![]() Pour son nouveau billet sur la Nissan LEAF, Simon-Pierre reflète sur les deux années depuis la prise de possession de son VÉ. Eh oui, déjà 2 ans! Est-ce que sa voiture a perdu beaucoup d'autonomie? Est-il toujours aussi satisfait? S'ennuie-t-il de son concessionnaire et des stations-service? »»» À lire sur le Blogue Nissan Leaf
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![]() Le Circuit électrique est heureux de vous annoncer qu’une nouvelle borne de recharge rapide a été mise en service à la Ville de Ste-Julie au 1903 ch.du fer-à-Cheval. On y propose la recharge rapide à 400 volts au moyen des connecteurs CHAdeMO et Combo. Voir la carte : borne Ville de Ste-Julie La recharge rapide est offerte à 10 $ l’heure et facturée à la minute. Ainsi, par exemple, une recharge rapide de 20 minutes coûte 3,33 $ et une recharge de 30 minutes 5,00 $. Visitez lecircuitelectrique.com pour obtenir plus d’information. Le Circuit électrique Téléphone : 1-855-999-8378 Courriel : [email protected] UNE PREMIÈRE TRÈS VERTE! Un espace de stationnement écologique vert fut aménagé au niveau de la borne rapide, au lieu d'utiliser un revêtement d'asphalte. Cette nouvelle tendance permet à l'herbe de pousser dans les alvéoles des blocs de ciment spécialement intégrés à l'espace de stationnement. Une initiative du comité environnement de Ste-Julie, dont fait partie notre webmestre Martin Archambault!! Nul besoin de peinturer l'espace en vert avec cette place de stationnement végétale! Contribution: François Viau Note de Martin Archambault : Je viens d'aller l'essayer puisqu'elle est presque dans mon jardin ! Tout fonctionne A1
Projet d'autopartage: Bromont en voie d'acheter des véhicules électriques [Journal La Voix de l'Est]17/7/2015 La municipalité de Bromont a récemment emboîté le pas au projet d'autopartage SauvéR. La première phase consistait à tester la Mitsubishi I-Miev durant trois semaines. En parallèle, la Ville devait inventorier sa flotte de véhicules et analyser les besoins de ses effectifs en matière de transport. Jusqu'à maintenant, les résultats semblent concluants. La «Ville branchée» pourrait démarrer un projet pilote dès le début de 2016. «Le but principal du projet d'autopartage, c'est de favoriser le plus possible l'utilisation de véhicules électriques dans notre flotte. On finalise actuellement l'inventaire de nos voitures. Et visiblement, les indications sont claires. On pourrait passer en phase deux bientôt. Si le conseil le veut bien, on pourrait adopter une résolution pour l'achat d'un ou des véhicules électriques plus les bornes de recharge et l'équipement électronique pour faire de l'autopartage», a indiqué en entrevue le directeur général, Jean Langevin, qui mène le projet en partenariat avec la Fédération canadienne des municipalités (FCM).
Rappelons que Bromont a déboursé 30 000 $ pour intégrer le programme chapeauté par le bureau d'experts-conseils YHC Environnement. Le Fonds municipal vert de la FMC absorbera la moitié de la facture. Nicolet, Amqui, Rivière-du-Loup, Témiscouata-sur-le-Lac, Deux-Montagnes et Plessisville complètent le groupe restreint de villes participantes. Certaines municipalités sont par ailleurs «plus avancées dans le processus», a mentionné M. Langevin, citant en exemple Plessisville. En effet, les membres du conseil municipal de la localité des Bois-Francs viennent d'entériner une résolution, le 6 juillet, stipulant que la Ville «s'engage à participer financièrement au projet pilote via l'acquisition d'un ou de deux véhicules électriques à la hauteur maximale de 50 % du coût (valeur du projet calculé par véhicule électrique) ou pour un montant maximal de 30 000 $ par véhicule». Neuf ou usagé? Bien que la Mitsubishi I-Miev ait servi aux essais des villes dans le cadre du projet SauvéR, celle-ci ne figure pas parmi les candidates à motorisation électrique que Bromont a dans la mire, a précisé M. Langevin. Pour le moment, la Ville envisage même l'achat de voitures usagées. «On pourrait avoir un avantage pour un lot de Spark (EV) de GM à bas kilométrage pour l'ensemble du groupe, a expliqué le directeur général. On parle de coûts par véhicule d'environ 57 000 $ (incluant les bornes et les équipements d'autopartage). La moitié [de la somme globale] serait financée par le Fonds municipal vert. Reste à voir si c'est plus avantageux de choisir cette option selon les rabais gouvernementaux.» Or, le programme Roulez électrique chapeauté par Québec, en vigueur jusqu'au 31 décembre 2016, offre des subventions à l'achat ou à la location allant de 2000 $ à 8000 $. Pour être admissibles, les véhicules électriques ou hybrides rechargeables doivent notamment être neufs et provenir du Canada. Selon M. Langevin, de cinq à six mois de livraison sont à prévoir avant de recevoir une voiture prête à intégrer un projet pilote d'autopartage. Sondage En dehors de leur utilisation par le personnel de la Ville, les véhicules verts seraient à la disposition d'organismes communautaires. La plateforme d'échange prendrait forme sur internet. La commission scolaire du Val-des-Cerfs et l'Office municipal d'habitation ont déjà été approchés, mais aucune entente de partenariat n'a été conclue, a précisé le directeur général. Le projet SauvéR pourrait également s'élargir aux résidants bromontois. Dans l'optique de connaître les besoins de ses citoyens en matière de transport, la Ville a lancé un sondage en mai. M. Langevin a indiqué qu'à ce jour, une vingtaine de personnes ont rempli les questionnaires sur le site web de la municipalité (bromont.net/section actualités en date du 27 mai). «L'échantillon n'est pas assez grand pour tirer des conclusions, a-t-il fait valoir. On devrait avoir un meilleur portrait d'ici septembre.» Source: La Voix de l'Est Auteur: JEAN-FRANÇOIS GUILLET Contribution: François Viau ![]() Le Circuit électrique est heureux d’annoncer la signature d’une entente de partenariat avec le Zoo de Granby et la mise en service de deux nouvelles bornes de recharge publiques pour véhicules électriques. Les visiteurs peuvent dès maintenant recharger leur véhicule dans le stationnement principal du zoo, située au 1050, boul. David-Bouchard Nord. « Le Zoo de Granby est fier de faire sa part dans la diminution des gaz à effet de serre par l’ajout de deux bornes d’alimentation de voitures électriques pour sa clientèle et de deux bornes pour ses employés. Nous croyons que ce n’est qu’un début en raison de notre emplacement stratégique comme destination touristique entre Montréal et Sherbrooke et du fait que l’engouement pour cette nouvelle technologie ne devrait cesser de croître », a indiqué le directeur général Paul Gosselin. « Nous saluons l’initiative du Zoo de Granby d’offrir des bornes de recharge pour véhicules électriques à ses visiteurs, a déclaré, au nom des partenaires du Circuit électrique, France Lampron, directrice – Électrification des transports d’Hydro-Québec. En plus de profiter de la recharge de leur véhicule durant leur visite et de faire des économies de carburant, les conducteurs de véhicules électriques contribuent ainsi aux efforts de développement durable du zoo, qui visent à offrir un environnement plus vert. » Le Circuit électrique poursuit son développement en Montérégie, où il compte maintenant 100 bornes de recharge publiques. À propos du Zoo de Granby Le Zoo de Granby est un organisme à but non lucratif, fondé en 1953, dont les missions sont la conservation des espèces menacées, l’éducation, la recherche et l’aventure. Le zoo ne bénéficie d’aucune subvention pour ses opérations. Il emploie au plus fort de la saison touristique plus de 630 personnes. Les retombées économiques directes et indirectes du Zoo de Granby dans sa région sont évaluées à plus de 50 M$ annuellement, une hausse de plus de 75 % depuis 2004. L’AVÉQ organise un autre événement dans Lanaudière mais cette fois-ci avec essais routiers! Nous savons que ces essais sont grandement profitables car même si l'on peut être séduit par un VÉ en le voyant , c'est en l'essayant que le coup de foudre se produit ! L'événement aura lieu le 23 août 2015, de 11h à 16h au Centre Sportif de Brandon. 155 Rue Saint Gabriel, Saint-Gabriel-de-Brandon, QC J0K 2N0 Cet ÉVénement est organisé en partenariat avec le comité «vigilance hydrocarbure de Brandon ». Ce groupe environnemental va surement attirer une foule intéressante et nous pourrons alors mieux faire connaitre nos véhicules. Que vous vouliez être bénévole ou simplement participer aux autres activités présentées , vous êtes tous les bienvenues. Même si la pluie s'en mêle, les activités auront lieu à l'intérieur du complexe sportif. Source : Philippe Janson - Directeur Régional AVÉQ Lanaudière
Contributeur : Martin Archambault Un excellent article, publié à l'occasion du rassemblement et pique-nique organisé par Christine Théwissen du groupe Facebook "Ma Leaf... une passion!" ainsi que Robert Dupuy, porte-parole de L'AVÉQ. Félicitations aux organisateurs pour cette belle initiative, qui a contribué à promouvoir l'électromobilité pour la région de Lanaudière! ÉNERGIE PROPRE. Qui a dit qu'il était impossible de voyager avec une voiture 100 % électrique au Québec et ailleurs? Christine Théwissen et son conjoint parcourront plus de 1300 km en Nissan Leaf 100 % électrique, de Gatineau à l'Île-du-Prince-Édouard pour leurs vacances. Ils étaient de passage à Terrebonne avec une trentaine d'autres propriétaires de véhicules électriques et l'Association des véhicules électrique du Québec (AVÉQ) pour en faire la promotion. « En quittant Terrebonne, nous arrêterons trois fois d'ici à Québec pour profiter des bornes à recharge rapide, puis y dormir. Ensuite, comme il n'y a plus de bornes à recharge rapide, c'est plus long à recharger, mais on se rend ainsi jusqu'à Edmundston au Nouveau-Brunswick pour y dormir. Le lendemain, on se rend à Fredericton dans un camping où ils n'ont jamais vu ça. On leur a demandé si on pouvait utiliser leur prise électrique et ils étaient super contents de nous accueillir », explique Mme Théwissen, instigatrice du rassemblement. Enfin, les deux voyageurs ont apporté leur chargeur personnel en cas de besoin. « On a simplement besoin d'une prise 240 volts de 50 ampères pour se recharger », explique André, conjoint de Christine Théwissen. Évidemment, le transport fait aussi partie du voyage. « On a étiré pour pouvoir en profiter pleinement lors de nos arrêts. Voyager n'aura jamais été aussi relax! », ajoute l'électromobiliste. Des incitatifs? « Vous savez, plutôt que de partir sur l'autoroute, les deux yeux fermés sur ce qu'il y a au passage, on en profite pour visiter les lieux que l'on traverse! », renchérit Robert Dupuy, président de l'Association du Parti québécois Terrebonne, et un fervent défenseur de la voiture électrique. Il en possède d'ailleurs deux. Il a aussi récemment été nommé porte-parole de L'AVÉQ. Pour l'occasion, le député Mathieu Traversy était présent. Récemment converti (il attend sa volt 2016), il prône l'électrification des transports et les incitatifs à la voiture électrique. L'AVÉQ aussi pousse pour une loi zéro émission, comme dans certains états aux États-Unis. Cette loi fixerait « des objectifs de vente de véhicules branchables aux manufacturiers de véhicules automobiles neufs ». Un tel projet de loi a été déposé en avril dernier par la députée péquiste Martine Ouellette, loi qui n'a toujours pas été débattue. Les pour et les contres Évidemment, il ne peut pas y avoir que de bons côtés. À l'achat, la voiture électrique est substantiellement plus chère. Une Nissan Leaf, avant crédit provincial de 8000 $, coûte 31 000 $ environ. Les prix varient d'un modèle et d'une marque à l'autre. « Toutefois, après trois ans, vous aurez économisé plus de 1000 $ si on compare avec une Honda civic », explique François Viau, responsable du programme de jumelage pour essais routiers de l'AVÉQ. Côté autonomie et crainte d'une panne, il y a encore beaucoup de chemin à faire pour convaincre la majorité. L'accessibilité aux bornes de recharge est essentielle. L'AVÉQ fait beaucoup de représentation actuellement pour augmenter le nombre de bornes au pays. Une lettre a d'ailleurs été envoyée aux candidats pour les prochaines élections fédérales. Quelques chiffres -Nombre de voitures électriques (VÉ) au Québec au 31 mai 2015 : 6167 -Le propriétaire moyen du VÉ est un homme de 45 ans avec un salaire annuel médian de 65 000 $ -Légère diminution du kilométrage parcourable d'environ 10-15 % en hiver -95 % des déplacements en voiture en une journée sont plus bas que l'autonomie moyenne actuelle d'un VÉ, soit 150 km. Source: Journal Le Trait d'Union Contribution: François Viau ![]() Il y a quelques mois, le Terrebonnien Robert Dupuy a été nommé porte-parole de l’Association des Véhicules Électriques du Québec (AVÉQ). Depuis, l’électromobiliste transmet «la bonne nouvelle» à la communauté d’ici et d’ailleurs, qu’il souhaite sensibiliser aux nombreux avantages de se tourner vers les voitures électriques. C’est à la suite d’une émission diffusée sur les ondes de la Télévision régionale des Moulins que M. Dupuy a été approché par l’AVÉQ pour remplir ce nouveau mandat. Invité à l’émission «Point de vue» pour parler des voitures électriques, de leur historique et des modèles disponibles au Québec, il semble avoir séduit l’Association par ses connaissances et son talent de communicateur. «Depuis, je fais l’évangélisation, confie-t-il en riant. Le directeur général de l’AVÉQ et son président agissent déjà comme porte-paroles de l’organisme, mais quand des activités sont organisées, mon rôle est de contribuer à ces événements, de faire le pont avec les médias et de sensibiliser les gens.» Deux voitures, une passion Étant lui-même propriétaire de deux véhicules électriques, il est un électromobiliste convaincu. «C’est le bonheur total! J’ai acheté une Nissan LEAF en décembre, un véhicule 100 % électrique. Puis, plus récemment, j’ai fait l’acquisition d’une Chevrolet Volt, qui fonctionne à l’électricité, mais qui est aussi munie d’une génératrice qui recharge les batteries lorsque nécessaire. Je reviens d’ailleurs d’un voyage de 3 300 km aux États-Unis avec cette voiture et ça ne m’a coûté que 120 $. J’ai économisé des centaines de dollars en essence.» Si le côté économique des voitures électriques l’interpelle, beaucoup d’autres raisons expliquent qu’il se soit tourné vers cette option. «Les véhicules électriques sont très agréables à conduire. En plus, ils sont extraordinaires pour l’environnement, et comme l’électricité est produite au Québec, l’argent investi en énergie reste chez nous. Enfin, ce sont toutes des voitures de milieu de gamme ou haut de gamme, qui sont donc très bien équipées.» Quant à l’accessibilité aux bornes de recharge, le porte-parole de l’AVÉQ se fait rassurant. «Il y a plus de 800 bornes au Québec et elles sont toutes à proximité des autoroutes.» Source: La Revue Contribution: François Viau Juin 2015 Alors que la Chevrolet Volt est en fin de vie dans sa première génération, les ventes s’avéraient quelque peu décevante depuis quelques mois pour ce modèle. Puisqu'il faut bien écouler les inventaires en attendant la nouvelle génération dans sa mouture 2016, des promotions intéressantes commencent à faire leur apparition au pays. Résultat : le meilleur mois pour la Volt depuis septembre 2014 avec 120 ventes en juin (dont 91 au Québec)! C'est le premier résultat dans les trois chiffres cette année, et c'est même suffisant pour dépasser la Nissan LEAF qui se vend à 101 exemplaires ce mois-ci. Pour la Volt, il s'agit toutefois d'une baisse notable par rapport à l'an dernier. Pour la LEAF, qui se maintient, c'est aussi un bon résultat pour une voiture qui pourrait également être améliorée sous peu. Selon les commentaires notamment au centre de service Tesla de Toronto, la Tesla Model S continue de se vendre comme des petits pains chauds. Ainsi, il est à prévoir que la luxueuse berline soit encore première dans les ventes sur le marché canadien en juin! La BMW i3, le 4e joueur sur le marché connaît son meilleur mois avec 49 ventes (voir erratum plus bas), ça se compare très avantageusement au 28 de l'an dernier. Quant à la Mitsubishi i-Miev, avec 16 ventes, elle performe encore une fois mieux que l'an dernier! Chez Cadillac, la ELR affiche seulement 3 ventes (toutes au Québec), tout comme la Porsche 918 Spyder. Nous estimons que les ventes devraient continuer à être stables dans les prochains mois, en attendant la Tesla X, la nouvelle Volt et la possible Leaf améliorée, ainsi que l'arrivée de tous les nouveaux modèles à moindre potentiel qu'on verra possiblement à l'automne. En espérant nous tromper et que les Canadiens prennent un plus fort virage électrique. À la mi-saison, on constate que la Tesla Model S, la Nissan LEAF, les BMW i3 et i8, la Mitsubishi i-Miev, la Kia Soul EV, la Cadillac ELR, la Chevrolet Spark EV et la Porsche 918 Spyder performent mieux que l'an dernier. Au total, le marché canadien des voitures électriques est en croissance, contrairement aux États-Unis où il y a pour l'instant un ralentissement. Bravo. Retour sur mai 2015 Mai 2015 s'est avéré un bon mois au Canada pour les voitures électriques. La Tesla Model S se positionne encore comme leader des ventes, comme à chaque mois depuis le début de l'année et pour un 6e mois consécutif avec 178 ventes! La petite smartED et la rutilante BMW i8 se sont toutes les deux vendues à 25 exemplaires, un record pour cette dernière. La Kia Soul EV avec un incroyable 12 ventes offre son meilleur mois en 2015... Est-ce le signe d'une nouvelle tendance? La Ford Focus EV avec 7 ventes (meilleure performance depuis juin 2014) et la Chevrolet Spark avec 7 ventes également (un record de tous les temps) contribuent également à ce bon mois de mai. Le tableau suivant reprend la situation au mois de mai avec le portrait complet: Erratum sur les ventes de BMW i3 :
Malheureusement, les statistiques de ventes de BMW i3 depuis le début de l'année sont revues à la baisse, car elles incluaient les ventes de i8 également. Sources: www.goodcarbadcar.net, www.roulezelectrique.com, www.greencarreports.com, www.insideevs.com L'horaire des conférences est maintenant finalisé. Nous avons 10 exposants qui ont confirmé leur présence. Contribution
L'AVÉQ souligne la contribution de l'équipe régionale de la Capitale-Nationale pour l'organisation de l'événement :
Vous êtes cordialement invités au premier déjeuner des bénévoles AVÉQ des Laurentides!
Date : le samedi 18 juillet, à 10h Endroit : Coco Frutti de Blainville Au programme : faire connaissance et discuter des activités prévues pour notre belle région dans les prochains mois. Également, je vous remettrai chacun une petite surprise à l'effigie de l'AVÉQ. Merci de confirmer votre présence dès que possible. Au plaisir de vous rencontrer en grand nombre! Caroline Lachance, Directrice régionale, Laurentides Association des Véhicules Électriques du Québec [email protected] // www.aveq.ca P.S. Avis aux intéressés : nous sommes à la recherche d'un(e) directeur(trice) adjoint(e) pour notre région. Communiquez avec moi pour en savoir davantage. Source : Caroline Lachance Contributeur : Martin Archambault ![]() Le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), Hydro-Québec et sa filiale SCE France, annoncent la signature de deux ententes qui favoriseront le développement de technologies performantes qui soutiendront l’électrification des transports terrestres. Un premier accord entre Hydro-Québec et CEA Tech, le pôle recherche technologique du CEA, concerne la recherche et le développement de la recharge rapide des autobus électriques, un des éléments-clés dans l’arrivée d’un plus grand nombre d’autobus propulsés à l’électricité. Le deuxième accord, intervenu cette fois entre SCE France et CEA Tech, porte sur le développement d’une nouvelle génération de matériaux de batteries lithium-ion sécuritaires, performantes et pouvant être produites à faible coût. « CEATECH est un acteur de premier plan en innovation. Les projets de recherche que nous mènerons ensemble contribueront de manière significative à transférer des technologies de haut niveau vers l’industrie. Les ententes permettront de valoriser l’expertise qu’Hydro-Québec a déployée dans les matériaux de batteries », souligne M. Karim Zaghib, directeur - Stockage et conversion d'énergie à l'IREQ et président de SCE France. « S’inscrivant dans le cadre du déploiement de CEA Tech sur le territoire national, cette association avec Hydro-Québec permettra de renforcer la thématique stockage de l’énergie en région Aquitaine aux côtés d’un acteur qui présente une maitrise historique des technologies lithium » indique Jean Therme, directeur de CEA Tech. À propos du CEA et de CEA Tech Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : les énergies « bas carbone » (nucléaire et renouvelables), les technologies pour l’information et les technologies pour la santé, les Très grandes infrastructures de recherche (TGIR), la défense et la sécurité globale. CEA Tech, le pôle recherche technologique du CEA, réunit 4500 ingénieurs-chercheurs qui se consacrent à l’innovation au service de l’industrie. Grâce à ses trois instituts thématiques - Leti, Liten, List - il développe et diffuse des technologies clés génériques? pour tous types d’entreprises et tous types de secteurs industriels en assurant une passerelle efficace entre la recherche fondamentale et les applications. Avec 600 brevets déposés par an, CEA Tech contribue à la montée en gamme des produits français et apporte un gain de compétitivité à ses partenaires industriels par la performance et la différenciation des produits. Il collabore avec une cinquantaine de grands groupes, 500 PME/ETI et 145 clients internationaux. CEA Tech a créé avec ses partenaires plus de 20 000 emplois dans son écosystème grenoblois, et, depuis 2013, diffuse cette mission dans l’ensemble du territoire national à travers ses « plates-formes régionales de transfert technologique ». Il s’implante ainsi dans 5 régions supplémentaires, Midi-Pyrénées (Toulouse), Aquitaine (Bordeaux), Pays de La Loire (Nantes), Lorraine (Metz), Nord – Pas-de-Calais et renforce ses activités en PACA. www.cea-tech.fr * Biotechnologies, micro et nano électronique, nanotechnologie, photonique, matériaux avancés, systèmes de production avancés Source: Hydro-Québec Contributeur: Simon-Pierre Rioux Rassemblement des amateurs de véhicules NISSAN LEAF et autres VÉs ce dimanche 12 juillet à Terrebonne Les membres du groupe Facebook "Ma LEAF... une passion !" se rassemblent ce dimanche 12 juillet à 11 heures au Parc de l'île des Moulins à Terrebonne. ![]() Le concept est simple... Un pique-nique sans prétention, entre amateurs de la marque ainsi que des propriétaires d'autres modèles de VÉs tout aussi passionnés, question de passer un bon moment et échanger en dehors des traditionnels événements pour la promotion de l'électromobilité. Tout le monde est bienvenue, membre de la page FB ou non, NIssan Leaf ou autres VÉs!! Christine Théwissen et plusieurs autres membres de l'AVÉQ y seront présents. Un excellent moment pour poser des questions, se renseigner et constater à quelle point la fraternité est présente au sein des électromobilistes québecois. On nous a même confirmé que le maire de Terrebonne serait de la partie, donc on pourrait même s'attendre à ce qu'il y ait une certaine couverture médiatique! Joignez-vous en grand nombre! Source : Christine Théwissen - AVÉQ Outaouais
Contribution : Martin Archambault la BRCC du Circuit Électrique est maintenant en fonction à Drummondville.
Cette dernière est située au St-Hubert Express, 125 boul. St-Joseph, Drummondville, Québec, J2B 7P5 Elle est accompagnée de deux autres bornes de niveau 2. Avec celle de Ste-Julie qui devrait être en fonction d'une semaine à l'autre, le corridor Montréal Québec sera bientôt aussi bien couvert par l'autoroute 20 que par l'autoroute 40. Source : Le Circuit Électrique Contributeur : Martin Archambault ![]() Aujourd'hui, au Sommet des Amériques sur le climat, IKEA Canada a annoncé le déploiement à l'échelle nationale de bornes de recharge pour véhicules électriques (VÉ) à chacun des 12 magasins exploités par la société au Canada. Ce déploiement, qui devrait être terminé à la fin du mois d'août de cette année, représente la première installation de bornes de recharge pour VÉ effectuée au Canada par un détaillant sur tous ses sites. Le service sera offert gratuitement aux clients, sur le principe du premier arrivé, premier servi. IKEA s'est associée à Sun Country Highway pour réaliser ce projet qui comprend l'installation de deux bornes de recharge SCH-60 de niveau 2 de 60 ampères. « L'installation de bornes de recharge pour VÉ sur tous les sites des magasins d'IKEA Canada renforce notre engagement en faveur du développement durable », a affirmé Stefan Sjostrand, président d'IKEA Canada. « Nous consacrons de grands efforts à trouver des solutions à la crise climatique mondiale et à maximiser l'accès aux sites de nos magasins, et nous pensons que cette initiative est un pas dans la bonne direction sur ces deux fronts. » Les magasins IKEA Canada sont situés à proximité des principaux corridors de transport, et une visite typique à un magasin IKEA laisse suffisamment de temps à un conducteur de VÉ pour recharger sa batterie, ce qui lui permet d'augmenter son autonomie de déplacement et d'éviter l'angoisse de la panne. « Les bornes de recharge des VÉ constituent une étape importante de la démarche soutenue d'IKEA Canada en faveur du développement durable », a souligné Brendan Seale, directeur du développement durable, IKEA Canada. « Le secteur du transport est l'une des plus importantes sources d'émissions de carbone et d'émissions liées au climat; nos bornes de recharge de VÉ contribueront à encourager nos clients à adopter des moyens de transport émettant moins de carbone pour se rendre dans les magasins IKEA. » IKEA fait tout son possible pour transformer l'entreprise afin de s'assurer qu'elle est bien préparée pour le futur et qu'elle peut avoir une incidence positive sur la planète. Cette approche comprend l'adoption totale de l'énergie renouvelable en investissant dans l'éolien et le solaire. Dans le cadre de son engagement en matière de développement durable, IKEA Canada a investi dans un parc éolien de 46 mégawatts en Alberta, dans près de 4 000 panneaux solaires installés sur le toit de trois de ses magasins en Ontario et dans ses installations à énergie géothermique, les plus importantes du genre, situées au Manitoba. À l'échelle mondiale, IKEA a également pris l'engagement de devenir indépendante sur le plan énergétique d'ici 2020. Au Canada, le détaillant a plus que dépassé son objectif en 2015 et a été reconnu comme l'un des employeurs les plus écologiques pour la 7e année de suite. « Les véhicules électriques sont actuellement la technologie la plus importante dont nous disposons pour réduire la pollution due aux émissions de gaz à effet de serre dans le secteur du transport en Ontario », a souligné Glen Murray, ministre de l'Environnement et de l'Action en matière de changement climatique. « Au cours des prochaines années, le gouvernement de l'Ontario s'attend à voir davantage de détaillants et d'employeurs franchir cette étape importante pour promouvoir le transport durable en installant des infrastructures de recharge. Ces installations témoignent d'un bon sens des affaires et contribuent à réduire l'empreinte carbone des déplacements pour se rendre dans les magasins. »
À l'échelle mondiale, le Groupe IKEA et la Fondation IKEA ont récemment engagé un milliard d'euros supplémentaires en faveur de l'action en matière de changement climatique, soit un montant de 600 millions d'euros engagé par le Groupe IKEA dans des investissements dans l'énergie renouvelable et un montant de 400 millions d'euros engagé par la Fondation IKEA pour soutenir les communautés les plus touchées par le changement climatique. À noter que l'AVÉQ et Stéphane Daoust de Sun Country Highway s'étaient impliqués dans ce dossier dès 2013. Un long processus qui aura finalement donné d'excellents résultats! La demande pour des bornes à Montréal s'est transformée en un intérêt pour des bornes pour le Canada au complet. Le délai dans l'investissement (2 ans!) avait été attribué à des conditions économiques plus difficiles à ce moment pour repousser l'achat et l'installation de ces infrastructures. Source: Ikea Canada Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]() L’évènement de l’Assomption est terminé et il s’est très bien déroulé. Nous aimerions dire un gros merci à RPM-AUTOPASSION.CA qui a pris en charge l’organisation pour les voitures antiques et les spectacles musicaux. Merci aussi à la Ville de L’Assomption pour leur soutient ainsi que l'Association des commerçant locaux. Un merci particulier et à un membre de l’AVÉQ, Denis Michaud, qui a su saisir l’opportunité et ainsi s'assurer que l'AVÉQ se joigne à l'événement. Nous n’avons pas fait d’essais routiers cette année mais nous avons parlé à plus de 200 personnes. Ce fut une journée très productive. Nous avions sur le site des Leaf, Volt, Imiev, Smart, Tesla, Bmw, et Soul! Nous étions bien placé sur la rue principale avec beaucoup de visibilité. Nous reprendrons l'événement l'an prochain mais en plus gros et avec des essais routiers, des motos électriques et encore plus d'intervenants. Source : Philippe Janson , Directeur régional - AVÉQ Lanaudière Contribution : Martin Archambault «Les véhicules électriques (vé) ne sont pas destinés aux grands centres urbains. ils sont parfaits pour ceux qui ont quelques dizaines de kilomètres à parcourir au quotidien, davantage que pour les citoyens de la ville», affirme Samuel Jeanson.
D'abord, il faut avoir accès à une prise électrique à la maison, rappelle son frère Hugo, copropriétaire de 3e génération de Bourgeois Chevrolet, la concession qui vend plus de voitures électriques que quiconque au Canada. Une véritable force chez eux, car ils savent faire tomber les préjugés et vous prouver la rentabilité d’un VÉ. Voilà pourquoi ils battent des records de vente de Chevrolet Volt, malgré que leur concession GM soit située dans une petite communauté éloignée de Montréal. Les frères Jeanson sont de vrais passionnés de VÉ, notamment des Volt et Spark EV, qu’ils vendent sans répit depuis plus de deux ans. Et ça ne risque pas de ralentir avec l’arrivée prochaine de la Volt améliorée de deuxième génération. Le tandem est très actif dans les évènements qui font la promotion des VÉ. Croisés récemment lors de l’évènement Branchez-vous au Circuit Gilles-Villeneuve, les frères Jeanson m’ont invité à visiter leur concession. La première chose qui saute aux yeux, c’est la centaine de Volt neuves et d’occasion dans la cour : « Nous croyons en ce produit et nous transmettons cette passion aux visiteurs. Il est rare qu’un client de la maison vienne d’abord pour acheter une voiture électrique, mais comme l’électrique peut répondre à ses besoins (le cas de 99 % des clients, selon eux !), nous n’hésitons pas à le persuader de faire le saut », me lance Samuel avec conviction. En effet, l’an dernier, le tiers des ventes concernait des Chevrolet Volt, neuves ou d’occasion. L’achat d’un véhicule électrique: une expérience en soi Bourgeois Chevrolet a récemment reçu le prix 2014 remis à la concession canadienne ayant vendu le plus grand nombre de voitures enfichables (214 plug-in électriques sur 600 unités vendues au total). Cette année, les frères Jeanson visent encore plus de ventes de VÉ, c’est-à-dire 300, et ils aimeraient en vendre davantage aux clients de parcs commerciaux. « Nous sommes prêts à faire des pieds, des mains et des kilomètres pour persuader les entreprises de rouler électrique ! Lorsque vient le temps de vendre une voiture électrique, rien ne nous arrête. Nous sommes prêts à amener des VÉ aux quatre coins de la province pour une semaine ou deux d’essais routiers, afin que les utilisateurs constatent par eux-mêmes ce qui nous passionne tant ! » En juin dernier, les frères lançaient justement un projet pilote où l’on prêtera deux Volt et deux Spark EV à Pratt & Whitney pour que les employés intéressés les mettent à l’essai dans la vie de tous les jours. Et vous, ça vous donne des idées vertes ? Source: CamAUTO / Stéphane Quesnel Contributeur: Simon-Pierre Rioux C’est en janvier 2014 que, muni de son plan d’affaires, Philippe Louisseize rendait visite à son Centre local de développement (CLD) pour obtenir de l’assistance au démarrage de son entreprise de location de voitures.
Plutôt que d’obtenir de l’aide passive au démarrage, il a plutôt rencontré Félix Normandin, le conseiller qui allait devenir son partenaire dans l’entreprise. « Pour assouvir ma passion de l’automobile, j’avais alors en tête de fonder une entreprise de location de voitures anciennes. Félix Normandin, comptable, m’a plutôt suggéré d’opter pour un parc de voitures électriques. Il s’avère que l’idée était si bonne que M. Normandin s’y est joint !» me raconte M. Louisseize. « Nous nous sommes dit que, tant qu’à essayer de sauver le monde, nous devrions le faire sans compromis. Nous avons donc décidé de laisser de côté les hybrides et de choisir les voitures 100% électriques.» Les deux partenaires ne connaissaient alors rien à l’auto électrique. Ils en ont donc mis une à l’essai en plein mois de février, à la limite de son autonomie, histoire de vérifier si l’anxiété qui freine les utilisateurs potentiels est justifiée... Puis, en avril, Location EEKO a fait l’acquisition de sa première voiture électrique. Un passionné destiné au monde automobile « Auparavant, je travaillais comme ingénieur mécanique pour une entreprise fabricant des godets pour excavatrices. Je n’arrivais toutefois pas à me motiver au sein de cette industrie, ce qui a fait naître en moi le désir de devenir entrepreneur. Ma réelle passion pour les voitures m’avait d’abord poussé à étudier l’ingénierie. Déjà, au secondaire, je m’intéressais aux technologies alternatives (en particulier la GM EV1 et la quasiturbine). Durant mes études supérieures, j’ai conçu deux véhicules (une formule SAE, puis un véhicule Supermileage qui a parcouru 917 km avec un seul litre d’essence). Aujourd’hui, on observe un véritable attrait pour l’électrique. « Chaque fois que nous participons à un évènement de véhicules électriques, les gens nous disent que leur prochain véhicule sera un VÉ, ou bien qu’ils attendent que les batteries offrent 300 km d’autonomie par charge. Considérant que les ventes augmentent à un rythme de presque 100 % par année, et que 97% des «convertis» affirment qu’ils ne retourneront jamais à l’essence, il y a de bonnes raisons de croire que ça continuera d’augmenter », analyse M. Louisseize. « Notre rôle consiste aussi à former les apprentis électromobilistes, car on ne laisse pas partir un client sans qu’il ait toutes les connaissances utiles pour éviter la panne. Qui sont les clients? La majeure partie de nos clients se compose de curieux qui songent à faire l’achat d’un VÉ, et qui veulent se rassurer avant de passer à l’action. Par ailleurs, il y a les propriétaires de VÉ – de plus en plus nombreux – qui exigent souvent de leur assureur une voiture électrique durant une réparation d’accident, par exemple. Location EEKO est donc en mesure de fournir un véhicule de remplacement. Les prochaines cibles de Location EEKO sont les secteurs d’affaires et touristique, et on a déjà des plans pour ouvrir d’autres centres au Québec et ailleurs. Source: CamAUTO / Stéphane Quesnel Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]() Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et M. Aref Salem, responsable du transport au comité exécutif, annoncent le lancement de l'appel d'intérêt international pour le déploiement à Montréal d'un réseau de véhicules en libre-service (VLS) électriques. « En avril, nous avons annoncé notre plan pour que Montréal devienne un leader mondial en matière d'électrification des transports et de développement durable. Nous tenons notre engagement en lançant aujourd'hui l'appel d'intérêt international, qui est la première grande étape du déploiement d'un important réseau de véhicules électriques en libre-service et de bornes de recharge. Cet appel d'intérêt permettra de mesurer l'intérêt des partenaires pour ensuite développer un modèle propre à Montréal, qui répondra aux besoins des citoyens. Déjà, nous pouvons vous annoncer que ce modèle s'intégrera au cocktail de transport public et qu'il sera en complémentarité avec les services offerts par nos partenaires, dont le Circuit électrique d'Hydro-Québec », a déclaré le maire de Montréal. Prochaines étapes Suite à la réception des manifestations d'intérêt des entreprises, la Ville de Montréal analysera les différentes options avec l'aide de ses partenaires et raffinera son modèle d'affaires en intégrant les suggestions des répondants en vue du déploiement du réseau de bornes. D'ici cinq ans, la Ville de Montréal souhaite ainsi desservir l'ensemble des arrondissements avec l'implantation d'un réseau de plus de 1000 points de recharge dans le cadre du programme du Circuit Électrique, en vue de mettre en place un service de 1000 véhicules électriques en libre-service. Les véhicules doivent offrir un minimum de 150 kilomètres d'autonomie et de 4 places assises. « La Ville de Montréal, avec son Plan de transport, s'est engagée à transformer et améliorer le système de transport à Montréal. Nous croyons qu'en misant sur les nouvelles technologies, nous pourrons identifier et développer des stratégies efficaces pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre. C'est pourquoi nous avons adhéré au Zero Emission Market Acceleration Partnerships (Zero MAP Emission), une plate-forme internationale d'échanges avec une vingtaine d'états, de villes et de provinces sur l'électrification des transports », a ajouté M. Aref Salem. Rappelons que Montréal accueillera, en 2016, EVS29 - la 29e édition du Electric Vehicle Symposium, considéré comme le plus grand rassemblement d'experts internationaux dans le domaine de l'électrification des transports. Source: Ville de Montréal Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]() Nous avons le plaisir de vous convier à la 2e édition du DÉFI VÉ500 qui se tiendra le 15 août prochain sur le site du Terminus de Saint-Jean-sur-Richelieu de 9h à 12h. L’accès est gratuit ! Cet événement sera une occasion unique de fraterniser et discuter avec des propriétaires, en plus d’avoir la possibilité de faire des essais routiers. De plus cette année, afin de vous présenter une deuxième édition plus ludique, le DÉFI VÉ500 se déplacera à compter de midi sur le site de l’International de montgolfières de Saint-Jean-sur-Richelieu avec lequel il s’est associé pour y accueillir les propriétaires de VÉ qui auront répondu à l’invitation. Les participants auront l’occasion de se procurer des billets d’entrée sur le site du Terminus et ce, à un tarif préférentiel, en plus d’être accueillis sous le chapiteau de Tourisme Saint-Jean-sur-Richelieu et du Conseil Économique du Haut-Richelieu. Les propriétaires de véhicules électriques qui désirent obtenir plus d’informations ou qui souhaitent participer au grand rassemblement sont invités à visiter le site Internet au www.defive500.ca ou suivez-nous sur notre page Facebook !
N’OUBLIEZ PAS D’ALLER VOUS INSCRIRE AU WWW.DEFIVE500.CA Nous vous invitons à transmettre cette invitation à vos amis et partenaires afin de faire un succès de cet événement ! Au plaisir de vous y accueillir, Source : Sylvie Brosseau, Secrétariat St-Jean-sur-Richelieu Contributeur : Martin Archambault Le weekend dernier, Christine Théwissen de l'AVÉQ Outaouais et son conjoint (André LeBlanc) ont accueilli Sébastien Gall (Seb Gallou) qui est fondateur et administrateur du site Facebook « LEAF France Café », reconnu comme une association officielle en France. ![]() Il venait en visite au Québec avec sa famille et Christine l'a convaincu à faire un tour dans sa région pour visiter Ottawa et Gatineau. Christine est devenue membre de son groupe Facebook un peu avant la création de son propre site « Ma LEAF… une passion! », en octobre dernier. Sébastien est ensuite devenu membre de la page Facebook de Christine à son tour. À travers les mois, les deux ont multiplié les échanges. Les membres respectifs des deux sites Facebook aussi. Les discussions portaient sur les différences entre les véhicules des deux pays, les infrastructures, les bornes de recharge, les programmes offerts, le soutien du gouvernement, l’implication de Nissan… et bien sûr l’hiver rude que nous avons vécu alors qu’eux se plaignaient du -5C qu’il pouvait faire en France. ![]() Le souper de ce weekend avait pour but de renforcir le lien d’amitié et de communauté entre les deux groupes ainsi que d’augmenter la diversité des échanges pour pouvoir en apprendre davantage. Les participants ont pu découvrir ce qui se passe en France. Entre autres sur le fait que Nissan Europe installe gratuitement des bornes rapides un peu partout en France et encourage le site de « LEAF France Café ». Bien que Nissan France avance lentement dans la livraison de sa promesse, c’est tout de même des BRCC gratuites! Seb était surpris du manque d’infrastructures de ce côté-ci de l’océan et ne cessait de chercher l’emplacement des bornes. « Mais où sont les bornes ? » Il n’en revenait pas qu’il y en avait si peu et que les centres d’achats n’en avaient pas plus. Leur manque de visibilité le frappait aussi. Il est reparti avec un grand respect pour ce que vivent les électromobilistes d'ici, car nous devons composer avec bien des lacunes en plus des hivers qui dévorent notre autonomie. ![]() En plus de visiter Ottawa, Christine a escorté la petite famille jusqu’à Montebello pour leur trajet jusqu’à Trois-Rivières et ils ont tous visité le Parc Omega sans oublier la borne du Château Montebello. Ce fut une fin de semaine riche en échanges, en rires, en encouragements et surtout en amitié. Vive l’électromobilité! Source : Christine Théwissen, AVEQ Outaouais
Contribution : Martin Archambault Les trois propriétaires de voitures électriques rencontrés à Amos partagent les mêmes préoccupations: l'économie monétaire et la protection de l'environnement.
Ces économies sont particulièrement significatives pour Félix Dumont, 19 ans, qui est possiblement le premier propriétaire d'un véhicule 100 % électrique en Abitibi, une Nissan Leaf achetée usagée il y a trois mois. Voyez aussi: Ils partagent leur passion pour la voiture électrique «Je suis livreur chez Morasse à Rouyn-Noranda et je parcours 150 km par jour. On a une borne installée au restaurant. Depuis trois mois, j'ai roulé 10 000 km et ça coûte en moyenne 1,24 $ du 100 km en électricité. Le moteur est puissant, la voiture possède une bonne tenue de route et est très spacieuse pour une compacte. Mon but était d'abord d'économiser sur l'essence, mais je me suis finalement retrouvé avec un véhicule performant que j'aime beaucoup», fait-il valoir. Pour le moment, Félix n'entrevoit que deux problèmes à l'horizon. D'abord, le garage le plus près pour réparer sa Leaf est à Timmins. Puis, il n'y a pas de bornes de recharge dans la Réserve faunique La Vérendrye. «Je peux faire entre 120 et 200 km avec ma pile. Il me faudrait dormir dans un camping en route pour recharger. L'idéal serait d'avoir des bornes à Dorval Lodge et au Domaine», estime-t-il. Une suite logique Pour Alexandre Mercier, il s'agit d'une suite logique. Cet ingénieur mécanique se spécialise en efficacité énergétique. «C'est la première raison pour laquelle je me suis intéressé aux voitures électriques. Au Québec, l'électricité est une énergie propre. J'ai fait mes recherches et j'ai réalisé que l'économie monétaire était aussi très importante», souligne-t-il. Avec l'aide d'un site internet, il compile d'ailleurs toutes ses données. Il sait par exemple que sur 22 000 km, il a en roulé 73 % à l'électricité et 27 % à l'essence. «Ce qui tue mes statistiques, c'est que nous avons fait cinq voyages à l'extérieur, ce qui représente 6000 de mes 8000 km à l'essence. J'ai fait une moyenne de 2 litres aux 100 km, mais sans les voyages, j'aurais été plus près du litre», croit-il. Rattraper l'écart en 3 ans Selon lui, l'économie monétaire demeure un argument de taille. Il a bon espoir de récupérer l'écart du coût d'achat de sa Volt en trois ans. «Il y a un rabais sur les assurances. On dit que les frais d'entretien représentent 20 % de ceux d'une voiture à essence. Il existe des subventions pour s'installer une borne électrique à la maison. Si Hydro-Québec utilise ses nouveaux compteurs intelligents pour moduler ses tarifs, il sera possible d'économiser encore plus en rechargeant dans les moments où ça coûte le moins cher», précise celui qui assure que le prochain 2e véhicule de la famille sera 100 % électrique. Un plein depuis le 21 avril Joël Côté s'imaginait mal parcourir autant de kilomètres pour aller travailler chaque jour avec une voiture à essence. Il ne regrette nullement le choix qu'il a fait, il y a 2 ans et demi. «J'ai fait le plein d'essence le 21 avril, je roule 220 km par jour et même si on parle d'un cycle de 60 km pour la batterie, je suis toujours sur ce même réservoir», fait-il valoir. Cet article en est un autre qui s'ajoute à ceux déjà publiés sur ce premier éVÉnement AVÉQ du genre en Abitibi. Ceci démontre une fois de plus l'importance de ces événements qui s'inscrivent en plein dans le cadre de la mission de l'AVÉQ, soit la promotion de l'électrification des transports dans la population du Québec. Suite à la lecture de ces articles, des milliers de personnes à travers le Québec auront un nouvel intérêt envers les VÉ, et disposeront maintenant d'outils de qualité afin d'en apprendre davantage. Encore merci à nos propriétaires bénévoles ainsi que nos directeurs régionaux qui font un travail formidable car sans eux, ces événements ne pourraient avoir lieu. Source: L'Écho Abitibien Le Citoyen Contribution: François Viau ![]() Article publié dans le Soleil ainsi que dans La Presse en ce lundi 6 juillet : (Québec) L'association des véhicules électriques du Québec (AVEQ) de la région de la capitale nationale tiendra un «rendez-vous électrisant» à Sainte-Famille, à l'île d'Orléans, le samedi 25 juillet. De 9h à 16h, il sera possible pour la population de s'informer sur les véhicules électriques au terrain de balle de Sainte-Famille, situé au 3528, chemin Royal. L'événement sera remis au lendemain en cas de pluie. Sur place, des véhicules électriques seront mis à la disposition des visiteurs pour de courts essais sur un circuit prédéterminé. Parmi ces voitures, souvent la propriété de membres de l'AVEQ, au moins quatre modèles ont été confirmés, soit la Kia Soul EV, la Nissan Leaf, la Tesla Model S et la Mitsubishi i-MiEV. Le quadricycle Twizy de Renault sera aussi disponible pour les essais. Selon Pierre Langlois, ingénieur et directeur régional adjoint à l'AVEQ, la BMW i3, la Chevrolet Spark EV, ainsi que le vélo électrique Smart eBike restent à être confirmés. De plus, des exposants seront présents sur place afin d'informer les gens sur les véhicules électriques et les bornes de recharge offertes sur le marché. Conférences À cela s'ajoutent des conférences sur l'électrification dans les transports. La première sera offerte par «un autre» Pierre Langlois, celui-là physicien, auteur du livre Rouler sans pétrole et conférencier réputé. Sa conférence aura pour thème les enjeux de l'électrification des transports au Québec représentant une solution intéressante pour réduire les gaz à effet de serre. La seconde, donnée par Stéphane Daoust d'Éco Route Québec, traitera des bornes de recharges. Enfin, M. Langlois, de l'AVEQ, exposera tout ce que les conducteurs doivent connaître au sujet des voitures électriques. Pourquoi tenir cet événement à l'île d'Orléans? L'AVEQ a qualifié cet endroit de «paradis des électromobilistes» dans son site Internet. «L'île d'Orléans compte 67 kilomètres de route sillonnant son territoire, pas moins de 16 bornes de recharge publiques gratuites s'y retrouvent», peut-on y lire. Source : Le Soleil , La Presse+
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale ![]() Le Circuit électrique vous lance un défi : illustrez, à l’aide d’un égoportrait, ce que vous faisiez pendant que votre véhicule se rechargeait à l’une de nos bornes. Du 6 juillet au 28 août, courez la chance de gagner un des huit prix hebdomadaires de 50 $ et le grand prix final de 200 $ en crédit sur votre carte Circuit électrique. Les photos gagnantes seront publiées sur le site web du circuit électrique Visitez lecircuitelectrique.com pour obtenir plus d’information. Source : Le Circuiit électrique Téléphone : 1-855-999-8378 Courriel : [email protected] Contribution : Martin Archambault ![]() Dernièrement avait lieu une première rencontre des bénévoles de l'AVÉQ - Estrie. Cette rencontre regroupait le directeur régional (Claude Harvey) ainsi que de nombreux bénévoles. Il a entre-autre été question de l'organisation d'événements à venir, du déploiement de bornes en Estrie et d’activités de promotion diverses. Par la même occasion, nous avons l'honneur de vous annoncer la nomination de M. David Allard en tant que directeur adjoint. David épaulera Claude dans les différents dossiers. Comme vous voyez, ça bouge à l'AVÉQ. ! Si vous aimeriez participer aux activités, vous impliquer comme bénévole, n'hésitez surtout pas à contacter Claude Source : Claude Harvey Directeur régional AVEQ-ESTRIE Contributeur : Martin Archambault |
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