C'était la fête aux Galeries Témis (40e anniversaire) samedi le 22 juillet dernier, et l’AVÉQ était de la partie! Une autre belle collaboration avec un centre commercial, cette fois avec Danielle Pelletier, superviseure, et son équipe.
En tout, 136 essais routiers ont été effectués à bord des VÉs suivants: 2 Teslas, 2 Bolts, 1 Leaf, 1 Prius Prime, 1 Ioniq 100% électrique, 1 i-MiEV, 2 Volt, 1 Spark, 1 autobus eLion, et 1 moto-vélo EMMO. Nous étions 8 bénévoles AVÉQ, et 5 représentants d’entreprises (transport Pascal Ouellet, Hyundai et Toyota RDL, Batteries Expert). La municipalité de Témiscouata-sur-le-Lac nous avait prêté leurs véhicules électriques pour l'occasion, soit une Spark et une Volt.
Merci à tous ceux qui ont contribué à faire de cet événement une réussite sur toute la ligne! Source : Daniel et Jean-François / Direction régionale AVÉQ , Bas-St-Laurent Contribution : Martin Archambault
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Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Visitez lecircuitelectrique.com pour obtenir plus d’information!
=> D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique Source: Hydro-Québec Contribution : Martin Archambault
Le gouvernement du Québec vient d'adopter, après avoir tergiversé pendant 4 ans, d'un Règlement sur les véhicules à basse vitesse qui définit les normes de sécurité visant à protéger leurs occupants et les autres usagers de la route.
Ce règlement introduit des règles additionnelles à celles de Transports Canada en matière d'équipements et de performance. La Société de l'assurance automobile du Québec jugera de la conformité des véhicules sur la base des dossiers que devront lui avoir présentés les fabricants à cet effet. >>> Lire notre article de 2013 à ce sujet: Le MTQ permettra les VBV électriques sur les routes, avec une bémol En mai 2016, une modification au Code de la sécurité routière (CSR) permettait la circulation des véhicules à basse vitesse (VBV) et attribuait au gouvernement le pouvoir de déterminer par règlement les normes de sécurité particulières leur étant applicables. Un véhicule à basse vitesse : · doit être entièrement électrique; · doit avoir une vitesse maximale entre 32 et 40 km/h; · doit être immatriculé; · peut accéder aux chemins publics où la vitesse permise est d'au plus 50 km/h. Jusqu'à maintenant, les VBV ne devaient circuler qu'en milieu fermé ou sur des chemins privés. Pour qu'ils aient accès aux chemins publics du Québec, le ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports a fait adopter un règlement basé sur des normes définies à la Société de l'assurance automobile du Québec et visant à rehausser leur niveau de sécurité. Ces normes visent notamment la capacité de freinage, la visibilité du conducteur et la perceptibilité du VBV, ainsi que la protection de ses occupants en cas d'impact. « Si la sécurité des usagers de la route est une priorité, l'intérêt démontré par des fabricants et importateurs québécois à investir dans le VBV a également incité le gouvernement à considérer ces véhicules dans son Plan d'action en électrification des transports 2015-2020 » affirme le ministre des Transports, Laurent Lessard. Circulation à l'extérieur des chemins publics Quant aux véhicules à basse vitesse utilisés uniquement à l'extérieur des chemins publics (en milieu fermé ou sur des terrains privés), la conformité aux normes de Transports Canada suffit et ils n'ont pas à respecter les normes additionnelles instaurées par le nouveau règlement. Ils doivent toutefois être immatriculés pour une utilisation hors route. Source: Transcontinental Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]() L'équipementier québécois AddÉnergie, fabriquant de bornes de recharge et exploitant du Réseau FLO, s'est récemment joint à l'Association ROEV dont les membres supportent l'interopérabilité de paiement entre les différents réseaux pour VÉ. Nous n'avions pas eu beaucoup de nouvelles de cette association depuis sa création en novembre 2015, c'est donc une agréable surprise de constater que sans tambour ni trompette le Réseau FLO signe un partenariat avec le réseau d'interopérabilité ROEV. Attention, AddÉnergie nous a averti que cette présence chez ROEV ne les engage en rien. On peut seulement espérer que le regroupement ROEV, qui n'a toujours pas présenté en 20 mois une solution tangible aux opérateurs, saura atteindre ses objectifs d'interopérabilité. Le fait d’avoir plusieurs cartes d'accès et plusieurs protocoles d'utilisation pour chaque système et réseau différent complique la vie des électromobilistes, et n'aide pas à rendre l'électromobilité attrayante. L'association ROEV souhaite simplifier l’accès aux stations de recharge afin d’encourager davantage le marché des véhicules électriques.
Cette association signifie que plus de 90% des bornes en Amérique seraient accessibles au public en n'utilisant qu'une seule carte pré-payée d'un réseau participant. Le fonctionnement :
Les constructeurs de véhicules électriques, les réseaux de recharge, les entreprises de technologie de recharge et les services publics d'électricité collaborent donc pour proposer l'interopérabilité des réseaux de recharge et pour rendre le système public plus accessible et efficace. L'AVÉQ s'est récemment entretenue avec certains membres fondateurs de ROEV pour aborder le paiement par carte de crédit, car nous sommes convaincus que c'est la solution ultime de paiement pour le grand public. Nous croyons que le public est prêt à payer un léger surcoût à la recharge payée par carte de crédit pour compenser les coûts d'accès aux réseaux Visa et MasterCard, et à garder le rabais "préférentiel" lorsqu'un paiement est effectué par carte pré-payée/application mobile. Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]()
La chef de l'opposition officielle à l'hôtel de ville et candidate à la mairie de Montréal, Valérie Plante, n'est pas étonnée de voir autant de grogne chez les citoyens et commerçants qui sont pris en otage, dit-elle, de la Formule E, prévue le week-end prochain.
Elle a accompagné TVA Nouvelles lundi sur le circuit de la Formule E, déplorant les coûts de 24 millions, mais aussi le fait d'avoir été tenue dans l'ignorance quand au déroulement de l'évènement. «Il y a un an presque jour pour, l'administration Coderre nous avait demandé de voter une somme importante sans aucun document à l'appui, sans aucun plan d'affaires, aucun plan au niveau de la mitigation. Qu'est-ce qu'on allait faire avec les citoyens, les commerçants, comment allait-on s'organiser?», des réponses qu'elle n'avait pas dès le départ déplore-t-elle. Impact sur les ventes de véhicules électriques? «Je crois que la Formule E va avoir son impact», a déclaré Simon-Pierre Rioux, président de l'Association des véhicules électriques du Québec. «Je pense que ça va rendre ce type de véhicule plus intéressant, plus excitant. Or, je pense que la course a mal été expliquée. S'il n'y avait pas eu certains cafouillages de la part de l'administration Coderre et de la Ville, les gens auraient vu ça comme étant un beau sport, un bel évènement familial.» Source: TVA Nouvelles Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Source: FIA Formula E Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Trois voitures électriques aux couleurs de Jean Coutu ont commencé à circuler dans la région de Chateauguay le lundi 17 juillet.
Il s’agit de Nissan Leaf acquises par les propriétaires de cinq pharmacies ayant pignon sur rues à Châteauguay, Mercier et Beauharnois, Jacques et Line Thibault et leurs associés. Une grande première québécoise pour la bannière.
«Des véhicules électriques pour faire la livraison, c’est nouveau. C’est une première dans l’ensemble des Jean Coutu du Québec», affirme Pierre Pouliot, administrateur pour les Jean Coutu de Châteauguay et Mercier. Le virage s’est amorcé en février. Les frais de livraisons effectuées par ses sous-contractants avec leurs propres véhicules ont alors été évalués. À la suite de l’exercice, M. Pouliot a proposé à ses patrons d’acquérir leurs propres véhicules. Une formule qui offrirait une visibilité à Jean Coutu puisque les voitures lui appartenant seraient lettrées, observe Pierre-Aimé Slevan, administrateur/service à la clientèle. Amortis sur cinq ans Les propriétaires ont donné le feu vert à une comparaison des coûts de revient de véhicules à essence et électrique. «Nous avons demandé des soumissions et nous avons conclu que la voiture électrique était amortissable sur une période de cinq ans au même titre qu’un véhicule à essence», révèle Pierre Pouliot. Des avantages non monétaires ont aussi pesé du côté positif. «On fait de la livraison tout en étant écologique et écoresponsable», se réjouit l’administrateur. Son collègue précise que les établissements avaient déjà entrepris un tournant écologique, notamment en pratiquant la récupération et le recyclage. «Avec les voitures, on est une coche au-dessus», estime Pierre-Aimé Slevan. L’enjeu de l’autonomie L’autonomie constituait un enjeu. Pendant trois mois, le kilométrage des livreurs a été mesuré pour déterminer si la voiture électrique offrait une portée suffisante. L’exercice a été concluant. «En moyenne, il s’est avéré que les livreurs faisaient entre 125 et 130 km par jour. La Nissan Leaf peut parcourir 174 km avec une pleine charge», laisse entendre M. Pouliot Source : Le Soleil de Chateauguay Contribution : Martin Archambault
Les premiers camions de livraison totalement électriques fabriqués par Nordresa à Laval seront bientôt sur nos routes, avec une vingtaine d'unités produit cette année, et jusqu'à 800 en 2018 si la demande est présente.
Comme Renault, Mercedes et Tesla, l’objectif avoué de M. Castonguay est de construire un jour ses propres camions de A à Z. Mais pour le moment, son équipe utilise le châssis de véhicules existants, le vide de son moteur et y installe des batteries d'un manufacturier coréen et le système de propulsion qu’elle a développé. « La moitié des véhicules qui circulent sur les routes de Montréal en semaine sont des commerciaux et il n’y avait pas d’offre électrique pour eux. On vient combler un vide », indique M. Castonguay en glissant qu’il lancera en janvier deux autres plateformes de véhicules de classe 4 et 6. Vous pouvez lire l'article complet du Journal de Montréal ici [lien] Quelques erreurs dans l'article du JDM
Contributeur; Simon-Pierre Rioux
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Hey les fans de F-E! Vous avez vos billets, et vous désirez tout savoir sur les équipes techniques derrière les pilotes? On a un concours pour vous!
Si vous avez des billets pour le Montréal ePrix, vous pourriez gagner une visite VIP du garage de Dragon Racing !!! Pour participer, dites-nous dans les commentaires votre moment préféré de la présente saison, et à quel ePrix il a eu lieu. Nous allons tirer 1 gagnant pour chaque jour de course, et vous pouvez inviter un ami! Si vous n'avez que des billets pour un jour précis, veuillez nous donner votre préférence (samedi ou dimanche) Bonne chance!! Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]()
Alimentation Couche-Tard fut à nouveau approché par des investisseurs lors d'une récente conférence téléphonique pour connaitre la position de la compagnie par rapport à l'électrification des transports au Québec. La réponse: On teste les bornes rapides à nos stations Statoil en Norvège puisque la demande y est, mais au Québec on s'attend à ce que les véhicules moins énergivores continuent à dominer les VÉ pour les prochains 25 ans.
Présent sur plus de 300 sites en Norvège - la capitale mondiale du véhicule électrique par habitant -, Alimentation Couche-Tard s'affaire à tester de nouvelles initiatives dans ce marché que l'entreprise qualifie de «laboratoire». «C'est exploratoire à ce stade-ci (...) mais nous sommes très engagés afin d'identifier les solutions les plus efficaces», avait expliqué le président et chef de la direction de Couche-Tard, Brian Hannasch, au cours d'une récente conférence téléphonique. L'essence est responsable de 40% des profits de la compagnie. Selon l'association norvégienne des voitures électriques, de plus en plus de compagnies ont les yeux rivés sur le pays européen pour comprendre comment s'adapter. "Elles de réveillent, affirme sa secrétaire généale, Christina Bu, en entrevue téléphonique depuis Oslo. Si les stations-service ne s'adaptent pas, d'autres joueurs vont s'emparer de ce marché." Au Québec, nous avons déjà des signes que ce virage commence. Groupe Harnois Pétrolier a débuté l'installation de 10 nouvelles bornes de recharge à ses stations Esso, dont la moitié seront des bornes de recharge rapides. La première a d'ailleurs été inaugurée il y a quelques semaines à Ste-Adèle. «Des établissements de restauration se trouvent sur les sites, explique Claudine Harnois, vice-présidente de l'entreprise. Les électromobilistes s'arrêtent une dizaine de minutes et peuvent casser la croûte ou aller dans le dépanneur.»
Pour le président de l'Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ), Simon-Pierre Rioux, le nombre de ces véhicules devrait grimper de façon plus rapide au cours de la prochaine décennie, notamment en raison de l'arrivée des batteries de nouvelles générations, ce qui devrait faire fléchir les prix.
Ainsi, à son avis, les exploitants de stations-service ont tout intérêt à réfléchir à leur modèle d'affaires pour répondre aux besoins des électromobilistes qui devront s'arrêter au moins 10 minutes pour recharger leur véhicule. «Les entreprises ont tout à gagner, dit-il. Elles se retrouvent avec un consommateur captif. Il va aller s'acheter un café ou peut-être même faire des courses.» Bien que les propriétaires de stations-service «traînent légèrement de la patte» en ce qui a trait à leur virage vers l'électrification, M. Rioux estime que ceux-ci se «rendent compte» qu'il y a un retard à combler. Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Lire les articles complets de Julien Arsenault (La Presse Canadienne) ici:
Juillet 2017: http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/503900/vehicules-electriques-les-exploitants-de-stations-service-reflechissent Novembre 2016: http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201611/22/01-5043915-couche-tard-continue-de-miser-sur-le-carburant.php
Samedi prochain 22 juillet aux Galeries Témis entre 10h et 16h, venez faire l’essai d’une voiture électrique lors de la journée familiale !
Veuillez noter qu’il y a maintenant une BRCC à Témiscouata-sur-le-Lac, tout près du centre commercial.
Nous sommes à la recherche de bénévoles pour le kiosque et les essais routiers. Profitez-en pour venir découvrir ce beau coin de pays!
Intéressés, contacter Jean-François [email protected] ou Daniel [email protected] Source : Daniel Brazeau - Directeur régional AVÉQ / Bas-St-Laurent
La Ville de Saint-Jérôme appuie le projet de l’Institut du véhicule innovant (IVI) pour se doter d'un nouveau bâtiment, afin de regrouper le personnel et les équipements actuels et pour répondre aux besoins technologiques du transport avancé et durable.
Le projet, qui est estimé à 10 M$, permettra la création d’emplois de haute technologie à Saint-Jérôme, ce qui pourrait attirer des entreprises du secteur et d’autres acteurs de l’écosystème de l’innovation et de la formation.
Cette annonce a été faite par le maire Stéphane Maher, en présence du directeur général de l’IVI, François Adam et de Nadine Le Gal, directrice générale du Cégep de Saint-Jérôme. Cession de terrain «La Ville de Saint-Jérôme désire appuyer et contribuer à la réalisation du futur bâtiment de l’IVI, en s’engageant à céder une partie d’un terrain d’une superficie de 140 000 pieds carrés appartenant à la Ville et situé dans le quartier industriel, a dévoilé le maire. Reconnue comme ville pionnière et pilote du véhicule électrique au Canada, Saint-Jérôme entend continuer à promouvoir l’électrification des transports. Fort de cette orientation, le choix d’assurer la croissance de l’IVI sur son territoire et d’améliorer ses opérations afin de répondre à la demande était logique», a conclu M. Maher. Centre de recherche «Les projets de l’IVI occupent une équipe de plus de vingt personnes composée d’ingénieurs ainsi que d’employés techniques et de soutien. La nouvelle construction engendrera la création de 25 emplois supplémentaires en haute technologie à Saint-Jérôme. De plus, elle nous permettra de créer un centre de recherche de haut calibre et de positionner les Laurentides comme un incontournable dans le domaine, a souligné François Adam. Je tiens à remercier la Ville de Saint-Jérôme pour son appui. Ce partenariat confirme sa position de leader en matière de véhicule innovant», a signalé François Adam de l’IVI. Affiliation avec le Cégep «L’IVI est un centre collégial de transfert technologique (CCTT) affilié au Cégep de Saint-Jérôme. Les projets soutenus par l’IVI consolident le tissu industriel de la région des Laurentides et de l’ensemble du Québec. Nous saluons l’appui de la Ville de Saint-Jérôme pour ce nouveau projet de construction, qui permettra à l’IVI de croître et de propulser les industriels québécois sur l’échiquier mondial des véhicules électriques et intelligents», a déclaré Nadine Le Gal. Source: Journal Le Nord Contribution : Martin Archambault
Buddy et Barb ont été très heureux de leur passage chez nous, d’autant plus que le centre commercial avait mis en déroulement sur le panneau électronique extérieur “Bienvenue à RDL / Welcome to RDL Bolt across Canada”! Ils étaient impressionnés! Merci à Noémie du centre commercial d’avoir eu cette idée géniale!
En tout, 18 personnes étaient présentes à l'événement, avec leur 10 VÉs! On a même fait quatre essais routiers à des curieux attirés par la tente, les voitures et la foule! Un gros merci à tous ceux qui étaient présents pour les accueillir, vous avez grandement contribué au succès de cet événement! Quelle belle équipe! Daniel Brazeau et Jean-François Morin Direction régionale AVÉQ BSL First Delivery from Electra Meccanica on Vimeo. ![]()
Electra Meccanica a livré son premier véhicule tout-électrique SOLO 2017 à ses fiers nouveaux propriétaires, Leona et Matthew Green de New Westminster, en Colombie-Britannique. Les Green ont l'intention d'utiliser leur nouveau VÉ SOLO innovant et unique pour les déplacements quotidiens et pour leur entreprise de restauration bio offrant la livraison locale.
Ils sont propriétaires du populaire Deli Cafe Green & Beans et ont commandé leur SOLO couleur British Racing Green afin de s'harmoniser avec leur nom et leur entreprise. Regardez la vidéo de la livraison ci-dessus. «Nous adorons notre nouvelle SOLO», déclare Leona Green, propriétaire du café Green & Beans. "Nous l'avons placé devant notre entreprise et vous devriez voir toute l'attention qu'elle obtient!" «Nous sommes ravis de pouvoir livrer notre toute première SOLO à une famille d'ici même dans la région de Vancouver», a déclaré Mark West, président d'Electra Meccanica. "Nous pensons que cela correspond parfaitement à leur activité professionnelle pour attirer l'attention en tant que véhicule attrayant et respectueux de l'environnement, avec de l'espace de chargement suffisant pour tous leurs besoins de livraison quotidiens". Le SOLO, un véhicule de banlieue tout électrique innovant, est produit à l'usine de Braid à New Westminster, en Colombie-Britannique. Le design unique du SOLO est alimenté par une batterie au lithium-ion de 16,1 kWh et la motorisation est réglée pour la vitesse et la mobilité. Avec une autonomie de 160 km et une vitesse maximale de 130 km/h, la SOLO offre des performances supérieures et une conduite animée. Source: Electra Meccanica Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Buddy et Barbara accompagnés de leur chien Piper se sont donné comme mission de traverser le Canada à bord de leur Chevrolet Bolt.
Contribution : Martin Archambault
Encore cette année, l'AVÉQ sera présente au Marché de la Gare de Sherbrooke un jeudi par mois durant l'été entre 17h et 21h.
[MAJ]
Source : AVÉQ - Direction régional de l'Estrie
Contribution : Martin Archambault
Un couple de Colombie-Britannique traverse le Canada en Chevrolet Bolt depuis le 1er juillet, de Victoria, C.-B. à St-Jean, Terre-Neuve, afin de démontrer qu’on peut voyager en voiture tout en laissant une faible empreinte écologique.
Ils ont déjà franchi plus de la moitié de la distance. En effet, ils seront à Sudbury, en Ontario, demain.
Ils devraient débuter leur traversée du Québec vers la fin de la semaine ou au cours du weekend prochain, en route vers le Nouveau-Brunswick.
Nous souhaitons les accueillir chaleureusement à la BRCC de Rivière-du-Loup avec nos VÉs. On veut qu'ils apprécient leur passage au Québec! Nous invitons tous ceux qui ont un VÉ à se joindre à nous! La date et l'heure vous seront communiquées au courant de la semaine. Nous invitons par la même occasion les autres régions de l'AVÉQ à faire comme nous pour les encourager à travers ce périple exceptionnel. Vous pouvez les contacter via leur page Facebook ou leur site web. https://www.boltacrosscanada.com https://www.facebook.com/BoltAcrossCanada/ Bolt Across Canada! A couple from BC is driving across Canada in their Chevy Bolt since July 1st. They are travelling from Victoria, BC, to St.John’s, NL. Their aim is to show that riding long distances by car can be done with a low carbon footprint. They have completed more than half of their itinerary so far, and plan to be in Sudbury tomorrow. They should be in Quebec by the end of the week or during the weekend, en route to New-Brunswick. We wish to welcome them upon their arrival in Riviere-du-Loup, QC with our EVs. We want them to appreciate their trip through our province! We invite all EV owners to join us! The exact date and time will be announced later this week. We invite other Quebec EV Association regions to do the same to encourage them for their exceptional journey. You can reach them through their Facebook page or their website. Daniel Brazeau, Directeur régional AVÉQ - Bas-St-Laurent Contribution : Martin Arcahmbault ![]()
L'étude très complète sur les effets d'une Loi "Zéro-Émission" (VZE) complétée par le Ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques offre un aperçu intéressant sur l’ensemble des impacts qu'auront les véhicules électriques 2018-2025 sur la société québécoise, l'environnement, les coûts sur la santé, et l'impact sur l'agriculture, pour la totalité de la durée de vie de ces véhicules, donc sur un horizon de 20 ans.
»» Consulter l'étude ici La conclusion est que la Loi sur les Véhicules Zéro-Émission (VZE) est avantageuse pour le gouvernement, les citoyens-consommateurs, les fabricants de bornes et de matériel de VÉ mais pas pour les fabricants, concessionnaire et réparateurs d’automobiles ni les stations services: on s’en doutait et on comprend la réticence de ces entreprises devant la montée des VÉ. Il est important de relativiser le manque à gagner. Par exemple, le concessionnaire moyen percevra annuellement environ 725$ de moins à cause des changements d'huile qui ne sont pas nécessaires pour les VZE. Même si les moteurs électriques n'ont pas besoin de beaucoup d'entretien, les moteurs thermiques modernes possèdent également une fiabilité impressionnante, ce n'est pas la réparation de moteurs qui est le gagne-pain des garagistes. La suspension et le système de direction partagent les mêmes composantes sur les VÉ et les thermiques, et ont besoin du même entretien mécanique. Par contre, la Corporation des Concessionnaires Automobiles du Québec (CCAQ) induit en erreur ses membres en interprétant mal les chiffres du rapport, ce qui est possible pour les non-initiés aux subtilités entre les objectifs de vente et les objectifs de crédits VZE. Nous souhaitons les éduquer à ce sujet afin de les rassurer sur la réalité des objectifs à atteindre [voir leur article ci-dessous]
La première cohorte de diplômés du nouveau programme en Technologie des véhicules électriques offert par Groupe Collegia–Cégep de Rivière-du-Loup a présenté ses prototypes de véhicules tout-terrain (VTT) électriques, résultats de leur projet intégrateur, le 23 juin dernier.
Aperçu en exclusivité lors du Méga weekend électrique de l'AVÉQ au Centre commercial Rivière-du-Loup, le concept avait fait tourner bien des têtes. Au total, trois quads ont été convertis. Un VTT Can Am Outlander Max 2013 avait d’ailleurs été offert par BRP, aux fins de la conversion. L’une des équipes a réussi le tour de force de compléter la motorisation électrique de leur quad en seulement huit jours. Au cours des 675 heures de formation, les diplômés ont acquis les connaissances nécessaires leur permettant de travailler à la conception et à la fabrication de véhicules électriques (VÉ), tout en assumant l’entretien correctif et préventif de leurs composantes. ![]()
Comma.ai est une petite startup californienne dotée d'un budget de 3 millions, qui développe un logiciel pour démocratiser la conduite autonome de véhicules construits après 2011, dont des Honda Civic, des Lexus et des Acura.
Seul dans son garage et en l’espace d’un an, le hacker George Hotz aurait été capable de concevoir un système pour autonomiser un véhicule à la manière d’un Autopilot de Tesla. Car à la différence d’un Google, ce que propose Hotz est en fait un kit à installer sur n’importe quelle voiture afin de la rendre autonome, pour la modique somme de 1,000$! A en croire cet entrepreneur, son véhicule était déjà en mesure de rouler correctement sur route en avril, et ce avec seulement 5000 km à son compteur. On est bien loin des 3,5 millions de km parcourus par les google car ou des 100 millions de miles revendiqués par Tesla. Une affirmation qui n’a pas manqué de créer la polémique dans le milieu des hautes technologies et du véhicule autonome. Suite aux révélations sur les projets de Hotz par Bloomberg en décembre 2015, Tesla Motors s’est empressé de répondre sans détours aux prétentions du jeune homme. Sur son blog, la firme d’Elon Musk conteste la possibilité qu’un seul homme ait pu arriver à concevoir un tel logiciel : « nous pensons qu’il est très peu probable qu’une seule personne, ou même une petite entreprise, qui manque de capacités d’ingénierie, serait en mesure de produire un système de conduite autonome pouvant être déployé sur les véhicules du commerce. Un tel système pourrait peut-être fonctionner en tant que démonstration sur un bout de route – comme nous le faisions il y a deux ans – mais il faut mobiliser un nombre incroyable de ressources afin d’affiner le système pour des millions de km et de routes différentes« . Un article dans La Presse fait état d'un électromobiliste québécois qui a modifié sa Chevrolet Volt 2017 afin de faire rouler le logiciel de Hotz. Source; La Presse Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Venez visiter Mont-Louis et faire l'essai d'un véhicule électrique dans le cadre du Festival Tout Mélangé de Mont-Louis samedi le 8 juillet de 14h à 17h en face du restaurant L'eau à la bouche!
Source : David Sylvestre - Directeur régional AVÉQ - Gaspésie. Contribution : Martin Archambault ![]()
Entrevue de l'AVÉQ à RDI hier soir, au sujet de l'arrêt des ventes de véhicules thermiques en France d'ici 2040. Est-ce que les Français rêvent en rose avec cet objectif?
Réponse avec Simon-Pierre Rioux, président de l'AVÉQ, et Yan Cimon, directeur du Centre interuniversitaire de recherche sur les réseaux d'entreprise, la logistique et le transport (CIRRELT) à l'Université Laval. Petite correction: l'animateur a introduit l'AVÉQ en mentionnant qu'elle était soutenue financièrement par Nissan Canada, ce qui n'est pas vrai. Nous recevons 0$ de Nissan, mais ce manufacturier offre à nos membres un rabais d'environ 1500$ à l'achat/location d'une LEAF. |
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