Je ne suis pas un amateur de courses... Pire encore (et sacrilège), je ne suis pas un amateur de voitures. Je suis un amateur de voitures électriques, pour leur confort, silence, efficacité énergétique et bénéfices environnementaux. Bref, je ne suis pas un naturel au ePrix. Mais je dois avouer que l'événement à piqué ma curiosité et j'y suis allé...
Ce n'est pas comme si je connaissais ça les ePrix !
Il y a donc quelques mois, j'ai réservé 4 billets dans les gradins 5 en compagnie de mon ami François Viau et d'amis à lui. Je me suis dit que de vivre une course sur le site, pour une première à Montréal, ça valait surement l'investissement.
Je me suis donc préparé en deux étapes : A) m'informer le plus possible sur les course de formule E. Car je dois l'avouer, j'ai beau baigner dans les VÉ depuis les tous débuts, tel qu'expliqué plus haut, je ne suis pas un "naturel" quand vient le temps de parler de courses ! J'ai donc lu plusieurs articles sur le sujet sur notre site, puis je me suis tapé les règlements pour mieux comprendre (j'en ai d'ailleurs fait un résumé ici ). B) j'ai écouté la course de samedi à la TV afin d'avoir une idée du déroulement réel d'un tel événement. Je dois avouer, je suis embarqué totalement. La pré-course à RDS était pleine d'explications et d'information super pertinente (superbe job de RDS en passant !), et la course elle-même était excitante, même pour quelqu'un qui ne connait ni les pilotes, ni les écuries, ni même les stratégies.
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Source: FIA Formula E Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Après Paris, Berlin, New York et d’autres grandes villes du monde, la Roborace s’arrêtera à Montréal dans le cadre de l’Hydro-Québec Montréal ePrix, les 29 et 30 juillet prochains. Deux voitures de course autonomes, baptisées Robocar, offriront un spectacle unique au monde sur le circuit du centre-ville.
Pendant la course, les bolides ne requièrent aucune intervention humaine : c’est l’intelligence artificielle qui les fait rouler. Équipés de capteurs et de caméras, ces véhicules livrent une performance des plus impressionnantes en s’adaptant en temps réel aux obstacles du parcours. Quatre moteurs électriques, chacun d’une puissance de 300 kW, propulsent les voitures à une vitesse pouvant atteindre 320 km/h.
Au-delà de la course, cette voiture aux allures futuristes, une véritable innovation, permettra au public de constater les plus récentes avancées technologiques dans le secteur du transport. En effet, en plus de servir de plateforme de démonstration, la Roborace contribuera à changer les perceptions que la population a des véhicules autonomes, une véritable révolution pour la mobilité du futur. Encore une fois, le championnat de Formule E sert de formidable vitrine pour les véhicules de demain. Et l’Hydro-Québec Montréal ePrix montrera bien que l’avenir du transport est électrique, connecté… et autonome! Pour en savoir plus sur la Roborace, cliquez ici.
Source : Montréal c'est électrique
Contribution : Martin Archambault
Buddy et Barbara accompagnés de leur chien Piper se sont donné comme mission de traverser le Canada à bord de leur Chevrolet Bolt.
Contribution : Martin Archambault
À quelques semaines de l’événement Formule E FIA 2017 Hydro-Québec Montréal ePrix, notre partenaire, evenko, a dévoilé la programmation d’un week-end qui s’annonce électrisant. Les 29 et 30 juillet prochains, les rues de l’arrondissement Ville-Marie accueilleront des voitures de course entièrement électriques pouvant atteindre une vitesse de 225 kilomètres-heure! Simulateurs de course, réalité virtuelle, démonstrations et essai de divers modes de transport électrique, mini drones, prototypes de toutes sortes, spectacles et zone familiale sont au rendez-vous pour faire de cet événement un incontournable de l’été.
« Les deux courses de Formule E sont les points forts du week-end. Mais l’Hydro-Québec Montréal ePrix est beaucoup plus que des courses de bolides électriques », selon le directeur général de Montréal c’est électrique (MCE), Simon Pillarella. En effet, en plus de chapeauter la tenue de cet événement, l’organisme a pour mission de faire la promotion de l’électrification des transports dans la métropole. Avec toutes les activités éducatives et le spectacle que représente la Formule E, l’organisme croit que l’événement permettra de changer les perceptions face aux transports électriques et, ainsi, de faire tomber les barrières à leur adoption.
Une des activités à ne pas manquer est certainement la course amicale Téo Taxi entre le maire de Montréal, Denis Coderre, et le président d’honneur de l’Hydro-Québec Montréal ePrix, Alexandre Taillefer. Différentes zones du site s’animeront tout au long du week-end, dont la zone Montréal c’est électrique, qui présentera l’ensemble de l’offre de transport électrique urbain. Les visiteurs auront la possibilité d’essayer ou de voir une panoplie de véhicules électriques tels que des vélos et des trottinettes, pour en nommer que quelqu’uns. MCE fera également une place importante à la relève en présentant les projets en électrification des transports des écoles et des facultés de génie du Québec. De plus, des essais routiers offerts par le Circuit Électrique et organisés par Branchez-vous et CAA Québec, en collaboration avec le gouvernement du Québec, permettront aux participants d’essayer les voitures électriques actuellement disponibles sur le marché. Les visiteurs auront finalement la chance d’assister à des courses de la série Roborace, où rivaliseront des bolides électriques autonomes aux allures futuristes. Ce spectacle impressionnant permettra certainement de montrer les avancées en matière de véhicules autonomes et, ainsi, de favoriser leur adoption. À partir de 32 $ seulement, l’Hydro-Québec Montréal ePrix est un événement à ne pas manquer! Pour acheter des billets, cliquez ici Pour connaître la programmation complète, cliquez ici Pour consulter l’horaire de l’événement, cliquez ici Source : Montréal c'est électrique Contribution : Martin Archambault
Comme il n’y a pas meilleure personne pour présenter les voitures électriques que ceux qui en conduisent une, le rôle des bénévoles sera d’accompagner les gens lors d’essais routiers et de profiter du trajet pour expliquer la vie en VÉ.
Les représentants des compagnies seront à l’aire de départ des essais pour expliquer plus en détail leur modèle de voiture et les spécifications techniques. Pour des raisons logistiques, les bénévoles doivent venir pour les deux jours de 7h30 à 15h. Après 15h tout doit arrêter pour la course qui commence à 16h. En guise de remerciement, les bénévoles auront droit à un billet dans les gradins pour assister à la course. Les places sont limitées alors ne tardez pas à vous inscrire en écrivant à [email protected] Contribution : Martin Archambault
Merci à Alain Lanctôt de Volkswagen Centre-Ville pour les photos... La e-Golf est arrivée chez le concessionnaire...
Une seule a été reçue et elle est déjà vendue... D'autres sont actuellement en commande.
Source : Alain Lanctôt.
Contribution : Martin Archambault Projet pilote de navette électrique autonome (NÉA) au Parc olympique : un premier essai concluant26/6/2017
Le projet pilote de circuit de navette électrique autonome (NÉA) instauré sur le site du Parc olympique s'est avéré une réussite.
879 personnes ont utilisé la navette en seulement quatre jours de mise en service, soit du 6 au 9 juin derniers.
La NÉA Easymile, exploitée par Transdev, a ainsi parcouru un total de 82 km, à savoir 328 fois le parcours initial de 250 mètres, comprenant trois arrêts, soit du métro Viau à la Tour de Montréal, en passant par le Biodôme/Planétarium. Michel Labrecque, président-directeur général du Parc olympique, estime que ce projet pilote constitue un premier pas vers un service qui sera probablement offert aux visiteurs du Parc olympique et d'Espace pour la vie d'ici quelques années. Il affirme qu’un circuit éventuel de deux à trois kilomètres sera mis sur pied, ponctué de cinq à huit arrêts débutant, par exemple, à la station de métro Pie-IX pour poursuivre vers le Jardin botanique, l'Insectarium, le parc Maisonneuve, la Tour de Montréal, le stade Saputo ainsi que le stationnement P5 Viau, le Biodôme, le Planétarium, la station de métro Viau, l'entrée du Stade olympique et les stationnements situés sur l'avenue Pierre-De Coubertin, avant de revenir à son point de départ. Le chef de la direction de Transdev Canada, M. Dominique Lemay, souhaite quant à lui avoir la chance de renouveler l’expérience dans le futur. Il a déclaré que les résultats et les commentaires recueillis démontrent bien l’engouement pour ce type de véhicule. Le Parc olympique entend poursuivre sa réflexion en matière de transport durable sur son site au cours des prochains mois. Des actions en ce sens sont également inscrites au Plan de développement durable 2016-2020 de la Régie des installations olympiques, dont l'un des objectifs est d'accroître l'accessibilité aux services, aux lieux d'emplois ainsi qu'aux territoires par des pratiques et par la planification intégrée de l'aménagement du territoire et des transports durables.
Source : Newswire
Contribution : Naïma Hassert Plus de 400 bornes sur rue à Montréal cette année, et des BRCC en grand nombre dès 2018 [MàJ]22/6/2017
Montréal désire se doter d'un réseau de 1,000 bornes de recharge sur rue d'ici 2020, via le réseau du Circuit Électrique,. Déjà, on retrouve 150 bornes en fonction sur le territoire, et on doit en retrouver 400 d'ici la fin de l'année. Toutes les bornes sur rue sont des stations double du fabricant AddÉnergie offrant un câble suspendu, et proposant une tarification de 1$/h plus les frais de stationnement. On souhaite offrir une distribution équitable à travers les différents arrondissement.
Certains aspects techniques ont un impact sur le choix des sites d'installation afin d'en contenir les coûts, qui varient entre 20,000 et 25,000$ par site incluant l'acquisition de la borne double. Il faut s'assurer que la borne est à proximité d'un point d'accès au réseau d'Hydro-Québec, et que la puissance nécessaire est disponible dans le puit d'accès. De plus, on ne peut retrouver des infrastructures sous le sol, et la station ne doit pas être obstruée par des arbres ou d'autres éléments urbains qui empêcherait l'électromobiliste de l'identifier. Les considérations esthétiques signifient aussi qu'on ne retrouvera pas de bornes rapides sur rue, mais bien sur des terrains municipaux.
Dans la dernière année, l'utilisation des bornes sur rue a augmenté proportionnellement au nombre de nouveaux VÉ enregistrés à Montréal, alors qu'on constate mensuellement 1,250 recharges depuis ce printemps, d'une durée moyenne de 2h30. Ces bornes sont utilisées à 40% par des Montréalais.
Le déploiement d'un réseau de bornes à recharge rapide sera complété en 3 phases, avec près de 30 BRCC prévues sur l'ile de Montréal. La première phase aura lieu en 2018 avec 4 bornes (points bleus), suivie d'une deuxième phase de 12 BRCC en 2019 et une dernière (14 BRCC) en 2020. À noter qu'une BRCC est prévue à La Ronde lors de cette dernière étape.
23 juin 2017 Mise à jour: 2 sites de BRCC seraient fonctionnels dès 2017. Source: Ville de Montréal Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Samedi le 17 juin avait lieu l’événement «Ça roule au bord de l’eau» de Saint-Anne-de-Bellevue. L’équipe de l’AVÉQ Montréal était présente avec plein de nouveaux bénévoles de Montréal, les habitués et des renforts des régions pour montrer et faire essayer nos superbes voitures toutes bien reluisantes pour l’occasion.
.La rue Sainte-Anne était fermée sur 1km pour que les gens fiers de leurs voitures puissent les exposer à un public de curieux très nombreux. Ainsi, les belles d’autrefois côtoyaient des dragsters, les voitures modifiées et les voitures ornées peintures originales. Nous avions un coin tout à nous, juste en face de l’hôtel de ville au bord de la rivière sous un soleil magnifique. Des centaines de curieux ont pu voir nos voitures de près, poser toutes leurs questions à nos bénévoles passionnés et certains ont même osé les essayer.
Trois voitures se sont démarquées lors de l’événement: la BWMi8 d’Amir qui est venu d’Ottawa pour participer à son premier événement! Il a laissé des dizaines de personnes s’asseoir au volant pour une photo souvenir et des centaines se prendre en photo à côté de la voiture. Il y a eu la Tesla de Louis, que dire de plus, une Tesla, ça impressionne toujours. Mais la mention la plus surprenante a été la Smart d’Andreea qui a remporté un vote pour le concours de la voiture coup de cœur. Il faut dire qu’avec ces jolis cils, elle a de quoi faire craquer bien des gens. Cet événement a été l’occasion d’initier plein de nouveaux bénévoles à nos événements notamment Éric, Emmanuel, Luce, Alice, Amir, Anie, Ian, Jacques, Ana, et de revoir nos vieux de la vieille: Christine, André, Éric, Didier, Corinne, Andreea, Alain, Yannick et Louis. Encore une belle journée à parler voiture qui aurait été impossible sans toute cette belle gang de passionnés!
Source : Corinne Tastayre - déléguée régionale / AVÉQ Montréal
Contribution : Martin Archambault Le 17 juin se tiendra l’exposition des voitures anciennes et modifiée dans le magnifique village de Sainte-Anne-de-Bellevue et l’AVÉQ y participera dans sa nouvelle zone réservée aux voitures électriques, tout près de la marina.
Bien plus qu’un simple circuit de course, le championnat de Formule E de la FIA s’inscrit au cœur de la révolution électrique en cours dans l’industrie automobile. Il porte la mission de catalyser le virage électrique qui contribuera à créer une société viable pour les générations à venir. Véritable laboratoire expérimental, il ouvre grand les portes de la mobilité durable à un avenir où tous les véhicules seront propulsés à l’électricité.
Depuis ses débuts, la course automobile fait figure de formidable banc d’essai technologique pour l’industrie automobile. Elle l’a été pour les moteurs à essence, et elle l’est maintenant pour les véhicules alimentés à l’électricité. Dans le cadre du championnat de Formule E, 10 équipes se disputent la victoire, et cette rivalité les oblige à redoubler d’ingéniosité pour créer et développer les meilleures technologies qui soient. Une fois celles-ci élaborées et testées, elles peuvent enfin être récupérées dans les véhicules grand public et améliorer du même coup le transport électrique dans le monde entier.
« Chez nous, l’arrivée de la Formule E représente une formidable occasion de promouvoir les véhicules électriques dans la région métropolitaine, tout en affichant au reste du monde notre volonté de devenir la capitale nord-américaine de l’électrification des transports. La Formule E contribuera à changer la perception des Montréalais à l’égard des véhicules électriques et à accélérer la transition vers une mobilité durable. Nous en avons la ferme conviction », Simon Pillarella, directeur général de Montréal c’est électrique. Les changements climatiques, la pollution urbaine et la production durable d’énergie sont des enjeux planétaires. La Formule E veut jouer un rôle pour faire partie de la solution en permettant à un plus grand nombre de personnes d’accéder à la mobilité électrique en rendant celle-ci plus efficace et plus abordable. Source : Montréal c'est Électrique Contribution : Martin Archambault
La Formule E se positionne comme la référence en organisation d’événements de course automobile socialement responsables. Le circuit vise à obtenir la certification ISO 20121 pour l’ensemble du championnat dès l’an prochain, un standard que seuls quelques événements d’envergure, comme les Jeux olympiques à Londres et à Rio, sont arrivés à respecter. La course de FE de Montréal sera conforme à la norme ISO en 2018, atteignant du même coup les plus hauts standards en matière de gestion événementielle durable.
Sur la piste, les efforts se multiplient pour ouvrir de nouveaux horizons au sport automobile :
Cap sur la carboneutralité La Formule E a pour objectif que ses courses automobiles, ainsi que toutes les activités qui les accompagnent, soient les premières à devenir entièrement carboneutres, dès la saison 2018-2019. L’énergie renouvelable au centre des préoccupations Le championnat aspire à alimenter tous ses événements à l’énergie renouvelable. Pour le moment, les voitures sont rechargées par des générateurs fonctionnant à la glycérine, un bio carburant renouvelable ne générant aucune émission. À Montréal, comme nous avons accès à une énergie renouvelable à 99 %, l’hydroélectricité, la recharge se fera directement à partir de l’infrastructure existante. Rouler responsable jusqu’au bout Toutes les voitures du circuit sont équipées de pneus hybrides conçus par Michelin et adaptés à toutes les conditions climatiques. De plus, ces pneus n’ont pas à être changés pendant la course et sont recyclés à la fin de leur vie utile. Un circuit pensé pour les citoyens La Formule E est un championnat de course urbain : il se déroule au cœur de grandes villes afin d’amener la course aux fans, et non l’inverse. Les spectateurs et participants sont fortement encouragés à utiliser un mode de déplacement actif ou les transports collectifs pour se rendre sur les lieux. Un calendrier intelligent Le calendrier du championnat est bâti de manière à limiter au minimum l’empreinte carbone des événements. Ainsi, pour déplacer le matériel et les infrastructures d’une région à l’autre, on optimise le moyen de transport le plus durable, soit le cargo par voie maritime et terrestre. Ce n’est pas un hasard si les courses de New York et de Montréal ont lieu l’une à la suite de l’autre! Pour accéder au rapport de développement durable de la FIA Formule E, cliquez ici.
En 2013, les organisateurs de la Formule électrique ont mandaté la firme EY de produire une étude qui quantifierait la valeur potentielle globale du championnat à la croissance du marché des véhicules électriques (VE). Principale constatation de l’étude : la FE contribuerait de façon significative à faire tomber les barrières à l’adoption des VE et créerait une externalité positive pour la collectivité.
Ce constat découle principalement de l’impact à long terme du championnat sur l’augmentation du taux de pénétration du VE. Les effets positifs comprennent l’accélération de la recherche et du développement, la mobilisation sociale et politique autour des enjeux environnementaux du transport et la formation de partenariats qui aideront les villes à développer les infrastructures nécessaires à la transition vers une mobilité plus durable. C’est sans compter les nombreux autres bienfaits pour la société comme la réduction des coûts sur le système de santé et de la consommation d’hydrocarbures, de même que de la pollution qui en découle.
De manière plus précise, l’étude a modélisé l’impact du championnat de FE pour le projeter sur une période de 25 ans (2015-2040), et permet d’envisager les résultats suivants : • Des ventes supplémentaires de 77 millions de véhicules électriques dans le monde. • Une réduction de 900 millions de tonnes de CO2, soit l’équivalent des émissions de l’Italie pendant deux ans. • Des économies de 25 milliards d’euros en soins de santé et en gain de productivité grâce à la réduction de la pollution. Selon cette étude, le championnat pourrait avoir un effet structurant à moyen ou long terme pour attirer des investissements en mobilité durable. C’est exactement le positionnement que vise Montréal, et la FE contribuera fortement à bâtir cette notoriété. Pour en savoir plus sur l’étude, cliquez ici. Source : Montréal c'est électrique. Contribution : Martin Archambault
Durant la fin de semaine du 26 au 28 mai dernier, Montréal a accueilli le premier Salon dédié aux véhicules électriques du Canada. Les visiteurs ont pu en apprendre davantage sur les véhicules électriques et leur industrie et même prendre le volant des modèles qui les intéressent.
Plusieurs constructeurs automobiles étaient sur place et ont exposé leurs plus récents modèles verts, comme la Tesla Model X, la Hyundai Ioniq ou la Chevrolet Bolt. Même des marques de prestige comme Porsche et Volvo étaient de la partie. Mais ce n’est pas tout : le Salon du véhicule électrique accueillait plusieurs autres moyens de transport électrifiés, comme des bateaux, des motos, des vélos, des planches à roulettes et des triporteurs électriques. Au total, le Salon a compté une soixantaine d’exposants ainsi que de 30 conférences tout au long de la fin de semaine.
Un projet-pilote de 4 millions $ du côté du gouvernement provincial Le Salon a aussi été l’occasion pour le gouvernement du Québec d’annoncer son projet-pilote doté d’une enveloppe de 4 millions $ pour encourager l’achat de véhicules électriques d’occasion pour les automobilistes québécois. L’aide accordée pour l’achat ou la location d’un véhicule électrique d’occasion neuf pourra atteindre 4000 $, soit la moitié de ce qu’on alloue pour l’acquisition d’un véhicule électrique neuf. Ce projet-pilote s’inscrit dans le Plan d’action en électrification des transports, qui ambitionne que d’ici trois ans, 100 000 véhicules électriques roulent sur les routes au Québec. Les véhicules admissibles devront notamment être achetés ou loués pour un minimum de 36 mois auprès d’un concessionnaire basé au Québec. De plus, les véhicules devront être immatriculés pour la première fois au Québec lors de la transaction.
Une stratégie nationale des véhicules zéro émission du côté d’Ottawa
De son côté, le gouvernement fédéral a fait connaître son intention de mettre en place d’ici l’an prochain une stratégie nationale visant à augmenter le nombre de véhicules zéro émission (VZE) circulant sur les routes du pays. Un comité consultatif de 22 membres composé de gens provenant de l’industrie, mais aussi de groupes voués à la protection de l’environnement participera à l’élaboration de cette stratégie, ainsi que des ordres de gouvernement. Le ministre des Transports du Canada, Marc Garneau, reconnaît que pour augmenter le nombre de véhicules zéro émission (VZE) en circulation, la seule sensibilisation du public ne suffira pas. Il faut aussi, dit-il, « que les manufacturiers de véhicules électriques les rendent plus disponibles ». Toutefois, même si le comité consultatif rendra les conditions plus favorables pour des gens qui voudraient acheter un VZE, il ne suivra pas l’exemple du Québec en obligeant les fabricants d’automobiles à vendre un minimum de voitures électriques. En effet, dès l’année-modèle 2018, 3,5 % des voitures vendues dans la province devront être électriques. Le nombre augmentera à 15,5% en 2025. Ottawa a déjà prévu 62,5 millions $ en 2016 et 120 millions $ cette année pour développer l’infrastructure de recharge des véhicules électriques, mettre en place des postes de ravitaillement en carburant de remplacement comme le gaz naturel et l’hydrogène ainsi que réaliser des projets de démonstration. Au Canada, seulement 0,56 % des véhicules vendus l’an dernier étaient électriques. Au Québec, ce chiffre s’élevait à près de 1 %.
EXCLUSIVITÉS AVÉQ
PRIMEUR : Les dates du salon pour 2018 : du 20 au 22 avril. Le salon a eu une excellente couverture médiatique:
Contribution : Naïma Hassert et Martin Archambault
Sources : Journal de Montréal, TVA Nouvelles, Radio-Canada, ,Global News, Louis Bernard
À titre de nouvel acteur de la promotion des moyens de transport durables, Montréal c’est électrique (MCE) annonce sa présence comme partenaire du premier Salon du véhicule électrique de Montréal (SVEM). Cet événement, qui se tiendra à la place Bonaventure du 26 au 28 mai, permettra au public de découvrir, d’essayer et de comparer la variété de produits ainsi que les récentes innovations en matière de mobilité électrique.
« La tenue du salon soutient les efforts de sensibilisation et d’éducation nécessaires pour faire tomber les barrières à l’adoption des véhicules électriques, comme c’est le cas avec la Formule électrique, l’activité phare de notre organisme. Ce partenariat nous semblait naturel comme nous partageons une mission similaire au SVEM », tient à souligner Simon Pillarella, Directeur général de MCE.
Éric Martel, PDG d'Hydro-Québec, débutera les activités de la cérémonie d’ouverture avec une allocution sur le thème de la Révolution électrique dans le monde du transport. Une prise de parole à ne pas manquer à notre avis ! MCE partagera un kiosque avec la Ville de Montréal durant les trois jours afin d’y présenter la programmation entourant l’Hydro-Québec Montréal ePrix, ainsi que les différentes initiatives prévues en électrification des transports dans la métropole. De plus, quinze paires de billets pour assister aux activités de la Formule Électrique le 29 et 30 juillet prochain seront à gagner sur place. À propos de Montréal c’est électrique Montréal c’est électrique (MCE) est un organisme à but non lucratif qui fait la promotion de l’électrification des transports et de son implantation dans la grande région métropolitaine. Une des activités pour y parvenir sera la présentation de la finale du Championnat de Formule E de la FIA au Canada, dont MCE sera le promoteur exclusif. Au-delà de la course, MCE élaborera une programmation annuelle avec les partenaires de l’industrie. Ensemble, ils viseront à mettre en valeur le potentiel des transports électriques, à mieux informer la population et à favoriser la mise en réseau. Source : MCE Contribution : Martin Archambault
Une longue bataille qui se déroulait à Montréal entre deux compagnies d’autobus internationales ayant un penchant vers la mobilité électrique autonome, Keolis et Transdev, a finalement pris fin. Keolis a été choisie pour déployer son minibus électrique autonome. Elle va tester sa navette Navya pendant un an dans des conditions réelles.
La vice-présidente et agente de commercialisation de Keolis Canada, Marie-Hélène Cloutier, a confirmé que le projet-pilote d'une année permettra de tester la navette Navya électrique autonome dans les conditions hivernales sur un itinéraire d'un kilomètre, avec de vrais passagers et en environnement réel dans la ville de Terrebonne. C'est aussi un timing parfait puisque la conférence de l’Union Internationale des Transports Publics (UITP) commence là.
La Keolis Navya électrique autonome La Navya de Keolis électrique autonome sera utilisée dans un quartier vert et branché appelé Urbanova, qui est lui aussi un projet en soi. Clean Technica a déjà écrit sur un projet de Keolis à Las Vegas, qui se déroule actuellement entre Las Vegas Boulevard et la 8ème rue. Mais au Canada, les projets dureront plus longtemps et feront partie de la carte de transport générale de Keolis.
La navette électrique autonome Keolis Navya reliera les résidents à la gare routière principale, également dirigée par Keolis. Cette phase d’essai se déroulera dans un environnement idéal pour ce type de système de mobilité. La mise en œuvre dans le monde réel est le meilleur moyen de tester sur le terrain un produit et sa technologie de conduite autonome relativement nouvelle. Étant donné que la période d'essai durera un an, le constructeur et les opérateurs de systèmes d’autobus pourront évaluer les navettes électriques autonomes dans toutes sortes de conditions climatiques, des hivers froids aux périodes d'été plus chaudes.
La Keolis Navya électrique autonome, techniquement parlant
La Navya autonome pourra transporter 15 passagers à une vitesse maximale de 25 km / h, bien qu'elle soit capable d’aller jusqu'à 45 km / h. En ce qui concerne la société, Navya a reçu de sérieux investissements de Robolution Capital, de CapDecisif Management du Fonds régional de co-investissement de la Région Île-de-France, et de la société de portefeuille GRAVITATION, un groupe d’investisseurs providentiels et d’employés de l'entreprise. Mais l'autre société, Transdev, n'a pas abdiqué. Elle a commencé à tester sa propre navette électrique autonome, appelée EasyMile, le 12 mai sur l'esplanade du Stade olympique à Montréal. Cependant, sa phase de test ne durera que quelques semaines.
Les projets Navya et EasyMile sont en cours sur le plan international. Le projet Navya suit les traces d’un autre succès à Lyon, en France, appelé projet Confluence, où deux navettes autonomes Navya ont également été mises en place dans un scénario de test réel avec des passagers depuis septembre 2016. Ce qui est particulièrement intéressant dans ce projet, c'est que la Navya autonome électrique conduisait parmi les camions, les voitures, les cyclistes et les piétons sans incidents.
Selon Patrick Gilloux, président et chef de l'exploitation de Keolis Canada: « Le Sommet de l'UITP est le moment idéal pour présenter le produit, qui offre une solution pour les étapes initiale et finale d'un voyage. […] Nous croyons que les véhicules électriques représentent l'avenir du transport en commun, et nous sommes ravis d'avoir l'occasion de tester ce nouveau véhicule autonome en tant que première canadienne. L'enthousiasme pour le projet est déjà contagieux. » Et Christophe Sapet, PDG de NAVYA, a ajouté: « Nous attendons avec impatience la démonstration montréalaise de ce produit, qui est une réponse viable aux problèmes rencontrés aujourd'hui par les villes, soit la congestion, la pollution et le stationnement. »
Il est évident qu'il y a une place pour les navettes autonomes électriques et que Keolis Navya et EasyMile de Transdev participent à façonner le paysage du transport en commun de demain.
Contribution : Naïma Hassert
En marge de la première édition du championnat de Formule E au Canada, qui se déroulera les 29 et 30 juillet prochain, Montréal accueillera le FIA Smart City 2017 la veille de la première course.
Cette initiative, pilotée par la Fédération internationale de l’automobile (FIA), permettra à Montréal, au côté de Mexico et Berlin, de faire partie des villes ayant été choisies pour la première édition de ce prestigieux événement.
Selon le Président de la FIA, Jean Todt, l’événement FIA Smart City permettra de « proposer une initiative à même de réunir les meilleurs aspects de la mobilité durable et mettre à l’honneur les villes accueillant les manches du Championnat de Formule E de la FIA ». « La FIA a choisi la FE comme partenaire de l’événement ce qui fait en sorte qu’il se tiendra sur le site de la course le 28 juillet prochain. Nous sommes heureux d’accueillir FIA Smart City 2017, qui complémentera parfaitement la programmation de l’événement », Simon Pillarella, Directeur général de Montréal c’est électrique. Le FIA Smart City 2017 propose trois volets: Fia Smart Cities: sous forme de conférences et de panels, qui réuniront des experts, décideurs et acteurs du milieu de la mobilité durable. La programmation et les invités seront annoncés sous peu. FIA Smart Cities Awards : concours invitant les villes participantes au championnat de FE à présenter des initiatives en mobilité durable. Le gagnant sera couronné à Montréal dans le cadre du gala de fin de saison du championnat. FIA Smart Cities Startup : concours de start-up qui permettra au gagnant d’obtenir un investissement minimal de 100 000 dollars américains, afin de stimuler l’innovation vers des villes plus durables. Les détails suivront au cours des prochaines semaines. Pour en savoir plus sur l’événement, visitez le site de FIA Smart City : http://www.fia.com/fia-smart-cities Contribution : Martin Archambault
Après quelques délais, la Société de transport de Montréal (STM) ouvre graduellement au public les trois autobus 100% électriques de la ligne 36 Monk à partir de mercredi.
Les autobus étaient testés depuis le début de l’année avec des sacs de sable simulant des passagers. Imaginés à partir d’un châssis d’autobus standard de la marque Nova Bus, les trois prototypes roulent uniquement à l’électricité et se rechargent à chaque bout de ligne par le toit grâce à un système de biberonnage, une méthode de recharge par induction où les bras électriques se déploient au-dessus de l’autobus à l’arrêt pour le recharger par le toit.
«Aujourd’hui, il ne s’agit pas juste de la mise en service de trois autobus électriques, il s’agit du début d’une transition vers l’électrification complète des autobus de la STM», a déclaré le maire Denis Coderre en conférence de presse mardi. Malgré quelques retards liés notamment à la complexité du projet (le tiers des 10 000 pièces du bus sont nouvelles), celui-ci est jusqu’ici un succès d’après la STM. Cinq minutes de recharge en bout de ligne permettent à l’autobus de parcourir les 10 kilomètres que comptent la ligne 36-Monk. Malgré tout, François Chamberland, responsable de l’ingénierie à la société de transport ne croit pas que toute la flotte sera équipée de ce type d’autobus en 2025, année à partir de laquelle la STM compte acheter uniquement des véhicules électriques. «Dans le domaine du transport, le one bus fits all, c’est dépassé», a-t-il déclaré lors du Sommet mondial des transports publics qui se tenait à Montréal la semaine dernière. À l’émission Découverte, M. Chamberland avait souligné que les temps de recharge similaires pour les 1400 autobus de la STM feraient perdre 10% de productivité à la société de transport. Le temps perdu en recharge devrait être comblé par l’achat de près de 250 autobus supplémentaire, ce qui impliquerait aussi d’embaucher plus de chauffeurs et de construire plus de lieux d’entreposage. Bref, les gains en carburant et en entretien, seraient complètement annihilés par ces nouvelles contraintes. Une opinion partagée par Philippe Schnobb, président de la STM. «Ce projet pilote est inclus dans un programme plus vaste, Cité Mobilité, où différentes villes testent différentes technologies afin de voir lesquelles correspondent le mieux à leurs besoins opérationnels. À terme, il y aura peut-être plusieurs technologies qui cohabiteront», a-t-il déclaré en conférence de presse. L’autobus 100% électrique de Nova Bus a été développé à Saint-Eustache. Certaines pièces sont déjà utilisées en Suède par Volvo, entreprise qui possède Nova Bus, mais le moteur a été conçu par TM4, une filiale d’Hydro-Québec installée à Boucherville. Des éléments de sécurité ont été ajoutés à la demande de la STM, dont de petits haut-parleurs extérieurs qui émettent un léger sifflement pour éviter de surprendre les piétons et les cyclistes, car l’autobus n’émet quasiment aucun bruit. Source : Journal Métro Contribution : Martin Archambault
« Montréal désire se positionner en tant que ville durable et à l’avant-garde des nouvelles technologies en capitalisant, entre autres, sur l’électro-mobilité et le transport intelligent. Cet événement, qui représente bien plus qu’une course, sera une formidable occasion d’éduquer le public, de faire la promotion des transports électriques et de démontrer comment ils révolutionneront les déplacements quotidiens », selon Simon Pillarella, directeur général de l’organisme.
À travers la course, MCE cherche à mieux faire connaître les modes de transport électrique et à démontrer au reste du monde l’ambition de la métropole de devenir un leader nord-américain en la matière. Le championnat fait partie intégrante de la révolution que vit actuellement l’industrie vers l’électrification des transports et sert de laboratoire d’essai pour accroître l’autonomie des véhicules électriques, les rendre plus abordables et mettre de l’avant « l’automobile de demain ». Cet événement de renommée mondiale représente une opportunité exceptionnelle d’attirer l’attention des citoyens et des médias sur les enjeux environnementaux et climatiques liés aux transports. La venue de cette course 100% électrique permet à la ville de Montréal de lancer le message que la transition vers une mobilité plus durable est amorcée et que la métropole entend jouer un rôle de premier plan pour accélérer ce changement. À propos de Montréal c’est électrique Montréal c’est électrique (MCE) est un organisme à but non lucratif qui fait la promotion de l’électrification des transports et de son implantation dans la grande région métropolitaine. Une des activités pour y parvenir sera la présentation de la finale du Championnat de Formule E de la FIA au Canada, dont MCE sera le promoteur exclusif. Au-delà de la course, MCE élaborera une programmation annuelle avec les partenaires de l’industrie. Ensemble, ils viseront à mettre en valeur le potentiel des transports électriques, à mieux informer la population et à favoriser la mise en réseau. Source : Coralie-Jade Fournier Contribution : Martin Archambault
Une navette électrique complètement autonome sera mise en service pendant une année entière à Terrebonne, en banlieue de Montréal, dès cet automne. Encore faudra-t-il que Québec donne le feu vert.
Le projet, mis en branle par le transporteur Keolis et le constructeur de véhicules autonomes Navya, se déroulerait dans le secteur résidentiel Urbanova, choisi pour sa vocation écologique. Le véhicule transporterait les résidents jusqu’à un arrêt d’autobus et les reconduirait chez eux à la sortie du bus en fin de journée. Keolis pourra ainsi tester le comportement du véhicule sans conducteur sur un tracé de 1 km, en milieu habité et avec de vrais passagers, et ce, à l’année longue, c’est-à-dire même dans la neige, le froid et sur des chaussées glacées. L'annonce survient après plusieurs semaine de bataille de visibilité entre Keolis et Transdev. Peu après que Transdev ait volé la « première canadienne » de Keolis et Navya en procédant à des essais d'une navette autonome trois jours avant son concurrent, c'est Keolis qui a eu le privilège d'accueillir à bord de la navette Navya le ministre du Développement durable, de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, David Heurtel. Quelques heures plus tard, Transdev annonçait que sa navette Easymile ferait des essais routiers pendant une semaine au Parc olympique. Finalement, Keolis a répliqué avec l'annonce de ce projet-pilote d'un an à Terrebonne. Si le projet se réalise, toutefois, ce ne sera pas la première fois qu’un véhicule autonome roule dans des conditions hivernales. En effet, une navette de Navya a roulé l’hiver dernier sur un campus de l’Université du Michigan avec succès, selon la vice-présidente de Keolis, Marie-Hélène Cloutier. Celle-ci souhaite plutôt comparer l’expérience de Terrebonne avec le projet Confluence à Lyon, en France, où deux navettes Navya ont été mises en service depuis septembre 2016, dans un secteur mixte où se côtoient des camions, des automobiles, des cyclistes et des piétons.
Source : La Presse
Contribution : Naïma Hassert
Comme chaque année la Chambre de commerce du Montréal Métropolitain organise un forum, cette année le 12 mai prochain nous tenons un événement sous le thème des transports qui pourrait intéresser nos membres.
joignez-vous à des représentants de la communauté d’affaires, des élus, des experts locaux et internationaux, des financiers, des chercheurs ainsi que des chefs d’entreprise de haut niveau de partout au Québec.
Florine Thamie Stagiaire, Chargée de projets spéciaux / Trainee, Special Projects Manager T 514 871-4000 #4007 Chambre de commerce du Montréal métropolitain / Chamber of Commerce of Metropolitan Montreal
C'est dans une ambiance joyeuse et en présence d'une imposante liste d'invités que Montréal Auto-Prix division électrique procédait à l'inauguration de ses deux bornes de recharge rapide cet avant-midi
La première chose qui frappe à la vue de l'installation est le caractère professionnel et différent de l'aménagement. Tout a été prévu pour donner accès aux 2 espaces réservés de l'extérieur, directement par la rue Millet (croise la voie de service du Métropolitain) 24/24 7 jours sur 7. Tout est bien aménagé, bien identifié. Les bornes sont des EVDuty3 construites au Québec par la compagnie ELMEC et sont reliés au réseau EvDuty. Elles nécessitent donc l'utilisation de l'application mobile pour les faire fonctionner.. Vraiment un GROS coup de chapeau à l'équipe Montréal Auto Prix et à ELMEC de la part de l'AVÉQ
Contribution : Martin Archambault
Crédit photos : Martin Archambault et François Viau
Vendredi le 28 avril 2017 aura lieu le grand dévoilement de la première station de recharge double bornes 400 volts à Montréal! Localisée au 5600 Boulevard Métropolitain, à l’est de Lacordaire, directement à l’entrée de la division Hybride/Électrique de Montréal Auto Prix.
Inauguration des 2 bornes rapides
Montréal Auto-Prix division hybride électrique: 5600 Boulevard Métropolitain Est 28 avril 2017 10h45 à 12h00 Tout le monde est cordialement invité à assister en grande première à l’inauguration de ces nouvelles bornes qui seront accessibles au public , 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Plusieurs personnalités publiques seront sur place pour souligner cet événement. L'AVÉQ se réjouit de l'initiative prise par Montréal Auto Prix. Par ce geste, l'entreprise renforce sa prise de position favorable aux véhicules verts.
En plus d'un point vente/location chez Roulez Électrique à Trois-Rivières, Voici un nouveau partenariat ente JN Auto et le désormais célèbre Garage Arleco à Anjou ! JN plus près des gens de Montréal !
Source : JN Auto
Contribution : Martin Archambault |
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