![]() Pourquoi parler de ce record de l'autre côté de l'Atlantique, alors que la première traversée d'un océan à l'autre aux USA a été complétée avec les SuperChargers de Tesla Motors? Parce qu'il apparait plus probable que les Québécois se dotent de voitures électriques avec des capacités modestes de batteries pour le moment, et que ce genre de voyage au Québec sera beaucoup plus probable -- un Gatineau-Rimouski utilisant des bornes rapides BRCC sera possible dans moins de 2 ans! En Angleterre, ce voyage est encensé par tous les médias britanniques comme étant une étape importante dans l'histoire de l'automobile. Les médias britanniques, en passant, sont normalement très critiques et acerbes, donc cette manchette est historique en soi! ![]() Un journaliste de la BBC avait tenté l'exploit il y a 3 ans, et le trajet avec recharges fut de 4 jours... Pas de quoi en faire un plat! Nous avons donc M. Robert Llewellyn, acteur britannique et animateur de FULLY CHARGED, qui a tenté de battre le précédent record à plate couture! Et ce fut réussi! 12 heures à plus de 110 km/h, et des recharges à 80% de 35 minutes (il fait quand même un peu froid en hiver là-bas!) pour parcourir 650 km. On se plaint par contre qu'il n'y a que 150 bornes rapides en Angleterre, et qu'il en faudrait beaucoup plus pour permettre au plus grand nombre de gens de profiter de l'électromobilité pour économiser tout en faisant sa part pour l'environnement. ![]() Avec nos deux bornes dans l'est du Canada (Toronto et Boucherville), on est un peu les enfants pauvres du monde occidental!!! Il nous faut donc un porte-parole important, une personnalité québécoise, qui veuille bien se prêter à l'expérience une fois pour toute, dès que les corridors de BRCC seront opérationnels. Un poids lourd comme.... HUGO GIRARD! Un gars de l'Outaouais bien connu, il pourrait faire ce voyage en iMiev, ça serait une SUPER PUBLICITÉ! [blague] Il faut croire qu'on pourra faire Montréal-New York bien avant Gatineau-Rimouski... à moins que nos élus appuient sur l'accélérateur afin que l'implantation des 7 corridors de BRCC soit fait en 2014 au lieu d'attendre. Attendre quoi au juste? Sommes-nous des leaders comme M. Breton se plait à répéter au monde entier, à coûts de dizaine de milliers de dollars par délégation aux différents forums et symposiums sur l'électromobilité?? On dirait que le budget marketing est plus important que le budget des autoroutes électriques...
Commentaires
![]() Le désir du gouvernement du Québec d’électrifier les transports se réalisera-t-il? Comment l’arrivée des véhicules électriques fait réagir les automobilistes de la ville de Québec? Les invités de l'émission sont :
Nous vous présentons l'entrevue de notre délégué Pierre Z. Langlois qui discute batteries, avantages d'un proprio de VÉ, et craintes de la population. Ensuite, l'entrevue de M. Philippin qui discute des incitatifs nécessaires comme les voies réservées, et l'importance du déploiement des bornes 400V à travers la province. Entre les deux entrevues, un vox populi un peu désolant qui nous replonge dans la réalité... Félicitations aux deux pour des entrevues bien réalisées et complètes! Pour visionner l'émission au complet, voir le site de MAtv [lien] Avec l'avènement des bornes rapides à courant continu (BRCC) qui supportent les standard CHAdeMO et CCS Combo qui vont apparaître dès ce printemps pour les chanceux propriétaires de Leaf, iMiev, BMW i3 2014, et Spark EV 2015 qui ont pris l'option du port rapide sur leur voiture, il est important de comprendre la couverture d'autonomie que nous permettra ce type de borne.
Ce que nous savons présentement:
À partir d'une borne rapide, l'autonomie à 80% pour ces véhicules devrait être de 120 km en été. Donc pour chaque borne, on peut créer une couverture en toutes directions de cette distance. À noter qu'en périphérie de cette zone, l'option de se recharger pour revenir dans la zone comptera uniquement sur des bornes L2 à 240V, donc un temps de recharge beaucoup plus long: le même qu'à la maison. Il en est de même lorsqu'on sort d'une zone pour entrer dans une autre: la jonction entre les deux devra être faite avec une borne publique à 240V. Dans nos estimés, nous avons été très conservateurs, et affichons les zones avec une couverture de 90 km sur la carte ci-bas. Il est certain que si la borne rapide n'est pas occupée, vous êtes libres de charger un peu plus jusqu'à la limite déterminée par votre voiture et sa température de batterie - une batterie trop chaude risque d'être endommagée par de multiples recharges rapides dans une même journée, le VÉ sait donc quand arrêter la recharge. Aussi, chaque conducteur est différent, et avec un véhicule électrique cette différence peut parfois atteindre 40% d'autonomie, alors qu'avec un véhicule à l'essence, le hypermiler peut réussir en moyenne 20% de plus qu'un autre conducteur avec la même voiture à combustion. Donc la couverture de 90 km peut atteindre 120-130 km avec un conducteur de VÉ qui est plus conservateur dans ses accélérations et sa vitesse moyenne, toujours avec 80% de charge. Ce sont les zones étendues jaunes.
À noter qu'il y a aussi une couverture dans les zones blanches, mais uniquement avec les bornes 240V. Consulter www.plugshare.com pour la couverture complète des bornes publiques. Nous sommes très heureux de ces développements, et avons très hâte de voir les voitures électriques se promener sur les routes du Québec. D'autres zones feront partie du paysage québécois dans les deux prochaines années, elles ont déjà été annoncées dans la Stratégie d'électrification des transports, soit:
![]() "Anxiété d'autonomie", expression utilisée par le père de la Chevrolet Volt, Bob Lutz il y a plusieurs années pour décrire le sentiment d'urgence qu'un conducteur de voiture 100% électrique pouvait ressentir lorsque sa batterie approche d'un état de charge bas. Cette expression a souvent été décriée par les propriétaires de véhicules électriques à batterie (VÉB) comme une tactique marketing visant à vendre plus de Chevrolet Volt, voiture qui possède une génératrice à essence en plus de batteries. D'ailleurs, M. Lutz qui est maintenant sur le conseil d'administration de VIA Motors, a récemment exprimé son regret d'avoir électrifié les voitures, alors que selon lui les camionnettes auraient dû l'être en premier. Heureusement, il a maintenant un nouveau produit à nous vendre pour se faire pardonner [sarcasme]! Ce genre d'affirmations a été très néfaste pour toute l'industrie d'électromobilité, alors qu'elle dénigre les types de motorisation autres que celles que M. Lutz veut bien nous vendre (Volt, et maintenant camions VIA), et crée une incertitude chez les consommateurs face aux technologies actuellement sur le marché. La réalité Il est normal qu'un nouveau propriétaire de VÉB ait à apprivoiser la façon de conduire sa nouvelle voiture. La prise en main d'un VÉB est très facile: on démarre, on accélère, on freine, on se rend à destination. C'est tellement simple, que la plupart des nouveaux propriétaires ne voient pas l'intérêt de lire l'énorme manuel d'instruction de leur nouvelle monture. ERREUR! Bien qu'il est simple de conduire une voiture électrique, plein de petites particularités font en sorte qu'il est important de bien comprendre son fonctionnement afin d'optimiser sa conduite, et réussir à obtenir à coup sûr l'autonomie annoncée par le manufacturier. Sans cela, vous n'atteindrez jamais l'autonomie promise. Souvent après quelques semaines, l'expérience de conduite du véhicule permet d'en connaître ses avantages et ses limites, et cette anxiété d'autonomie se transforme en conscience d'autonomie. Plusieurs outils sont disponibles pour mieux évaluer la distance que l'on peut parcourir selon l'élévation du trajet, le vent, le nombre de passager, et les accessoires en fonction. Green Race est un outil qui a été mis au point en Suisse pour des rallyes de voitures électriques dans les Alpes, et qui fonctionne magnifiquement bien pour notre contrée. Voir la vidéo ci-bas pour un exemple d'utilisation. À noter que c'est un outil très conservateur dans ses estimations. ![]() Dans l'exemple vidéo, on parle de se rendre de St-George-de-Beauce jusqu'à Rimouski, un trajet de 356 km avec plusieurs changements d'élévation. Parfait pour une Tesla. Pour une voiture comme la Leaf ou la iMiev possédant une batterie plus petite, il faut donc prévoir 2 arrêts pour recharger la voiture. On peut voir les différentes bornes disponibles au Québec sur le site de PlugShare, et ainsi décider des arrêts nécessaires pour recharger la voiture avec des bornes publiques et ainsi continuer notre route. Le trajet Green Race doit donc être divisé en plusieurs segments pour mieux estimer la distance possible pour le véhicule utilisé. Les autoroutes électriques s'en viennent au Québec dès le printemps 2014, avec des bornes rapides à courant continu (BRCC) de 400 volts, capables de charger une voiture telle que la Nissan Leaf ou la BMW i3 à 80% en moins de 30 minutes en condition optimale. Il y a plusieurs années, on pouvait parler d'anxiété d'autonomie car il y avait peu de bornes sur notre territoire, et partir en randonnée à l'extérieur de notre trajet quotidien pouvait devenir hasardeux, et nécessitait une poche de hockey pleine d'adaptateurs avec une borne de recharge portative, pour se brancher n'importe où: garages, prises de sécheuse, soudeuse, cuisinière. Avec un long fil d'extension! Ce n'est plus le cas. Les bornes sont de plus en plus nombreuses, plus de 400 au Québec en date de janvier 2014. On peut donc parler de conscience d'autonomie, où on conduit de façon plus conservatrice, on prévoit notre trajet ainsi que les arrêts nécessaires pour la recharge, et on profite d'économies en carburant tout en faisant bénéficier l'environnement d'un mode de transport sans émissions de dioxide de carbone et d'autres gaz à effet de serre. Bien entendu, pour les trajets quotidiens en ville, prévoir son trajet n'est pas vraiment nécessaire! ![]() La deuxième partie du sondage du Circuit Électrique (CÉ) concernait la borne de recharge rapide à courant continu (BRCC) de Boucherville. On demandait si les membres du CÉ possédaient un véhicule avec le port CHAdeMO (iMiev, Leaf, ainsi que les Tesla avec l'adaptateur optionnel). ![]() Parmi les 47% des répondants pouvant utiliser la recharge rapide, près de 15 % d'entre eux prévoient une utilisation régulière de cette borne située à Boucherville, tandis que 32% ont affirmé qu'ils ne l'utiliseraient jamais. Ceux qui ont répondu Jamais ont expliqué que la borne n'était pas dans leur région - plutôt logique! En collaboration avec ses partenaires, le Circuit Électrique analysera différentes formes de tarification dans le but de favoriser l'achalandage des bornes et de satisfaire les attentes de l'ensemble de ses utilisateurs. Le Circuit Électrique poursuivra par ailleurs son plan de déploiement 2014 – incluant des bornes rapides– selon la stratégie de ses partenaires en tenant compte des suggestions formulées. ![]() Avec la confirmation de l'installation ce printemps de la borne de recharge rapide SuperCharger, exclusivement pour les voitures Tesla, ainsi que l'installation prévue de bornes rapides sur l'autoroute 40 entre Montréal et Québec, pour les VÉ possédant les standard CHAdeMO et SAE Combo, on s'apprête à vivre un été électrisant au Québec! En 2013, très peu de voitures 100% électriques ont sillonné les autoroutes de notre belle province, les propriétaires préférant rouler à une vitesse plus modérée afin de prolonger leur autonomie en empruntant des routes secondaires. L'avantage de l'essence ne sera plus aussi important cet été, alors que les iMiev, Leaf, BMW i3, et Tesla pavaneront leurs jolies calandres sur les autoroutes du Québec sans arrêts nécessitant de multiples heures de recharge pour continuer leur trajet. La sensibilisation du public sera grandement accentuée avec l'apparition soudaine de centaines de voitures électriques sur nos routes dès le printemps. Un pas de plus pour l'évolution des transports, un électron à la fois! ![]() À l’occasion du Salon International de l’Auto de Montréal (SIAM), qui se déroule du 17 au 26 janvier au Palais des congrès de Montréal, le Circuit électrique est fier d’annoncer qu’il accueille une grande personnalité du monde de l’automobile, Jacques Duval, à titre de 1500e adhérent et qu’il dresse un bilan positif de l’évolution du réseau au cours de sa deuxième année d’exploitation. « Bien que l’autonomie des véhicules électriques soit suffisante pour la majorité des trajets réalisés par les Québécois, mes premières excursions loin du domicile m’ont convaincu de l’utilité d’avoir à notre disposition une infrastructure de recharge publique comme le Circuit électrique, a souligné M. Duval. Celle-ci permet aux propriétaires de véhicules électriques rechargeables de profiter librement de la pleine autonomie de leur véhicule sans craindre la panne d’énergie et d’ainsi voyager comme on doit le faire avec un véhicule électrique, c’est-à-dire différemment. » « Nous sommes ravis d’accueillir M. Duval comme 1 500e utilisateur du réseau, a exprimé, au nom des partenaires du Circuit électrique, Pierre-Luc Desgagné, vice-président — Affaires publiques et gouvernementales d’Hydro-Québec. Adhérer au Circuit électrique, c’est souscrire à la tranquillité d’esprit. L’utilisation des bornes connaît d’ailleurs une croissance importante, alors que 1 000 recharges ont été réalisées au cours du seul mois de décembre 2013 sur l’ensemble du réseau. » 1000 recharges en décembre: moyenne de 4 recharges par borne L2, une augmentation importante par rapport au mois d'août (2x/borne) (lien web)Avec près de 250 bornes de recharge installées dans 57 villes réparties dans 14 régions du Québec, le Circuit électrique permet aux conducteurs de véhicules électriques de rouler l’esprit tranquille en sachant qu’ils peuvent compter sur le réseau pour faire le plein d’énergie propre et renouvelable. Les utilisateurs de bornes publiques rechargent leur véhicule en moyenne pendant deux heures alors qu’ils vaquent à leurs occupations chez les quelque 55 partenaires privés et institutionnels qui se sont joints au réseau. Près de 70 % des conducteurs de VE se sont procuré une carte du Circuit électrique et l’utilisent au besoin, ce qui correspond à la mission du réseau, qui est d’offrir une recharge d’appoint. Depuis décembre 2012, le réseau est passé de 200 à près de 1 000 recharges mensuelles sur l’ensemble du réseau, dont 40 à la nouvelle borne de recharge rapide à 400 volts, mise en service le 28 novembre. À la fin de 2013, le Circuit électrique a réalisé un sondage auprès de ses utilisateurs afin de connaître leurs besoins. Les résultats, qui seront disponibles au cours des prochaines semaines, permettront au réseau de continuer d’offrir un service à la fine pointe dans le domaine.
Le Circuit électrique au Salon International de l’auto de Montréal Le Circuit électrique invite le public et les entreprises à visiter son kiosque, situé au 5e niveau du Palais des congrès, pour en apprendre davantage sur la recharge des véhicules électriques à la maison, au travail et dans les lieux publics, ainsi que sur la recharge rapide. Vous pourrez y manipuler différents types de borne de recharge en plus d’y découvrir, en exclusivité, la toute nouvelle voiture compacte Spark 2014 de Chevrolet. Il sera aussi possible pour les visiteurs du Salon de l’auto de faire des essais routiers de véhicules électriques et hybrides rechargeables. Ceux-ci sont organisés par CAA Québec en collaboration avec le Salon International de l’Auto de Montréal, le ministère des Ressources naturelles et le Circuit électrique. Les visiteurs pourront essayer l’un des 15 véhicules mis à leur disposition : Fortwo électrique de Smart, Volt de Chevrolet, i-MiEV de Mitsubishi, Leaf de Nissan, Model S de Tesla ainsi que Focus électrique, C-MAX Energi et Fusion Energi de Ford. De plus, ceux qui possèdent leur propre véhicule électrique rechargeable pourront faire le plein d’énergie propre aux nouvelles bornes du Circuit électrique situées dans le stationnement du Palais des congrès. Le Circuit électrique Le Circuit électrique demeure une initiative majeure dans le déploiement de l’infrastructure de recharge nécessaire pour soutenir l’arrivée des véhicules électriques rechargeables au Québec. Le Circuit électrique est le plus important réseau de recharge public du Québec. Le réseau compte près de 250 bornes de recharge à 240 volts et une borne de recharge rapide à 400 volts, en service notamment dans les stationnements de l’AMT et de plusieurs magasins RONA, épiceries Metro et rôtisseries St-Hubert sur le territoire québécois. Depuis son inauguration en mars 2012, 55 partenaires privés et institutionnels se sont joints au Circuit électrique. Son expansion se poursuit afin qu’il offre une plus grande couverture géographique et qu’il desserve un plus grand nombre de conducteurs de véhicules électriques dans plusieurs régions du Québec. Les utilisateurs du Circuit électrique bénéficient d’un service d’assistance téléphonique 24 heures sur 24 exploité et géré par CAA-Québec ainsi que d’un service de repérage de bornes. Le site Web du Circuit électrique, lecircuitelectrique.com, est mis à jour au fur et à mesure que de nouvelles bornes sont mises en service ou déployées. Depuis nos essais de la borne rapide à courant continu de Boucherville, au standard japonais CHAdeMO, qui possède une certaine complexité lors des premiers branchements (on y prend vite le tour, heureusement!), nous étions curieux d'observer la facilité d'utilisation du standard SAE Combo. Et comme vous pourrez le constater dans le vidéo ci-bas, le câble est plus fin, le connecteur plus petit, et le branchement sans tracas puisqu'il est pratiquement identique au branchement du pistolet J1772 qu'on utilise à chaque jour. Le protocole communique aussi plus rapidement avec la voiture, et la recharge débute plus rapidement. La vitesse de chargement est très similaire par contre: tout dépend de la puissance d'entrée de la borne dans les deux cas, la SAE Combo acceptant une puissance théorique plus élevée. ![]() Une nouvelle borne CHAdeMO est disponible gratuitement aux propriétaires de VÉ dans la ville de Burlington (Vermont), chez le concessionnaire Freedom Nissan. Il est donc maintenant possible de se rendre au Vermont en hiver sans trop perdre de temps à se recharger. Avec une batterie à 100%, on peut quitter Montréal pour se rendre à St. Albans (100 km), afin de s'y recharger une heure, le temps d'accumuler un 50 km, assez pour se rendre à Burlington à la station CHAdeMO du concessionnaire Nissan. De là, on peut profiter d'un 30 minute de recharge rapide puisque la station de ski est située à 65 km de distance, en montagne - donc une recharge rapide à 80% devrait être suffisante. De là, plusieurs bornes sont disponibles dans les stationnement de la station de ski, ainsi que dans le village de Stowe. ![]() Pour ceux qui aiment visiter de nouveaux centres de ski, voici une belle occasion de découvrir cette merveilleuse montagne du Vermont avec votre fidèle VÉB grâce aux bornes placées stratégiquement justement pour ce genre de voyage. Comme Dominique l'a déjà mentionné dans un commentaire: "Stowe est mieux que les stations de l'Estrie pas comparables et sans borne... tout en étant plus près pour nous que des stations comparables Tremblant, Ste-Anne ou le Massif ! On adore Stowe!" |
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