GM Canada annonce qu'il offre un rabais de 2000$ sur la Volt 2015 jusqu'au 30 juin 2015.
Sachant que vous avez aussi un rabais de 500$ chez notre partenaire Gravel de l'île-des-Soeurs, c'est 2500$ de rabais total dont vous bénéficiez ! Profitez-en ! Source : GM Contributeur : Martin Archambault
Commentaires
Monsieur «...» Chef du Parti «...» Cher Monsieur «...», Je me présente: Simon-Pierre Rioux, président de l’Association des véhicules électriques du Québec (www.aveq.ca), et membre du conseil d’administration de Mobilité Électrique Canada (www.emc-mec.ca). À travers mes différentes fonctions comme bénévole, je représente plus de 11,000 propriétaires de véhicules électriques (VÉ) à travers le Canada. Le Canada est présentement le seul pays industrialisé qui ne possède aucune politique ni aucun plan d’action pour l’électrification des transports qui permettrait ainsi de diminuer nos émissions de GES et d’améliorer la qualité de vie des citoyens. Le Canada a une production d’électricité qui repose en bonne partie sur une source renouvelable. Il est tout à notre avantage de profiter au maximum de cet avantage pour l’économie de notre pays. Nous voulons savoir ce que le Parti «...» a l’intention de présenter comme stratégie d’électrification des transports à travers le Canada aux prochaines élections: 1) 99% des VÉ sont au Québec, Ontario et Colombie-Britannique grâce aux incitatifs financiers provinciaux à l’achat/location. Qu’allez-vous faire pour augmenter la progression de ce mode de transport à travers le pays? 2) Tous les pays industrialisés offrent un incitatif à l’acquisition d’un VÉ. Aux É-U on parle de 7,500$USD en plus des incitatifs locaux. Allez-vous doter le Canada d’un incitatif fédéral à l’achat/location d’un véhicule électrique pour les particuliers, les flottes et les entreprises? 3) Les gouvernements à travers la planète prêchent par l’exemple dans ce domaine. Allez-vous à votre tour donner des directives aux ministères pour qu’ils se procurent des véhicules électriques pour leurs flottes? 4) Notez que l’infrastructure pour la recharge au travail est sine qua none à l’adoption de ces véhicules non polluants. Y aura-t-il un programme pour doter les entreprises et les employeurs de bornes de recharge 240V? 5) Présentement, la grande majorité des véhicules électriques sont envoyés prioritairement dans des pays et États (CA, OR, NJ, NY MA, et même les petits VT, NH, CT, ME, MD, RI) qui possèdent une loi Zéro Émission forçant les manufacturiers à offrir des véhicules non-polluants sous peine de pénalités financières. Il est donc difficile de se procurer des VÉ au Canada, il y a peu d’exemplaires chez les concessionnaires, et certains modèles ne sont carrément pas disponible ici puisque nous n’avons pas ce type de loi. Avez-vous l’intention de légiférer en la faveur des consommateurs qui veulent un accès à tous les modèles de VÉ grâce à une loi Zéro Émission? 6) Les infrastructures de recharge sont vitales pour assurer le succès de ces véhicules, et pour apaiser les craintes de panne des futurs propriétaires de VÉ. Déjà, près de 2,000 bornes publiques de recharge lente 240V (3-4 heures pour une recharge) ont été installées à travers le Canada par des entreprises qui s’investissent à la décarbonisation des transports (visibles sur www.evchargehub.com). Les bornes rapides à 400 volts permettent la recharge en 15-20 minutes dans les meilleures conditions, elles ouvrent le territoire à tous les Canadiens voulant parcourir les routes du pays. Avez-vous l’intention d’investir dans le déploiement de ces bornes rapides à travers les grands axes routiers du Canada et dans les grands centres urbains comme c’est le cas ailleurs dans le monde? 7) Bien entendu, les consommateurs doivent être renseignés correctement sur les véhicules électriques, leur disponibilité, la présence de nombreuses nouvelles bornes rapides 400V sur les routes Canadiennes et sur leurs nombreux avantages environnementaux et financiers qu’offrent l’utilisation de ce fantastique mode de transport. Comment avez-vous l’intention de sensibiliser les Canadiens aux véhicules électriques? 8) Pour tout gouvernement, chaque investissement doit être rentable et créer des emplois. Il y a présentement une jeune industrie au Canada qui est engagée dans l’électrification des transports, ce sont des fournisseurs, constructeurs, centres de recherche, ou encore des universités (http://www.inno-ve.ca) qui investissent et créer des emplois dans ce secteur en pleine expansion. Le parallèle a souvent été fait entre l’industrie aéronautique et l’industrie électromobile qui serait le prochain flambeau canadien. Plusieurs recherches sont soutenues par l’industrie privée. Comment avez-vous l’intention de supporter l’industrie de l’électromobilité au Canada? 9) Dans l`accord de libre-échange Canada-Europe, les gouvernements se sont engagés à améliorer la performance environnementale des véhicules automobiles et à appuyer les efforts pour l’harmonisation des règlements incluant la sécurité des véhicules automobiles. Puisque les véhicules électriques manufacturés en Europe selon les normes européennes ne peuvent pas être vendus au Canada, êtes-vous d’accord pour prioriser le processus d’ harmonisation pour les véhicules électriques? 10) Avez-vous l’intention d’aborder le sujet d’électrification des transports lors des débats des Chefs? Contrairement à la croyance populaire, l’Ouest du Canada est prêt pour ce type de véhicule. Le PDG de Suncor, Steve Williams, a même récemment déclaré qu’il était favorable à une taxe sur le carbone. "We think climate change is happening, »; "We think a broad-based carbon price is the right answer. » Nous vous remercions de prendre le temps de considérer nos questions qui sont la pierre angulaire d’une stratégie fédérale innovatrice en matière d’électrification des transports. Il serait important pour nous d’obtenir une réponse à nos questions d’ici le 31 août 2015 dans le but d'orienter le vote de nos membres et sympatisants. Les réponses de tous les partis seront publiés sur notre site dès le 1er septembre 2015. En vous souhaitant une période électorale remplie de succès. Cordialement, Simon-Pierre Rioux, Membre du conseil d’administration de Mobilité Électrique Canada Président, AVÉQ.ca ![]() Voici la lettre qui a été envoyée aujourd'hui aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports sera à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. Le Canada est le seul pays industrialisé qui ne possède aucune initiative en matière d'électrification des transports, ce qui est inacceptable dans la lutte mondiale contre la pollution, le smog, l'impact sur la santé des citoyens, et les tensions géopolitiques liées au secteur pétrolier, entres autres. Nous avons donc contacté les chefs suivants:
pour les inviter à répondre à nos questions afin d'orienter leur future politique d'électrification des transports. Leurs réponses seront publiées sur notre site le 1er septembre. La 39e édition du festival L’Outaouais en Fête propose une nouveauté cette année pour le Grand Défilé Écologique de la Fête Nationale qui se tiendra à 12h30 le mercredi 24 juin 2015. En effet, l’AVÉQ Outaouais invite les électromobilistes à se joindre à ce défilé traditionnellement réservé à des piétons, des cyclistes et autres participants sans véhicules moteurs. Mais qui dit écologique dit véhicule électrique s’est dit un membre AVÉQ… et l’idée a été acceptée par l’organisation. Ce défilé aux couleurs de la Fête Nationale du Québec avec des VÉs en tête de peloton et une série de VÉs en fin de peloton sera l’occasion pour l’AVÉQ de sensibiliser la population aux caractéristiques et avantages de conduire électrique. Votre participation serait appréciée que vous soyez de l’Outaouais ou de l’extérieur (des recharges seront offertes aux participants qui le nécessitent). Vous désirez vous joindre à nous ou voulez plus d’informations, veuillez communiquer avec les représentants de la région (Gilbert, Sylvain, Christine & André) à l’adresse [email protected]. Les participants au défilé se verront offrir un laissez-passer gratuit pour l'accès au site du festival pour la journée du 24 juin. Au plaisir de vous y voir nombreux.
Douze mois après avoir pris possession de ses locaux à Shawinigan, AddÉnergie, une entreprise de fabrication de bornes de recharge pour véhicules électriques, est en pleine expansion. De 12 employés, il y a un an, elle en compte environ 40, aujourd'hui.
La majorité des employés d'AddÉnergie travaille actuellement au siège social de Québec : seulement 10 sont à temps plein à l'usine de Shawinigan. L'an dernier, en recevant une aide financière de 5 millions de dollars du gouvernement du Québec, AddÉnergie avait annoncé la création de pas moins de 100 emplois à Shawinigan en cinq ans. Un objectif qui pourrait être atteint grâce au nouveau marché que la compagnie souhaite conquérir. « Pour nous, les 100 emplois sur 5 ans, c'est tout à fait en ligne avec notre développement. À l'automne, on va commencer à fabriquer un produit pour le marché résidentiel où on n'était pas du tout », explique Louis Tremblay, président et chef de la direction d'AddÉnergie. Les ventes vont bien. Louis Tremblay soutient que son chiffre d'affaires double chaque année. Pour l'année 2015-2016, la compagnie espère fabriquer 1500 bornes. Source: Radio-Canada Contribution: Simon-Pierre Rioux Des représentants de concessions Mitsubishi et Nissan ont pu se familiariser avec le fonctionnement de bornes de recharge rapide. En moins d'une heure, 2 véhicules Nissan Leaf ont été rechargés depuis un niveau très bas à plus de 80%. Les participants ont été surpris par certaines informations qui leur ont été communiquées et par les performances de la BRCC CAA-Québec. Encore une fois, CAA-Québec a constaté que les vendeurs et concessionnaires manquent d'informations ou qu'ils oublient d'en faire part à leur clientèle. Le CAA-Québec a tenu ce matin un éVÉnement d'information exclusif pour les concessions et garages recommandés CAA. Cet éVÉnement avait pour but d'informer les représentants sur la nouvelle offre de charge rapide du Circuit Électrique à Québec. La présentation et démonstration a été organisée par M. Daniel Bédard, directeur adjoint, services-conseil automobile de CAA-Québec. M. Olivier Ourseau, également de CAA-Québec, M. Rafael A. Van Coppenolle, coordonnateur aux services chez AddÉnergie et Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ Capitale-Nationale y ont participé. Les sujets abordés étaient les suivants :
Des informations sur l’AVÉQ ont aussi été communiquées aux représentants sur place (guide du débutant, actualités, etc.). Il est fort probable que ces représentants aillent s’informer sur le site ou qu’ils recommandent à leurs clients d’aller le visiter puisqu’ils n’en connaissaient pas l’existence. Un texte de 3 pages répondant à de nombreuses questions leur a également été remis et ce texte sera publié dans la prochaine revue Contact, laquelle est distribuée aux quelques 850 concessionnaires d’automobiles neuves du Québec. Ainsi, CAA-Québec espère favoriser la diffusion d’informations à propos des VÉ chez les concessionnaires du Québec. Source : CAA-Québec
Crédit photo : CAA-Québec Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale ![]() Afin de garder nos membres et la communauté des éléctromobilistes du Québec informés, l'AVÉQ a besoin de vos yeux, votre histoire, vos photos... Il se passe quelque chose de lié aux voitures électriques dans votre coin ? Communiquez-nous l'information... Prenez des photos avec votre téléphone intelligent. Nous avons besoin de votre présence aux quatre coins du Québec afin de pouvoir informer l'ensemble de la communauté. Si vous avez quelque chose à signaler , écrivez-moi au : [email protected] Exemple d'information pertinente :
Ne vous gênez pas... Vous contribuez ainsi à accroitre le partage d'information ! PS : Lorsque vous m'envoyez des photos ou vidéos, ne pas oublier de mentionner que vous autorisez l'AVÉQ à les utiliser ! Martin Archambault webmestre et responsable des publications AVÉQ Moins de 2 mois après l'annonce de l'adhésion de la Ville de Ste-Julie au Circuit Électrique, voici que la BRCC est déjà en installation. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la mise en oeuvre est efficace Rappelons que la BRCC sera située juste à coté du Mc Donald, à la sortie 102 de l'autoroute 20. Les bornes niveaux 2 seront tant qu'à elles seront situées de l'autre coté de l'autoroute 20 (coté opposé au Mc Donald) , dans le stationnement de l'hôtel de ville. Crédit photos : Hugo Marois
Contribution : Martin Archambault La mairesse de Lac Mégantic, nouvelle ambassadrice des voitures électriques au Québec [MàJ]13/6/2015
![]() C'est aujourd'hui que la mairesse de Lac Mégantic, Colette Roy Laroche, s'est vu remettre les clés d'une Tesla Model S lors d'une cérémonie officielle à laquelle furent conviés les médias nationaux à Drummondville au RAVÉ. Mme Roy Laroche a reçu les clés de la voiture au nom de la ville jusqu'à la fin de l'année, ce qui nous espérons permettra de sensibiliser les municipalités, nos élus et la population que nous avons un choix en ce qui concerne l'énergie utilisée dans nos transports, et que nous ne sommes pas prisonniers des pétrolières et de leurs produits dangereux pour la santé et pour notre économie. »»» lire West Vancouver aura des vignettes d'avertissement aux pompes à essence Une voiture électrique Tesla Model S est offerte à la municipalité de Lac-Mégantic sur une durée de 6 mois, gracieuseté de EEKO Location, ELMEC, Roulez Électrique, Intact Assurance et Roméo-Bessette. C'est une initiative remarquable que nous saluons très fort, et nous remercions les responsables du projet pour leur vision d'un Québec électrique. Tous les employés de la ville (plus d'une centaine) sont autorisés à conduire la voiture. Il ne s'agit pas d'un prêt personnel à la mairesse. Bien que nous souhaitons que le prêt de cette voiture permette de faire rayonner la voiture électrique au Québec auprès de nos élus, la mairesse n'a aucune obligation de faire des représentations politiques et n'a donc pas l'obligation d'être une porte-parole dans le sens commun du terme. La mairesse Colette Roy Laroche s'est fait connaitre en juillet 2013 alors que sa paisible ville de Lac-Mégantic, en Estrie, a été ébranlée par un terrible accident. Un train fou transportant du pétrole brut a déraillé, provoquant une série de violentes explosions. La boule de feu a dévasté une partie du centre-ville, faisant 47 morts. [MàJ]: Correction sur les commanditaires et la durée. Merci à Félix Normandin pour les précisions. Maxim Roy nous explique pourquoi elle a voulu être porte-parole pour la Foire de Projet Écosphère. |
Cette semaine à l’émission; On discute des dernières nouvelles dans le monde de la voiture électrique avec Martin Archambault de l'AVÉQ et Luc fait l’essai de la Ford Fusion 2015. |
![Photo](/uploads/9/3/4/2/9342609/1778271.jpg?304)
Le Circuit Électrique a annoncé la disponibilité des 2 nouvelles bornes de recharge rapide Smart DC (BRCC) à 400 volts, localisées dans la ville de Québec.
Les 2 partenaires sont :
Les 2 nouvelles bornes sont maintenant visibles sur la carte du site web et de l'application mobile du Circuit Électrique.
Il est à noter que le stationnement du CAA-Québec comporte également une borne 240v du Circuit Électrique. Tarifée à $2.50 par recharge, elle est située à quelques cases de stationnement de la borne rapide.
En ce qui concerne le stationnement d'AddÉnergie, une borne 240v du RéseauVER est placée à côté de la borne rapide. La recharge 240v est tarifée à $1.00 de l'heure et facturée à la minute.
Le communiqué du Circuit Électrique a été envoyé aux membres:
Les 2 partenaires sont :
- CAA-Québec, 444 rue bouvier, Québec (Borne #CEC-00009)
- AddÉnergie, 2327 boul. Versant-Nord, Québec (Borne #CEC-00010)
Les 2 nouvelles bornes sont maintenant visibles sur la carte du site web et de l'application mobile du Circuit Électrique.
Il est à noter que le stationnement du CAA-Québec comporte également une borne 240v du Circuit Électrique. Tarifée à $2.50 par recharge, elle est située à quelques cases de stationnement de la borne rapide.
En ce qui concerne le stationnement d'AddÉnergie, une borne 240v du RéseauVER est placée à côté de la borne rapide. La recharge 240v est tarifée à $1.00 de l'heure et facturée à la minute.
Le communiqué du Circuit Électrique a été envoyé aux membres:
Le Circuit électrique est heureux de vous annoncer que deux bornes de recharge rapide ont été mises en service à Québec, dans le stationnement de CAA-Québec au 444, rue Bouvier et dans le stationnement d’AddÉnergie au 2327, boul. du Versant-Nord.
On y propose la recharge rapide à 400 volts au moyen des connecteurs CHAdeMO et Combo.
Voir la carte : borne de CAA-Québec
Voir la carte : borne d’AddÉnergie
La recharge rapide est offerte à 10 $ l’heure et facturée à la minute. Ainsi, par exemple, une recharge rapide de 20 minutes coûte 3,33 $ et une recharge de 30 minutes 5,00 $.
On y propose la recharge rapide à 400 volts au moyen des connecteurs CHAdeMO et Combo.
Voir la carte : borne de CAA-Québec
Voir la carte : borne d’AddÉnergie
La recharge rapide est offerte à 10 $ l’heure et facturée à la minute. Ainsi, par exemple, une recharge rapide de 20 minutes coûte 3,33 $ et une recharge de 30 minutes 5,00 $.
Le premier utilisateur officiel de la borne rapide chez AddÉnergie fût nul autre que notre membre Guy French (guyf dans les forums AVÉQ) :
Les bornes ont été rendues disponible rapidement, cependant des travaux de signalisation sont à compléter sur les 2 sites.
Rappel sur l'utilisation de bornes rapides
Il est recommandé de rester à proximité du véhicule en recharge car la facturation de la recharge est calculée pour toute la période pendant laquelle le véhicule est branché.
Source : AVÉQ , CAA-Québec, AddÉnergie
Crédit photo (Site CAA) : Daniel Bédard, CAA-Québec
Crédit photo (Site AddÉnergie) : AddÉnergie
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale Nationale
Crédit photo (Site CAA) : Daniel Bédard, CAA-Québec
Crédit photo (Site AddÉnergie) : AddÉnergie
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale Nationale
C’est maintenant officiel, nous passons à l’émission Dans l’oeil du dragon lundi le 15 juin à 20h.
On souhaite partager ce moment important avec tous les gens qui nous ont supporté depuis le début (famille, amis, clients, partenaires et fans) !
Pour ce faire, nous vous invitons donc à vous joindre à nous pour visionner en direct notre apparition à l’émission.
Nous sommes très heureux de vous recevoir dans le véritable temple de la voiture électrique à Montréal, chez Tesla Motors ! (Un gros merci à toute l’équipe de Tesla Montréal de nous permettre de tenir cet événement dans leur locaux!)
Adresse : 5350 Ferrier Street, Montréal, QC H4P 1L9
Heure : À partir de 19h, jusqu’à 22h
Des rafraîchissements et des bouchées seront offerts sur place!
Il est nécessaire de confirmer votre présence en RSVP sur la page Facebook de l’évènement, que vous retrouverez ici
Cela nous permettra de mieux gérer les quantités et la liste des invités!
Merci beaucoup pour votre support et au plaisir de vous voir nombreux lundi prochain!
Félix Normandin
Locations EEKO
On souhaite partager ce moment important avec tous les gens qui nous ont supporté depuis le début (famille, amis, clients, partenaires et fans) !
Pour ce faire, nous vous invitons donc à vous joindre à nous pour visionner en direct notre apparition à l’émission.
Nous sommes très heureux de vous recevoir dans le véritable temple de la voiture électrique à Montréal, chez Tesla Motors ! (Un gros merci à toute l’équipe de Tesla Montréal de nous permettre de tenir cet événement dans leur locaux!)
Adresse : 5350 Ferrier Street, Montréal, QC H4P 1L9
Heure : À partir de 19h, jusqu’à 22h
Des rafraîchissements et des bouchées seront offerts sur place!
Il est nécessaire de confirmer votre présence en RSVP sur la page Facebook de l’évènement, que vous retrouverez ici
Cela nous permettra de mieux gérer les quantités et la liste des invités!
Merci beaucoup pour votre support et au plaisir de vous voir nombreux lundi prochain!
Félix Normandin
Locations EEKO
Une toute nouvelle campagne de sensibilisation par notre partenaire ÉQUITERRE vient briser les mythes entourant le véhicule électrique et sensibiliser le public aux avantages de l’électrification du transport.
« FAITES LE PLEIN DE BON SENS AVEC LE VÉHICULE ÉLECTRIQUE! »
Plusieurs idées préconçues perdurent en ce qui concerne le véhicule électrique et ce, malgré les avancées technologiques et le développement rapide des infrastructures de recharge des dernières années. Les trois principaux freins que rapportent les consommateurs sont le coût du véhicule à l’achat, l’autonomie et l’accessibilité aux bornes de recharge. Or dans les faits, la situation est tout autre!
« FAITES LE PLEIN DE BON SENS AVEC LE VÉHICULE ÉLECTRIQUE! »
Plusieurs idées préconçues perdurent en ce qui concerne le véhicule électrique et ce, malgré les avancées technologiques et le développement rapide des infrastructures de recharge des dernières années. Les trois principaux freins que rapportent les consommateurs sont le coût du véhicule à l’achat, l’autonomie et l’accessibilité aux bornes de recharge. Or dans les faits, la situation est tout autre!
- Saviez-vous qu’au bout de 10 ans, le véhicule électrique représente près de 15 000 $ d’économies par rapport au véhicule à essence?
- Que la voiture électrique peut répondre à la majorité des besoins en déplacementpuisqu’un automobiliste parcourt en moyenne de 20 à 50 km par jour pour se rendre au travail?
- Et que plus de 600 bornes de recharges publiques dont certaines à recharge rapide permettent de se déplacer aisément et sans souci sur le territoire québécois?
FAITES LE PLEIN DE BON SENS! CARBUREZ AUX KILOWATTS-HEURES
Découvrez toutes les ressources à votre disposition pour effectuer un virage électrique sur le site web d'Équiterre portant sur l’électrification des transports. Nous vous invitons à visionner la superbe capsule vidéo et de la partager sur vos réseaux sociaux!! Beaucoup de travail de l'équipe d'Equiterre ainsi que quelques échanges entre Équiterre et l'AVÉQ pour valider le message véhiculé dans cette superbe production de Upperkut.
Source: Équiterre
Collaboration: Simon-Pierre Rioux
Découvrez toutes les ressources à votre disposition pour effectuer un virage électrique sur le site web d'Équiterre portant sur l’électrification des transports. Nous vous invitons à visionner la superbe capsule vidéo et de la partager sur vos réseaux sociaux!! Beaucoup de travail de l'équipe d'Equiterre ainsi que quelques échanges entre Équiterre et l'AVÉQ pour valider le message véhiculé dans cette superbe production de Upperkut.
Source: Équiterre
Collaboration: Simon-Pierre Rioux
![Picture](/uploads/9/3/4/2/9342609/7508487.jpg?303)
GranTuned Automobile, une entreprise de conversion électrique de véhicule affiliée à l’École de technologie supérieure (ÉTS), vise haut. Son président Andy Ta souhaite répondre à la demande grandissante du gouvernement et des municipalités d’électrifier leur flotte de camionnettes utilitaires.
»»» Lire GranTuned Automobile (ÉTS) fera la conversion de deux camionnettes F-150 pour le MTQ
L’an dernier, GranTuned estimait que les deux camionnettes F-150 du CGER (Centre de gestion de l'équipement roulant du gouvernement provincial) converties à l’électrique sillonneraient les routes du Québec dès octobre ’14. Cependant, bien que les camionnettes soient fonctionnelles, les deux véhicules sont toujours en évolution. L’équipe de jeunes entrepreneurs travaille actuellement sur l’intégration d'une nouvelle transmission servocontrôlée développée par Bert Transmission, une entreprise issue de la course automobile située à St-Constant.
Cette transmission viendra compléter le système motopropulseur composé d’un contrôleur TM4, d’un moteur Remy de 160 kW, d’un chargeur Brusa de 6,6 kW et de 48 kWh de batteries Renault/Nissan. Les pièces ainsi que l’autonomie du véhicule qui est estimée à 150 km pourront évoluer selon l’offre sur le marché. On vise donc des chargeurs plus puissants ainsi que des batteries HD lorsqu’elles seront disponibles. L’un des plus grands défis du projet fut la conception d’un système d’attache capable d’être facilement installé et réutilisé sur divers modèles de camionnettes sans pour autant atténuer la sécurité du véhicule, tel que les zones déformables. Aussi, le contrôle électronique de la stabilité du véhicule (ESC) d’origine doit rester fonctionnel. Ce dernier contrôle l’intensité des freins et du moteur lors d’une perte de contrôle du véhicule pour corriger sa trajectoire. GranTuned a déposé des brevets provisoires afin de protéger l’entièreté des inventions. À terme, l’entreprise vise l’installation de son kit de conversion par des garages et des mécaniciens accrédités.
»»» Lire GranTuned Automobile (ÉTS) fera la conversion de deux camionnettes F-150 pour le MTQ
L’an dernier, GranTuned estimait que les deux camionnettes F-150 du CGER (Centre de gestion de l'équipement roulant du gouvernement provincial) converties à l’électrique sillonneraient les routes du Québec dès octobre ’14. Cependant, bien que les camionnettes soient fonctionnelles, les deux véhicules sont toujours en évolution. L’équipe de jeunes entrepreneurs travaille actuellement sur l’intégration d'une nouvelle transmission servocontrôlée développée par Bert Transmission, une entreprise issue de la course automobile située à St-Constant.
Cette transmission viendra compléter le système motopropulseur composé d’un contrôleur TM4, d’un moteur Remy de 160 kW, d’un chargeur Brusa de 6,6 kW et de 48 kWh de batteries Renault/Nissan. Les pièces ainsi que l’autonomie du véhicule qui est estimée à 150 km pourront évoluer selon l’offre sur le marché. On vise donc des chargeurs plus puissants ainsi que des batteries HD lorsqu’elles seront disponibles. L’un des plus grands défis du projet fut la conception d’un système d’attache capable d’être facilement installé et réutilisé sur divers modèles de camionnettes sans pour autant atténuer la sécurité du véhicule, tel que les zones déformables. Aussi, le contrôle électronique de la stabilité du véhicule (ESC) d’origine doit rester fonctionnel. Ce dernier contrôle l’intensité des freins et du moteur lors d’une perte de contrôle du véhicule pour corriger sa trajectoire. GranTuned a déposé des brevets provisoires afin de protéger l’entièreté des inventions. À terme, l’entreprise vise l’installation de son kit de conversion par des garages et des mécaniciens accrédités.
Par rapport aux conversions électriques artisanales peu nombreuses que l’on retrouve au Québec, l’équipe possède le soutien depuis le début du CGER, de l’ÉTS et de la SAAQ qui veulent s’assurer que ces véhicules transformés continueront de respecter les règles de sécurité pour les occupants et les voitures environnantes.
Leur prototype est toujours en phase alpha, mais devrait évoluer en bêta dès cet été. À ce moment, des tests de certification seront effectués pour finalement amorcer la fabrication des véhicules précommandés pour l’hiver 2016.
Nous suivrons de près l'évolution des produits de cette jeune entreprise québécoise dans les prochains mois.
Entrevue: Simon-Pierre Rioux
Leur prototype est toujours en phase alpha, mais devrait évoluer en bêta dès cet été. À ce moment, des tests de certification seront effectués pour finalement amorcer la fabrication des véhicules précommandés pour l’hiver 2016.
Nous suivrons de près l'évolution des produits de cette jeune entreprise québécoise dans les prochains mois.
Entrevue: Simon-Pierre Rioux
![Picture](/uploads/9/3/4/2/9342609/7902821.jpg?278)
Sébastien Gaëtan, 31 ans, est un des rares Québécois employés de la marque de voiture électrique Tesla Motors, à Los Angeles. En cette journée de Formule 1, il a accepté de nous parler de son métier, hors du commun.
L’ancien étudiant en génie mécanique, à Polytechnique, et en design des transports, à l’UQAM, travaille comme ingénieur en design en plus de veiller à l’ergonomie des modèles de la prestigieuse marque californienne de véhicules, entièrement électriques.
Le studio de design de Tesla est situé à Hawthorne, à Los Angeles. Le travail est exigeant, les horaires assez lourds, de 8 h 30 à 19 h, mais le contexte est extrêmement stimulant. « C’est un milieu très jeune, très dynamique, la moyenne d’âge est probablement de 35 ans maximum », souligne le jeune homme.
Ils sont beaucoup d’étrangers comme lui à s’investir chez Tesla Motors : Anglais, Australiens, Espagnols. Sébastien Gaëtan se dit lui-même citoyen du monde. Il a vécu en Colombie et au Portugal quand il était adolescent. Il a fait un stage au Brésil pendant ses études en génie, travaillé un an et demi chez Boeing à Seattle et un an chez Ford à Detroit.
« Depuis mes études en génie mécanique, j’ai toujours voulu aller travailler dans un studio de design automobile. »
— Sébastien Gaëtan, 31 ans
Sa carrière a commencé d’abord par un stage chez Dassault Systèmes, où il a appris à travailler avec un logiciel de conception 3D haut de gamme. Pendant 10 ans, il a parfait ses connaissances et enchaîné les contacts avant d’aboutir chez Tesla. L’entreprise californienne est établie dans trois secteurs différents ; le studio de design à Los Angeles, l’usine près de San Francisco et la maison mère, à Palo Alto.
Sébastien Gaëtan baigne pour ainsi dire dans l’innovation et la créativité. Les designers comme lui font des esquisses et les transforment en trois dimensions.
Sébastien travaille aussi en ergonomie et à l’intégration (packaging) des différents éléments intérieurs et extérieurs des véhicules. « Quand on fait de l’ergonomie, on doit regarder le véhicule dans son ensemble. On définit l’architecture du véhicule. Pour créer un nouveau modèle, on débute à partir d’une page blanche », précise l’ingénieur.
Les équipes de designers apportent des améliorations continuellement au modèle S, la berline électrique de luxe, dont la première version est sortie en 2012. Une de ses caractéristiques : elle passe en 4 secondes de 0 à 100 km/h. Le modèle de base de la « S », sans les options, se vend autour de 95 000 $. Quant au modèle X, il est attendu pour la fin de l’été.
Tesla a ouvert en décembre dernier à Montréal, rue Ferrier, un immense magasin de 45 000 pi2, ce qui en fait l’un des plus grands points de service de Tesla en Amérique du Nord.
Source : MARIE-FRANCE LÉGER - LA PRESSE
Contributeur : Martin Archambault
L’ancien étudiant en génie mécanique, à Polytechnique, et en design des transports, à l’UQAM, travaille comme ingénieur en design en plus de veiller à l’ergonomie des modèles de la prestigieuse marque californienne de véhicules, entièrement électriques.
Le studio de design de Tesla est situé à Hawthorne, à Los Angeles. Le travail est exigeant, les horaires assez lourds, de 8 h 30 à 19 h, mais le contexte est extrêmement stimulant. « C’est un milieu très jeune, très dynamique, la moyenne d’âge est probablement de 35 ans maximum », souligne le jeune homme.
Ils sont beaucoup d’étrangers comme lui à s’investir chez Tesla Motors : Anglais, Australiens, Espagnols. Sébastien Gaëtan se dit lui-même citoyen du monde. Il a vécu en Colombie et au Portugal quand il était adolescent. Il a fait un stage au Brésil pendant ses études en génie, travaillé un an et demi chez Boeing à Seattle et un an chez Ford à Detroit.
« Depuis mes études en génie mécanique, j’ai toujours voulu aller travailler dans un studio de design automobile. »
— Sébastien Gaëtan, 31 ans
Sa carrière a commencé d’abord par un stage chez Dassault Systèmes, où il a appris à travailler avec un logiciel de conception 3D haut de gamme. Pendant 10 ans, il a parfait ses connaissances et enchaîné les contacts avant d’aboutir chez Tesla. L’entreprise californienne est établie dans trois secteurs différents ; le studio de design à Los Angeles, l’usine près de San Francisco et la maison mère, à Palo Alto.
Sébastien Gaëtan baigne pour ainsi dire dans l’innovation et la créativité. Les designers comme lui font des esquisses et les transforment en trois dimensions.
Sébastien travaille aussi en ergonomie et à l’intégration (packaging) des différents éléments intérieurs et extérieurs des véhicules. « Quand on fait de l’ergonomie, on doit regarder le véhicule dans son ensemble. On définit l’architecture du véhicule. Pour créer un nouveau modèle, on débute à partir d’une page blanche », précise l’ingénieur.
Les équipes de designers apportent des améliorations continuellement au modèle S, la berline électrique de luxe, dont la première version est sortie en 2012. Une de ses caractéristiques : elle passe en 4 secondes de 0 à 100 km/h. Le modèle de base de la « S », sans les options, se vend autour de 95 000 $. Quant au modèle X, il est attendu pour la fin de l’été.
Tesla a ouvert en décembre dernier à Montréal, rue Ferrier, un immense magasin de 45 000 pi2, ce qui en fait l’un des plus grands points de service de Tesla en Amérique du Nord.
Source : MARIE-FRANCE LÉGER - LA PRESSE
Contributeur : Martin Archambault
APPEL À TOUS: Nous désirons des photos de votre auto électrique dans des situations de vie extrême!
8/6/2015
![Photo](/uploads/9/3/4/2/9342609/8768781.jpeg?424)
Oui oui, tout entre sans problème!
Dans notre quête à la sensibilisation du public, une des excuses que nous avons souvent entendu pour esquiver l'achat d'un VÉ est le manque d'espace de ces véhicules jugés "trop petits".
Nous aimerions créer une base de données de photos de VÉ dans la vie de tous les jours afin de les utiliser; nous avons donc besoin de votre aide!
Avez-vous mis 3 bancs d'enfants dans votre VÉ? Une grosse commande de Costco? Vous faites de la livraison? 5 adultes dans un VÉ? Un canot et de l'équipement de camping? Des matériaux de construction? Sacs de golf, hockey, ski?
SVP envoyez-nous vos photos en haute résolution de votre véhicule électrique dans des situations qui sauront convaincre les incrédules de l'espace disponible dans chaque modèle de VÉ vendus au Québec, avec le texte "Je permet à l'AVÉQ d'utiliser mes photos ci-jointes"
Nous aimerions créer une base de données de photos de VÉ dans la vie de tous les jours afin de les utiliser; nous avons donc besoin de votre aide!
Avez-vous mis 3 bancs d'enfants dans votre VÉ? Une grosse commande de Costco? Vous faites de la livraison? 5 adultes dans un VÉ? Un canot et de l'équipement de camping? Des matériaux de construction? Sacs de golf, hockey, ski?
SVP envoyez-nous vos photos en haute résolution de votre véhicule électrique dans des situations qui sauront convaincre les incrédules de l'espace disponible dans chaque modèle de VÉ vendus au Québec, avec le texte "Je permet à l'AVÉQ d'utiliser mes photos ci-jointes"
![Photo](/uploads/9/3/4/2/9342609/512343155.jpg?403)
Plus de 30 ans après avoir quitté l’Amérique du Nord, le constructeur automobile français Renault a la ferme intention de revenir sur le marché canadien. Et cela se fera par l’intermédiaire des voitures électriques, selon ce qu’a appris La Presse. Une révolution en soi dans l’industrie automobile.
C’est par l’intermédiaire de son modèle Kangoo que la célèbre marque au losange esquisse un retour au Canada. Décliné principalement en deux versions, passagers et commerciale, ce véhicule familial de forme cubique et de taille moyenne a été lancé en 1997 en France. Renault espère pouvoir vendre au pays la version commerciale dotée de la motorisation 100 % électrique.
Il y a deux semaines, Renault a confirmé sans tambour ni trompette qu’il distribuera au Canada, d’abord un petit véhicule urbain deux places en tandem appelé Twizy, vendu déjà à 15 000 exemplaires dans le monde.
« Nous avons une vraie envie de revenir, nous a confié en entrevue Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault. […] On a de très bonnes discussions avec le gouvernement du Québec et du Canada sur la façon dont on peut contribuer à l’évolution du marché électrique. »
« On est prêts à le faire à condition que les dérogations soient apportées. Ça, c’est du court terme, c’est facile à faire. Après, la deuxième étape va évidemment dépendre de l’évolution du marché. Mais notre envie est là. »
— Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault
Depuis avril dernier, le constructeur français fait des démarches auprès des gouvernements canadien et québécois afin d’obtenir la permission de faire circuler sur nos routes le Twizy et la version électrique du Kangoo. Depuis le départ de l’Amérique des constructeurs français à la fin des années 80, leurs véhicules ne sont pas assemblés selon les normes nord-américaines de sécurité et environnementales. Et n’y sont donc pas vendables.
D’où la nécessité pour Renault et son Kangoo d’obtenir « une dispense » de conformité aux normes réglementaires, dans ce cas-ci canadiennes. Cette dispense peut être accordée pour une période « d’au plus deux ans pour un nombre déterminé, limité à 1000, de véhicules du même modèle », comme le stipule la Loi canadienne sur la sécurité automobile.
C’est par l’intermédiaire de son modèle Kangoo que la célèbre marque au losange esquisse un retour au Canada. Décliné principalement en deux versions, passagers et commerciale, ce véhicule familial de forme cubique et de taille moyenne a été lancé en 1997 en France. Renault espère pouvoir vendre au pays la version commerciale dotée de la motorisation 100 % électrique.
Il y a deux semaines, Renault a confirmé sans tambour ni trompette qu’il distribuera au Canada, d’abord un petit véhicule urbain deux places en tandem appelé Twizy, vendu déjà à 15 000 exemplaires dans le monde.
« Nous avons une vraie envie de revenir, nous a confié en entrevue Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault. […] On a de très bonnes discussions avec le gouvernement du Québec et du Canada sur la façon dont on peut contribuer à l’évolution du marché électrique. »
« On est prêts à le faire à condition que les dérogations soient apportées. Ça, c’est du court terme, c’est facile à faire. Après, la deuxième étape va évidemment dépendre de l’évolution du marché. Mais notre envie est là. »
— Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault
Depuis avril dernier, le constructeur français fait des démarches auprès des gouvernements canadien et québécois afin d’obtenir la permission de faire circuler sur nos routes le Twizy et la version électrique du Kangoo. Depuis le départ de l’Amérique des constructeurs français à la fin des années 80, leurs véhicules ne sont pas assemblés selon les normes nord-américaines de sécurité et environnementales. Et n’y sont donc pas vendables.
D’où la nécessité pour Renault et son Kangoo d’obtenir « une dispense » de conformité aux normes réglementaires, dans ce cas-ci canadiennes. Cette dispense peut être accordée pour une période « d’au plus deux ans pour un nombre déterminé, limité à 1000, de véhicules du même modèle », comme le stipule la Loi canadienne sur la sécurité automobile.
L'IMPLICATION DE L'AVÉQ: Depuis 2013, l'AVÉQ est impliquée avec la promotion des véhicules électriques Renault au Québec pour faire connaitre ces produits au public, créer un intérêt et une demande dans un marché québécois où les manufacturiers européens restent frileux (Fiat, Mercedes, Volkswagen) et ultimement offrir aux consommateurs québécois un plus grand choix. Pour se faire, nous avons tenu un blogue sur la Zoé et Twizy et présenté leurs statistiques à Renault pour les convaincre. Nous les avons ensuite introduits au Réseau AZRA pour l'importation des véhicules au Canada, et nous les avons introduit à notre lobbyiste sur la Colline Parlementaire pour faire l'application d'une dérogation sur le Kangoo, et modifier certaines règles de Transport Canada sur les véhicules à basse vitesse comme le Twizy. L'AVÉQ, c'est plus qu'un site web.
![Photo](/uploads/9/3/4/2/9342609/287810214.jpg)
UNE ARRIVÉE EMBLÉMATIQUE
Ce petit modèle électrique qu’est le Twizy et surtout le plus grand, le Kangoo, représentent une arrivée très significative et emblématique. Jamais un véhicule de passagers de marque française n’avait traversé l’Atlantique depuis les derniers modèles Peugeot vendus en 1991. Il y a chez Renault une volonté claire de vendre des véhicules au Canada.
« Oui, il y a une volonté bien sûr, confirme Vincent Carré. C’est pour ça qu’on amène d’abord le Twizy. C’est pour commencer à expérimenter ce marché, pour accélérer aussi le développement de l’électrique et contribuer à ce que l’électrique se développe au Canada. Effectivement, si le marché canadien de l’électrique se développe, nous avons une volonté forte d’y vendre des voitures. »
Le premier constructeur français a bon espoir d’avoir une réponse positive des gouvernements canadien et québécois dans quelques mois.
« On n’a pas le potentiel volume aujourd’hui chez Renault pour des véhicules électriques comme le Kangoo pour réaliser une adaptation aux normes du marché canadien, précise Vincent Carré. Il faut d’abord que le marché démarre avant qu’on puisse le faire. Nous soumettons une application au gouvernement canadien pour que ce véhicule puisse être vendu sous normes européennes […] de manière à pouvoir apporter très vite des voitures sur le marché sans faire de développement coûteux qui n’apporterait pas grand-chose. »
Ce qui signifie que si le potentiel du marché des voitures électriques se confirme et qu’il faut alors à Renault produire en plus grand volume, le constructeur adaptera ses prochains véhicules aux normes canadiennes et américaines.
« Il va falloir encore quatre ou cinq ans avant que les volumes soient suffisants pour valider les investissements industriels et modifier les produits, ajoute M. Carré. L’objectif est que les prochaines générations des voitures électriques soient aussi compatibles avec les normes canadiennes. »
« C’est dans cet esprit-là qu’on demande la dérogation, pour pouvoir amener ensuite, au-delà des 1000 premières voitures, des véhicules qui seront compatibles avec les normes canadiennes. »
— Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault
Ce petit modèle électrique qu’est le Twizy et surtout le plus grand, le Kangoo, représentent une arrivée très significative et emblématique. Jamais un véhicule de passagers de marque française n’avait traversé l’Atlantique depuis les derniers modèles Peugeot vendus en 1991. Il y a chez Renault une volonté claire de vendre des véhicules au Canada.
« Oui, il y a une volonté bien sûr, confirme Vincent Carré. C’est pour ça qu’on amène d’abord le Twizy. C’est pour commencer à expérimenter ce marché, pour accélérer aussi le développement de l’électrique et contribuer à ce que l’électrique se développe au Canada. Effectivement, si le marché canadien de l’électrique se développe, nous avons une volonté forte d’y vendre des voitures. »
Le premier constructeur français a bon espoir d’avoir une réponse positive des gouvernements canadien et québécois dans quelques mois.
« On n’a pas le potentiel volume aujourd’hui chez Renault pour des véhicules électriques comme le Kangoo pour réaliser une adaptation aux normes du marché canadien, précise Vincent Carré. Il faut d’abord que le marché démarre avant qu’on puisse le faire. Nous soumettons une application au gouvernement canadien pour que ce véhicule puisse être vendu sous normes européennes […] de manière à pouvoir apporter très vite des voitures sur le marché sans faire de développement coûteux qui n’apporterait pas grand-chose. »
Ce qui signifie que si le potentiel du marché des voitures électriques se confirme et qu’il faut alors à Renault produire en plus grand volume, le constructeur adaptera ses prochains véhicules aux normes canadiennes et américaines.
« Il va falloir encore quatre ou cinq ans avant que les volumes soient suffisants pour valider les investissements industriels et modifier les produits, ajoute M. Carré. L’objectif est que les prochaines générations des voitures électriques soient aussi compatibles avec les normes canadiennes. »
« C’est dans cet esprit-là qu’on demande la dérogation, pour pouvoir amener ensuite, au-delà des 1000 premières voitures, des véhicules qui seront compatibles avec les normes canadiennes. »
— Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault
Source : La Presse + / Sébastien Templier
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional - Capitale Nationale
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional - Capitale Nationale
![Photo](/uploads/9/3/4/2/9342609/216074745.jpg?280)
LA VOITURE ÉLECTRIQUE AVANT TOUT
Il est difficile d’imaginer Renault faire machine arrière à ce stade-ci de ses démarches. Et si jamais les premiers modèles de Kangoo et de Twizy livrés au pays ne convainquent pas le public, Renault n’a pas l’intention de repartir sans laisser ici une structure. Au contraire, comme nous le dit Vincent Carré : « De toute façon, si on vient, c’est avec un réseau capable d’entretenir dans la durée avec une garantie, un réseau d’après-vente qui est capable d’entretenir ces produits. Il n’est pas question qu’on laisse des clients sans une solution. »
Le directeur commercial de Renault ne veut pas pour autant parler officiellement de retour de Renault en Amérique.
« Un retour, c’est quand on amènera toutes nos voitures, une gamme complète, dit-il. Là on est vraiment concentré sur la voiture électrique, parce que c’est notre savoir-faire, notre compétence. On essaie d’exploiter cette opportunité-là. Ce qui est aussi pour nous une occasion de redécouvrir le marché canadien. »
Pourtant, quand on en est rendu à ce point dans l’introduction de deux modèles dans un nouveau marché, il est difficile de nier la réalité.
« Si on vient avec ce Kangoo électrique et si on a cette dérogation du gouvernement, c’est pour faire d’autres choses derrière, c’est évident », lâche Vincent Carré.
Il est difficile d’imaginer Renault faire machine arrière à ce stade-ci de ses démarches. Et si jamais les premiers modèles de Kangoo et de Twizy livrés au pays ne convainquent pas le public, Renault n’a pas l’intention de repartir sans laisser ici une structure. Au contraire, comme nous le dit Vincent Carré : « De toute façon, si on vient, c’est avec un réseau capable d’entretenir dans la durée avec une garantie, un réseau d’après-vente qui est capable d’entretenir ces produits. Il n’est pas question qu’on laisse des clients sans une solution. »
Le directeur commercial de Renault ne veut pas pour autant parler officiellement de retour de Renault en Amérique.
« Un retour, c’est quand on amènera toutes nos voitures, une gamme complète, dit-il. Là on est vraiment concentré sur la voiture électrique, parce que c’est notre savoir-faire, notre compétence. On essaie d’exploiter cette opportunité-là. Ce qui est aussi pour nous une occasion de redécouvrir le marché canadien. »
Pourtant, quand on en est rendu à ce point dans l’introduction de deux modèles dans un nouveau marché, il est difficile de nier la réalité.
« Si on vient avec ce Kangoo électrique et si on a cette dérogation du gouvernement, c’est pour faire d’autres choses derrière, c’est évident », lâche Vincent Carré.
![Picture](/uploads/9/3/4/2/9342609/4042255_orig.jpg)
L’association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) sera de passage à l'événement ÉCOSPHÈRE à la TOHU, samedi le 13 et dimanche le 14 juin 2015 pour répondre à la demande de plusieurs dizaines de milliers de participants!
L’AVÉQ poursuit présentement une vaste campagne de sensibilisation partout au Québec avec pour objectif de rejoindre et d’informer des milliers de citoyens sur l’électrification des transports.
Nous avons besoin de bénévoles qui assureront les essais routiers avec leur voitures et/ou qui offriront de l'information sur les véhicules électriques. Sans votre aide, ces événements n'auront pas l'impact désiré.
De plus ce sera pour vous l'occasion de fraterniser avec d'autres mordus de VÉ et de mettre des visages sur des noms apparaissant dans le forum de l'AVÉQ. De la nourriture et des breuvages vous seront fournis.
SVP entrez en contact avec nous au [email protected] afin de devenir bénévole pour l'événement ÉCOSPHÈRE. Nous cherchons des gens qui possèdent déjà un VÉ, mais les passionnés qui connaissent bien l'électromobilité mais qui n'en possèdent pas encore sont aussi les bienvenus.
L’AVÉQ poursuit présentement une vaste campagne de sensibilisation partout au Québec avec pour objectif de rejoindre et d’informer des milliers de citoyens sur l’électrification des transports.
Nous avons besoin de bénévoles qui assureront les essais routiers avec leur voitures et/ou qui offriront de l'information sur les véhicules électriques. Sans votre aide, ces événements n'auront pas l'impact désiré.
De plus ce sera pour vous l'occasion de fraterniser avec d'autres mordus de VÉ et de mettre des visages sur des noms apparaissant dans le forum de l'AVÉQ. De la nourriture et des breuvages vous seront fournis.
SVP entrez en contact avec nous au [email protected] afin de devenir bénévole pour l'événement ÉCOSPHÈRE. Nous cherchons des gens qui possèdent déjà un VÉ, mais les passionnés qui connaissent bien l'électromobilité mais qui n'en possèdent pas encore sont aussi les bienvenus.
Tesla Motors a maintenant un kiosque à Place Ste-Foy à Québec! Essai-routiers disponibles! Avis aux intéressés !
Source : Facebook
Contribution : Martin Archambault
Contribution : Martin Archambault
Le vendredi 8 mai, Rémi St-Amant a été invité à donner une conférence sur la voiture électrique à environ 80 des 300 employés de l'Institut en recherche maritime Maurice Lamontagne. Il s'agissait d'employés qui avaient répondu à un sondage sur l'utilisation des voitures électriques. Ces employés avaient démontré de l'intérêt pour obtenir plus d'information à ce sujet.
L'invitation était une initiative d'un membre de l'AVÉQ, M. François Fournier qui, de main de maître, a organisé cette conférence. Les employés avaient espoir d'obtenir 4 bornes de recharge à leur travail !
En réponse aux divers questions au sondage, Rémi a eu l'opportunité de parler de la voiture électrique en général, mais aussi de donner de l'information sur : comment magasiner un VE, les subventions possibles, la différence entre VE, VE à autonomie prolongée, la voiture hybride, etc. Il a surtout parlé de son propre vécu de 26 mois d'utilisation (48 000km) ici-même en région.
En réponse aux divers questions au sondage, Rémi a eu l'opportunité de parler de la voiture électrique en général, mais aussi de donner de l'information sur : comment magasiner un VE, les subventions possibles, la différence entre VE, VE à autonomie prolongée, la voiture hybride, etc. Il a surtout parlé de son propre vécu de 26 mois d'utilisation (48 000km) ici-même en région.
Les gens présents ont démontrés un très grand intérêt. Ils étaient attentifs et avaient besoin de se sentir sécurisés face à plusieurs de leurs inquiétudes.
En fin de conférence, les gens ont eu l'occasion de voir la Nissan Leaf de Rémi et 4 à 5 personnes l'ont interpelé pour lui faire part qu'il venait de les convaincre de faire le saut.
Reference: http://www.qc.dfo-mpo.gc.ca/iml-mli/institut-institute/index-fra.asp
Source : Remi St-Amant
Contributeur : Martin Archambault
En fin de conférence, les gens ont eu l'occasion de voir la Nissan Leaf de Rémi et 4 à 5 personnes l'ont interpelé pour lui faire part qu'il venait de les convaincre de faire le saut.
Reference: http://www.qc.dfo-mpo.gc.ca/iml-mli/institut-institute/index-fra.asp
Source : Remi St-Amant
Contributeur : Martin Archambault
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