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Contribution: André H. Martel
Au moins, c’est ce qu’AutoWise prétend avoir découvert lors d’une analyse des médias sociaux.
Elon Musk affirme que la camionnette est son produit préféré à ce jour. Va-t-il battre les records établis avec le Model 3? Le fait que GM et Ford développent déjà leurs propres camionnettes électriques , et que Rivian fasse également beaucoup de vagues, devrait suffire à nous donner une idée de ce que fera Tesla pour assurer son leadership.
Si quelqu'un décidait à ce jour d’écrire un livre sur le pick up Tesla le titre serait sûrement "Great Expectations", ou quelque chose du genre. Cet intérêt vient définitivement des médias sociaux. En effet, un collaborateur d’AutoWise a effectué une étude sur l’impact créé par ces médias. Ils ont utilisé des données de Twitter géolocalisées de plus de 100 000 tweets et ont découvert quel pick up produisait le plus de buzz ces jours-ci. L'image ci-dessous montre que la camionnette Tesla fait l'objet de discussions dans plus d'États que le tout-puissant Ford F-150.
Quand vous savez qu'il y a plus de 500 millions de tweets chaque jour dans le monde, 100 000 d'entre eux ne semblent pas représenter une base de données substantielle. Quoi qu'il en soit, basé sur cet échantillonnage, AutoWise affirme que 26 États ont plus parlé du camion Tesla que du Ford F-150. Mais les données étaient relativement serrées considérant que le véhicule le plus vendu au monde est le centre d'attention dans les tweets dans 24 autres États.
Les États de la côte ouest et de la côte est semblent être les plus intéressés par le nouveau véhicule, tandis que le sud reste fidèle au champion de Ford et à son moteur à combustion interne. Une étude plus approfondie sur le buzz généré par ces véhicules ne devrait pas tarder à être dévoilée. En attendant, le contexte permet de prévoir assister prochainement à une autre présentation explosive de Tesla. Gardez à l'esprit qu’il est ici question de l'un des véhicules les plus attendus alors qu’il n'a même pas encore été officiellement présenté. INSIDEEVs
Contribution: André H. Martel
Contrairement aux autres constructeurs de véhicules électriques, Tesla contrôle depuis longtemps ses fournitures de batteries grâce à un accord exclusif avec Panasonic et à la production de ses batteries dans son usine Gigafactory, dans le Nevada.
Cependant, selon plusieurs rapports, incluant CNBC, la société travaillerait actuellement à la mise au point de ses propres batteries dans un centre de recherche et développement située près de son usine automobile de Fremont, en Californie. Alors que de plus en plus de constructeurs automobiles intensifient leur production de voitures électriques, les batteries et les matériaux nécessaires à leur fabrication se sont raréfiés au cours des derniers mois . Tesla s'est dit préoccupé par l'obtention de suffisamment de minerais pour ses batteries pour répondre aux objectifs de production de ses voitures électriques. Le chef de la direction, Elon Musk, avait déjà déclaré que l’approvisionnement en batteries de Panasonic était un obstacle à la production de son populaire Model 3. En mai, Tesla a racheté Maxwell Technologies , une société de San Diego qui fabrique des ultra-condensateurs pour répondre à certains besoins en batteries au lithium et permettre de diminuer le coût de production des voitures électriques. Certains observateurs ont également indiqué que cet investissement pourrait constituer le lien vers la technologie des batteries à semi-conducteurs. Musk a également affirmé depuis longtemps qu'il croyait que les super condensateurs étaient supérieurs aux batteries lithium-ion . Le rapport de CNBC cite plusieurs employés qui affirment que Tesla a mis sur pied un centre de recherche et développement, à quelques pâtés de maisons de l’usine Fremont, pour travailler sur le projet. Il semblerait que Musk tente de concentrer le plus possible les opérations de Tesla à l’interne pour le protéger contre d'éventuelles perturbations indépendantes de sa volonté. Tesla recherche également de nouveaux fournisseurs de batteries en Chine pour les voitures qu'elle compte construire dans sa nouvelle usine. Musk a annoncé que l'usine commencera à produire des Model 3 d'ici la fin de l'année. On ne sait pas si Tesla va bientôt produire ses propres batteries, mais lors d'une journée de la technologie en mai, alors qu’il discutait de ses plans, Elon Musk a suggéré aux investisseurs de surveiller deux choses chez Tesla: le développement de la conduite autonome et les efforts qui seront faits pour diminuer les coûts de production des batteries pour ses voitures. Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
(sur la photo) : M. Lacasse, assis dans le Outlander PHEV, a reçu son magnifique prix des mains de Daniel Dallaire (à gauche), directeur régional, Province de Québec, Ventes de véhicules Mitsubishi du Canada, inc. et de Donald Marcotte (à droite), directeur des ventes, Paquet Mitsubishi.
M. Jean-Marc Lacasse, de la région de Québec, est l’heureux gagnant du concours de Mitsubishi Motors 2019 dans le cadre des salons de l'auto, qui lui permet de bénéficier d’une location gratuite d’un Outlander PHEV SE Touring 2019 (le véhicule hybride rechargeable le plus vendu au monde) durant les deux prochaines années. M. Lacasse nourrit un attachement particulier à Mitsubishi Motors puisqu’il a conduit une Mitsubishi Galant 2004 (180 000 km à l’odomètre)!
Le tirage de ce prix a été réalisé parmi les bons de tirage qui ont été recueillis dans les 9 salons de l’auto qui se sont tenus à travers le pays. 50% des bons de tirage ont été amassé au Québec.
Contribution: André H. Martel
Deux rapports du World Resource Institute analysent les principaux obstacles à l'électrification de la flotte mondiale d'autobus, et comment les villes peuvent les surmonter
L' année dernière, environ 425 000 autobus électriques étaient en service dans les villes du monde. Presque tous, 99% d'entre eux se trouvaient en Chine. La ville industrielle en plein essor de Shenzhen, en particulier, est l’une des rares villes à avoir complètement électrifié sa flotte . Pendant ce temps, le reste du monde court pour rattraper son retard et est de plus en plus à la traîne.
Ce n'est pas le manque d'ambition qui les en empêche: dans le but de réduire les émissions de carbone, les dirigeants municipaux du monde entier se sont engagés à remplacer partiellement, sinon totalement, la flotte de leur ville par des autobus électriques au cours des prochaines décennies. Un certain nombre de villes, des grandes métropoles comme Mexico City et des villes plus modestes comme Philadelphie, ont entrepris des projets pilotes. Ce qui empêche les villes d’adopter massivement des bus électriques, c’est un mélange de défis technologiques, financiers et institutionnels, selon deux rapports du World Resource Institute qui analysent les efforts déployés dans 16 villes à différentes étapes d’adoption d'autobus électriques . Ce premier rapport se concentre sur trois principaux d’obstacles, tandis que le second souligne la manière de les surmonter. Les villes étudiées vont d'Addis-Abeba en Éthiopie , où il n'y a pas eu de planification substantielle concernant des bus électriques, à des villes comme Philadelphie et Campinas au Brésil, qui réalisent respectivement un projet pilote et projettent une augmentation de leur nombre d'autobus électriques, incluant le dossier de Shenzhen et de Zhengzhou. Les projets sont répartis sur la planète, certains dans les pays développés comme le Chili et l’Espagne, d’autres dans les pays émergents comme l’Inde. Les villes qui souhaitent monter à bord de la révolution des bus électriques doivent absolument restructurer leur mode de réflexion sur l'électricité et les véhicules. «Comprendre que la venue de véhicules électriques ne se limite uniquement pas à l’acquisition du véhicule est l’un des obstacles les plus difficiles à franchir, tant dans le secteur énergétique que dans celui des transports», déclare Camron Gorguinpour, l’un des auteurs principaux des deux rapports. «Il est difficile pour les personnes qui ont passé toute leur carrière à croire que les véhicules et les systèmes électriques n’avaient aucun lien pour maintenant se rendre compte que ces éléments peuvent être intégrés.» Cela signifie que lorsque les villes envisagent d'adopter des bus électriques, elles doivent réaliser quelles devront effectuer des mises à niveau du réseau électrique et développer une infrastructure de recharge, ainsi que plusieurs autres défis associés à ce changement. C’est généralement l’erreur la plus courante, selon Gorguinpour. De nombreuses villes ont simplement installé des stations de recharge en pensant que tout se déroulerait sans problèmes. C'est pourquoi, explique-t-il, l'une des aspects le plus difficile à Shenzhen fut la longueur du processus de mise en place d'une infrastructure de recharge pour supporter plus de 16 000 bus électriques. Chaque autobus a une autonomie d'environ 200 km sur une seule charge de 252 kilowattheures (KWh). Au total, la flotte peut consommer plus de 4 000 mégawattheures (MWh). À titre de comparaison, 1 MWh suffit pour alimenter environ 300 foyers pendant une heure. «C’est une quantité d’énergie insensée, sans parler de l’immobilisation requise», dit-il. «Et le processus d'identification des terrains disponibles, la collaboration avec les services publics, ne serait-ce que pour déterminer l'emplacement optimal, est une tâche extrêmement importante et incroyablement dcomplexe.» C'est ce que Philadelphie a découvert en voulant étendre sa flotte d'autobus électriques avec de nouveaux modèles dotés de batteries plus puissantes. Au début du processus de planification, la ville n'avait pas compris qu'il serait extrêmement coûteux d'acquérir des terrains dans le centre-ville pour des stations de recharge le long de ses lignes de bus. Ils ont donc décidé d'installer toute l'infrastructure de recharge dans les dépôts de bus. «Ils ont pris cette décision sans se rendre compte qu'il coûterait 1,5 million de dollars pour moderniser le système électrique de ce seul emplacement et installer une sous-station capable d'alimenter 20 véhicules», explique Gorguinpour. "Ces détails peuvent rapidement devenir incontrôlables." Les villes à travers le monde ont souvent cité l’augmentation des dépenses comme le principal défi pour se procurer un parc électrique. Alors que les villes qui utilisent des autobus électriques finissent par économiser à long terme sur le carburant, la maintenance (sans parler de la purification de l’air et de la diminution des gaz à effet de serre), les coûts initiaux représentent cependant des défis de taille. Selon les données disponibles, le prix d'un nouvel autobus électronique se situe entre 300 000 et 900 000 dollars l’unité, le rapport souligne aussi que les prix varient considérablement en fonction du fabricant, des spécifications et de l'emplacement de l'agence de transport en commun. Aux États-Unis, un bus électrique coûte en moyenne 750 000 dollars US , contre 435 000 dollars pour un bus diesel classique. Lorsque les villes décident d’intégrer des bus électriques, Gorguinpour croit qu'elles se concentrent trop sur ces coûts initiaux et pas assez sur les impacts à long terme. L’organisation de projets mal ficelés pourrait retarder le processus d'adoption ou de financement des projets pilotes, lorsque l'on inclut seulement quelques bus, s’ils n’ont pas été conçus en fonction d’une vision globale. «Nous encourageons les villes à développer le plus de projets pilotes possibles » a-t-il déclaré. «Mais si votre projet pilote se fait avec seulement quelques autobus électriques vous devriez le réaliser en collaboration avec un groupe d’intervenants, élaborer une stratégie et vous poser collectivement la question:« Comment apprendre suffisamment de ces quelques autobus pour élaborer un plan qui pourrait nous permettre éventuellement d’intégrer 500 ou des milliers d'autobus? Ou encore comme dans le cas de Belo Horizonte au Brésil, essayer de convaincre les opérateurs d’adhérer pleinement à leur projet. Actuellement, la ville et ses fournisseurs d'autobus sont liés par un contrat à long terme qui ne prévoit ni l’obligation ni d’incitatif pour remplacer le stock d'autobus diesel. Après que la ville ait lancé un projet pilote sans avoir impliqué ses opérateurs, le rapport indique qu’à ce jour, aucun opérateur n’a manifesté l’intérêt d’investir dans une entreprise considérée comme coûteuse et risquée ». Ceci illustre bien l'importance de rassembler toutes les parties concernées avant de prendre une décision, c’est sur quoi met l’emphase le deuxième rapport de l'IRG, qui propose une feuille de route pour l'adoption des bus électriques. Cela inclut non seulement les fonctionnaires du service de transport en commun, mais également les entreprises de services publics, les opérateurs de bus et les organisations pouvant aider la ville à financer une entreprise aussi coûteuse. Cela inclut évidemment les banques de développement multinationales et nationales, qui sont les sources initiales de financement. Dans certains cas, comme à Santiago, la capitale du Chili, qui possède la plus grande flotte d'autobus électroniques en dehors de la Chine, ce sont des entreprises de services publics, et non des agences de transport, qui se sont mobilisés pour financer les projets. CITY LAB
Contribution: André H. Martel
L’AVÉQ a collaboré avec les autres associations canadiennes dans la dernière année afin de mettre de la pression sur le fédéral pour appuyer l'inclusion de l'électricité dans le cadre d'une norme fédérale sur les carburants propres. Nous sommes heureux d'annoncer que bon nombre de nos recommandations ont été incorporées dans une importante annonce qui a été faite la semaine dernière par la ministre canadienne de l’environnement!
Plus tôt la semaine dernière, la ministre Catherine McKenna d'Environnement et Changement climatique Canada, a annoncé son engagement à réduire de façon significative les émissions de gaz à effet de serre, à réduire la pollution atmosphérique locale et à accélérer la transition vers la mobilité avec une norme fédérale sur les carburants propres.
Une norme sur les carburants propres qui a comme objectif de réduire l'intensité carbone des carburants traditionnels, y compris le diesel et l'essence, et stimuler également les investissements du secteur privé dans les carburants renouvelables, y compris l'électricité, et les efforts visant à soutenir et à accélérer l'adoption d'un véhicule électrique. Des sondages ont montré que les deux obstacles les plus importants à l'adoption des véhicules électriques demeurent le prix d'achat et de l'infrastructure de recharge. La norme proposée sur les carburants propres vise ces deux obstacles. Le nouveau cadre publié devra : Permettre aux fabricants de véhicules électriques de réduire les coûts des véhicules (par exemple, par le biais de rabais au point de vente sur les véhicules ou les bornes de recharge à domicile) Aider les opérateurs de bornes de recharge et les services publics qui investissent dans la recharge à étendre leurs réseaux d'infrastructure de recharge plus rapidement. Permettre au gouvernement canadien de quantifier avec exactitude et exactitude la véritable énergie utilisée pour le transport électrique dans les provinces afin d’assurer une meilleure planification. Ces investissements accélèreront la transition vers la mobilité électrique grâce à un financement provenant des producteurs de combustibles fossiles. Les fonds ne proviendront pas des contribuables publics. Il s’agit d’un mécanisme tout à fait différent que celui de la taxe du carbone ! Le Canada n'est pas le seul pays à avoir développé une norme sur le carburant propre. Des programmes similaires existent en Californie, en Colombie-Britannique, dans d'autres États américains et en Europe et fonctionnent depuis des années. Le Canada s'est appuyé sur les meilleures pratiques de ces programmes et la proposition d'aujourd'hui représente une solution faite au Canada qui, une fois mise en œuvre, fonctionnera dans l'intérêt de tous les Canadiens. Mécanismes : Extraits du document : Les fournisseurs de combustibles fossiles seront en mesure de respecter la norme de performance en prenant eux-mêmes les mesures qui s’imposent ou en achetant des crédits auprès de producteurs de carburant à faible intensité de carbone et d'autres producteurs de crédit, comme les entreprises qui fabriquent des véhicules électriques et des bornes de recharge, ou d’agriculteurs qui transforment les déchets en biocarburants renouvelables. Génération de crédit dans l'espace VÉ : La Norme sur les carburants propres permettra aux entreprises de créer des crédits pour la recharge des véhicules électriques publics et privés : les opérateurs de réseaux de recharge de véhicules électriques créeront des crédits pour la recharge publique des véhicules électriques ; et les hôtes des sites créeront des crédits pour la recharge privée/commerciale des véhicules électriques. Une approche à deux vitesses pour la tarification résidentielle offrira des possibilités à un éventail de créateurs de crédit : Pour les foyers équipés de bornes de recharge connectées à un réseau ou dotés d'autres technologies intelligentes capables de mesurer avec précision l'électricité fournie aux véhicules électriques, l'opérateur du réseau ou de la technologie intelligente sera en mesure de créer des crédits. Pour tous les autres fabricants d'équipement résidentiel, les fabricants d'équipement d'origine pour VÉ seront les créateurs de crédit par défaut. Des informations précises et vérifiables concernant la recharge des véhicules pourront être obtenues à partir de véhicules ayant des capacités télématiques Le réinvestissement du produit de la tarification résidentielle entre 50 et 100 % (montant à confirmer) sera requis. Les revenus des crédits devront être investis dans des projets, des programmes, des politiques ou d'autres types d'action qui : a) élargiront le réseau d'infrastructures de recharge des véhicules électriques pour faciliter les déplacements sur de longues distances avec un véhicule électrique ou faciliter l’acquisition d'un véhicule électrique pour ceux qui n'ont pas accès à une borne de recharge à domicile ; b) réduiront le coût de la possession de véhicules électriques en offrant des incitatifs financiers à l'achat ou pour l’exploitation d'un véhicule électrique ; c) éduqueront ou informeront les consommateurs des avantages des véhicules électriques, de leurs avantages environnementaux et de la réduction des coûts d’entretien par rapport aux véhicules alimentés aux combustibles fossiles (p. ex., campagnes de marketing, programmes de sensibilisation) Pour plus de détails sur le communiqué : CISION
Contribution: André H. Martel
Cette animation d’une course de diagramme à bandes (« bar chart race » en anglais) montre l’évolution du classement des 15 véhicules électriques enregistrés les plus populaire au Québec entre août 2012 et mars 2019. Avec l’arrivée de nouveaux modèles et la fin de la production de la Chevrolet Volt, il est à parier que le classement évoluera grandement dans les prochains mois et années.
Source des données : AVEQ - Statistiques AVEQ-SAAQ sur l'électromobilité au Québec
Contribution: Christian Pelletier
L'événement «Carrefour Branché» qui s'est déroulé le samedi 29 juin 2019 au Carrefour de l'Estrie a attiré l'attention des médias de la région. Merci à nos membres bénévoles pour cette première édition plutôt réussie!
«À la rencontre des véhicules électriques», un reportage de Dominique Wolfshagen, La Tribune Quelle autonomie ont les véhicules électriques? Combien coûte l’installation de la borne de recharge? Combien de temps ça prend pour recharger la voiture? Samedi après-midi, au Carrefour de l’Estrie, plusieurs curieux ont pu poser ces questions et bien d’autres encore aux personnes les mieux placées pour y répondre : les utilisateurs de véhicules électriques. Ceux-ci ont même offert des essais routiers avec leurs propres bolides dans le cadre de cet événement organisé par l’Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ). Pour Claude Harvey, bénévole pour l’AVÉQ et propriétaire de l’une des Tesla mises à disposition du public samedi, revenir à une voiture à essence est absolument hors de question. Sa conjointe et lui ont fait le saut pour l’électrique il y a cinq ans. « À l’époque, au Québec, il y avait 3500 véhicules électriques, et on passait un peu pour des extraterrestres à ce moment-là. Maintenant, on est tout près de 50 000 », indique-t-il. Selon lui, ce changement en valait la peine pour l’économie, l’écologie et le confort, même si l’autonomie (c’est-à-dire le nombre de kilomètres que l’on peut faire avant de devoir recharger la batterie) était moins bonne alors. Rien d’étonnant alors à ce qu’il prenne plaisir à faire découvrir cette technologie aux curieux, en répondant à leurs nombreuses questions mais aussi en leur faisant goûter au plaisir de la conduite d’une telle voiture. « La plupart du temps, le premier commentaire c’est : “C’est incroyable, ça ne fait pas de bruit!”. Ensuite, c’est la surprise de la puissance et de l’accélération. Peu importe le modèle, c’est très surprenant quand on appuie sur l’accélérateur d’un véhicule électrique! » rapporte M. Harvey, en ajoutant que les gens sont toujours emballés par leur essai. Ce serait d’ailleurs le cas peu importe la marque : selon M. Harvey, Tesla tient sa notoriété du fait que l’entreprise a forcé les autres fabricants d’automobiles à augmenter l’autonomie des batteries, mais il y aurait désormais des véhicules pour tous les goûts et besoins sur le marché. Formule réussie Au moins 25 personnes s’étaient inscrites en ligne à l’avance pour réaliser au moins un essai routier, mais il était aussi possible de s’inscrire sur place — grâce au kiosque d’accueil dont les ordinateurs étaient branchés sur la batterie de l’une des voitures électriques, s’amuse à souligner le directeur régional de l’AVÉQ, Stéphane Péloquin. Celui-ci organise aussi les Jeudis branchés, un rassemblement ayant lieu au Marché de la gare une fois par mois durant l’été. Des propriétaires de véhicules électriques membres de l’AVÉQ s’y rassemblent pour exposer leur bolide et répondre aux questions, mais il n’y a pas d’essais routiers puisque l’espace s’y prête moins. M. Péloquin se réjouit par conséquent de cette première mouture au Carrefour de l’Estrie, qui bonifie l’expérience du public. « On a vraiment une belle brochette de véhicules! » précise-t-il en énumérant avec enthousiasme les modèles présents pour la journée : Tesla de modèles 3, S et X; Kia Soul et Niro; Hyundai Kona; Chevrolet Bolt, Volt et Spark; Ford Focus, Chrysler Pacifica hybride rechargeable; et Volkswagen e-Golf. La rencontre devait se terminer à 21h, mais elle a dû être écourtée en raison de l’orage en début de soirée. Sur la page Facebook de l’événement, il était indiqué que près d’une centaine d’essais routiers ont malgré tout été effectués, répondant ainsi aux attentes de M. Péloquin. Source : La Tribune Photos : Claudine Roussel - À la pige et sur mesure, Agence événementielle et relations de presse.
MONTRÉAL, le 27 juin 2019 /CNW Telbec/ - La Ville de Montréal et le gouvernement du Québec sont heureux d'annoncer le début du premier projet pilote de navettes automatisées sur les voies publiques en milieu urbain à Montréal. Il se déroulera dans l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, entre le Parc olympique et le marché Maisonneuve, pour une durée de 6 semaines.
Cette initiative émane d'une démarche entamée par la Ville en mai 2016 alors que le conseil municipal a mandaté la Commission sur le transport et les travaux publics pour identifier les enjeux et défis de l'arrivée de la mobilité autonome à Montréal. Il est rendu possible grâce à un appui financier de 5 M$ sur cinq ans du ministère des Affaires municipales et de l'Habitation (MAMH). Dans le cadre de sa Politique de mobilité durable - 2030, le gouvernement du Québec désire accroître le soutien à différents projets pilotes relatifs à l'utilisation de véhicules électriques autonomes pour améliorer l'accès au transport en commun. Un arrêté du ministère des Transports du Québec (MTQ) signé récemment permet à des navettes autonomes de circuler sur certaines voies publiques de la Ville de Montréal. « Notre gouvernement soutient activement les initiatives visant les nouvelles technologies en matière de transports. Le projet pilote lancé aujourd'hui s'inscrit dans les grands principes et orientations de la Politique de mobilité durable et permettra de développer l'expertise dans la réalisation de projets destinés à tester des véhicules électriques autonomes. » François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l'Estrie « Nous sommes fiers de participer à cette initiative qui, en plus de desservir deux lieux emblématiques de l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, favorise la transition énergétique et la lutte contre les changements climatiques. » Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal « Notre vision en termes de voiture autonome est claire. Celle-ci doit être destinée au transport collectif et dans une optique de mobilité durable. Pour ce faire, dans le cadre de ce projet pilote, nous tenons à prendre en compte les attentes et les besoins des citoyens. » Valérie Plante, mairesse de Montréal « Ce projet pilote nous permettra de déterminer la façon dont la technologie peut s'insérer dans l'offre de transport de la Ville. Il contribuera également à familiariser la population à l'arrivée de cette technologie, encore peu connue, mais qui suscite curiosité et questionnements. » Eric Alan Caldwell, responsable de la mobilité au sein du comité exécutif de la Ville de Montréal Cette initiative est réalisée en partenariat avec le Ministère des transports du Québec (MTQ), la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ), l'opérateur Transdev et la Régie des installations olympiques (RIO). Elle permettra d'alimenter le processus de planification et d'évaluer l'intégration de ce nouveau service dans l'offre de transport collectif de la Ville, dans une optique de mobilité durable et en fonction des attentes et des besoins des citoyens. Rappelons qu'à l'automne 2018, la Ville de Montréal a participé à un projet pilote, mis en place par le Parc olympique, à titre de partenaire financier. Cette fois-ci, la Ville agira à titre de maître d'œuvre et consultera les usagers des navettes ainsi que les riverains par le biais de sondages. Plus de détails : site Internet de la Ville de Montréal SOURCE Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif Renseignements: Sources : Geneviève Jutras, Attachée de presse de la mairesse, Cabinet de la mairesse et du comité executive, 514 243-1268; Sarah Bigras, Attachée de presse, Cabinet du ministre des Transports et ministre responsable de la région de l'Estrie, Tél. : 418 446-5911; Camille Lambert-Chan, Attachée de presse, Cabinet de la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, 418 558-8329; Renseignements : Mélanie Gagné, Relationniste, Service de l'expérience citoyenne et des communications, 514 868-8762; Équipe des relations de presse, Direction des communications du ministère des Affaires municipales et de l'Habitation, 418 691-2015, poste 3746 CISION
Contribution: André H. Martel
Il existe de nombreux préjugés sur les véhicules électriques, mais l'argument selon lequel les véhicules électriques polluent davantage que leurs homologues à moteur à combustion interne est sans contredit le plus important. Bien que le PDG de Tesla, Elon Musk, et d’autres experts tels que Bloomberg NEF aient constamment tenté de démystifier ce sujet , le mythe demeure incroyablement persistant.
Une étude récente de Auke Hoekstra, expert en mobilité électrique, a conclu que les véhicules électriques ont en réalité le potentiel d'être beaucoup plus propres que prévu, d'autant plus que la fabrication de batteries et le réseau électrique se transforment rapidement. Alors que la fabrication de batteries atteint de nouveaux niveaux d’efficacité on constate de plus que l’énergie utilisée pour générer cette production se fait à partir de sources d’énergies renouvelables. Les conséquences de ces améliorations seront que les émissions de gaz à effet de serre des voitures électriques telles que la Tesla Model 3 verront une réduction spectaculaire d’émissions de CO2.
Les conclusions de Hoekstra et al sont en désaccord total avec les auteurs de l'étude, Christoph Buchal, Hans-Dieter Karl et Hans-Werner Sinn qui affirmaient que la Tesla Model 3 polluerait plus qu'une Mercedes-Benz C 220 jours à cause des émissions de gaz nécessaires pour la production des batteries de la voiture électrique. Selon Hoekstra, cette conclusion comporte plusieurs erreurs majeures. D'une part, des chercheurs tels que Buchal et al. ont tendance à surestimer les émissions produites lors du processus de fabrication des batteries. Hoekstra a noté qu'environ 65 kg d'émissions de gaz à effet de serre sont émis pour chaque kWh de batterie produit, ce qui inclut l' extraction et le raffinage des matières premières et la production des cellules de batterie elles-mêmes. L'étude de Buchal estime que le Model 3 émet entre 145 et 195 kg / kWh pour la production de ses batteries, ce qui ne tient pas compte des nouveaux produits chimiques que l’on utilise pour cette production ni des améliorations apportées au processus de fabrication des cellules. La durée de vie des batteries est également largement sous-estimée dans des études selon lesquelles les véhicules électriques pollueraient davantage, ou un peu moins que les voitures à essence. Dans le cas de Buchal, par exemple, les scientifiques ont estimé que les batteries du Model 3 ne dureraient que 150 000 km avant d'être remplacées. Il s'agit d'une erreur, car on estime que les batteries de la génération actuelle durent au moins 1 500 à 3 000 cycles avant de perdre 20% de leur capacité. Pour un véhicule comme un Tesla Model 3 à traction intégrale, dont l'autonomie est de 500 km, la voiture devrait parcourir environ 747 000 km pour un minimum de 1 500 cycles avant de devoir remplacer la batterie. Et même après cela, les piles sont recyclées et non mises au rancart, comme le note Elon Musk. L’erreur la plus notable parmi les critiques des véhicules électriques est peut-être que beaucoup ne tiennent pas compte du fait que l’électricité elle-même devient plus verte grâce à l’adoption de solutions d’énergie renouvelable. L’industrie du véhicule électrique est toujours alimentée dans certaines régions du monde à partir du charbon, mais ce ne sera pas toujours le cas. Si l’industrie du véhicule électrique était alimentée par des sources d'énergie renouvelables, Hoekstra estime que la valeur des émissions des VÉ chuterait par un facteur de 10 et ce calcul est basé sur la technologie actuelle qui elle aussi évolue rapidement. La lutte pour la forme de propulsion privilégiée du futur continuera à se faire entre les moteurs électriques et les moteurs à combustion interne. Cependant, il est essentiel de noter que le moteur à combustion interne est une technologie qui a probablement atteint son apogée. Les voitures électriques, par contre, débutent leur développement. L’Arrivée du Model 3 et l'avènement de véhicules comme le nouveau Tesla Roadster, le pick-up Rivian R1T ou même la Porsche Taycan pourraient finalement confirmer l’avènement de la nouvelle génération électrifié, source privilégiée de propulsion pour le futur. Teslarati
Contribution: André H. Martel
Contribution: André H. Martel
LE SAMEDI 6 JUILLET, des électromobilistes bénévoles de l’Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) seront à Trois-Pistoles pour offrir des essais gratuits de voitures électriques dans le cadre du Samedi Branché Agriscar.
La Coopérative Agriscar vous invite au dépanneur Super Soir de Trois-Pistoles pour une journée BRANCHÉE! Des électromobilistes bénévoles de l’Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) seront sur place pour répondre aux questions des visiteurs et offrir des essais gratuits de voitures électriques. Un cadeau écoresponsable sera également remis aux personnes participantes! ACTIVITÉ : Essais de voitures électriques par les électromobilistes bénévoles de l’AVEQ pendant le Samedi Branché Agriscar QUAND : Samedi 6 juillet 2019 de 10h à 16h OÙ : Trois-Pistoles, au dépanneur Super Soir 680 Rue Jean-Rioux, Trois-Pistoles, QC G0L 4K0 PRÉINSCRIPTION AUX ESSAIS : Site de la campagne Roulons Électrique Passez le mot sur FACEBOOK : https://www.facebook.com/events/362977287736255/
Vous ne pouvez pas aller au Samedi Branché Agriscar?
Consultez notre CALENDRIER pour d'autres activités: https://www.aveq.ca/calendrier.html Faites appel à notre SERVICE DE JUMELAGE: L’AVÉQ vous offre en exclusivité la possibilité d'essayer le véhicule électrique de votre choix dans votre région, en compagnie de son propriétaire, et ce tout à fait gratuitement ! www.jumelage.ca
La Ville de Joliette et l'Association des Véhicules Électriques du Québec - AVÉQ en collaboration avec la Société de Développement du Centre Ville de Joliette s’unissent pour faire découvrir l’univers des véhicules électriques à tous, sous une formule 5 à 7. Une soirée branchée présentée dans le cadre de la grande vente-trottoir du centre-ville de Joliette, le vendredi 5 juillet de 17 h à 20 h sur la place Bourget.
Attiré par le mode de vie carbo-neutre ou simplement curieux de voir de plus près ces petites bêtes électriques à quatre roues? Cet événement est votre chance d’en apprendre davantage et de faire l’essai routier, comme conducteur ou passager, de plusieurs modèles. Tesla 3, Ford Focus, Kona, Bolt, Ioniq, Leaf, i3, Volt et plusieurs autres surprises électriques vous attendent sur place. ACTIVITÉ : 5 @ 7 Électrique - Essais de voitures électriques, conférence et kiosque d'information AVEQ DATE ET HORAIRE : Vendredi 5 juillet 2019 de 17 heures à 20 heures LIEU : Place Bourget, Joliette PRÉINSCRIPTION AUX ESSAIS : https://www.roulonselectrique.ca/fr/testdrive2/event/166/pre_register/ FACEBOOK : https://www.facebook.com/events/353946321979413/
Vous ne pouvez pas aller à Joliette ?
Consultez notre CALENDRIER pour d'autres activités: https://www.aveq.ca/calendrier.html Faites appel à notre SERVICE DE JUMELAGE: L’AVÉQ vous offre en exclusivité la possibilité d'essayer le véhicule électrique de votre choix dans votre région, en compagnie de son propriétaire, et ce tout à fait gratuitement ! www.jumelage.ca
BYD ouvre sa première usine d'assemblage d'autobus électriques au Canada. L’usine d’une surface d’environ 14 000 mètres carrés située à Newmarket, près de Toronto, assemblera d’abord des autobus pour la Toronto Transit Commission, qui a commandé dix autobus électriques avec une option pour 30 autres
Le groupe chinois veut fabriquer des autobus électriques au Canada pour son marché de l'Amérique du Nord dès que la commande de Toronto aura été traitée. En plus de Toronto, des autobus électriques BYD sont en commande ou déjà en service dans les villes canadiennes de Victoria, Longueuil, St. Albert et Grand Prairie.
Grâce à la nouvelle usine en Ontario, la présidente de BYD, Stella Li, a déclaré qu'elle «se consacrait à développer des partenariats avec les villes canadiennes». L'usine de Californie qui comptait environ 100 travailleurs en 2013 emploie actuellement plus de 750 personnes. Avec leurs partenaires de la région de York et de la ville de Newmarket, BYD souhaite faire du Canada un chef de file nord-américain de l’assemblage de bus électriques », a déclaré Dowling. Un projet d’usine BYD au Canada ne date pas d’hier, la construction d’une usine avait déjà été annoncée puis, BYD avait confirmé en novembre dernier qu’ils mettaient leur projet d’usine de camions électriques sur la voie de service. On avait à ce moment invoqué le fait que le commerce des autobus électriques était nettement plus intéressant que celui des camions électriques au Canada et que l’on voulait se repositionner en fonction de ce marché potentiel. BYD étend, ce faisant, son énorme réseau de production de bus électriques. BYD est le plus grand producteur d'autobus électriques au monde et a remporté les plus importants contrats d'autobus électriques en Amérique du Sud, en Amérique du Nord, en Europe, en Asie du Sud, en Asie du Nord-Est et, bien sûr, en Chine . Le premier bus électrique BYD fabriqué en France a quitté la chaîne de montage en décembre 2018. La société chinoise exploite également une usine de bus électriques en Hongrie, qui dessert la plupart des marchés européens. À une époque où les gouvernements s'efforcent de diminuer et surtout d’éliminer les émissions de CO2 du secteur des transports publics, BYD s'est placé dans une position idéale pour approvisionner les services de transports publics à travers le monde, un marché en croissance rapide pour lequel, jusqu'à présent, les manufacturiers de véhicules classiques semblent avoir raté le bus. Electrive.com
Contribution: André H. Martel
OTTAWA, le 26 juin 2019 /CNW/ - La réduction de la pollution causée par le transport aidera les Canadiens à réaliser des économies, à assainir l'air et à lutter contre les changements climatiques. Le secteur de l'automobile évolue rapidement, et les véhicules électriques et autonomes et d'autres technologies de pointe créent de nouveaux débouchés importants pour les constructeurs automobiles, les fabricants de pièces, les développeurs de logiciels et le secteur minier du Canada. Avec la hausse de la demande de véhicules plus propres et plus efficaces, il est essentiel d'investir dans l'innovation pour que les constructeurs automobiles canadiens demeurent concurrentiels et que nous continuions à attirer les emplois de l'avenir.
Aujourd'hui, la ministre de l'Environnement et du Changement climatique, Catherine McKenna, et la présidente du California Air Resources Board, Mary Nichols, ont signé un nouvel accord de coopération visant à promouvoir le transport écologique. À la tête de la cinquième économie en importance au monde, la Californie demeure un chef de file mondial qui exploite des solutions propres pour stimuler la croissance économique et créer de nouveaux emplois dans la classe moyenne. De même, le Canada reste déterminé à mener des actions climatiques ambitieuses et prend des mesures concrètes efficaces pour réduire la pollution dans l'ensemble de son économie. Des véhicules et des carburants plus propres sont essentiels pour atteindre les objectifs de lutte contre les changements climatiques du Canada. Par cet accord, le Canada et la Californie s'engagent à travailler ensemble, dans leur règlementation respective, afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre provenant de véhicules comme les voitures, les camionnettes et les véhicules utilitaires sport. Des règlements efficaces, comme ceux qui sont déjà en vigueur en Californie et au Canada, permettent aux gens de conduire des voitures écoénergétiques qui réduisent la pollution et les factures de carburant. Le Canada et la Californie s'engagent également à travailler ensemble pour promouvoir l'adoption de véhicules plus propres et les possibilités qu'ils offrent. Les Canadiens auront ainsi accès à une grande variété de véhicules alors que nous sommes à l'œuvre pour faire en sorte que la totalité des véhicules légers vendus ici soit des véhicules à émission zéro d'ici 2040. Pour nous aider à atteindre cet objectif, le budget fédéral de cette année offre aux Canadiens un incitatif pouvant atteindre 5 000 dollars pour les véhicules à émission zéro admissibles et d'autres incitatifs fiscaux pour les entreprises qui veulent passer à des parcs à émission zéro. En Californie, les constructeurs automobiles sont tenus de veiller à ce que les véhicules à émission zéro représentent une proportion croissante de leurs ventes, et l'État vise à avoir cinq millions de ces véhicules sur les routes d'ici 2030. Le Canada et la Californie partageront également des pratiques exemplaires et des renseignements techniques sur la réglementation des carburants plus propres, s'appuyant sur le succès de la Californie avec sa norme novatrice sur les carburants à faible teneur en carbone. Le Canada est en train d'élaborer une norme sur les combustibles propres qui réduira les émissions de 30 millions de tonnes en 2030, ce qui équivaut à retirer 7 millions de voitures de la circulation. La pollution ne s'arrête pas aux frontières. En collaborant avec des partenaires internationaux et l'industrie pour trouver des moyens pratiques, abordables et plus écologiques de faire les choses, le gouvernement du Canada lutte contre les changements climatiques, soutient les bons emplois de la classe moyenne, garde le coût de la vie abordable et bâtit l'économie propre du futur. Citations « En tant que cinquième plus grande économie mondiale et chef de file planétaire dans le domaine du transport écologique, la Californie est un exemple éloquent de la façon dont l'action climatique peut être bonne pour les gens, l'environnement et l'économie. Il nous tarde de travailler avec la Californie pour lutter contre les changements climatiques, préserver la qualité de l'air et offrir un éventail accru d'options pour conduire des véhicules moins polluants et plus abordables. En appuyant l'innovation écologique dans le secteur canadien de l'automobile, nous pouvons construire les véhicules de l'avenir ici même au pays, créer de bons emplois et demeurer concurrentiels - tout en réduisant la pollution et en aidant les Canadiens à économiser des centaines de dollars par année à la pompe. » - Catherine McKenna, ministre de l'Environnement et du Changement climatique « Nous faisons en sorte qu'il soit plus facile et plus abordable pour les gens de posséder des véhicules plus efficaces et non polluants, et nous continuons de travailler avec des partenaires du monde entier pour leur offrir ce choix. L'amélioration de la qualité de l'air et la réduction des coûts quotidiens pour les familles demeurent une priorité absolue pour notre gouvernement. » - Amarjeet Sohi, ministre des Ressources naturelles « La Californie n'est pas en reste lorsqu'il s'agit de lutter contre les changements climatiques, de défendre la qualité de l'air et de protéger la santé des générations futures. Nous nous réjouissons de travailler avec le Canada pour adopter des technologies propres qui nous rapprocheront de nos objectifs d'assainissement de l'air. » - Gavin Newsom, gouverneur de la Californie « La Californie et le Canada se sont tous deux engagés à créer un avenir où les voitures écologiques sont bien présentes. Nous reconnaissons tous deux que des véhicules et des carburants plus propres seront essentiels pour lutter contre les changements climatiques, assainir l'air dans nos collectivités et faire économiser de l'argent aux Canadiens et aux Californiens à la pompe. » - Mary Nichols, présidente, California Air Resources Board Faits en bref La Californie et le Canada sont de proches partenaires économiques, puisque 1,2 million d'emplois en Californie dépendent du commerce et des investissements avec le Canada. La Californie vend 26,2 milliards de dollars américains en biens et services au Canada chaque année. En vertu de la règlementation actuelle, les véhicules légers neufs de l'année modèle 2025 devraient consommer jusqu'à 50 % moins de carburant et émettre 50 % moins de gaz à effet de serre que les véhicules construits en 2008. Le Canada s'est engagé à procéder à un examen à mi-parcours de sa règlementation sur les véhicules légers et a entamé l'an dernier des consultations préliminaires dans le cadre de cet examen. Environnement et Changement climatique Canada attend d'avoir terminé cet examen pour prendre la décision finale au sujet des normes pour la période 2022-2025 sur les véhicules légers, afin de tenir pleinement compte des coûts et des avantages des diverses options règlementaires. Lors de la prise de décision, le gouvernement tiendra compte de l'importance du marché de l'automobile nord-américain intégré ainsi que du contexte canadien. Au total, plus de 5,6 milliards de dollars en investissements dans le secteur de l'automobile ont été annoncés dans les entreprises canadiennes depuis 2015, créant et maintenant des dizaines de milliers de bons emplois dans ce secteur pour la classe moyenne. Aujourd'hui, en Californie, une voiture neuve vendue sur dix est une voiture rechargeable, et la moitié de toutes les voitures rechargeables vendues aux États-Unis à ce jour - près de 600 000 - se trouvent en Californie. La norme californienne sur les carburants à faible teneur en carbone est entrée en vigueur en 2011 et a contribué à faire de l'État un chef de file en matière de carburants propres avancés. À ce jour, la Californie a remplacé 3,3 milliards de gallons de carburants à base de pétrole par des carburants à faible teneur en carbone, dont le diesel renouvelable, l'électricité et le gaz naturel renouvelable. Renseignements: Sabrina Kim, Attachée de presse, Cabinet de la ministre de l'Environnement et du Changement climatique, 819-743-7138, [email protected]; Relations avec les médias, Environnement et Changement climatique Canada, 819-938-3338 ou 1-844-836-7799 (sans frais), [email protected] Related Links http://www.ec.gc.ca CISION
Contribution: André H. Martel
À la suite du sondage auprès des membres de l'AVEQ possédant au moins un véhicule électrique, l'AVEQ est très heureuse de vous présenter un portrait de ses membres électromobilistes, édition 2019!
Avant de débuter, l'AVEQ tient à remercier chaleureusement les 523 répondants qui ont pris la peine de répondre au questionnaire. Ces données sont précieuses et serviront à poursuivre la mission de l'AVEQ. À la lecture des résultats, on constate que l'électromobiliste type de l’AVEQ est un homme (87%) de 46 à 55 ans, avec un salaire de 70 à 80 000$ et un niveau d'éducation collégial. Plusieurs tendances des années précédentes semblent s'être inversées: la proportion de femme a diminué, l'âge médian a augmenté et le salaire médian également. Est-ce le reflet du marché en général ou seulement celui des membres de l’AVEQ? Parmi ces électromobilistes, 91% sont propriétaires de leur véhicule électrique (dont l’année médiane est 2017). Le nombre d’entre eux avec un deuxième véhicule à essence est en baisse passant de 60% à 51%, duquel ils sont en très grande majorité propriétaires (91%). Parmi les répondants, 76% possèdent un véhicule avec un port de recharge rapide (en augmentation par rapport à 65% l’an passé) qu’ils utilisent en moyenne 1 fois par mois. Et si on considère seulement les 100% électrique, c’est plus de 94% des véhicules qui sont équipés d’un port de recharge rapide. Au niveau de la répartition, 46% sont équipés du port SAE Combo, 39% du port CHAdeMO et 15% du connecteur Tesla. En dehors des recharges sur la route, 84% disent avoir une borne à la maison et 44% ont accès à des bornes de recharge au travail. À quel point ces électromobilistes se déplacent-ils? On apprend que la distance médiane au travail est de 14 kilomètres et que la médiane du plus long déplacement effectué en une journée est de 399 km (alors qu’il était de 300km l’an passé) pour un kilométrage annuel électrique de 20 000 km. Cela veut donc dire que seulement 35% des déplacements électriques sont fait entre le travail et la maison en moyenne. Cela signifie que la majorité de la distance parcourue par les VÉ correspond à de longs déplacements autre que pour le travail, soulignant une fois de plus l’importance d’avoir un bon réseau de recharge rapide pour ces escapades électriques. On peut également voir que les ménages favorisent l’utilisation de leur véhicule électrique, car la distance médiane parcourue pour le ménage entier est de 26 000 km. C'est-à-dire que seulement 6000 km demeurent parcourus à l’aide du véhicule à essence. Ces électromobilistes sont-ils satisfaits de leurs voitures électriques? On constate une quasi-unanimité sur ce sujet, au point où la très grande majorité des répondants (92%) disent que leur prochaine voiture sera 100% électrique. Il va sans dire qu'ils ont l'environnement à cœur puisque près de 75% d'entre eux ont fait ce choix pour des raisons écologiques (et 53% pour des raisons économiques). Selon les répondants, leur voiture leur permet de parcourir 195 km en ville en été contre 168 sur l'autoroute, et 130 km en ville contre 114 km sur l'autoroute durant la saison hivernale. L’autonomie médiane en hiver est d'environ 67% de celle estivale. Ces mêmes chiffres permettent également de confirmer qu’un VÉ peut très bien survivre à nos hivers sans un garage chauffé, car seulement 25% des VÉ de nos membres dorment dans un garage chauffé, et selon ces mêmes données, cela n’affecterait que de façon minimale l’autonomie hivernale constatée (autonomie hivernale de 72% de celle estivale dans un garage vs 67% à l’extérieur). Nous profitons d’ailleurs du sujet de l’autonomie hivernale pour référer aux nouveaux électromobilistes notre guide hivernal. Enfin, le sondage a aussi permis de savoir que 45% des répondants ont été influencés par l'AVEQ dans leur décision d’achat. Ce chiffre, combiné au haut taux de satisfaction, est probablement la meilleure preuve que les nombreuses heures d’effort investies par les bénévoles de notre organisation ont atteint leurs objectifs. Après tout, promouvoir les véhicules électriques, donner l’heure juste aux gens afin qu'ils soient heureux de leur achat est la raison d’être de l’AVEQ! Le sondage a surtout permis de conclure ces faits d’une importance capitale:
Mon seul point négatif est que j'aurais dû prendre une 100% électrique au lieu d'une PHEV J'adore rouler électrique Meilleur véhicule a vie J'essaie d'être contagieuse! C'est la meilleure voiture que je n'ai jamais eue et j'en prendrai une autre à la fin de ma location C'est cohérent avec mes choix de vie J'aurais dû en acheter une avant !!! Plus jamais je n'aurai autre chose qu'une voiture 100% électrique L'expérience de conduite est inégalée. Je serais incapable de retourner en arrière, j'aurais l'impression de conduire un dinosaure. La puissance et couple du moteur électrique est incroyable, jumelée au silence et l'absence de vibrations. J'ai le gros sourire quand je suis au volant. NDLR : Ces chiffres ont été recueillis dans un sondage auprès des membre de l’AVEQ et ne représente pas nécessairement l’ensemble du marché Québécois. Le meilleur exemple de ce sujet est le haut pourcentage de Nissan LEAF. Contribution: Frédérick St-Laurent, Jean-François Morissette et Simon-Pierre Rioux
Renewable Energy Vermont (REV) s’est joint au gouverneur Phil Scott, ainsi qu’aux membres des comités des transports de la Vermont House et du Sénat pour assister à la signature de la nouvelle loi H. 529 sur le transport, et a offert la déclaration suivante.
"Conscient de la nécessité de solutions de transport moins coûteuses et sans émissions de carbone, le gouverneur a intelligemment proposé le premier incitatif de l'État pour les véhicules électriques et la poursuite des investissements dans les stations de bornes de recharge publiques. En tant qu'un des seuls États de la Nouvelle-Angleterre à ne pas offrir d'incitatifs pour l’achat de véhicules électriques, Le Vermont avait besoin de cela pour se remettre sur les rails. Afin de réduire le fardeau de la facture d’électricité imposé aux contribuables, le projet de loi crée un outil indispensable qui permettra d'accroître les investissements privés dans les réseaux de bornes de recharge pour véhicules électriques. Nous sommes impatients de voir davantage de citoyens du Vermont économiser de l’argent et adopter les véhicules électriques. Alors que nous nous dirigeons vers la réalisation d’énergie renouvelable totale à 100%, H. 529 donne un coup de pouce additionnel. Permettre à tous les habitants du Vermont d’avoir accès à la réduction des coûts d’acquisition, à la santé et aux économies de temps que procurent les véhicules électriques est crucial, mais le projet de loi H.529 n’est qu’un début modeste, permettant de prendre en charge seulement 400 véhicules électriques additionnels alors que nous avons un objectif d’au moins 90 000 véhicules électriques. Plus tôt les automobilistes et les cyclistes pourront remplacer les moteurs à énergie fossile, plus nous pourrons économiser de l’argent et assainir notre environnement. Le Vermont doit passer de toute urgence à de l’énergie renouvelable pour respecter ses engagements. " « Renewable Energy Vermont » représente des entreprises, des organismes à but non lucratif, des services publics et des particuliers déterminés à réduire la dépendance des citoyens à l'égard des combustibles fossiles sales en augmentant les énergies propres et renouvelables et l'efficacité énergétique au Vermont. L'économie d'énergie renouvelable du Vermont a déjà permis de créer directement au moins 18 800 emplois dans 3 612 entreprises, représentant environ 6% de la population active de l’État. Ensemble, nous atteindrons 100% des énergies renouvelables totales (électricité, thermique, transports). Electric Energy On Line
Contribution: André H. Martel
Un des nouveaux objectifs de la compagnie Mack est de développer des camions à ordures électriques26/6/2019
Le groupe a consacré beaucoup d'encre, de pixels et de synapses à la fabrication de camions électriques robustes pouvant parcourir de 800 à 1 600 km en une journée et se recharger assez rapidement avant de retourner au travail.
Des études récentes ont démontré que la méthode la plus efficace pour réduire la pollution consiste à remplacer les véhicules qui passent le plus clair de leur temps dans les centres - villes à cracher de la fumée noire à chaque pâté de maison.
Le remplacement des autobus urbains par des véhicules électriques était un premier pas. Selon la direction de la compagnie Mack, une prochaine étape logique serait de remplacer les camions à ordures. Plus tôt ce mois-ci, à la « Las Vegas Waste Expo », Mack a déployé le Mack Electric LR, une nouvelle gamme de camions destinée au ramassage des ordures. Mack fait partie du groupe Volvo et Volvo Trucks a déjà mis sur le marché un camion à ordures électrique l'année dernière . Mack envisage de tester les nouveaux camions en collaboration avec le département de l'assainissement de la ville de New York dès l’an prochain. Le département exploite une flotte de 2 200 camions pour ramasser les ordures, les débris et la neige. Un trajet typique pour le ramassage des ordures est environ de 50 km par jour, mais implique de fréquents arrêts et départs, le type de trajet qui rend un camion diesel plus polluant. Les nouveaux camions utiliseront deux moteurs électriques produisant une puissance combinée de 496 chevaux et 4051 livres-pied à 0 tr / min. Mack nous informe que l’on utilise des batteries au lithium-manganèse-cobalt de 600 volts et des systèmes d'entraînement électriques pour augmenter la puissance et les vitesses de recharge. Mack n'a cependant pas encore révélé la capacité ou l'autonomie de la batterie. De toute façon, si l’on se fie aux distances parcourues, il est fort possible que l’autonomie ne soit pas un gros problème. Pourvu d’un convertisseurs abaisseur, les camions disposent de deux systèmes électriques supplémentaires, un système typique de 12 volts pour faire fonctionner les lumières et les accessoires du chariot et un système de 24 volts qui tire l'énergie de la batterie principale pour faire fonctionner le circuit hydraulique du compacteur et du système de décharge, qui peut consommer autant d’énergie par jour que l'énergie nécessaire pour parcourir les kilomètres couvrant les itinéraires des camions. À la fin de la journée, les camions pourront se connecter à des bornes de recharge rapides CC de 150 kilowatts afin d’être prêts pour le lendemain matin. De plus, le département de l'assainissement de New York a également présenté son projet de balayeuses de rues électriques au salon de l'auto de New York de cette année. Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
Siemens est sur le point de vendre son unité eAircraft à Rolls-Royce, qui devrait être transférée à la fin de 2019.
Siemens eAircraft développe des systèmes de propulsion électriques et hybrides électriques pour l'industrie aérospatiale, sur les sites de Munich et d'Erlangen en Allemagne, ainsi qu'à Budapest en Hongrie, il collabore avec des partenaires comme Airbus pour créer des prototypes de systèmes de propulsion tels que le CityAirbus d'Airbus, d'une puissance allant de moins de 100 kW à plusieurs milliers de kW. eAircraft a conclu un partenariat de développement avec Airbus en 2016, alors que Siemens étudie et développe des systèmes de propulsion d’avion électrique depuis une dizaine d’années.
«Notre équipe eAircraft est un pionnier des systèmes électriques et hybrides électriques pour aéronefs», a déclaré Roland COTO, directeur de l'exploitation et directeur de l'exploitation, Siemens. «Avec Rolls-Royce, nous avons trouvé une maison idéale pour ce projet et leur avons transféré notre expertise alors qu'ils travaillent déjà en partenariat avec Airbus. Nous continuerons de coopérer avec Rolls-Royce, en particulier en mettant à leur disposition notre portefeuille de solutions numériques afin de faciliter cette étape majeure vers une aviation durable et à faibles émissions. "
Contribution: André H. Martel
«Nous avons été choqués», déclare le propriétaire qui a versé le dépôt d'une Tesla bien avant la date limite du 22 juin
Blair Qualey, président et chef de la direction de la New Car Dealers Association of BC, a déclaré que les acheteurs de véhicules électriques ayant déposé leurs dépôts avant le 22 juin seraient admissibles aux incitatifs antérieurs prévus par la province. (Ben Nelms / CBC)
Le gouvernement de la Colombie-Britannique a modifié ses règles concernant les subventions pour véhicules électriques après avoir soudainement réduit des montants au cours du week-end, obligeant certains acheteurs à débourser des milliers de dollars supplémentaires pour leurs voitures. "Cela s'est passé assez brusquement ce week-end et créé une certaine confusion pour les consommateurs et certains de nos concessionnaires ", a déclaré Blair Qualey, PDG de la New Car Dealers Association. Son organisation administre le programme de véhicules à énergie propre de la Colombie-Britannique, appelé CEVforBC. La province confirme que quiconque a acheté ou réservé son véhicule avant le 22 juin sera couvert par les incitatifs antérieurs tout en clarifiant le type de documentation requise pour en bénéficier. "Tant que le concessionnaire et le consommateur pourront démontrer qu'un dépôt a été effectué, qu'il existe un bon de commande réel pour un véhicule neuf, ils seront alors couverts", a déclaré Qualey. On peut se procurer un formulaire d’application sur le site Web de l'organisation. La province réduit ses incitatifs pour les véhicules électriques à compter du 22 juin. Les incitatifs représentent maintenant 3 000 dollars pour les véhicules tout électriques et électriques hybrides rechargeables à longue autonomie, et 1 500 dollars pour les véhicules électriques hybrides rechargeables à courte autonomie. Il s'agit d'une diminution significative par rapport aux incitations précédentes, qui étaient de 2 500 à 6 000 dollars, selon le type de voiture. Un nouveau client, monsieur Cheema, , était très déçu d’avoir dû payer inopinément 2 000 $ de plus pour son Model 3 Tesla au cours du week-end. Samedi dernier, quelques minutes avant de se rendre chez le concessionnaire de Vancouver pour prendre possession de sa nouvelle voiture, le représentant de Tesla l’a informé que son contrat d'achat devait être réécrit et qu’il devrait payer un montant supplémentaire de 2,000 dollars
"Nous avons été choqués", a déclaré Cheema.
Sundeep Cheema ne s'attendait évidemment pas à payer 2 000 $ de plus en raison de la réduction de la subvention lorsqu'il a voulu prendre possession de sa nouvelle Tesla Model 3 le 22 juin. (Chuck Burton / Associated Press)
Le concessionnaire était sous l'impression qu’il n’était plus éligible aux incitatifs précédents, même si l’annonce de la province confirmait que les acheteurs qui avaient effectué leur achat à l'intérieur des délais mentionnés bénéficieraient d'une clause de droits acquis. Mais après avoir passé des heures chez le concessionnaire et devant l’incapacité d'obtenir la suppression de 2 000 dollars, le père de deux enfants a signé l'accord. "Nous attendions cette nouvelle voiture avec impatience et nous ne voulions pas y renoncer", a-t-il déclaré. Aujourd'hui, il est content d'apprendre qu'il pourra récupérer son argent, mais l’expérience lui a laissé un goût amer. CBC News a contacté Tesla mais personne n’était disponible pour une entrevue. Qualey dit que les acheteurs de véhicules électriques qui ont récupéré leur voiture la fin de semaine dernière devront travailler en collaboration avec les concessionnaires pour récupérer leur argent. Malgré la confusion, les défenseurs des véhicules électriques sont convaincus que c'est toujours le meilleur moment d'acheter, car ils anticipent que les rabais devraient encore diminuer. "C’est peut-être l’âge d’argent pour les primes", a déclaré Matthew Klippenstein de PlugIn BC, alors que pendant les sept dernières semaines nous avons connu l’âge d’or si l’on additionne les subventions fédérales et provinciales. " Il faut rappeler que le remboursement fédéral de 5 000 $ pour les véhicules admissibles, en vigueur depuis le 1er mai, est toujours disponible. CBC News
Contribution: André H. Martel
Le solaire peut contribuer à la recharge du véhicule et réduire la charge du réseau électrique pendant les périodes de pointe. Cela, signifie encore moins d'émissions de carbone pour le service public. Et dans le cadre de développement des systèmes de gestion de l'énergie, les voitures électriques elles-mêmes pourraient potentiellement permettre de stocker l’énergie et servir d’énergie de substitution
Compte tenu de l' acquisition par Tesla de SolarCity en 2016, on pourrait penser que le constructeur de voitures électriques contrôlerait maintenant ce marché.
Ce n’est malheureusement pas le cas, et un nouveau rapport du cabinet de conseil Wood Mackenzie amène des faits qui justifient cette situation. Au premier trimestre de 2019, Sunrun contrôle 11% du marché, Vivint Solar, 7,6% et Tesla (SolarCity) est en troisième place, avec 6,3%. C’est tout un changement par rapport à 2016, alors que Tesla occupait la première place avec plus de parts de marché que les deux autres joueurs combinés. Wood MacKenzie s'attend à ce que l'ensemble du marché américain de l'énergie solaire résidentielle ne croisse que de 3% d'ici la fin de l'année. En 2018, les ventes de Tesla ont chuté de 41%, malgré une croissance modeste sur l'ensemble du marché
Parts de marché de l'énergie solaire domestique au premier trimestre - juin 2019, Wood MacKenzie
SolarCity a atteint un sommet d'environ 33% du marché de l'énergie solaire résidentielle à la fin de 2015, résultat de programmes de crédit-bail agressifs et de partenariats, avec entre autres Home Depot.
Le marché de la maison solaire n'a pas connu de croissance importante au cours des dernières années. Le crédit d’impôt fédéral pour investissement dans l’énergie solaire résidentielle constitue un autre obstacle à l’horizon. Il disparaîtra en 2022. Wood MacKenzie affirme qu’il est évident que le marché lui-même se segmente. Au premier trimestre, les ventes totales d’énergie solaire de Tesla ont chuté de 36% par rapport au trimestre précédent et de 38% par rapport à leur niveau de l’année précédente. Tesla a réduit les prix de ses systèmes solaires à la fin de l’année dernière et a annoncé un nouveau repositionnement de ses offres en avril. La société a déclaré que sa production de stockage d’énergie en 2018 s’était limitée à l’approvisionnement en cellules, mais on ignore si cette décision était liée au fléchissement des ventes d’énergie solaire. Dans un communiqué adressé par Tesla à ses actionnaires, la société a indiqué que ses clients pouvaient désormais acheter des stockages d’énergie solaire et d’énergie sur son site Web. Il est clairement spécifié que l’ objectif était de permettre aux clients avec un dépôt initial de seulement 99$ USD, de se faire installer des récupérateurs d’énergie solaire sur leur toit. Tesla a acheté SolarCity en 2016, au coût de 2,6 milliards de dollars, sans compter les 3 milliards de dollars de dette de SolarCity qu'elle a dû assumer. L’objectif initial était également de vendre de l'énergie solaire dans ses magasins. On a plutôt concentré les efforts de la compagnie sur le développement des nouvelles berlines Model 3. Le fait que Tesla, ne semble plus vouloir jouer un rôle moteur dans la croissance de l'énergie solaire, pourrait confirmer l’hypothèse selon laquelle la croissance nationale à long terme continuera d'être menée par des acteurs locaux et régionaux moins importants et moins dépendants que les acteurs nationaux.
La pièce de résistance, le toit solaire tant attendu de Tesla, a rencontré des problèmes de fabrication et de coût. Mais lors du dernier rapport financier trimestriel de la société, le PDG Elon Musk a déclaré que la société croyait pouvoir bientôt offrir un toit solaire à un prix qui serait compétitif à un toit traditionnel. «C’est tout un problème technologique d’intégrer une cellule solaire à des tuiles et de conserver une belle apparence pour les 30 prochaines années», a-t-il déclaré.
Même avec une longue liste de produits dans le pipeline, comme le Semi, le Pickup, le Roadster, le Model Y et une autre plus petite voiture, il est probable que Tesla ne négligera pas un produit qui reste potentiellement lucratif et essentiel complétant un écosystème qui ne peut que profiter de cette énergie gratuite et renouvelable qu’est l’énergie solaire. Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
Comme il faisait beau, samedi dernier, j’ai décidé d’aller me promener dans les Laurentides et j’en ai profité pour m’arrêter à Ste-Agathe des Monts. Je me suis rendu sur le site de l’évènement « Et si on roulait électrique ». J’y ai rencontré une équipe de bénévoles extraordinaire! Des gens accueillants, convaincus, convaincants et d’une très grande générosité, qui souhaitent ardemment partager leur passion pour l’électromobilité.
L’an dernier, cet évènement qui en est à sa deuxième année avait entièrement été organisé par l’AVÉQ. Éric Racine coordonnateur des directions régionales me confirmait que, cette année, l’évènement avait été organisé en collaboration avec la ville de Ste-Agathe. Plus de 10 modèles de véhicules électriques privés étaient disponibles pour faire des essais. L’évènement se passait sur le site de l’école Fleur des Neiges sur la route 117. Le site étant situé près d’un accès à l’autoroute 15 permettait aux visiteurs de connaitre les divers aspects de la conduite urbaine et grand route.
Quelle ne fut pas ma surprise de constater que l’équipement informatique était alimenté par la batterie de l’un des véhicule électriques. On est électromobiliste ou on ne l’est pas!
Ce qui rend ces évènements si remarquables est sans contredit la passion des bénévoles. La majorité des membres bénévoles étaient évidemment de la région des Laurentides, mais j’ai eu le plaisir de bavarder avec des gens qui venaient d’aussi loin que de Gatineau. Y a-t-il une meilleure façon de s’informer sur les avantages de l’électromobilité que de rencontrer ces messagers de la bonne nouvelle? Pour ceux qui ne peuvent se rendre à de tels évènements, vous pouvez toujours faire appel au service de jumelage, L’AVÉQ vous offre la possibilité d’essayer le véhicule électrique de votre choix dans votre région en compagnie du propriétaire et cela tout à fait gratuitement. Vous devez seulement contacter : www.jumelage.ca Un gros merci à tous les bénévoles. Mesdames et messieurs, nous vous sommes reconnaissants de vos efforts et de votre générosité. Bonne route.
Contribution: André H. Martel
Le Club Tesla Québec et l’AVÉQ souhaitent mobiliser les électromobilistes du Québec pour souligner l’ouverture du tablier Nord du nouveau pont Samuel-de Champlain en le traversant avec le maximum de voitures électriques le 24 juin 2019 au petit matin.
Nous vous donnons donc rendez-vous à 4h du matin le 24 dans l’un des stationnements près de Taschereau, de la 10 et du Quartier DIX30. Un coordonnateur sera présent dans chacun des stationnements pour donner le coup de départ. Si tout va comme prévu, le départ devrait se faire entre 4h30 et 5h30.
Si vous souhaitez participer à ce moment historique, veuillez vous inscrire en choisissant le stationnement de départ correspondant à la première lettre de votre nom. Votre inscription nous permettra de vous informer du report ou de l’annulation de l’événement, le cas échéant.
Le Circuit électrique et Odacité vous invitent à une annonce importante, en présence du député fédéral d’Argenteuil – La Petite-Nation, concernant l’inauguration d’une nouvelle superstation de recharge publique multibornes pour véhicules électriques.
Les électromobilistes qui peuvent assister à cet événement sont évidement les bienvenus. Passez le mot! Quand : Mardi, le 25 juin à 11 h 00 Qui : M. Stéphane Lauzon, député fédéral d’Argenteuil – La Petite-Nation, au nom du ministre des Ressources naturelles du Canada, l’honorable Amerjeet Sohi M. Steve Richard, président d’Odacité M. Renaud Cloutier, chef Relations d’affaires du Circuit électrique d’Hydro-Québec Où : Station Le Transit 50 510, avenue Bethany, Lachute (Québec) Sortie 260 de l’autoroute 50 SOURCE : Hydro-Québec |
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