L’AVÉQ est un fier partenaire de la Semaine nationale du VÉ et de la Campagne Roulons électrique. Au Québec, 73 concessionnaires et d'autres partenaires offrent des essais de véhicules électriques ou hybrides branchables durant cette semaine qui se tiendra du 27 mai au 2 juin prochains.
#RoulonsÉlectrique
#semaineVE
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Le volume des ventes mondiales de voitures électriques représente à peine un point de pourcentage ou deux du total des ventes annuelles de toutes les voitures, mais elles retiennent toute l'attention de nos jours. Une partie de cette flambée d’attention est liée au flamboyant Elon Musk de Tesla, responsable du développement d’étonnantes voitures.
Cela fait une décennie maintenant que Musk et son groupe d’ingénieurs ont transformé avec peu d’outils et quelques rubans adhésifs une Lotus en un premier Model Tesla. On doit reconnaitre que dix ans plus tard, Musk et sa compagnie dont la valeur est estimée à 200 milliards $, l’une des quatre ou cinq entreprises qu’il gère simultanément est toujours le leader du marché, le meilleur concepteur et le plus gros vendeur de véhicules électriques dans le monde.
Quelqu'un peut-il construire un meilleur véhicule électrique (VÉ) que Tesla? Le concepteur des meilleurs aspirateurs disponibles sur le marché pense qu'il le peut!
Le milliardaire britannique James Dyson, est à peu près aussi éloigné que possible de l’image que représente Elon Musk. En 2017, Dyson a choqué l’industrie automobile en annonçant qu'il allait investir plus de 3 milliards de dollars dans la création d'une voiture électrique et a récemment publié des demandes de brevet qui pourraient nous permettre de comprendre ce que sera le futur véhicule de Dyson.
Selon la demande de brevet de Dyson, sa voiture électrique aurait une forme élancée qui n'est pas sans rappeler le Model Y Tesla et comporterait trois rangées de sièges. IMAGE: BREVETSCOPE
Comme Elon Musk, Dyson est un ingénieur accompli. Si vous utilisez toujours un aspirateur traditionnel, il est temps d’acheter une Dyson. C’est cher, mais les bonnes choses dans la vie le sont généralement. Mais un produit Dyson présente un superbe design, un look différent et fonctionne mieux que la concurrence. Pourquoi est-ce si bon? Parce que Sir James Dyson est particulier, pointilleux et précis. Dyson est une société privée, donc personne ne peut lui dire quoi faire pour calmer les grincements des investisseurs. Au lieu de cela, Dyson et son équipe d'ingénieurs font ce que les sociétés, privées ou publiques, devraient toujours faire: Raffiner, améliorer, innover. C’est la constante amélioration que Dyson apporte à ses produits, le je-ne-sais-quoi qui incite les clients à acheter les produits Dyson. Ce soucis de l’amélioration augure bien pour la conception des futures voitures. Mais contrairement à Elon Musk, James Dyson n’est pas un chef de projet impulsif. Dyson âgé de 71 ans, a fait le tour du pâté de maisons à plusieurs reprises. Il a construit Dyson Ltd. à la dure, avec beaucoup de travail acharné (selon Wikipedia il aurait réalisé plus de 5 000 prototypes avant d’être satisfait du produit) et tout cela sans aucune aide gouvernementale ou de quiconque à l'exception de son épouse qui est enseignante. Comparé à Elon Musk, il symbolise plutôt la tortue qui court contre un lièvre. Mais il devra s’activer s’il veut créer un impact dans ce nouvel environnement et il semble prêt à bouger. Dyson est obsédé par les moteurs et les batteries. Les aspirateurs à piles de Dyson fonctionnent parce qu’il a perfectionné il y a plusieurs années la séparation cyclonique, mais récemment, il s’est concentré à améliorer le fonctionnement de sa technologie, plus spécialement ce qui concerne les moteurs électriques. Les moteurs des aspirateurs Dyson tournent à 125 000 tour / min et ils fonctionnent avec des piles logées dans un petit boîtier que vous utilisez comme un sabre laser. C'est impressionnant. Est-ce que cela pourrait fonctionner dans une voiture électrique? Maintenant, imaginons le tout à plus grande échelle. La technologie, le savoir-faire, les méthodes et les moyens sont déjà là. Dyson a acheté une ancienne base de la RAF en Grande-Bretagne et l'a reconvertie en une installation de R & D pour son projet de voitures électriques. Une usine pour manufacturer les voitures est en construction à Singapour. Dyson a déclaré que les voitures devraient entrer en production en 2020, dans sept mois seulement. Est-ce possible? Tesla est réputé pour ne pas avoir toujours tenu ses promesses. Même si construire des voitures n’est pas la même chose que de construire des aspirateurs, il ne serait pas étonnant que les premiers échantillons sortent des lignes à Singapour au cours des 19 prochains mois, Le plus gros obstacle pour Dyson sera peut-être les batteries. Alors que la société continue d’améliorer les performances et les durées d’exploitation des batteries de ses produits et en tant que fabricant de batteries de premier plan, Dyson s’intéresse également au graal de la technologie des batteries: la batterie à semi-conducteurs. Dyson a investi des millions de dollars dans la startup de batteries Sakti3, dirigée par Ann Marie Sastry . De toute évidence, il n'est pas seul dans cette quête. Mais si Dyson pouvait y arriver en premier, cela serait peut-être ce qui catapulterait Dyson au-dessus de Tesla et de tous les autres. Le fait de breveter une technologie de batterie solide et évolutive, puis de la vendre pour des milliards à des concurrents modifie le jeu non seulement pour les voitures, mais également pour les batteries que le monde utilisera de plus en plus à mesure qu’il se détache du pétrole. Et une entreprise d'ingénieurs qui fabrique des aspirateurs et d'autres produits toujours plus performants alimentés par des batteries pourrait très bien devenir le meilleur incubateur possible pour cette technologie en pleine mutation. Dyson a l'argent. Avec une valeur nette comprise entre 6 et 12 milliards de dollars selon la méthode de comptabilisation, Dyson a les moyens pour financer la R & D, les usines, les aspects juridiques, la robotisation et peut, si nécessaire, faire appel au crédit. Tout le monde aime suivre les états d'âme d'Elon Musk sauf peut-être ses actionnaires, alors que la société oscille entre profit et perte, et que le fondateur oscille entre épisodes de grande lucidité et de folie apparente. Idéal pour les médias, pas si bon pour le moral, le cours des actions ou les calendriers de production. Mais les ambitions de Dyson sont clairement un peu plus compactes et ennuyeuses. Axé sur le produit, orienté ingénierie, éprouvé et rentable, Dyson apporte l’avantage commercial à l’activité de démarrage d’une voiture électrique. Bien sûr, jusqu'à présent, il ne fabriquait que des aspirateurs, des sèche-mains, des sèche-cheveux et des appareils qui chauffent, refroidissent et purifient l'air de votre appartement. Ce qu'il ne produit pas encore, ce sont des voitures, et les voitures sont difficiles à produire, assujettis à la règlementation, la bureaucratie, la politique et la fidélité à la marque. Des erreurs seront commises. Des problèmes vont surgir. Les retards sont prévisibles. Mais avec un bon timonier et quelques avancées majeures en termes de technologie et peut-être un heureux timing ces éléments pourraient faire la différence entre demeurer dans l'ombre de Tesla ou prendre le leadership dans l'une des plus importantes courses technologiques actuelle. La passion est-elle la clé du progrès ou la discipline est-elle le vrai chemin vers l’avenir de la voiture électrique? Dans la fable de Lafontaine, le lièvre n’a pas remporté la course contre la tortue. Mais dans notre univers, qqui sera le gagnant? Forbes
Contribution: André H. Martel
Comprendre le remboursement de bornes de recharge pour voitures électriques en multilogement29/5/2019
Le programme de remboursement de bornes de recharge en multilogement n'est pas simple à comprendre. Voici deux tableaux qui devraient répondre à plusieurs de vos questions.
Martin Archambault
Ayant pour objectif de construire 22 millions de nouvelles voitures électriques sur 70 modèles d'ici 2030, Volkswagen est inquiet face aux approvisionnements en batteries.
Alors que de plus en plus de constructeurs automobiles planifient de construire de nombreuses voitures électriques, il semblerait que l’on ne réussisse pas à produire les batteries nécessaires pour alimenter toutes ces voitures, ce qui entraîne une pénurie de batteries, une concurrence accrue, des ventes limitées de certains modèles de véhicules électriques et potentiellement une hausse des prix.
Bloomberg rapporte que le projet d’acquisition de batteries pour une valeur de 56 milliards $ pour tous les nouveaux modèles électriques de VW sont maintenant à risque maintenant que Samsung veut réduire son contrat d'approvisionnement avec le constructeur automobile à cause d’une mésentente sur le calendrier de livraison .
Samsung devait fournir des batteries pour 200 000 VW électriques ou plus, basé sur l’hypothèse selon Bloomberg qu’il était question de batteries de 100 kilowattheures qui devaient être légèrement supérieures à celles de l’Audi e-tron qui viennent d’être commercialisées, et de la taille des batteries les plus performantes de Tesla. Étant donné que de nombreux nouveaux véhicules VW utiliseront des batteries plus petites de 48 kWh, le changement est susceptible d’impliquer beaucoup plus de voitures.
VW avait confirmé que Samsung serait son fournisseur pour ses modèles électriques qu’elle envisageait de construire en Europe, avec LG Chem, qui fournit des batteries pour l’Audi E-tron Quattro, et SK Innovation et pour d’autres marchés, elle collaborerait avec le groupe CATL (Contemporary Amperex Technology Co. Limited, une entreprise technologique chinoise). Les pénuries de batteries et les conflits entre VW et LG Chem ont eu une incidence sur la production d'e-tron dans l'usine d'Audi en Belgique et persistent depuis l'automne dernier. Elon Musk, président-directeur général de Tesla, a également déclaré que les restrictions d'approvisionnement en batteries de son partenaire Panasonic constituaient une contrainte pour la production de son Model 3. Un rapport publié en avril par Benchmark Minerals indiquait que les réserves de piles au lithium pourraient augmenter de 50% par an d’ici à 2023, ce qui pourrait améliorer la situation dans la mesure où il y aura disponibilité de matériaux. L’année dernière, l’administration Trump a classé le lithium, le cobalt et d’autres matériaux pour les batteries de voitures électriques parmi les minéraux essentiels que les États-Unis ont besoin de développer sur leur territoire et pour lesquels ils espèrent accélérer les permis d’extraction. Après la Audi E-tron haut de gamme de VW, la prochaine voiture électrique de VW devrait être la ID 3, qui devrait être commercialisée à la fin de cette année. Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
L’AVÉQ est un fier partenaire de la Semaine nationale du VÉ et de la Campagne Roulons électrique. Au Québec, 73 concessionnaires et d'autres partenaires offrent des essais de véhicules électriques ou hybrides branchables durant cette semaine qui se tiendra du 27 mai au 2 juin prochains.
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Le parc de véhicules du gouvernement de New York a remplacé 2 200 véhicules à essence par des VÉ et atteindra les 4 000 d’ici 2025.
Le département des services administratifs de la ville de New York (DCAS) a annoncé qu'il avait remplacé 2 200 véhicules de son parc de véhicules routiers fonctionnant au gaz par des modèles électriques rechargeables . Cette étape a été franchie six ans avant l’objectif de 2025 fixé par le maire de la ville de New York, Bill de Blasio en 2015, dans son plan pour créer une flotte de véhicules propre dans la ville de New York.
La ville a annoncé qu'elle doublerait désormais son objectif et qu'elle utiliserait au moins 4 000 véhicules électriques routiers d'ici 2025. Lorsque de Blasio a assumé sa fonction en 2014, le parc automobile ne comptait que 211 véhicules électriques. «Il est temps de dire au revoir aux combustibles fossiles et de saluer un avenir sans émissions», a déclaré Lisette Camilo, commissaire de DCAS. «Les voitures que nous achetons ont un impact direct sur l'air que nous respirons et sur notre climat. C'est pourquoi nous réduisons la taille du parc de véhicules de la ville et utilisons des options d’énergies plus propres. " Les 2 200 véhicules électriques rechargeables introduits dans le parc automobile de la ville ont permis de réduire les émissions annuelles de CO2 de près de 9 000 tonnes métriques, ce qui équivaut à brûler 1 million de gallons d'essence. Outre les avantages environnementaux des véhicules électriques, leur utilisation a permis de réduire les coûts de ravitaillement et de maintenance. L'entretien d'un véhicule 100% électrique coûte en moyenne 65% de moins, soit une économie de plus de 550 dollars par an pour chaque véhicule. Au total, un tiers des automobiles de la ville, à l'exception des voitures de police, sont désormais alimentées à l'électricité. La ville a entrepris une élimination rapide des véhicules traditionnels pour les modèles électriques. Dans le cadre du plan de la flotte propre de New York de De Blasio, DCAS a également: Remplacé 5 400 véhicules traditionnels par des modèles hybrides. Utilisé des biocarburants, notamment du diesel renouvelable, une alternative sans pétrole à 99%. Atteint un équivalent d'économie de carburant de 35 km/l pour les véhicules achetées au cours de l'exercice 2018. Installé le plus grand réseau de bornes de recharge de véhicules électriques à énergie solaire du pays . Équipé les Ambulances du FDNY (département des incendies de New York) de la technologie anti-ralenti et d’énergie électrique rechargeable. La ville a également annoncé que le service de police avait reçu la première de ses 200 voitures de police hybrides et dévoilé la première borne de recharge rapide qui sera utilisée par divers véhicules de la flotte urbaine. Cette technologie permet de recharger complètement une berline électrique en 45 minutes, contre six heures pour les chargeurs traditionnels. "En 2000, la flotte ne disposait que de deux modèles de carburants de remplacement et aucun véhicule électrique rechargeable", a déclaré Keith Kerman, responsable de la flotte de véhicules à New York et sous-commissaire de DCAS. «Aujourd'hui, nous avons plus de 40 modèles de véhicules à combustibles alternatifs sur la route, y compris des véhicules électriques rechargeables, des VUS, des multisegments et des fourgonnettes, et nous nous attendons à ce que ces options continuent à se développer, incluant la flotte de camions. Plus tôt cette année, de Blasio a également signé un décret qui éliminera au moins 1 000 véhicules non électriques de son parc d'ici juin 2021, qui réduira le nombre de véhicules que les employés ramènent à la maison d'au moins 500 et remplacera 250 VUS par des véhicules électriques rechargeables. WASTE 360
Contribution: André H. Martel
La plupart des valeurs du secteur automobile, équipementiers compris, étaient en hausse sur les Bourses européennes suite à l’officialisation des négociations entre Renault et Fiat Chrysler Automobiles (FCA).
Dans la nuit de dimanche à lundi, FCA a rendu public sa proposition de « fusion entre égaux » faite aux dirigeants du groupe français, tandis qu’à l’issue d’une réunion tenue en urgence ce matin, le conseil d’administration de Renault a répondu qu’il avait « décidé d’étudier avec intérêt l’opportunité d’un tel rapprochement, confortant l’empreinte industrielle du groupe Renault et générateur de valeur additionnelle pour l’alliance [Renault-Nissan-Mitsubishi] », qualifiant la proposition du constructeur italo-américain d’« amicale ».
FCA propose une fusion des deux groupes en actions, sachant qu’elle serait précédée par le versement d’un dividende exceptionnel de 2,5 milliards d’euros aux actionnaires de FCA, afin de compenser l’écart de capitalisation boursière entre les deux groupes, défavorable au constructeur français. Au cours des six derniers mois, Renault a capitalisé en moyenne 15 milliards d’euros, contre 17,5 milliards pour FCA. En terme de gouvernance, FCA propose que l’opération soit menée via une société-mère établie aux Pays-Bas. A l’issue de la fusion, Exor, le holding de la famille Agnelli qui contrôle 29% de FCA, deviendrait le premier actionnaire à une quinzaine de %, tandis que l’État français verrait sa participation dans l’ensemble Renault-Fiat-Chrysler se réduire à environ 7,5%, contre 15% de Renault actuellement. Le conseil d’administration du holding serait composé à parité des deux groupes ; selon plusieurs sources citées par Dow Jones et Reuters, il serait présidé par John Elkann, actuel président d’Exor, tandis que le poste de directeur général serait occupé par Jean-Dominique Senard, actuel président de Renault. Les rapprochements dans l’automobile sont appréciés par les investisseurs s’ils renforcent la capacité des groupes à faire face à la nécessité d’investir très lourdement et à long terme dans les technologies du futur : motorisation électrique, conduite autonome, véhicule connecté et usine numérique. Les actions Renault et FCA se sont adjugés respectivement jusqu’à 16,7% et 19,5% en matinée. La composante automobile de l’indice Eurostoxx 600 a progressé de 3,5%. Seul en baisse, PSA (-4,3% au plus bas), qui fait office de grand perdant alors qu’il cherchait également à se rapprocher de FCA, dont il convoitait les parts de marché en Amérique du Nord. Un reportage de : Antoine Landrot L’AGEFI
Contribution: André H. Martel
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Une station de recharge de taxis électriques située à Shenzhen, serait devenue la plus grande station de recharge pour véhicules électriques du monde. La seconde phase de construction a été complétée cette semaine, avec l'ajout de 172 chargeurs rapides pour un total de 637.
Installée par la compagnie d'électricité chinoise Southern Power Grid (SPG), la station de bornes de recharge de Shenzhen est exploitée par SPG en collaboration avec la société publique Potevio et le plus grand fabricant de voitures électriques de Chine, la compagnie BYD, soutenue par Warren Buffet .
Selon les spécialistes de l'industrie chinoise, la station a la capacité de desservir près de 5 000 véhicules électriques par jour, en utilisant un total de 160MWh d'énergie en moyenne. La mission de la station est de recharger la flotte de taxis toute électrique de Shenzhen, qui consiste principalement en des voitures BYD e6, selon le South China Morning Post, soit environ 22 000 véhicules. Selon les informations, la station fonctionne depuis près de deux ans. Shenzhen, ville de 12,5 millions d’habitants, réputée pour ses hautes technologies, qui représente environ la moitié de la population de l’Australie, est la plus grande ville de Chine et la deuxième à faire passer sa flotte de taxis à des véhicules tout électriques. En effet, en 2016, Taiyuan, dans le nord de la Chine, est devenue la première ville de Chine à passer à une flotte de taxis 100% électriques. Le South China Morning Post a reconnu le leadership de Shenzhen concernant son réseau de transport public entièrement électrique incluant les bus et les vélos électriques.
Certains experts s'inquiètent de la quantité incroyable d'énergie requise par la station, mais il faut reconnaitre qu'en termes d'émissions de carbone, les véhicules électriques sont plus efficaces que les véhicules à combustion et présentent l'avantage d’améliorer la qualité de l'air dans la région où ils opèrent.
L'affirmation selon laquelle la borne de recharge de Shenzhen est la plus grande au monde est une défaite pour l'allemand Sortimo, qui s'était engagé l’année dernière dans un projet d'installation de 144 bornes de recharge à mi-chemin entre Stuttgart et Munich. Selon Sortimo, la station de Zusmarshausen, qui comportera 24 chargeurs rapides, lorsqu’elle sera complétée, pourra desservir jusqu'à 4 000 véhicules électriques par jour. The Driven
Contribution: André H. Martel
Sur terre, sur mer et dans les airs, la puissance de la batterie s’accroit pour permettre tous les types de transport.
Harbour Air De Havilland DHC-2 Mk III Beaver au départ de Vancouver, en Colombie-Britannique (Crédit: Harbour Air)
Le plus difficile de ces modes de transport est probablement le transport aérien. Il est plus difficile de faire voler plusieurs milliers de kilos de piles de batteries dans les airs et de les faire durer potentiellement une heure ou plus. Et, s’il manquent de jus, les pilotes ne peuvent simplement pas s'arrêter et se ravitailler ou se faire remorquer. Pourtant, c’est ce que le fondateur et PDG de Harbour Air, Greg McDougall, envisage pour sa flotte de 42 hydravions opérant à Vancouver, en Colombie-Britannique et à Seattle. La compagnie aérienne a annoncé en mars qu’elle envisageait de convertir l’ensemble de son parc à l’énergie électrique grâce à la technologie de MagniX, basée à Redmond, dans l’état de Washington, qui construit ses propres moteurs électriques pour aéronautique. MagniX retirera le moteur à essence de l'un des Beavers De Havilland DHC-2 Beavers de Harbour Air, dont certains ont plus de 50 ans, et le remplacera par son propre moteur mangni500 de 750 chevaux, évalué à 2 075 lb-pi de couple, pour effectuer des tests cet été, dans le but de convertir toute la flotte de Harbour Air en électricité pour dorénavant effectuer ses activités commerciales. On ne connait pas la taille de la batterie, mais MagniX a indiqué qu’elle utilisait des batteries à la fine pointe de la technologie, d’une capacité de 200 watt/heures par kilogramme (91 watt/heures par livre). Ces batteries permettront une durée de vol de 30 minutes et une réserve de 30 minutes. Cela signifie que les premiers hydravions convertis seront probablement exploités sur de courtes distances entre Vancouver et certaines îles périphériques de la Colombie-Britannique, qui représentent environ 70% de ses 30 000 vols par an. Les deux partenaires espèrent augmenter cette autonomie à 45 minutes de temps de vol pour un avion à pleine charge, voire même l’un des plus gros De Havilland DHC-6-200 Twin Otters à 18 passagers de Harbour Air, pour ses plus longues liaisons de Vancouver à Seattle. "Nous souhaitons repousser une fois de plus les limites de l'aviation en devenant le premier avion à propulsion électrique", a déclaré McDougall dans un communiqué. "Nous sommes ravis d'introduire l'aviation électrique commerciale dans le nord-ouest du Pacifique en transformant nos hydravions en ePlanes. ” Déjà Harbour Air s’était positionnée dès 2007 comme la première compagnie aérienne à adopter une politique de neutralité carbone en achetant des crédits de carbone pour compenser ses opérations. Jusqu'ici, les efforts en matière de vol électrique ont principalement consisté en des actions ponctuelles et sporadiques, que ce soient des tentatives pour battre des records ou des aéronefs visant un objectif unique, comme cet hélicoptère conçu pour livrer du sang à Los Angeles ou des drones pour la livraison de colis. Harbour Air n'est pas le seul à tenter de s'électrifier. Une startup israélienne appelée Eviation travaillerait sur son premier prototype entièrement électrique en France. Les efforts de Harbour Air sont toutefois les premiers effectués avec des hydravions. Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
Extraits d’un dossier de la Presse + concernant les facteurs de croissance de l’électro mobilisation au Québec.
Tous les facteurs favorisent la banlieue
Entrée privée, distance parcourue, possession de deux voitures, niveau de revenu, pont à péage : tous les critères sont en place pour faire des banlieues montréalaises de petits royaumes de la voiture électrique. Le contexte idéal de la banlieue « Il y a un peu un cercle autour de l’île », confirme Jean-François Morissette, de l’Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ). « Les gens dans les quartiers centraux utilisent moins leur voiture, donc c’est moins intéressant pour eux d’un point de vue économique. » Une question d’argent Le niveau de revenu semble aussi être un facteur déterminant dans le taux de pénétration actuel des voitures électriques, constatent les observateurs. L’impact d’un pont S’il fallait désigner une « capitale » des voitures électriques au Québec, ce pourrait être Terrebonne. Dixième ville du Québec pour la population, cette municipalité de la couronne nord de Montréal vient au quatrième rang de celles où l’on trouve le plus de voitures électriques ou hybrides rechargeables, derrière Montréal, Québec et Laval. Des surprises et des mystères Voici quelques constats significatifs tirés des données de la SAAQ. Peu nombreuses, mais en forte croissance Les voitures électriques restent marginales au Québec. À peine 0,7 % des voitures immatriculées étaient électriques ou hybrides rechargeables au 31 décembre dernier. Le rythme va toutefois en s’accélérant, et à bonne vitesse. En 2018, on en a vendu 14 734, selon les données de Transition énergétique Québec, soit 2,3 fois plus qu’en 2017. Et en 2019, le premier trimestre en a vu s’écouler 3,7 fois plus qu’à la même période en 2018. Un concessionnaire qui change tout Il se trouve, autour de Rawdon, dans Lanaudière, un îlot d’une demi-douzaine de municipalités où les taux de pénétration sont parmi les meilleurs au Québec. Pourquoi ? Tous les intervenants à qui l’on pose la question pointent dans la même direction : Bourgeois Chevrolet, le plus important vendeur de voitures électriques du Canada. Cas unique à Laval La municipalité a pourtant été l’une des rares au Canada, sinon la seule, à offrir à ses citoyens un programme de subventions qui s’ajoutait à celui du gouvernement provincial. Pendant un an, jusqu’au 30 avril dernier, la Ville a distribué 546 subventions de 2000 $ s’ajoutant aux 8000 $ offerts par Québec. Peu populaire en région Le sujet a maintes fois été abordé lors de la dernière campagne électorale provinciale : la voiture électrique n’est pas encore une favorite en région. Cela se perçoit dans les taux relativement faibles observés dans les principales villes de l’Abitibi, du Saguenay–Lac-Saint-Jean, de la Gaspésie, de la Côte-Nord ou de Beauce, par exemple. Les raisons sont multiples. D’abord, les bornes de recharge y sont ou y étaient, jusqu’à tout récemment, rares. « Le Saguenay, c’est assez isolé et il n’y avait pratiquement pas de bornes, note Jean-François Morissette. À part une couple de crinqués, les gens ne considéraient pas beaucoup la voiture électrique. Les installations récentes pourraient avoir un impact assez rapide sur les ventes. Il y a beaucoup de perceptions aussi. Même si c’est tout à fait faisable d’avoir une voiture électrique, les gens ont l’impression que non. » Le fait que la majorité des voitures électriques offertes et disponibles étaient des modèles compacts explique aussi ce retard dans des régions où les pick-up sont très populaires. « Tant qu’il n’y aura pas de pick-up électriques, on va sentir un retard. » La langue, un obstacle ? À première vue, les municipalités de Dorval, Pointe-Claire, Dollard-des-Ormeaux et Kirkland, dans l’ouest de l’île de Montréal, ont tout ce qu’il faut pour inciter leurs habitants à l’achat de voitures électriques : des résidences avec entrées privées, des résidants qui se servent régulièrement de leur voiture, en possèdent souvent deux et ont des revenus relativement élevés. Or, le taux d’adoption de la voiture électrique est inférieur à la moyenne québécoise. Gatineau oublié Autre mystère difficile à élucider pour les experts interrogés : les très faibles taux observés en Outaouais. Gatineau, en particulier, affiche un taux d’à peine 0,49 %, souvent moins de la moitié de celui de villes en apparence comparables comme Laval, Longueuil, Trois-Rivières ou Sherbrooke. Extraits d’un article dans la Presse + UN DOSSIER DE JEAN-FRANCOIS CODÈRE Avec la collaboration de Thomas de Lorimier et Michael Sanchez, La Presse La Presse +
Contribution: André H. Martel
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#semaineVE TRANSPORT 360° : Projet d’accompagnement des entreprises vers l’électrification de leurs transports26/5/2019
Une solution clé en main en 5 étapes! SUBVENTIONNÉE! Étape 1 : Soumettez votre candidature gratuitement en 3 minutes
https://fr.surveymonkey.com/r/Y6GNN7F)
LE SAMEDI 15 JUIN, des électromobilistes bénévoles de l’Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ) seront à Essais véhicules électriques - Sept-Îles et y offriront des essais gratuits de voitures électriques.
De retour cette année, Essais véhicules électriques – Sept-Îles est l’occasion de venir essayer gratuitement des véhicules électriques en compagnie des électromobilistes bénévoles de L'AVEQ. Le trajet de l’essai amènera les participants au stationnement du bureau de Tourisme Côte-Nord où sont situées deux bornes de recharge rapide à courant continu (BRCC) installées dans le cadre de la Phase 1 du projet de bornes électrique en Côte-Nord. ACTIVITÉ : Essais de voitures électriques par les électromobilistes bénévoles de l’AVEQ QUAND : Samedi 15 juin de 13h à 17h OÙ : Stationnement du Canadian Tire de Sept-Îles 402 Boulevard Laure, Sept-Îles, Qc, G4R 1X5 PRÉINSCRIPTION AUX ESSAIS : Site de la campagne Roulons Électrique Passez le mot sur FACEBOOK : https://www.facebook.com/events/468123437327592/
Vous ne pouvez pas aller à Sept-Îles?
Consultez notre CALENDRIER pour d'autres activités: https://www.aveq.ca/calendrier.html Faites appel à notre SERVICE DE JUMELAGE: L’AVÉQ vous offre en exclusivité la possibilité d'essayer le véhicule électrique de votre choix dans votre région, en compagnie de son propriétaire, et ce tout à fait gratuitement ! www.jumelage.ca
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
Si vous ne l'avez pas déjà dans votre appareil, c'est que vous n'êtes pas abonnés !
>> S'abonner et recevoir les épisodes automatiquement sur son téléphone ou tablette (C'est la meilleure méthode !) >> Écouter l'épisode ici, sur le site de l'AVÉQ >> Page archive des baladodiffusions
ATTENTION : CET ÉVÉNEMENT EST ANNULÉ.
LE JEUDI 20 JUIN, des électromobilistes bénévoles de l’Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ) seront à Terrebonne dans le cadre de l'Événement Électrique IGA Lachenaie pour y offrire des essais gratuits de voitures électriques. Ils tiendront également un kiosque d'information
ACTIVITÉ :
Kiosque d'information et Essais de voitures électriques par les électromobilistes bénévoles de l’AVEQ lors de l'Événement Électrique IGA Lachenaie QUAND : ATTENTION : CET ÉVÉNEMENT EST ANNULÉ. OÙ : IGA Extra Crevier Lachenaie 1115 Montée des Pionniers, Terrebonne, Qc, J6V 0E1 Vous ne pouvez pas aller à l’inauguration à Terrbonne? Consultez notre CALENDRIER pour d'autres activités: https://www.aveq.ca/calendrier.html Faites appel à notre SERVICE DE JUMELAGE: L’AVÉQ vous offre en exclusivité la possibilité d'essayer le véhicule électrique de votre choix dans votre région, en compagnie de son propriétaire, et ce tout à fait gratuitement ! www.jumelage.ca VE Passion a fait une comparaison sommaire entre différents modèles de VÉ L'article nous propose quelques éléments à considérer avant l'achat d'un VÉ. On y retrouve également un tableau comparatif à propos de différents modèles de VÉ et l'opinion de l'auteur sur quelques-uns de ces modèles.
L'AVÉQ milite depuis longtemps à l'établissement de ce programme d'incitatif aux propriétaires d'immeubles à logements afin d'offrir la recharge aux locataires. La recharge à la maison et au travail est depuis longtemps un dossier réglé à nos yeux, mais le casse-tête des condos et multi-logements doit être adressé rapidement, autant pour les immeubles existants que pour les nouvelles constructions.
Nous vous encourageons à consulter notre mémoire de Décembre 2017 page 7 à ce sujet, où nous sommes fiers de remarquer que le nouveau volet du programme Roulez Vert s'inspire fortement de la recommandation que nous avions nommé "Branché en ville". [Lien au mémoire de l'AVÉQ ici] Ceci est une excellente nouvelle que nous saluons, et qui démontre la proactivité du nouveau gouvernement avec lequel nous échangeons de manière régulière afin de faire avancer certains dossiers en électrification des transports qui trainent depuis de nombreuses années. Nous recommandons aussi de continuer le programme « Branché au travail » et la création d’un nouveau programme « Branché en ville » qui permettra aux propriétaires d’édifice à logement d’obtenir une subvention à l’achat et installation de bornes de recharge à l’intention de ses locataires. Une solution condo/multilogement doit être une priorité en ce moment, et ce type d’incitatif serait bienvenu. On pourrait viser 20%, donc un édifice avec 10 logements aurait droit à un incitatif pour 2 bornes de recharge achetées et installées.
QUÉBEC, le 24 mai 2019 /CNW Telbec/ - Dans la poursuite des actions déjà mises en place afin de soutenir le déploiement des véhicules électriques, le Gouvernement du Québec fait un pas de plus en ajoutant un nouveau volet au programme Roulez vert pour soutenir l'installation de bornes de recharge dans les bâtiments multilogements. Le ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, M. Jonatan Julien, en a fait l'annonce aujourd'hui lors de son passage au Salon du véhicule électrique de Québec. Pour l'occasion, il était accompagné du ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, M. Benoit Charette, ainsi que de Mme Dominique Deschênes, directrice générale des opérations et de l'innovation de Transition énergétique Québec.
Par l'entremise du programme Roulez vert, qui est administré par Transition énergétique Québec, les propriétaires d'un bâtiment multilogement comportant cinq logements ou plus ou les propriétaires d'un véhicule électrique dont le domicile est situé dans un tel bâtiment sont maintenant admissibles à une aide financière pouvant atteindre 5 000 $ pour l'acquisition et l'installation d'une borne de recharge de deuxième niveau (240 V). Le programme Roulez vert Ce nouveau volet du programme Roulez vert fait partie des mesures en transport du Plan directeur en transition, innovation et efficacité énergétiques du Québec. Rappelons que le programme, financé par le Fonds vert, offre de l'aide financière pour l'achat ou la location à long terme d'un véhicule électrique neuf ou d'occasion ainsi que pour l'acquisition et l'installation d'une borne de recharge à domicile ou au travail. Cette nouvelle aide financière permet ainsi d'adapter le soutien gouvernemental offert aux différents besoins afin de faciliter l'introduction des véhicules électriques. Citations : « Au Québec, on constate un engouement croissant des consommateurs pour les véhicules électriques. Notre gouvernement est fier de pouvoir annoncer ce nouveau volet. La transition énergétique est au cœur de notre plan d'action sur les changements climatiques et nous sommes convaincus que le type de mesures que nous annonçons aujourd'hui fera en sorte qu'en 2020 au moins 100 000 véhicules électriques rouleront sur nos routes. Cette nouvelle aide financière est un pas de plus pour soutenir les consommateurs à faire la transition vers le véhicule électrique.» Jonatan Julien, ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord « Pour assurer le succès de l'électrification des transports, nous devons faciliter l'accès à des bornes de recharge. Les bornes sont de plus en plus visibles près des immeubles de bureaux, des résidences et des commerces. Il faut qu'elles le deviennent maintenant dans les stationnements de nos multilogements. Avec l'ajout de ce nouveau volet au programme Roulez vert, notre gouvernement permettra à un plus grand nombre de Québécois de faire le choix d'un véhicule zéro émission et, par conséquent, de contribuer à l'amélioration de la qualité de l'air et à la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. » Benoit Charette, ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques « Transition énergétique Québec travaille activement à accélérer l'utilisation d'énergie à plus faible empreinte carbone dans le domaine du transport routier puisque celui-ci est responsable de 34 % des émissions totales de GES du Québec. L'acquisition d'un véhicule électrique est une option intéressante pour réduire et même éviter les émissions de GES. La disponibilité de la recharge est toutefois l'un des facteurs déterminants dans la prise de décision d'acquérir ce type de véhicule. Cet incitatif permettra de renforcer l'intérêt de la population pour l'acquisition d'un véhicule électrique. » Johanne Gélinas, présidente-directrice générale de Transition énergétique Québec Faits saillants : Transition énergétique Québec est une société d'État qui a pour mission de soutenir, de stimuler et de promouvoir la transition, l'innovation et l'efficacité énergétiques ainsi que de coordonner la mise en œuvre de l'ensemble des programmes et des mesures nécessaires à l'atteinte des cibles énergétiques définies par le gouvernement. Le Plan directeur en transition, innovation et efficacité énergétiques du Québec contient 225 mesures qui lui permettront, d'ici à 2023, d'améliorer son efficacité énergétique de 5 % et de réduire sa consommation de produits pétroliers de 12 % par rapport au niveau de 2013. L'ensemble des mesures qui sont contenues dans ce plan pourrait contribuer à une réduction des émissions de GES de l'ordre de 5,4 millions de tonnes équivalent CO2 (t éq. CO2). Le Plan d'action sur les changements climatiques, financé par le Fonds vert, vise à réduire les émissions de GES de 20 % sous le niveau de 1990, en plus d'améliorer la capacité d'adaptation de la société québécoise aux impacts des changements climatiques. Au 31 mars 2019, 41 527 véhicules électriques étaient immatriculés au Québec. Depuis sa création, plus de 74 000 participants ont bénéficié du programme Roulez vert pour l'acquisition d'un véhicule électrique ou d'une borne de recharge à domicile, ce qui représente une réduction des émissions de GES de plus de 96 000 t éq.CO2/an. Liens connexes : Pour en apprendre davantage sur le programme Roulez vert, consultez le site http://vehiculeselectriques.gouv.qc.ca/index.asp. Pour en apprendre davantage sur le Plan d'action sur les changements climatiques, consultez le site www.environnement.gouv.qc.ca/changementsclimatiques/plan-action-fonds-vert.asp. Pour en savoir davantage sur Transition énergétique Québec, consultez le www.transitionenergetique.gouv.qc.ca. Suivez Transition énergétique Québec sur : facebook.com/TransitionEnergetiqueQuebec/ twitter.com/TransitionTEQ linkedin.com/company/11320564 SOURCE Transition énergétique Québec Renseignements: Sources : Claude Potvin, Attachée de presse, Cabinet du ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, Tél. : 418 643-7295, Louis-Julien Dufresne, Attaché de presse, Cabinet du ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, Tél. : 418 521-3911 Information : Nathalie Desrosiers, Direction générale des affaires stratégiques, Transition énergétique Québec, Tél. : 418 627-6379, poste 8174, [email protected] Related Links http://www.transitionenergetique.gouv.qc.ca/ Nouvelles fournies par Transition énergétique Québec Mai 24, 2019, 10:45 ET CISION
Contribution: André H. Martel
Le premier salon du véhicule électrique du Québec se tient au Centre des foires Expocité du 24 au 26 mai 2019. L'AVEQ est évidement un fier partenaire de l'événement et assure la coordination et la réalisation des essais de véhicules pendant l'événement. Nos bénévoles sont sur place dès l'ouverture du salon pour répondre aux questions des visiteurs et les accompagner dans leur expérience électrique au volant des nombreux modèles disponibles pour les essais.
EXTRAITS D'UN ARTICLE DE PAUL-RAYMOND ROBERT, PARU DANS LE JOURNAL LE SOLEIL :
Pour la première fois à Québec, le Centre de foires d’ExpoCité sera l’hôte d’un Salon du véhicule électrique. Du vendredi 24 au dimanche 26 mai, il sera possible de voir de près la plupart des véhicules fonctionnant à batterie et pas seulement des automobiles. Le Salon du véhicule électrique de Québec (SVEQ) est le pendant du Salon du véhicule électrique de Montréal (SVEM), dont la troisième présentation s’est tenue au début du mois de mai à la Place Bonaventure. Les deux promoteurs du SVEM, Luc Saumure et Louis Bernard, se sont joints à la Corporation Mobilis, qui organise déjà le Salon international de l’auto de Québec et le Salon du camion lourd. «On voit bien que le véhicule électrique s’inscrit dans une tendance et qu’il y a une révolution qui se fait», affirme Charles Drouin, chef de la direction de la Corporation Mobilis. «Nous représentons les concessionnaires automobiles de la région de Québec et de certaines autres régions avoisinantes dont certains de nos membres offrent des voitures électriques. Ceux-ci voulant offrir un maximum de diversité à leur clientèle.» Cependant, le SVEQ n’exposera pas que des automobiles électriques. Le Salon touche à tout ce qui touche la mobilité électrique, dont des fournisseurs de produits comme des bornes de recharge ou des solutions solaires. «Nous sommes très heureux de la réponse. Nous avons 55 exposants très variés. Douze constructeurs automobiles seront aussi représentés, dont certains par des concessionnaires de la région», ajoute M. Drouin. Essais à l’intérieur Une des particularités du SVEQ et du SVEM, c’est que les essais se font sans avoir à sortir dehors. En ce qui concerne les essais de voitures, les départs se font d’une porte de garage du Centre de foire pour se terminer dans une autre. M. Drouin confirme qu’au moins 25 modèles de voitures différents seront disponibles, dont la Chevrolet Bolt, la Chrysler Pacifica PHEV, les Hyundai Ioniq et Kona, le Mitsubishi Outlander PHEV, la Nissan Leaf, les Tesla Model 3 et Model S, la Volkswagen e-Golf et le Volvo XC60 PHEV. Au moment que Le Soleil l’avait contacté, M. Drouin avait appris que le Jaguar I-Pace s’ajoutait à la liste. Et comme mentionné plus tôt, le SVEQ touche aussi aux autres moyens de transport électrifiés. Ces autres véhicules vont des vélos assistés aux scooters électriques, en passant par les trottinettes et les gyropodes (Segway). Conférences Pour ceux qui souhaitent en savoir plus sur le sujet, 36 conférences sur une douzaine de sujets différents seront données. Cela va de la recharge des véhicules (avec bornes directes ou par énergie solaire) jusqu’à l’acquisition des véhicules électriques et des coûts rattachés à ceux-ci. VOUS VOULEZ Y ALLER? Quoi : Salon du véhicule électrique de Québec Où : Centre de foires d’ExpoCité Quand : du vendredi 24 au dimanche 26 mai Heures d’ouverture : vendredi de 13h à 21h, samedi de 10h à 18h et dimanche de 10h à 17h Admission générale : 15 $; 10 $ pour les membres de CAA-Québec; gratuit pour les 12 ans et moins Internet : sveq.ca Source : Le Soleil Contribution : Louise Lévesque
Vous ne pouvez pas aller à Québec pour les essais ?
CONSULTEZ NOTRE CALENDRIER POUR D'AUTRES ACTIVITÉS: https://www.aveq.ca/calendrier.html PROFITEZ DE NOTRE SERVICE GRATUIT DE JUMELAGE: L’AVÉQ vous offre en exclusivité la possibilité d'essayer le véhicule électrique de votre choix dans votre région, en compagnie de son propriétaire, et ce tout à fait gratuitement ! www.jumelage.ca
MISE-À-JOUR: les statistiques de la SAAQ pour le trimestre (et le trimestre précédent) étaient incomplètes. Ce portrait mis-à-jour représente probablement mieux la réalité au 31 mars 2019, mais des erreurs dans les trimestres précédents peuvent fausser la progression que nous rapportons. Ainsi, la Nissan LEAF 2019 était absente des enregistrements sur au moins les deux derniers trimestres. Toutes ces voitures manquantes sont ajoutées pour le 1er trimestre 2019. L’AVEQ s’excuse des inconvénients, ce sont des éléments hors de nôtre contrôle.
En résumé, les principaux éléments mis à jour:
L'AVEQ vous présente son premier portrait trimestriel de l'électromobilité au Québec pour l’année 2019 basé sur les données d'enregistrement de véhicules électriques (VÉ) de la SAAQ en date du 31 mars.
Voici les données d’immatriculation au 31 mars 2019 :
Le nombre total de VÉ enregistrés au Québec a progressé d’un peu moins de 6% sur le trimestre, ce qui correspond à un ajout net de 3738 VÉ en trois mois, soit un important ralentissement par rapport aux trimestres précédents. D’autant plus qu’une partie de cette progression devrait sans doute être attribué au trimestre précédent. En absolu, c’est une progression plus élevée que l’ajout de 2610 VÉ durant la période correspondante l’an dernier, mais en relatif, c’est légèrement plus faible. Malgré cette progression un peu plus terne, en regardant les 12 derniers mois, le rythme de croissance annualisée demeure tout de même à 75%! Il est important de mentionner que le manque de détails concernant l’annonce du fédéral pour la subvention de voitures électriques dans le budget du 19 mars dernier a eu pour effet de pratiquement geler les ventes dans l’attente de détails supplémentaires. Connaissant maintenant les modalités du programme, on peut s’attendre à une explosion des ventes à partir du 1er mai.
La progression du nombre de VÉ se traduit par une moyenne de 1246 VÉ supplémentaires par mois durant le trimestre, soit environ 42 par jour. Le ralentissement de la progression nous rappelle que pour approcher 100 000 VÉ à la fin de 2020, il ne peut y avoir beaucoup de périodes creuses dans les ventes tel qu'on peut le voir sur la figure suivante. C’est en effet loin d’être gagné, quoique le rabais supplémentaire du fédéral viendra considérablement changer le portrait pour 2019.
Le tableau suivant présente en détails le nombre de véhicules enregistrés par modèle, le pourcentage que cela représente dans la flotte québécoise ainsi que leur progression au classement pour les 15 modèles les plus populaires :
La Chevrolet Volt demeure largement en première position, mais son poids relatif dans la flotte québécoise poursuit sa lente descente, étant maintenant à 24.6%. Malheureusement, la production ayant été arrêtée par GM pour ce modèle pionner, il faudra se résigner à voir cette position de leader passer à un autre plus rapidement qu’anticipé. Les paris sont donc ouverts, est-ce que la Nissan LEAF Plus saura rattraper la Volt?
En parlant de la Nissan LEAF, il faudra voir quel sera l’impact de l’arrivée de cette nouvelle déclinaison Plus dans les mois qui viennent. Cela permettra sans doute de donner un second souffle à cette nouvelle génération de la LEAF, dont les ventes au Canada, ralentisse par rapport à 2018. En ce qui concerne plus spécifiquement le Québec, elle se maintient évidemment au 2e rang des enregistrements, et voit une très importante progression sur le trimestre. Cependant, des données erronées qui ont été corrigées imputent l’ajout de toutes les LEAF 2019 au trimestre alors qu’elles se sont probablement ajoutées sur au moins trois trimestres. C’est donc dire que la progression de la LEAF avait été sous-estimée lors de l’année 2018. Après nos deux leaders historiques, il continue à y avoir une chaude lutte. En effet, le chassé-croisé entre la Chevrolet Bolt et la Toyota Prius Prime se poursuit, cette fois-ci à l’avantage de cette dernière (en comptant les quelques plug-in de première génération) qui repasse devant par 85 voitures! Cette lutte pour la 3e place du podium se jouera bientôt à trois, le Mitsubishi Outlander PHEV, qui complète le top 5, continue à s’approcher davantage du podium. Malgré un ralentissement, sa progression demeure équivalente à celle du marché. La Tesla Model S se retrouve désormais au septième rang, dépassé désormais par sa petite sœur la Model 3 qui franchit elle le cap des 2000 enregistrements. C’est donc dire que 4.7% de VÉ au Québec sont des Tesla Model 3, et ce en moins d’un an sur notre marché. À signaler également: la Hyundai IONIQ Électrique entre au top 10, la e-Golf de Volkswagen demeure en douzième place et la IONIQ Électrique Plus dépasse le Model X qui tombe en 16e place, mais tous deux se voient dépasser par le nouveau Hyundai Kona Électrique qui se retrouve déjà en 14e position avec 685 exemplaires enregistrés au 31 mars! Ceci constitue un nouveau record pour une entrée en scène, dépassant les arrivées fulgurantes du Model 3 et du Outlander PHEV. Est-ce que le rythme pourra se poursuivre durant le reste de l’année? Pour conclure sur notre top 15, il s’agit du même qu'au trimestre précédent, à l’exception du Kona Électrique qui remplace le Model X de Tesla. Quelques joueurs qui ont échangé de position et on compte encore 6 hybrides rechargeables versus 9 modèles entièrement électrique. Parions qu’avec l’avènement de nouveaux modèles et le rabais du fédéral, il y aura plus de mouvement la prochaine fois. Pour aller au-delà du top 15, les graphiques interactifs suivants illustrent la progression de l’ensemble des VÉ sur nos routes. Amusez-vous à faire vos propres comparaisons et analyses sur vos modèles préférés! Progression des différents modèles de Véhicule ÉlectriqueDepuis août 2014 Depuis leur arrivée sur le marché québécois
Quelques éléments à souligner dans ces graphiques:
En combinant tous les chiffres, on constate que la part des véhicules 100% électriques versus les hybrides rechargeables poursuit sa montée, s’établissant maintenant à 48.58%, un sommet. Alors que la Chevrolet Volt dominait outrageusement le paysage il y a quelques années, son arrêt de production vient passablement changer la donne. La tendance s’inversera-t-elle à nouveau comme on l’a vu dans le passé, où cette fois les voitures tout-électriques représenteront-elles prochainement la majorité des VÉ sur nos routes?
En plus de connaître le nombre de VÉ au Québec, il est intéressant de savoir où ils se trouvent. Voici, sans plus tarder, la compétition amicale de la progression de l'électrification dans les différentes régions et villes du Québec, où tout le monde peut gagner selon la façon de regarder les données :
Distribution géographique des Véhicules Électriques au Québec: Pourcentage de la flotte* Nombre par 10 000 habitants Nombre
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