexandre Mercier, très actif dans la région afin de populariser la voiture électrique. Vous entendrez également le maire d'Amos partager ce qui l'a incité à aller de l'avant avec l'achat d'une voiture 100% électrique, une première au Québec!
Écoutez également cette entrevue très inspirante avec le directeur des ventes de Norauto Nissan à Amos et ce qu'il l'a convaincu à devenir le tout premier concessionnaire Nissan de l'Abitibi accrédité Leaf.
Malgré la baisse du prix de l'essence, il y a encore beaucoup d'avantages à rouler électrique.27/1/2016 ![]()
Nous assistons à une baisse considérable du coût de l'essence à la pompe qui peut laisser penser que cela va nuire au projet d'électrification des transports au Québec. Si vous pensez cela c'est probablement que vous n'êtes pas encore propriétaire d'un véhicule électrique.
En tant que fier propriétaire d'une entreprise offrant des services à domicile avec une Kia Soul EV 100% électrique dans la région de Gatineau, j'affirme que les avantages d'un véhicule électrique sont de loin supérieurs à celui à essence malgré l'adaptation nécessaire à son autonomie limitée relative qui sera bientôt chose du passé avec la sortie imminente de véhicules à autonomie prolongée comme la Chevrolet Bolt 2016 avec plus de 300 km de portée. Voici une douzaine d'avantages constatés:
Si vous voulez profiter des rabais ci-haut mentionnés, vous devez considérer que le programme Roulez électrique se termine selon le premier des événements suivants à survenir :
Le Centre d’excellence en efficacité énergétique (C3E) investit 350 000 $ chez NORDRESA inc. pour soutenir la commercialisation de ses systèmes de motorisation pour véhicules électriques comprenant les batteries, les systèmes de recharge, les convertisseurs de puissance et de contrôle ainsi que les diverses interfaces (électriques, mécaniques et thermiques).
Ces technologies seront exploitées dans un premier temps dans un système de conversion pour les plateformes E-450 de Ford, servant principalement à des opérations de livraison de marchandises, de distribution postale ou de transport de personnes par minibus. La compagnie profite des 15 ans d’expérience de son fondateur Sylvain Castonguay pour appuyer sa démarche sur des alliances internationales et une expertise pointue en veille technologique, analyse de marché et ingénierie en lien
«L’investissement du C3E chez NORDRESA permettra d’accélérer l’introduction de cette technologie dans le marché florissant favorisant la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES). Tout en réduisant leur coût de fonctionnement, les usagers de flottes de véhicules de classes 3 et 4 génèreront ainsi des crédits carbone disponibles pour le marché québécois » mentionne le PDG du C3E, M. Donald Angers.
«NORDRESA entend devenir un leader de premier choix dans la commercialisation de solution pour la mobilité durable. Le NEC50, mis en démonstration grâce au C3E, permettra d’éviter l’équivalent de 20 tonnes de GES par année par véhicule. La solution proposée sera démontrée dans une opération commerciale de transport de colis urbains, mais la technologie est aussi compatible aux véhicules de service, au transport des personnes à mobilité réduite et même au transport scolaire par minibus. La participation du C3E permet à notre entreprise d’augmenter sa visibilité tant au Québec qu’ailleurs en Amérique du Nord et ainsi attirer rapidement l’attention des grands propriétaires de flottes de camions soucieux de se tailler une place aux premiers rangs des entreprises engagées dans la lutte aux changements climatiques, mais aussi orientées sur la réduction globale des coûts d’opération.», mentionne le président de NORDRESA, M. Sylvain Castonguay. La Corporation de développement de Saint-Eugène-de-Ladrière se joint au Circuit électrique26/1/2016 ![]()
Le Circuit électrique est heureux d’annoncer la signature d’une entente de partenariat avec la Corporation de développement de Saint-Eugène-de-Ladrière et la mise en service d’une borne de recharge publique pour véhicules électriques. Les visiteurs peuvent, depuis décembre dernier, recharger leur véhicule dans le stationnement du dépanneur général, situé au 10, rue Principale.
« La Corporation de développement et la Municipalité de Saint-Eugène-de-Ladrière sont heureuses d’adhérer au Circuit électrique, a déclaré le maire Gilbert Pigeon. Je remercie nos partenaires locaux : les propriétaires du terrain, monsieur Michel Jean et madame Jacinthe Proulx, la Caisse Desjardins, le Dépanneur général ainsi que le Fond de développement rural de la MRC de Rimouski-Neigette, appuyé par la SOPER. Cette borne représente une valeur ajoutée pour nos citoyens, les visiteurs des environs et les touristes qui s’arrêteront chez nous. » « C’est avec plaisir que nous accueillons la Municipalité de Saint-Eugène-de-Ladrière au sein du Circuit électrique, a affirmé France Lampron, directrice – Électrification des transports d’Hydro-Québec. Ce nouveau point de recharge à proximité de la route 132 est une bonne nouvelle pour les conducteurs de véhicules électriques en déplacement dans le Bas-Saint-Laurent, et il contribue au développement du réseau dans l’Est du Québec. » « Je me réjouis de la mise en service de cette borne de recharge pour véhicules électriques au sein de notre région, a mentionné le ministre Jean D’Amour. Cette nouvelle installation représente une plus-value dans l’offre de services déjà diversifiée du Bas-Saint-Laurent en plus de contribuer au développement socio-économique de la municipalité. » Avec l’ajout de cette borne à la municipalité de Saint-Eugène-de-Ladrière, il y a maintenant seize bornes en service dans la région du Bas-Saint-Laurent, à Amqui, Grand-Métis, La Pocatière, Matane, Mont-Joli, Rimouski, Rivière-du-Loup, Témiscouata-sur-le-Lac et Trois-Pistoles. Source : Le Circuit Électrique Contribution : Martin Archambault
Le gouvernement du Québec confirme que les plaques vertes pour motos électriques seront disponibles dès le 1er février 2016, donnant accès du coup aux nombreux avantages d'une plaque verte pour les motocyclistes ...
Normalement, à partir du 1er février, les détenteurs actuels d'une plaque de moto bleue, recevrons lors de leur renouvellement de plaque, les informations afin de pouvoir changer la plaque pour une plaque verte.
Voilà ici une autre réalisation du plan d'électrification des transports, tel qu'il avait été annoncé par M. Poeti lors de la conférence de Presse de lancement à l'automne dernier. Source : Gouvernement du Québec Contribution : Martin Archambault
l'AVÉQ était présente samedi dernier à l'événement "Samedi soyez Branché" chez Kia Ste-Foy.
Bel achalandage, surtout le matin. Les cinq bénévoles de l'AVÉQ sur place ont pu donner des informations qui furent très appréciées des futurs électromobilistes. D'ailleurs beaucoup de ces visiteurs avaient vu l'annonce sur notre site. Ils connaissaient donc déjà notre Association.
Bilan: Au moins trois ventes directes de SOUL EV et plusieurs à venir. Un client est même reparti avec un VÉ pour le weekend afin de bien l'essayer. Voilà une belle approche de Kia Ste-Foy. 27 véhicules électriques en stock et 30 en attente de livraison chez ce concessionnaire. Donc 57 véhicules moins ceux vendus cette semaine. La cours sera bien garnie. L'AVÉQ remercie chaudement ses bénévoles qui , une fois de plus, font la différence dans ce mouvement vers la démocratisation de l'électromobilisme.
Source et crédit photos : Pierre Langlois - directeur adjoint AVÉQ - Région de la Capitale Nationale
Contribution : Martin Archambault
![]() Mobilité électrique Canada et vos représentants de l'AVÉQ ainsi que les représentants d’associations canadiennes de conducteurs de VÉ ont conçu un sondage national afin de mieux comprendre l’expérience des acheteurs ou locataires d'un véhicule électrique (VÉ). Les résultats nous permettront d'émettre des recommandations pour améliorer l'expérience d'achat et de location d'un véhicule électrique. Veuillez compléter puis transférer ce sondage à tous vos contacts afin d’obtenir le plus grand nombre de participants. Nous vous invitons fortement à partager ce sondage sur votre site Internet, par courriel et sur les médias sociaux.
Veuillez SVP compléter puis partager ce sondage rapidement. À noter que les participants ont jusqu'au 28 janvier 2016 pour répondre à ce sondage. Nous vous remercions à l’avance de votre collaboration. ![]()
Suite à l'annonce de la formation de la co-entreprise formée des partenaires PSA Peugeot Citroën, Exagon Motors, la filiale de Hydro-Québec IndusTech et TM4, cette dernière a publié un communiqué de presse précisant son rôle ainsi que la nature des composants à développer pour les véhicules électriques.
TM4 agira à titre de «développeur de la motorisation électrique dans le cadre de la phase de pré-développement».
TM4 sera amenée à développer un nouveau groupe motopropulseur à haute performance et rendement énergétique. Ce système à la fine pointe de la technologie sera une évolution de la série TM4 MOTIVE, composé de moteurs électriques à aimants permanents et de leur électronique de puissance. Spécifiquement conçue pour les automobiles et véhicules passagers, ces systèmes sont des solutions clés en main efficaces créées expressément pour les véhicules électriques. Cette nouvelle chaîne de traction sera conçue et fabriquée aux installations de TM4 à Boucherville.
«TM4 se réjouit de cette affiliation avec des partenaires reconnus pour leur expertise technologique d’avant-garde. Déjà bien implanté comme fournisseur de chaînes de tractions électriques dans le secteur du transport commercial, ce partenariat représente pour TM4 une percée importante dans l’industrie du véhicule passager», ajoute Robert Baril, directeur général de TM4.
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TM4 a déjà collaboré à deux reprises avec PSA Peugeot Citroën par le passé, démontrant ainsi son expertise et son savoir-faire. En 2004, TM4 a développé et produit une chaîne de traction à quatre roues motrices pour un démonstrateur technologique du véhicule Peugeot Quark. En 2006, TM4 a également développé les moteurs-roue pour la voiture concept Citroën C-Métisse. Le président-directeur général d’Hydro-Québec, Éric Martel, souligne que «l’intérêt d’un grand constructeur comme PSA Peugeot Citroën pour les produits de TM4 témoigne de leur qualité et de leur réputation enviable à l’échelle internationale.»
Source : TM4 (communiqué de presse) , TM4 (motive)
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale
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Le début d’une nouvelle année est propice à l’heure des bilans. Le domaine des bornes de recharge n’y échappe pas. De son côté, ChargeHub a fait un premier bilan pan-canadien via son blogue. Au Québec, le Circuit Électrique a présenté son bilan 2015 via un communiqué et La Presse a fait le sien cette semaine. Dans le cadre de cet article, l’équipe de ChargeHub s’intéresse plus spécifiquement aux chiffres du Québec en 2015 et en fait l’analyse pour les lecteurs du site de l’AVEQ.
Tel que présenté dans le blogue ChargeHub, le Québec est la province ayant le plus contribué à l’augmentation des bornes au Canada en 2015.
En chiffres exacts, le Québec est passé de 620 bornes, en janvier 2015, à 1150 bornes, en décembre 2015, créant ainsi une augmentation de 85% en un an.
Du côté des emplacements de recharge publique, il y a eu une augmentation de 315 emplacements, passant de 415 à 730 emplacements en 2015. Au Québec, il y a donc en moyenne 1,6 bornes par emplacement.
Niveau 2 - Une année 2015 en deux temps
En décortiquant un peu plus ces chiffres, on remarque que le rythme d’implantation des bornes de niveau 2 s’est fortement intensifié à partir de la fin de l’été pour ensuite ralentir quelque peu vers la fin de l’année.
L’hiver rigoureux de 2015 a probablement eu un impact sur le départ plutôt lent de 2015. Cependant, les annonces de partenariats en début d’année, tel que l’engagement des Rôtisseries St-Hubert, ont fortement contribué à l’essor des bornes lorsqu’ils se sont concrétisés en fin d’année. L’augmentation du rythme d’implantation de bornes de niveau 2 Tesla est aussi un facteur non négligeable.
BRCC - Ça décolle en 2015
Le nombre de BRCC au Québec a plus que quintuplé, permettant de terminer 2015 avec 44 bornes; 34 bornes offrant CHAdeMO + SAE Combo et 10 Tesla Supercharger.
L’année 2015 fut marquée par trois «phases» distinctes au Québec: la phase Azra, le saut Tesla, et le boom Nissan.
En effet, en début d’année, l’implantation de quelques BRCC Azra a permis une légère augmentation du nombre de BRCC au Québec. Cette phase fut suivie par l’inauguration, au printemps, de huit bornes Tesla à Drummondville créant ainsi la première augmentation significative de l’année. Cependant, l’implantation des BRCC n'a réellement pris son envol qu’à partir de la fin de l’été lorsque la contribution de Nissan envers les BRCC du Circuit Électrique s’est concrétisé sur le terrain.
Que nous réserve 2016?
Le Québec a donc terminé l’année 2015 en force. Par contre, afin de continuer sur la même lancée en 2016 et conserver son statut de premier de classe dans le développement du réseau Canadien de bornes, au-delà du Plan en Électrification des Transports, de nouveaux partenariats et engagements devront être faits afin de maintenir le rythme d’installation de nouvelles bornes. Avec les chiffres actuellement annoncés, l’augmentation en 2016 serait d’environ 20%. Évidemment, 2016 ne fait que commencer et nous continuerons de suivre la situation des bornes au Québec ainsi qu’au Canada de près. D’ailleurs, le Canada a atteint les 3 000 bornes de recharge publiques ce mois-ci!
Appel à tous
Faites vos prédictions! On s’occupe de suivre l’évolution de l’infrastructure de recharge et de vous fournir l’information afin que vous puissiez voir si vos prédictions se concrétisent.
Contributeur: ChargeHub
Télécharger l'application EV ChargeHub pour localiser les bornes de recharge
L'électrification des transports a occupé une place importante dans le discours du chef du Parti québécois Pierre Karl Péladeau, mardi. M. Péladeau juge que les politiques du gouvernement libéral en ce moment «ne sont pas à la hauteur de 50% de ce qu'elles devraient être».
Mardi le 19 janvier en fin d'après-midi, durant le caucus, des essais routiers de véhicules électriques étaient organisés pour les députés, avec la branche régionale de l'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ). Sur la photo, Fabien Boulanger, président de l'AVÉQ dans la région, Jean-Marc Pittet, le propriétaire de la Tesla, Mathieu Traversy, porte-parole péquiste en matière d'environnement, Guy Leclair, député de Beauharnois, Pascal Bérubé, député de Matane-Matapédia, et Lorraine Richard, députée de Duplessis, reviennent justement d'une virée. «C'est de toute beauté!», s'est exclamé M. Leclair. M. Boulanger a mentionné la bonne entente entre les orientations péquistes sur les transports et les aspirations de l'AVÉQ. Au Saguenay-Lac-Saint-Jean, il y a 132 véhicules électriques immatriculés et 18 bornes de recharge répertoriées, selon les données de l'association.
À noter que Jean Marc Pittet est venu spécialement de Shawinigan pour l’événement. Sans compter Fabien Boulanger qui a organisé tout ça à partir de St-Félicien. C’est une grande région !
Chapeau aux bénévoles! Source : Le Quotidien Contribution : Martin Archambault
GM Canada nous a récemment confirmé que la Chevrolet Bolt serait en vedette au Salon de l'auto de Toronto dans un mois, ainsi qu'au Salon de l'auto de Québec du 1-6 mars.
Au Salon de Toronto, le président de GM Canada Steve Carlisle doit annoncer le prix et la disponibilité de cette future star électrique pour le marché canadien. L'an dernier, il avait tenu un discours sur le prix de détail que l'on visait ici, soit 30,000$ incluant les incitatifs gouvernementaux. À ce moment, l'écart entre la devise américaine et canadienne était de 26%; elle est présentement de 32%. Selon nos informations, le modèle de base de la Bolt EV pourrait être disponible pour aussi peu que 41,195$ si la direction d'Oshawa réussit son pari. La cerise sur le sundae? Qu'elle soit disponible aux essais routiers électriques du CAA-Québec lors du Salon de Québec. Bien qu'on en doute, on peut toujours rêver! Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]()
La station était déjà une pionnièreen ajoutant deux bornes de recharge gratuites il y a quelque temps. L'AVÉQ et les électromobilistes savent être reconnaissant et pourront aller exercer leurs sports de glisse et recharger leur véhicule dans ce centre de ski de Lanaudière.
Mais voilà une excellente nouvelle qui s'ajoute : Le centre est maintenant partenaire de l'AVÉQ etnos membres OR pourront bénéficier de rabais plus qu'intéressants... En gros :
Veuillez noter que la carte de membre OR AVÉQ valide, ainsi qu'une pièce d’identité seront exigées afin de bénéficier du rabais. Contribution : Martin Archambault ![]() Avec la saison du ski qui démarre enfin , voilà un partenariat qui saura en réjouir plus d'un ! La station de ski Val St-Côme se joint aux partenaires de l'AVÉQ afin d'offrir à ses membres OR des rabais allant jusqu'à 25% sur des forfaits de ski ! |
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