![]() Branchez-Vous 2016 GATINEAU : mission accomplie Près de 550 essais de véhicules rechargeables L'institut du véhicule innovant (IVI), en collaboration avec Hydro-Québec, le Gouvernement du Québec et la Ville de Gatineau, a présenté l’évènement Branchez-Vous les 7 et 8 mai 2016 à Gatineau. Grâce à l’implication des principaux acteurs du secteur, dont les constructeurs Nissan, Ford et Chevrolet, plusieurs centaines d’automobilistes ont pu se familiariser avec les véhicules rechargeables offerts au Québec, en compagnie d’électromobilistes d’expérience. Bon nombre des visiteurs et conducteurs de la fin de semaine opteront pour un véhicule rechargeable lors de leur prochain achat de véhicule et grâce à l’événement Branchez-Vous, ils pourront faire un choix éclairé, en fonction de leurs besoins. Voici quelques données sur l’événement Branchez-Vous 2016 Gatineau : Nombre de visiteurs : 500 (estimation) Nombre de conducteurs inscrits aux essais : 209 Nombre d’essais : 543 Répartition des essais par véhicule : · 18 % Tesla Model S · 15,4 % Kia Soul · 14,6 % Nissan LEAF · 10,7 % BMW i3 · 9,3 % Renault Twizy · 8,6 % Chevrolet Volt · 5,5 % Smart ED · 4,1 % Mitsubishi i-MiEV · 4 % Ford Focus · 3,7 % Ford Fusion Energi · 3,5 % Ford C-Max Energi · 2,6 % Chevrolet Spark EV
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Le mercredi 4 mai dernier à Montréal auto Prix, Poly eRacing a présenté son nouveau bolide, une formule de course 100% électrique faîte entièrement par des étudiants de l’école Polytechnique de Montréal. Le projet est l’aboutissement de sept années de travail et de développement. La fiche technique est impressionnante, la voiture peut atteindre le 100km/h en moins de 4 secondes, possède un moteur de 80kW de puissance similaire à la Nissan Leaf, intègre une batterie de 5,3Kwh mais elle ne pèse que 200kg. La voiture intègre plusieurs technologies de pointe, comme des matériaux composites pour réduire le poids et des batteries au lithium pour la densité énergétique. L’intégralité de l’électronique de la formule de course a été conçue et fabriquée par l’équipe grâce à des partenaires.
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Suite à de nombreuses lectures sur le site de l'AVÉQ, l'homme d'affaire Mickael Boyer a fait l’acquisition d'une Mitsubishi iMiev 2016 pour effectuer la livraison de nourriture pour leur restaurant.
Cette franchise, située sur le chemin Gascon à Terrebonne au coin de la 640, sera le premier Thaïzone de la chaîne à avoir un véhicule électrique. Nous sommes vraiment fébrile à l'idée de pouvoir livrer à nos clients en mode électrique
Ce qui a incité l'achat de cette voiture fût la perte totale suite à un accident de l'une de leur voiture il y a trois semaines. Une de leur stratégie d'affaires est de ne pas avoir de paiement de voiture. Alors, ils utilisaient une flotte usagée, mais très bien entretenue. Avec deux succursales, la flotte était composée de 4 voitures Toyota Yaris entre 2008 et 2010.
«Lorsque nous faisons face à de l'adversité, notre but est de trouver un moyen de se sortir gagnant de cette situation. Alors, devant le fait de devoir racheter un nouveau véhicule, je cherchais une stratégie gagnante» de dire M. Boyer. Les choix qui se présentaient devant l'homme d'affaire étaient:
Le désir de rouler électrique, l'indépendance totale, voilà le raisonnement qui les a conduit à la solution gagnante puisque le restaurant dépensait déjà 250$ par mois d'essence par véhicule, pour un total de 30,000 km par auto par année. La iMiev leur coûte 260$ par mois, 0$ en acompte. Conclusion? Ils obtiennent une voiture neuve à coût pratiquement nul considérant le faible coût d'une recharge, tout en bénéficiant d'une image publicitaire forte. Les subventions provinciales pour la voiture et pour l'installation de la borne 240V ont influencé le choix de ces entrepreneurs, et le site de l'AVÉQ a permis d'éclairer sur ce sujet encore nébuleux pour la majorité des gens d'affaires. L'après-midi en moment moins achalandé et la nuit seront les périodes de recharge du véhicule. Les voitures roulent quotidiennement 140 km, et un peu plus le jeudi-vendredi-samedi. Si l'expérience est positive, Mickael Boyer électrifiera sa flotte graduellement, et on peut imaginer que les autres franchisés Thaïzone suivront dans ses traces - le directeur de la chaîne étant axé sur l'innovation, il accueille cette nouveauté avec joie. Contribution: Simon-Pierre Rioux L'histoire commence avec la e-mazing race et tous ces gens qui ont signé pour supporter l'équipe de "Ma Leaf une passion", groupe de propriétaires et de fans de Leaf démarré par Christine Théwissen, afin de gagner 2 bornes Suncountry. Objectif atteint! Suite à un vote serré, la première borne est demeurée dans la région de l'Outaouais. Quant à la deuxième, elle se prédestinait au Mont Mégantic mais...de futures bornes dans les parcs provinciaux ont compliqué les choses. Peu importe, on trouvera un autre emplacement dans ce beau coin du Québec. Les bénévoles AVEQ de l'Estrie ont mis leurs idées en commun et Jean-Marc Tardif (et oui le même qui nous offre sa BRCC en partage!) a convaincu la sympathique propriétaire du Resto-bar La Patrie, Marie-Eve Verret, d'en faire l'installation. Voici donc les images du relais "olympique" de cette borne: Au départ, Paul Camiré de Sun Country Highway livre la borne à Gatineau à Christine et André, 1er relais: De Christine/André Gatineau à André Beaumier Hawskebury; 2e relais: De André Beaumier Hawskebury à Marc Mckee Rive Sud de Montréal; 3e relais: De Marc Mckee Rive Sud de Montréal à Claude Harvey Magog 4e relais: De Claude Harvey Magog à Jean-Marc Tardif Sherbrooke 5e relais: Livraison de la borne par un fidèle client du Resto Jean-Marc Tardif à Marie-Eve Verret! VOYEZ LES CINQ PARTIES DU RELAIS EN PHOTOS La communauté des propriétaire de Leafs ont donc transporté cette borne tant convoitée qui permettra de relier Sherbrooke au Mont Mégantic ainsi qu'au lac Mégantic, surtout par temps froid. Une livraison "verte" sans émission de GES! Bravo à tous!
Source : Claude Harvey, Directeur Régional AVÉQ - Estrie Contribution : Martin Archambault
Heureux propriétaire d'une Nissan Leaf 2016 avec sa conjointe Caroline Dupré, Yanick Lacroix ne voit pas comment il pourrait changer celle-ci pour une voiture à essence.
«Ça fait quatre mois que je l'utilise pour aller au travail, et ce matin, j'ai franchi mon 9000e kilomètre. J'adore ça, je ne retournerai jamais en arrière. Je regarde déjà d'autres types de véhicules électriques», confie celui qui a tout de même conservé un véhicule à essence comme véhicule principal, notamment pour les longues distances.
Résidant à La Motte, M. Lacroix travaille tous les jours à Val-d'Or, où son employeur, la SOPFEU, a fait installer deux bornes L2 à 240 volts, qui lui permettent de recharger sa Leaf en moins de trois heures. Il doit franchir une distance de 55 kilomètres, matin et soir. «J'ai acheté le modèle S (de base), qui possède une batterie de 24 kWh avec une autonomie estimée à 135 km. Actuellement, avec les températures printanières, je fais environ 145 à 150 km avec une charge. Plus il fait chaud, plus elle est performante. C'est le modèle qui correspondait le mieux à mes besoins», fait-il valoir. La présence de ces bornes au travail a effectivement pesé dans le choix du véhicule. «S'ils avaient installé une borne à 120 volts (10-12 heures pour charger), j'aurais plutôt privilégié une voiture hybride rechargeable comme la Chevrolet Volt», affirme Yanick Lacroix. Dur hiver Toutefois, quand il en a fait l'acquisition, le 20 janvier, la situation était assez différente. «Dans les grands froids de cet hiver, ma batterie a perdu 60 % de son autonomie. Mais quand on le sait, on fait avec. On roule moins vite pour économiser de l'énergie. Dès qu'il fait -10, on peut recommencer à rouler à 100 km/h», précise Yanick Lacroix. L'autre avantage qu'il a aussi trouvé avec sa Nissan Leaf, c'est le préchauffage. «Je programme l'heure de mon départ la veille et le matin, le véhicule se déglace complètement et se réchauffe tout en demeurant branché. Ça me permet de ménager ma batterie. C'est le premier hiver que je conduis pour aller au travail sans gants ni tuque. C'est très confortable», souligne Yanick Lacroix. Économies substantielles Si à l'achat la Nissan Leaf coûte plus cher, Yanick Lacroix a tout de même pu bénéficier de différents rabais, dont ceux du gouvernement (remboursement de 8000 $) et de l'Association des véhicules électriques du Québec dont il était membre. Il a aussi reçu une aide financière pour faire installer une borne L2 (240 volts) à la maison. Mais la plus grande économie, c'est sur la route qu'il va la réaliser. «J'avais un véhicule utilitaire sport avec un moteur six cylindres de 3,3 litres. L'aller-retour au travail me coûtait 17 $ d'essence. Là, ça me coûte environ 3 $ d'électricité. Selon mes calculs, ça pouvait me coûter entre 3000 et 3500 $ par année d'essence. Là, ça va m'en coûter 500 $ en électricité et tout cet argent va demeurer au Québec», se réjouit-il. Source : Martin Guindon - L'Écho Abitibien Le Citoyen Contribution : Martin Archambault
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Il y a 1 borne sur le site mais la ville de Mascouche en ont beaucoup un peu plus loin aussi.
Mascouche est une ville très axée Nature et elle y s'en donne à cœur joie. Il va y avoir beaucoup de monde alors soyez des nôtres! S'il y a des propriétaires de Tesla qui se cherchent une belle activité du dimanche... il nous en manque justement! Et si vous voulez être parmi nos bénévoles/propriétaires ou même si vous n’avez pas de véhicule électrique, contactez-moi : [email protected] Au plaisir de s’y voir! Source : Philippe Janson, Directeur régional AVÉQ - Lanaudière Contribution : Martin Archambault
Équiterre en collaboration avec la Ville de Joliette et l’AVÉQ vous invitent au Rendez-vous branché de Joliette qui se tiendra ce samedi, 14 mai 2016 dès 9 h 30 au parc Louis-Querbes à Joliette (140, rue Saint-Viateur).
Entre 11 h et 12 h, les participants assisteront à de courtes allocutions des organisateurs et partenaires, incluant une conférence intitulée « Démystifier la voiture électrique » par Philippe Janson, directeur régional de l’AVÉQ pour Lanaudière.
Venez en grand nombre! Source : Mikaël Langlois - Délégué régional AVÉQ - Lanaudière Contribution : Martin Archambault
Les pharmacies Hugo Flamand et Alexandre Comtois, affiliées à Familiprix Extra et situées à Joliette et à St-Félix-de-Valois, célèbrent aujourd’hui les progrès considérables réalisés par leurs équipes en matière de développement durable. Dans la dernière année, les deux pharmaciens propriétaires ont annoncé leur engagement à devenir une Pharmacie éco+responsable avec Maillon Vert.
« Nous avons le sentiment d'avoir contribué à réduire notre empreinte écologique », a expliqué M. Hugo Flamand, pharmacien propriétaire. « Tout récemment, nous avons fait l'acquisition de deux voitures électriques, pour chacune de nos pharmacies, afin de réduire la pollution engendrée par notre service de livraison. Nous estimons que cela nous permettra d'épargner plus de 10 tonnes de CO2 annuellement. Nous avons également installé des bornes afin que notre clientèle puisse recharger leurs propres voitures. C’est dans l’air du temps! » En suivant le plan d’action élaboré par Maillon Vert suite à son diagnostic de chaque entreprise, les pharmacies se sont engagées à réduire considérablement leurs déchets plastiques. Au terme de sa première année avec Maillon Vert, la pharmacie de Saint-Félix-de-Valois a notamment contribué à recycler plus de 6 150 kg de matières diverses, correspondant à plus d’un camion à ordures. Elle a également sauvé l’équivalent de 35 arbres en diminuant sa consommation de papier. Des actions similaires ont été entreprises à la pharmacie de Joliette, partenaire avec Maillon Vert depuis son ouverture au mois d’octobre. Ces actions ont été combinées à d’autres initiatives comme l’intégration de principes écologiques LEED dans la construction de leur nouveau bâtiment ainsi que la formation des employés à la bonne gestion des médicaments périmés. Les deux pharmacies offrent également plusieurs produits écoresponsables certifiés biologiques, équitables ou locaux. Maillon Vert, initiative unique et novatrice en Amérique du Nord, permet aux pharmacies de se démarquer dans leurs communautés par la mise en œuvre de mesures écologiques, sociales et économiques concrètes. Leur approche repose sur quatre piliers : l’implication sociale, les produits et services, les matières résiduelles ainsi que l’énergie et les transports. « C’est avec enthousiasme et détermination que nos employés ont su relever ces défis! », a fait valoir M. Alexandre Comtois, pharmacien propriétaire. « Et ce n’est que le début! L’avenir est prometteur et nous nous engageons à poursuivre nos efforts pour prendre soin de notre communauté et notre planète ». À noter que c'est notre directeur régional pour Lanaudière, Philippe Janson, qui a approché ce commerce pour les convaincre des avantages indéniables d'utiliser des voitures électriques pour la livraison. Bravo Philippe! Source: Le journal de Joliette Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Robot-tondeuse haut de gamme du célèbre fabricant Husqvarna, l'Automower est conçu pour tondre des pelouses d'une superficie allant jusqu'à 3200 m². Pour ce faire, certains modèles se dotent d'une grosse autonomie et d'une gestion multizone assistée par GPS. Véritable tank au premier coup d'œil, sa qualité et sa robustesse impressionnent.
On peut désormais avoir une tondeuse qui fait notre gazon de façon complètement autonome. Ce petit engin sur quatre roue alimenté par une batterie rechargeable va automatiquement (selon un horaire défini à l’avance) parcourir le terrain à la chasse aux brins d’herbes trop long. Grâce à son système de coupe électrique, la tondeuse ne fait pratiquement aucun bruit. Et elle se charge toute seule! Le choix du robot Afin de déterminer quel robot est le plus approprié à votre terrain, il faut regarder l’étendue de gazon que le robot devra entretenir. Les plus petits modèles peuvent entretenir 15 000 pi² de gazon et les plus grands jusqu’à 50 000 pi² et ce, par tondeuse robotisée. Plusieurs robots peuvent être utilisés pour un même terrain. Seul spécialiste en installation de tondeuse robotique au Québec, Automower Québec effectue l’installation des tondeuses robotisées Husqvarna depuis maintenant 2 ans. Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Les véhicules électriques prennent de plus en plus leur place au Québec, un phénomène qui s'étend aussi à l'Abitibi-Témiscamingue
De 8339 véhicules au 31 décembre, le Québec en comptait environ 10 000 au 31 mars. Dans la région, on en dénombrait 86 au 31 décembre, contre une centaine au 31 mars. Une progression qui n'est pas près de s'estomper, selon Alexandre Mercier, directeur régional de l'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ).
«Plus les gens sont bien informés sur les véhicules électriques, qu’il s'agisse des voitures hybrides rechargeables ou non ou encore de voitures à 100 % électrique, plus on fait des adeptes. C'est pourquoi on organise de nouveau cette année des événements dans la région qui permettent aux gens de faire un premier contact avec le véhicule électrique, et surtout, répondre aux questions et démystifier tout ce qui l'entoure», fait-il valoir. Ces événements (voir le tableau pour les dates et lieux) réunissent des propriétaires avec leurs véhicules électriques à un endroit. Le public peut alors s'informer et même faire un essai routier. «Cette année, nous aurons plus de véhicules de différentes marques. Nous sommes des passionnés et nous faisons que partager notre passion», précise-t-il.
C'est officiel, le nombre de véhicules électriques enregistrés au Canada a dépassé le chiffre magique de 20,000 en date du 31 mars 2016. Déjà en novembre 2014, le Canada avait passé le cap des 10,000 unités, signifiant que cela a pris 17 mois pour doubler le parc automobile électrique, ce qui dénote une légère accélération dans la dernière année.
De ce nombre, le Québec en possède près de la moitié - les chiffres officiels obtenus par la SAAQ vous seront présentés dans les prochaines semaines dans un article complet avec infographie. Avec les annonces récentes du gouvernement fédéral au sujet des véhicules électriques, ainsi que l'engagement sérieux du gouvernement ontarien en matière d'électrification, nous espérons que d'autres provinces emboiteront le pas afin que le parc électromobile canadien soit propulsé vers de nouveaux horizons à l'avenir. Source: Fleetcarma Contributeur: Simon-Pierre Rioux Appel de propositions : Infrastructure des véhicules électriques et des carburants de remplacement10/5/2016
Les propositions sont acceptées jusqu'au 18 juillet 2016. Source : Gouvernement du Canada , Ressources naturelles Canada
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale
C'est par un ciel plutôt nuageux que la 21e édition de cette grande fête a débuté ce dimanche à 11h00 sur les plaines d'Abraham, à Québec.
Bénévoles
L'équipe AVÉQ - Capitale-Nationale désire remercier ses bénévoles qui ont su affronter les éléments afin de bien renseigner les visiteurs, estimés à 700 selon les organisateurs de l'événement. Les véhicules suivants étaient en démonstration : Nissan Leaf, Chevrolet VOLT et un vélo électrique Smart (Bionix).
C'est donc partie remise pour la 22e édition de l'événement.
Prochain événement dans la région de la Capitale-Nationale/Chaudière-Appalaches : Branchez-vous - Lévis : 28 et 29 mai 2016 - Des bénévoles pour les essais routiers sont toujours recherchés Source : AVÉQ Crédit photo : Pierre Langlois, directeur régional adjoint - Capitale-Nationale Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale
Dimanche le 1er mai dernier, dans le stationnement du Rona du Quartier Dix30, se tenait le salon de l’auto Verte 2016, organisé par la Fondation Jeunes-Projet, en collaboration avec l’école alternative Tourterelle. Les bénévoles de l’AVEQ, fidèles à leur mission, ont répondu présents en grand nombre afin d’exposer leurs voitures, répondre à toutes les questions du public présent et offrir des essais routiers gratuits à ceux qui désiraient vivre l’expérience électrique! Pour une rare fois, les essais routiers se déroulaient à la fois en milieu urbain (rues et boulevards du Quartier Dix30) et autoroutier (bretelles d’accès des autoroutes 10 et 30). Une belle opportunité d’apprécier autant la tranquillité de roulement à basse-vitesse que les accélérations et la puissance nécessaire aux déplacements sur autoroutes.
Le kiosque de l’AVEQ et l’allée d’exposition des véhicules des bénévoles étaient stratégiquement placés près de l’entrée principale du Rona, ce qui nous a valu une excellente visibilité auprès des clients venus faire leurs emplettes du printemps. Malgré une journée fraîche et pluvieuse, 30 essais routiers ont étés effectués par nos bénévoles. Des essais routiers ont aussi été offerts par certains concessionnaires présents sur place, venus exposer leurs plus récents modèles électriques, hybrides ou écoénergétiques. Étaient également sur place le porte-parole de l’événement Sylvain Raymond, directeur du développement stratégique et du contenu chez LC Média et chroniqueur pour le Guide de l’Auto, ainsi que son collègue Frédérick Boucher-Gaulin, afin de donner leur point de vue journalistique sur les divers modèles offerts sur le marché.
Bien que la température était plus automnale que printanière, les bénévoles de l’AVEQ, avec leurs vestes orange et leur habituelle passion, ont ensoleillé l’événement !
Source : Martin Boisvert - délégué régional - AVÉQ Montérégie
Contribution : Martin Archambault
Les voitures électriques sont de plus en plus présentes dans le paysage automobile mondial. Les qualités environnementales de celles-ci ne font pas de doute, mais sont-elles faciles d’entretien ?
Elles sont belles, écoresponsables et attirantes, mais sont-elles pratiques ? Alors que le coût d’acquisition des voitures électriques ne cesse de diminuer, la question de leur entretien mérite que l’on s’y attarde afinn d’éviter des mauvaises surprises. Planifier la recharge Suffit-il de brancher le véhicule lorsque son niveau d’énergie est bas afin d’en assurer l’entretien ? Évidemment non. Mais les enjeux qui touchent la recharge demeurent importants. Pour bien des consommateurs, le nombre de points de recharge et leur distribution géographique est cruciale. Et même si le réseau prend de l’ampleur chaque année, la planification rigoureuse de la recharge demeure essentielle. Simon-Pierre Rioux, président de l’Association des véhicules électriques du Québec, explique que « la recharge se fera toujours principalement à domicile. Le réseau se développera de façon graduelle, la clé de cet enjeu essentiel étant l’accessibilité accrue aux bornes de recharge à haute vitesse ». Connaissances particulières Pour le moment, l’atelier de mécanique classique ne peut probablement pas voir à l’entretien particulier d’un véhicule électrique, c’est-à-dire l’entretien de la batterie. Celle-ci nécessite des connaissances et un outillage particulier avant de s’y attaquer. « Il faut des employés formés et un équipement contrôlé particulier pour effectuer certains types d’entretiens, comme celui de la batterie. Pour le moment, ce ne sont pas tous les garages qui sont équipés pour toucher à ces véhicules. On reçoit progressivement des formations spécifiques à chaque véhicule, mais le domaine automobile n’est pas encore adapté à ces nouveaux modèles. En conséquence, ce sont surtout les concessionnaires qui s’occupent de l’entretien », explique Louis Carignan, propriétaire de l’atelier Carignan pneus et mécanique de Varennes. En contrepartie, les besoins d’entretien d’une voiture électrique sont nettement moins grands que ceux d’un véhicule à essence. Elle possède moins de pièces mobiles, ce qui limite les situations de bris mécanique. Le véhicule électrique n’a pas besoin de changement d’huile, de remplacement de bougie d’allumage ou de filtres, ce qui réduit le nombre d’éléments à entretenir. Seuls les composants tels que les plaquettes et disques de frein, ainsi que les pneus, sont à changer régulièrement. À ceci, il faut bien sûr ajouter les essuie-glace et le liquide lave-glace. Les coûts Un véhicule électrique demeure donc très économique si l’on exclut le coût d’achat initial. Bien sûr, le coût de remplacement éventuel de la batterie sera important, mais le prix de cet élément diminue depuis quelque temps. « La batterie est conçue pour durer environ 10 ans. Il est rare que l’on doive la remplacer au complet, puisqu’il est possible de changer seulement certains de ses modules. On limite ainsi passablement les frais d’entretien », affirme M. Rioux. Quand à la facture environnementale collective, elle aura de quoi réjouir tout le monde. Source: CAMauto Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Le 22 avril dernier, l'AVÉQ Montérégie, avec l'aide de l'AVÉQ Centre-du-Québec ont pris en charge une soirée d'information et d'essaies routiers à l'hôtel de ville de Sainte-Julie.
Pour cet événement, les participants devaient réserver avec la Ville de Ste-Julie une plage horaire pour un essai routier de véhicule électrique. Il n'y a pas eu de temps mort avant la fin de la soirée, les participants arrivant en un flot continuel. C'est au total 18 véhicules électriques qui ont été disponibles pour essais routiers durant le 5 à 8, répartis en 6 modèles différents (Nissan Leaf, Chevrolet Volt, Tesla Model S, Kia Soul EV, Smart ED et BMW i3). Le décompte du nombre d'essais routiers effectués a atteint 85, plusieurs participants choisissant d'essayer un deuxième et parfois même un troisième modèle différent.
Pendant les essais, trois conférences ont été données dans une salle de la bibliothèque municipale. Les participants ont pu écouter Martin Archambault, administrateur et webmestre de l'AVÉQ, exposer les avantages de rouler électrique ainsi que de démystifier ce type de véhicule. Nous tenons à remercier nos nombreux bénévoles, l'équipe AVÉQ Centre-du-Québec ainsi que la Ville de Sainte-Julie qui encore une fois nous a reçus en rois... Chaque bénévole a même reçu un petit cadeau de la ville . Source : Ghislain Poisson - Directeur AVÉQ - Montérégie
Le mois d'avril 2016 voit la Chevrolet Volt et la Nissan LEAF obtenir des records de ventes mensuelles au Canada. Lentement, mais sûrement les voitures électriques occupent un espace de plus en plus grand sur le marché. Cela fait suite à un mois de mars qui a fracassé tous les records pour l'électrification des transports au Canada.
Avril 2016
Le mois d'avril reprend là où mars avait laissé, avec des ventes records. La Chevrolet Volt de 2e génération poursuit son ascension avec 260 ventes en avril, le meilleur mois de l'histoire au Canada pour ce modèle, et le deuxième meilleur tous modèles confondus! La progression est de 277% par rapport à avril 2015 et de 185% pour les quatre premiers mois de l'année. À ce rythme, les ventes annuelles auront dépassées celle de l'an dernier d'ici trois mois. Malgré tout, la Volt 2017 est très peu disponible chez les concessionnaires et elle se vend encore avec des commandes et plusieurs semaines d'attente. Faudra-t-il augmenter la production chez GM? Quant à la Nissan LEAF, alors qu'elle obtient des ventes désastreuses chez nos voisins du sud, elle bat également un record avec 152 ventes en avril, comparativement à 127 à la même date l'an dernier. Ceci se traduit par des ventes cumulatives de près de 36% supérieures à celles de l'an dernier après quatre mois. La croissance se poursuit également chez BMW avec 67 ventes de la série i en avril. La Mitsubishi iMiEV fait bonne figure avec 14 ventes en avril. Avec ces chiffres préliminaires, on constate déjà une croissance des ventes par rapport à mars. Toutefois, il est peu probable que les ventes de Tesla soient aussi élevées, les autres joueurs devront prendre la relève. Il faudra attendre le mois prochain pour confirmer les enregistrements des autres modèles. Le printemps électrique se poursuit au Canada, malgré un marché de l'automobile à essence en croissance dans un contexte de bas prix du pétrole.
Suite au gain de la proposition du Circuit électrique pour implanter un corridor de recharge rapide reliant le Québec et la région d’Ottawa, le CAA-Québec a effectué une mise à jour de la carte des BRCC afin de mieux visualiser l'impact sur le réseau de recharge rapide.
Migré depuis quelques temps sur la plateforme de cartographie Google, cette carte comprend maintenant plus de 105 BRCC, selon les différentes balises suivantes:
Il est possible de sélectionner de façon indépendante :
Source : CAA-Québec , Daniel Bédard - directeur adjoint, services-conseils automobiles
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale ![]()
L'AVEQ Outaouais est fière d'accueillir Branchez Vous à Gatineau les 7-8 mai 2016 à Place de la Cité. Ce sera l'occasion pour les citoyens de la 4e plus grande ville au Québec de venir constater de visu l'état de la situation de l'électromobilité au Québec actuellement.
Grâce à la participation de nombreux bénévoles dont plusieurs de l'extérieur de la région, les visiteurs pourront faire des essais gratuits des différents véhicules électriques et mettre à jour leurs connaissances de ce domaine en pleine expansion. De nombreux exposants seront présents pour expliquer les programmes de subvention disponibles, les bornes de recharge et les réseaux de bornes publiques existants, entre autres, ainsi que des concessionnaires automobiles de la région. L'AVEQ sera présente afin de compléter l'information au besoin et répondre aux questions du public. C'est une invitation à tous pour un week-end qui promet d'être électrisant. Où: Place de la Cité, Gatineau, Qc. (coin Boul. de la Cité et de la Gappe) Quand: Samedi 7 mai 2016: 9h30 à 19h00 Dimanche 8mai 2016: 9h30 à 17h30 Site web: branchezvous.org/evenements/gatineau/ Source : Sylvain Michaud, Directeur régional AVEQ Outaouais Contribution: Martin Archambault
Le samedi 23 avril dernier s’est tenu le Rendez-Vous branché de Saint-Paulin. Les participants ont pu assister à une conférence donnée par Stéphane Daoust pour démystifier les véhicules électriques et ensuite faire l’essai de véhicules électriques avec des propriétaires dans les paysages bucoliques de la région.
Une vingtaine d’essais routiers ont été effectués. Je tiens à remercier les personnes qui ont rendu cet événement possible :
Source : Marc Chapdelaine -Directeur régional AVÉQ - Mauricie
Contribution : Martin Archambault Bilan de la participation de l’AVÉQ à la Marche du Jour de la Terre de St-Jean- sur-Richelieu6/5/2016
Le 24 avril dernier, l’AVÉQ Montérégie a accepté l’invitation des organisateurs de la Marche du Jour de la Terre de St-Jean- sur-Richelieu de participer à la Marche soulignant le Jour de la Terre.
Une quinzaine de bénévoles de l’AVÉQ étaient présents afin de démontrer leurs véhicules électriques, d’en expliquer les bienfaits et de clore la marche par un défilé de véhicules électriques. C’est dans la bonne humeur avec une température clémente que s’est déroulé cette marche accompagnée d’un magnifique défilé de véhicules électriques. Beaucoup de personnes déjà sensibles à l’importance de la protection de l’environnement en ont profité pour venir échanger davantage avec les propriétaires de véhicules électriques qui étaient présents sur place. Une fois de plus, l’AVÉQ met en avant-plan l’importance des véhicules électriques pour un meilleur respect de l’environnement.
Source : Ghislain Poisson, Directeur régional AVÉQ de la Montérégie
Contribution : Martin Archambault ![]()
Depuis quelques années, les pourcentages de véhicules électriques (VE) vendus en Norvège provoquent l’étonnement et l’admiration. Si les VE ont pu constituer 30% des ventes d’automobiles dans ce pays en mars 2016, c’est que ceux-ci sont exemptés de taxes et profitent d’avantages tels que le droit de circuler dans les voies réservées. En incluant les hybrides classiques (non enfichables), 60% des véhicules vendus en Norvège en mars présentaient une forme d’électrification. Dans ce contexte, le fait que la Norvège étudie sérieusement l’adoption d’un Plan national de transport ayant pour objectif de bannir la vente de voitures, autobus et camions légers fonctionnant à l’essence ou au diesel en 2025 semblait tomber sous le sens.
Ce qui était plus étonnant, c’était d’apprendre que d’autres pays réfléchissaient à se donner des objectifs similaires. En effet, le parlement néerlandais (Pays-Bas), malgré un taux de pénétration de 7% des véhicules électriques, nous apprend lui aussi en mars qu’il songe à bannir la vente de véhicules conventionnels en 2025. Et que dire du fait que l’Inde, un pays où le taux de vente des VE se situe à 1 %, se prépare elle aussi pour cette course, bien que pour 2030. L’AVEQ a publié la traduction d’un excellent article sur la question et dans lequel est expliqué le programme que l’on compte utiliser pour atteindre cette cible. Ce programme a fait ses preuves pour les lumières DEL : le consommateur est exempté du surcoût associé à la nouvelle technologie, mais il doit en contrepartie retourner une partie des économies d’énergie qu’il effectuera. Et voilà que l’on apprend en avril que le Ministère de l’agriculture et de l’environnement d’Autriche réalise une étude dans laquelle la vente des véhicules conventionnels serait interdite en 2020, soit dans seulement 4 ans! Notons qu’aucun de ces pays n’a encore adopté de lois décrétant le moment où serait interdite la vente de véhicules conventionnels. Et ajoutons que même en étant pleinement conscient de la rapidité à laquelle la transition vers les véhicules électriques peut se faire, il ne semble pas nécessairement souhaitable de forcer l’atteinte d’un objectif aussi rapproché qu’en 2020. Cela étant dit, cette soudaine poussée de pays étudiant l’adoption de lois 100 % VE témoigne que cet horizon est plus réel et plus prochain que jamais. Et d’ailleurs, d’autres pays pourraient s’inscrire dans cette course et l’un de ceux-ci n’est pas le moindre.
Il était une fois, un membre de l'AVÉQ qui devait aller à une formation aux HEC.
Il était une fois un stationnement souterrain mal éclairé... Il était une fois un poteau de métal qui dépassait du mur de béton "à l'horizontal" Il était une fois une LEAF qui se stationne sans voir le poteau il était une fois un membre de l'AVÉQ en @#$%$# et la photo ci-bas...
Le membre AVEQ en essayant de retrouver son calme, effectue les actions suivantes :
Les amis membres de l'AVÉQ lui disent de rester calme et d'essayer de tenter sa chance avec les entreprises partenaires de l'AVÉQ. Les amis lui disent de retourner à son cours , de respirer par le nez,.. A la pause de l'après-midi... Les textos se mettent à entrer : PRENDS TES EMAILS.. NOTRE PARTENAIRE, le GARAGE ARLECO A UNE SOLUTION POUR TOI... Le membre AVÉQ jusqu'ici malchanceux retrouve tranquillement son sourire et téléphone à ARLECO :
Il était une fois un membre de l'AVÉQ heureux ;
il était une fois un membre qui comprend mieux que jamais les avantages d'être membre OR de l'AVÉQ ; il était une fois une histoire qui démontre qu'il y a des partenaires qui sont vraiment là quand ça compte ! il était une fois .... MOI !!!! vendredi dernier... J'ai cru bon partager... Pour dire merci, mais aussi pour démontrer la force de la fraternité et des partenariats ! Auteur : Martin Archambault - Webmestre et administrateur Association des véhicules électriques du Québec |
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